La commission économique pour l’Afrique des Nations unies a publié un rapport en 2013 qui souligne que « les échanges commerciaux de l’Afrique avec les BRICS se sont développés plus rapidement qu’avec tout autre région du le monde ». Pour sortir de leur pauvreté, les pays africains ne se sont pas arrêtés aux interrogations portant sur l’efficacité de l’aide au développement, ils sont allés chercher d’autres types de financements. Conscient des difficultés que rencontrent les pays en développement, l’homme d’affaires franco-marocain Richard Attias a organisé le New York Forum Africa.
Mobiliser, c’est le mot d’ordre tandis que la santé publique ne dispose pas toujours des moyens nécessaires pour assurer un développement harmonieux d’une population toujours plus nombreuse, à en croire les travaux de l’Institut National des Etudes Démographiques.
Un sommet pour la prospérité, afin que la croissance durable se traduise par une réduction des inégalités et notamment un meilleure accès à la santé pour la population. C’est une manière un peu singulière d’adopter l’esprit du Partenariat de Busan en 2011. Les spécialistes y préconisaient notamment de favoriser la logique de partenariat à celle d’assistanat.
Développer les infrastructures et l’emploi, voici les deux objectifs qu’il s’est fixé. Afin d’y parvenir un fond de 150 millions de dollars intitulé « Train my Generation » exercera des missions de formation et d’insertion professionnelle. Les secteurs prioritairement bénéficiaires des aides seront entre autre, l’agriculture, l’énergie, l’habitat, et la santé.
Sur le Huffingtonpost, Richard Attias explique ainsi lire que c’est Nelson Mandela qui avait préconisé la création d’un pareil dispositif pour œuvrer en faveur des plus jeunes et de leurs conditions d’existence. Au sommet de Davos le leader sud-africain avait ainsi demandé, « comment bâtir une fondation pour la jeunesse qui ait un réel impact ? ».
L’engagement de ces grands hommes a pour but de démontrer que le social, ce n’est pas seulement des institutions et la politique, mais aussi et d’abord des relations humaines. On peut ainsi résumer leurs combats en quelques points, « les enjeux de création d’emplois, d’éducation, de la gestion des ressources naturelles, des défis énergétiques, des questions de santé, et de l’insertion des jeunes ». Il faut savoir mobiliser toutes les énergies au service d’une juste cause…
[b][quote] leurs combats en quelques points, « les enjeux de création d’e[b]mplois,[/b] d’éducation, de la gestion des[b] ressources naturelles,[/b] des défis énergétiques,[/b] des questions [b]de santé,[/b] et de l’insertion des jeunes »[/quote]
[b]oui,tout cela est indispensable!Surtout à l’heure actuelle![/b]