Un enfant prématuré d’a peine 865 g ! dont il s’avère que les séquelles sont irréversibles sur le cerveau.
Comment peut-on ne pas s’indigner devant l’acharnement thérapeutique, médicale ! la nature a semble t’il, a aussi son mot à dire .
Comment rester sourd devant la souffrance de l’enfant et des parents , qui guidés par les liens parentaux ont admis cet état de fait, pourquoi les torturer davantage !
Il arrive un temps ou l’intuition , guidé par l’ amour et l’instinct doit être entendu ! Ils préfèrent la fin de l’acharnement à une lente agonie…de leur petit bout.
Est- ce un crime, ou est ce que cela bouscule l’éthique et la déontologie du corps médical !
Nul besoin de diagnostiquer et de chercher des avis complémentaires de médecins, , il nous semble juste ici qu’un peu de bon sens, et d’empathie, et le mot a sa juste et vraie résonance dans ce terrible drame humain, doivent prévaloir…
N’oublions pas qu"au delà de la science, du savoir, de l’éthique il nous faut rester humain , envers et contre tout.
La médecine a ses limites même si elle progresse à pas de géant et sauve des vie elle ne fait pas de miracles.