Il est facile d’ouvrir internet et d’avoir accès à toutes sortes d’informations sans fondements et non pertinentes pour la société. C’est grâce à ces informations médiocres que nous pouvons constater à quel point il y a des choses plus importantes à se soucier.

Il est facile d’ouvrir internet et d’avoir accès à toutes sortes d’informations sans fondements et non pertinentes pour la société. C’est grâce à ces informations médiocres que nous pouvons constater à quel point il y a des choses plus importantes à se soucier. Ici au Lac-Saint-Jean, nous sommes en mesure de constater à quel point la déforestation se fait sentir. Au diable les belles forêts que nos aïeuls ont cultivées. Au diable, les immenses bouleaux qui jetaient dans l’ombre les tribus amérindiennes. Nous sommes en pleine déforestation! Il suffit de survoler le Parc des Laurentides afin de constater le désastre. Mais ce problème se répand à l’échelle mondiale. En Amazonie, la population rase littéralement le «poumon de la terre». Mais ce n’est qu’un problème parmi tant d’autres. Prenons par exemple la faim dans le monde. Vous en avez déjà entendu parler sous différentes façons et de divers points de vue. La solution pour régler ces deux problèmes est à la portée de main de notre gouvernement.

 

Le passage des troupes militaires en Afghanistan laisse des traces considérables sur la flore du pays musulman. Les familles dévastées par la guerre qui sévit depuis 2001 sont affamées. Ces vastes déserts regorgent pourtant d’un potentiel incroyable pour nourrir toutes ces bouches et du même coup, reboiser une bonne partie de l’Afghanistan. Premièrement, il serait nécessaire d’établir un périmètre sécuritaire afin de protéger une future plantation d’arbres fruitiers. Pour financer cette culture, il suffirait d’imposer 1$ à chaque canadien ce qui représente une moindre partie d’un salaire moyen. En amassant ce dollar au  12 435 520 canadiens, nous pourrions acheter 414 517 pruniers burbank à 30 ou 40 dollars l’unité. Nous pourrions nourrir un bon nombre de bouches et de plus, établir une plantation canadienne en guise de réparation. Bien sûr, il est évident que le dollar que nous imposerions aux canadiens pourraient servir à équiper notre armée de 500 tanks qui serviraient à tuer de jeunes innocents. C’est pour le moins la pensée de notre gouvernement conservateur élue depuis quelques années. De plus, les conservateurs n’approuveraient jamais un plan écologique qu’est celui-ci. Plutôt nous devrions continuer de raser nos parcs et nos forêts! Cessons les sarcasmes et pensons à des plans simples qui régleraient de vrais problèmes à l’échelle régionale et même mondiale.