De retour de la manif du Strass (Syndicat du travail sexuel), je me pose dans un troquet et tombe sur le billet emberlificoté de Pierre Marcelle dans Libération. On ne sait pas s’il est vraiment pour ou carrément contre la proposition de loi de pénalisation des clients de la prostitution mais en tout cas, comme tout le monde, il est contre la traite des femmes. Quelle folle témérité, quel panache ! Voilà le résultat de l’intimidation, d’un faux débat, manipulé par des dirigeant·e·s de partis politiques en se préservant bien de consulter leurs bases.
Évoquons déjà les manifs et les autres « forces en présence ».
En séance, ce jour, ce fut de moins de vingt à un peu moins de trente parlementaires au maximum pour faire semblant de débattre de la loi de pénalisation des clients de la prostitution.
On devrait bien sûr écrire « clientes et clients », mais, sur ce point, suivons Vaugelas et les grammairiens.
Il s’agit bien de pénaliser les clients et d’espérer que seuls les plus fortunés, ceux dits de la « haute gastronomie » des escortes les plus huppées, ou les plus malins d’entre les fauchés, puissent continuer à fréquenter impunément des prostituées fragilisées.
Pour soutenir les parlementaires prohibo-abolitionnistes, moins d’une centaine de prétendu·e·s « féministes ». Moins d’une centaine, ce fut peut-être une soixantaine, et jusqu’à peut-être 80, 85 au plus. Selon Libération ou d’autres titres de presse, « une cinquantaine au total ». Ce qui reflète parfaitement l’adhésion de la base, des sympathisant·e·s, &c. Finalement, tout le personnel associatif, contraint ou non (il se dit qu’à la base, les effets de la loi sur les contraintes sont très contestés), qui n’avait pu se « défiler&nbp;», était venu se faire voir de quelques dirigeant·e·s. Les autres ont peut-être pensé que c’était gagné d’avance…
En face, pour une fois, on peut s’en remettre aux chiffres de la police et de l’Agence France-Presse.
À peu près 150 prostitué·e·s, femmes, hommes, trans, et de divers genres, mais cette fois un peu plus de femmes (et une douzaine de prostituées du haut de la rue Saint-Denis, peut-être davantage, mais les autres seraient venues en ordre dispersé). Beaucoup se sont abstenues, pour diverses raisons, dont celle-ci : le sentiment que c’était perdu d’avance.
Mais parmi ces manifestantes, comme c’est bizarre, des féministes, des électrices de gauche.
Sauf que, l’assistance était un peu plus fournie (dans les 200 personnes au total) car des soutiens divers se sont manifestés eux (et elles) aussi.
Notamment un courageux adjoint au maire de Palaiseau, un PRG, ceint de son écharpe d’édile municipal.
Aussi un député écolo, Sergio Coronado, opposant au texte, que le député PS Jean-Marc Germain a quasiment assimilé à un « salaud » qui penserait « touche pas à mon calbute ».
Parmi les femmes du Bus des femmes, des féministes.
Et que dire de cette militante des la Ligue des Droits de l’Homme ?
Parce qu’elle ne proclamerait pas qu’elle défend les droits de la femme et de l’homme, ce serait donc une anti-féministe, une vieille machiste blanche ?
Ou cette insolite indépendante, venue en talons aiguilles : pas assez féministe, pourquoi donc ?
C’est vraiment le bal des faux culs et des taiseuses et taiseux (Fillon, Bayrou, par exemple, à l’assourdissant silence). La hardiesse consiste, pour Jean-Louis Borloo, à dire qu’il ne sait pas sur quel pied danser et « quelle est la bonne décision ». Alain Touret (radical) a tenté de contourner la difficulté en soulignant l’incohérence de la PPL. Effectivement, celles et ceux assimilant toute fréquentation d’un, d’une prostituée, à un viol, et demandant seulement six mois d’emprisonnement plus des amendes, se contenteraient à présent d’une simple contravention ? C’est illogique : s’il s’agit d’un viol, c’est donc passible des assises.
Si l’on accorde un minimum de crédit aux sondages, les dirigeant·e·s de gôche n’ont absolument consulté la base du PS, du PCF, du Parti de gauche, et de diverses composantes du Front de gauche. Certes, Clémentine Autain a tenté de ménager la chèvre et le chou en disant qu’elle refusait « tout ce qui rendrait plus difficile encore la vie des prostituées » sans trop s’opposer frontalement aux autres dirigeant·e·s dont le stalinien démasqué qu’est Jean-Luc Mélenchon. À toutes et tous, il faut opposer la refutatio implacable de l’immonde mensonge de Maud Olivier (PS). Elle a menti sur des chiffres, totalement détournés, trafiqués, manipulés.
Elle s’est aussi déshonorée en proclamant, sur le mode de la fausse interrogation, qu’« il suffirait qu’une seule prostituée se dise libre pour que l’esclavage des autres soit respectable et acceptable ?».
Eh bien oui, une seule suffirait pour retoquer la pénalisation de ses clients.
Et bien oui, pour mettre fin à l’esclavage des autres il faudrait bien d’autres mesures, bien d’autres plus puissants efforts budgétaires, pour simplement entamer un tant soit peu l’esclavage des autres.
Or, elle sait fort bien la minable portée de ses préconisations…
Elle sait fort bien qu’elle devrait se faire porter pâle et oublier si ne serait-ce que le dixième de ces présumées « esclaves » (il en est de réelles) en venait à toquer aux portes de qui saupoudrera les fonds de la lutte contre le proxénétisme.
Mais il faut être logique et conséquent. Poursuivre des mineur·e·s suivant une scolarité ou des études supérieures en tant que proxénètes. Car elles et ils condamnent leurs mères à l’esclavage.
Au doigt mouillé, mais en fonction de remontées d’observations, de témoignages, le Strass considère que les « esclaves » selon les définitions (à fort large portée) des prohibo-abolitionnistes, pourraient représenter entre 15 et 20 % des travailleuses du sexe prostituées. Bref, en comptant celles qui remboursent des prêts familiaux, il pourrait – je n’affirme absolument rien – s’agir d’un petit cinquième du « système prostitutionnel ».
Les « prostitueurs » que sont les clients sont pour la plupart déjà sensibilisés et ils n’hésitent pas trop (litote) à signaler aux associations des cas suspects de prostituées qu’ils suspectent d’être contraintes. Sauf que ce fait a totalement disparu, alors qu’il était auparavant signalé, de l’actuelle prose prohibo-abolitionniste.
Alors, bien sûr, qu’ils soient davantage sensibilisés, pourquoi pas ?
Mais les pénaliser, ne serait-ce qu’avec de fortes amendes, ou par le financement de stages auprès du Nid et des associations prohibo-abolitionnistes, c’est mettre le doigt dans l’engrenage.
Les fortes paroles de Maud Olivier reviennent, dans un autre domaine, à réclamer le rétablissement de la peine de mort de peur que la ou le moindre coupable récidive.
Tant pis pour les innocents, les victimes d’erreurs judiciaires !
Donc, de peur que l’amende ne suffise pas, on passera au délit, voire au crime, et donc aux assises, systématiquement.
On comprend que la garde des Sceaux soit réticente : l’encombrement des tribunaux par des prostitueurs ne ravit pas la magistrature.
Mais toutes et tous savent fort bien que la prostitution deviendra plus invisible encore, plus dissimulée, que les plus contraintes ne pourront plus mettre le moindre pied dehors, s’approcher d’une fenêtre, alors… Mais que leur importe ?
Mais le réel problème, c’est qu’en dépit du matraquage prohibo-abolitionniste, très visiblement, l’opinion ne suit pas. Les instituts de sondage sont certes peu fiables, mais quand on atteint des 58 ou des 72 %, la marge d’erreur subsiste, mais on peut vraiment penser qu’une majorité s’oppose à cette loi, y compris chez les militantes, les sympathisants des partis se prononçant pour son adoption.
Venons-en à Pierre Marcelle qui, peut-être pour ne pas encourir les foudres d’un Jean-Marc Germain lui envoyant qu’il ne penserait « qu’à son calbute », signe un « Pour l’abolition, et les moyens de l’abolition ». Pour lui, si une prostitution « véritablement heureuse et choisie » était possible, il faudrait l’appeler autrement. Cette prostitution choisie existe. Est-elle heureuse ? Pas forcément, certes pas à chaque passe, &c. Mais que voulez-vous, plutôt que la fréquentation d’une Maud Olivier ou d’un Pierre Marcelle, les putes préfèrent la fréquentation d’autres putes.
Et plus je les approche, les interroge, converse, m’enquiers de leurs vues, plus je les comprends.
Or donc, Pierre Perret, Georges Brassens, Jacques Brel, ne pensaient qu’à leur calbute. Pierre Marielle s’émeut pour « la fille qui reçoit dix, trente ou cinquante fois par jour ». Tout d’abord, c’est vraiment l’exception et non la règle, mais, oui, s’il n’en était qu’une, nous ne l’estimerions pas moins en danger, et effectivement, on peut tout à fait admettre que tous les clients ne détectent pas que telle ou telle est contrainte à un tel nombre de passes (même une douzaine, c’est déjà beaucoup). Mais faire de Perret, Brassens, Brel, &c., les employeurs et contractants des proxénètes, leurs simples complices et sous-traitants, permettra-t-il de faire reculer la traite ?
Pierre Marcelle, tout en admettant que les clients ne soient pas des violeurs, des monstres, passibles des assises (ce qui serait logique), feint de croire que la loi serait adéquate, idoine et adaptée à la situation du moment que seraient dégagés des moyens à la hauteur. Déjà, ceux avancés sur le papier (concrétisés, ce sera une autre affaire) sont largement insuffisants pour ne répondre qu’à une, deux ou trois centaines de cas annuels.
Si toutes les « victimes » recensées à louches d’ogresse par Maud Olivier se présentaient au guichet, cette gôche-là préférerait sans doute, de sa main sénestre, rétribuer en loucedé leurs proxénètes pour les séquestrer davantage.
J’entends ainsi faire pressentir que cette gôche-là ne veut en fait que quelques victimes « têtes d’affiche », soit des faire-valoir. C’est en tout cas, à présent, mon intime conviction. Sergio Coronado, député EELV, résume : « vous opposez des femmes toujours victimes, des hommes toujours coupables ». Des victimes suffisamment médiatiques pour diffuser cette vulgate, voilà l’objectif réel de cette proposition de loi.
Le chef du gouvernement, le président de la République, se sont laissés piéger par un lobby.
Najat Vallaud soutient que le gouvernement s’appuiera « sur toutes les associations, de toutes orientations » pour favoriser le « parcours de sortie » des prostitué·e·s désirant exercer une autre activité. Mais le Strass, le Bus des femmes, ne demandent pas mieux. Car la sortie progressive est sans doute beaucoup plus réaliste que la sortie immédiate. Ah, non, foin de réalisme, il s’agit d’idéologie, et d’une « victoire » à proclamer, d’abord pour soi-même, accessoirement pour les prétextes invoqués, les fameuses victimes.
Comme l’exprime Jean-Marc Germain il s’agit « d’envoyer des messages au monde ». Allo, allo, non mais quoi, Houston ? Vous m’entendez ? Vous pouvez renvoyer ma puissante voix universellement ?
20 millions d’euros ! Combien pour organiser des sessions, combien pour recruter des formatrices et formateurs, combien pour les encadrer, et combien au final pour chaque demandeuse, chaque demandeur d’aide ?
Bien sûr que, comme François de Rugy (EELV), d’emblée, l’abolition de la prostitution me semble une belle idée fort séduisante. L’idée est sans doute partagée par les actrices et acteurs de terrain, celles et ceux de Médecins du Monde, par exemple. Celles et ceux du Planning familial. Bref, quiconque a bien voulu écouter des prostitué·e·s sans parti pris, sans préjugé, sans trop d’idées reçues et inculquées, sans être trop gavé de propagande, pensent que la pénalisation du client fragilisera toutes les « victimes ».
Les « bons » sentiments invoquées par les (enfin, des) dirigeantes et dirigeants du PS et de Front de gauche qui font de « l’affectueux du dimanche » (réplique des Tontons flingueurs) un violeur, qui ont pris leurs éléments de langage dans l’argumentaire du Parti évangélique suisse (PEV), mais l’ont encore corsé, radicalisé, leur sont montés à la tête.
Au moins, en Suisse, le Parti évangélique, qui attend qu’un rapport soit discuté en 2015, espère « qu’il contiendra cette distinction entre prostitution librement choisie et forcée ». En France, PS et Front de gauche et mouvements « féministes » (car infantiliser les prostituées, qu’est-ce donc d’autre que de la misogynie ?) affidés ont tenté de faire avaler le postulat qu’il ne peut exister de prostitution autre qu’imposée par les prostitueurs, les clients.
Il se trouve que cette fausse évidence ne saute plus du tout, du tout, aux yeux du public et de ce qu’il reste d’électorat.
« Vous couchez avec nous, vous votez contre nous », scandaient les prostituées manifestant. C’est vrai, et faux… puisque beaucoup s’abstiendront, ce qui, de fait, revient au même puisque le PS et le Front de gauche vont tenter de faire respecter la discipline de vote… Jean-Marc Germain a finalement raison, c’est bien « touche pas à mon calbute », même si cette abstention révèle à quel point il n’y a vraiment que très, très peu dans ces caleçons ou slips.
Au Sénat, sénatrices et sénateurs auront peut-être plus de cœur à faire valoir qu’il leur reste encore des gonades.
On l’oublie souvent : le terme d’abolitionnisme, en matière de prostitution, fut tout d’abord employé par Josephine Butler, féministe chrétienne britannique du siècle avant-dernier. Mais il désignait alors tout autre chose, soit certes la responsabilisation de la clientèle (par l’information, le débat), mais surtout pas la pénalisation des clients ou le harcèlement des prostituées.
Actuellement, les prohibo-abolitionnistes renient de fait les origines du mouvement abolitionniste.
Et ici, la sale pute que je suis peut-elle s’exprimer sans se faire rabrouer ?
Parole de « pute » :
[url]http://www.huffingtonpost.fr/laurence-noelle/temoignage-prostitution-viols_b_4347841.html[/url]
Ce sont bien toujours des violeurs qui font les « putes » et la prostitution.
Je rappelle que sans en être je suis vendue comme telle par des proxos qui auront vraiment tout fait pour m’amener à la prostitution ou m’y contraindre depuis maintenant plus de vingt ans.
Ils m’ont envoyé quantité de « clients-prostitueurs » auxquels ils m’avaient vendue comme pute.
Pour des câlins ? Non, vous y croyez vraiment ?
Et il le prend comment, le « client-prostitueur » tout affriolé et prêt à consommer, quand l’objet qu’on lui a vendu résiste ?
Avec le sourire ? Non, vous y croyez vraiment ?
Les faux-culs s’en agacent, je répète quand même :
– 1990-2005 : plus de quinze années de violences non stop;
– 2005 : dernières violences graves, j’ai craqué de façon définitive.
Depuis, je ne sors plus du tout, je ne vois donc quasiment jamais personne, je ne veux voir personne, je ne veux plus m’exposer à rien, je ne peux plus rien supporter.
A peu de choses près, je reste clouée au lit avec la sensation physique d’avoir la cage thoracique enfoncée. Si vous voulez, j’ai une enclume sur la poitrine, ça pèse une tonne. J’ai vraiment du mal à respirer. Et je passe sur tous les autres petits « soucis »…
En 2008, je me mets à commenter anonymement un site d’information bien connu, et fréquenté par la bande de malades mentaux qui depuis ne m’a plus jamais lâchée. C’est ma mère maquerelle qui avait continué à « veiller » sur moi, et n’a pas tardé à lâcher ses sbires…
Cette année, en 2013, ce qui est donc très récent, j’ai été condamnée de façon totalement hallucinante à payer une amende et des dommages et intérêts d’un montant ahurissant pour avoir tenté de me défendre contre les saloperies de cette femme qui devrait être taule depuis très longtemps.
Ce n’est pas la première fois qu’elle fait mettre illégalement à ma charge des sommes très largement supérieures aux revenus qu’elle daigne me laisser, ou plus exactement, dont elle n’a pas encore réussi à me priver, le tout, bien entendu, en me vendant comme prostituée…
L’enfer continue…
Et cette fois, tout est public…
[quote]Jean-Marc Germain a finalement raison, c’est bien « touche pas à mon calbute », même si cette abstention révèle à quel point il n’y a vraiment que très, très peu dans ces caleçons ou slips.[/quote]
Pour une fois, nous sommes d’accord.
Je ne vais pas répéter à l’infini ce que j’ai précédemment écrit sur cette loi.
Mais j’ai fort peu insisté sur ce que Médecins du Monde ou le Planning familial (entre autres, et bien sûr le Strass) développent.
Soit le fait qu’hormis celles, aux mains des réseaux les plus contraignants et sordides, valant d’être exposées sur des sites, toutes les autres ne pourront plus risquer un pied dehors, un nez à la fenêtre. Toute tentative de s’échapper sera encore largement plus difficile.
Mais de cela, Maud Olivier en a-t-elle vraiment conscience ? Ou fait-elle taire sa conscience ?
L’autre fait nouveau, c’est que l’électorat (de gauche, du PS, du Front de gauche, de droite, &c.), et l’opinion, comprennent que leurs avis, leurs analyses, leurs compréhensions, sont nulles et non avenues. On sait mieux que les prostituées ce qui leur convient, car ce sont de grands enfants ou de grandes infantes, et [i]idem[/i] pour la base ou l’opinion.
Ce que je note, c’est partout, une forte montée de l’exaspération dans les commentaires, évidemment sur les sites de droite ([i]Atlantico[/i] par ex.), mais aussi sur ceux classés au centre ou à gauche.
IL y a encore quelques commentaires mesurés, d’autres faisant dans la dérision, mais beaucoup tournent hargneux ou méprisants. Bravo la gôche.
Sinon, une plutôt bonne analyse avec la position du régime du maréchal Pétain sur la prostitution :
[url]http://spartakiste.blogspot.fr/2013/11/prostitution-une-loi-mal-fichue-aux.html[/url]
Je vous disais bien que la France est loin, très loin de remettre en cause le système prostitutionnel.
Je ne suis pas en désaccord avec les principes affirmés par la proposition de loi.
Je suis juste sidérée par l’énorme décalage qui existe entre ces principes et la réalité de la société française et de ses fonctionnements, au-delà des défauts et lacunes de la proposition de loi et des questions qui se posent quant à l’application des textes proposés.
Les violeurs ne sont quasiment jamais poursuivis, ou seulement s’ils dérangent pour d’autres raisons, généralement des atteintes aux biens : un vol de mobylette, un tag, des dégradations, c’est grave; un viol, c’est rien.
Il en sera de même de la pénalisation des « clients-prostitueurs » : la contravention va élargir l’éventail des possibles pour faire « tomber » celui qui fait chier, peu importe pour quelles raisons.
Sur de nombreux sites, les commentateurs ont la possibilité de modifier leurs commentaires une fois ceux-ci postés, ce qui est très pratique pour corriger ses fautes, ou rajouter un mot ou une phrase oubliés quand on a rédigé et posté trop vite.
Cela fait défaut ici.
Je déduis ce que j’ai écrit dans mon précédent commentaire du nombre de députés présents hier à l’Assemblée pour débattre de la proposition de loi.
C’est un sujet « léger » qui par conséquent ne mobilise pas les foules.
Tout le monde s’en moque.
La pénalisation du client est votée : c’est une contravention la première fois, puis un délit en cas de récidive.
Concrètement, qui peut être concerné, comment ?
Eh bien dans le cas d’une femme qu’on cherche à prostituer par tous les moyens, comme moi, ce ne sera aucun des « clients-prostitueurs » qu’on va lui envoyer pour la harceler ou l’agresser sexuellement. Dans mon cas, les individus de cette catégorie ont toujours été portés aux nues par les autorités judiciaires. En revanche, tous ceux qui d’une manière ou d’une autre ont pu déranger les proxénètes, notamment en témoignant contre eux, en donnant à mon sujet des avis contraires aux leurs, en prenant des décisions qui contrariaient leurs projets me concernant, ou en refusant de participer à leurs exactions à mon encontre, ont tous, systématiquement, été mensongèrement accusés de l’avoir fait en échange de relations sexuelles avec moi. Voilà donc des individus, hommes ou femmes, qui courent le risque d’être condamnés en tant que « clients-prostitueurs » sur la base de dénonciations de proxénètes.
Voilà un des malades mentaux qui actuellement font autorité auprès des tribunaux pour tout ce qui me concerne :
[url]http://puy-l-eveque.blogspot.fr/2013/06/cyprien-luraghi-et-la-prostitution-une.html[/url]
C’est quelqu’un de bien. La meilleure preuve : il a quitté l’école à 14 ans en situation d’échec scolaire parce qu’il était trop taré pour suivre une scolarité normale. De plus, il affiche publiquement des moeurs suspectes, et sa soeur l’accuse d’avoir commis des actes de maltraitance graves sur ses nièces. C’est vraiment quelqu’un de très bien.
Pour ma part, je rappelle que je suis ingénieur d’études en informatique. J’ai exercé plusieurs années, dans de grosses sociétés, et des directions centrales de l’administration. Entre autres, j’ai travaillé pour la Défense sur des projets classés Secret Défense et Confidentiel Défense.
Depuis pas loin de cinq ans (trois ans et demi en donnant mon identité et mes coordonnées), le malade mental affirme à ses lecteurs, non seulement que je serais une prostituée débile mentale et malade mentale, mais aussi que je n’aurais jamais été ni ingénieur ni informaticienne, et m’inventerais une vie que je n’aurais pas eue.
Il existe au moins un journaliste qui sait très bien depuis fort longtemps que je ne m’invente pas une vie que je n’aurais pas eue, et suis bien ce que je dis. C’est Denis Robert. Je le sais bien pour lui avoir moi-même transmis un dossier de plusieurs centimètres d’épaisseur concernant une part de mon activité professionnelle, il y a quelques années.
Je veux bien le dédouaner ici-même de toute suspicion d’avoir jamais fait partie de mes soi-disant « clients-prostitueurs » : tout comme plusieurs de mes témoins actuels, nous ne nous sommes jamais rencontrés, nous n’avons toujours communiqué qu’à distance. Dans ces conditions, je ne vois pas très bien ce qu’il pourrait risquer à se manifester auprès du malade mental pour lui dire la vérité à mon sujet, et tenter de faire cesser au moins une part de ses exactions à mon encontre. Je rappelle que ce malade et ses amis le considèrent tous comme un Dieu.
Les éventuelles interventions de personnes m’ayant mieux connue sont elles toutes vouées à l’échec, notamment pour les raisons déjà indiquées ci-dessous.
Sont en effet depuis très longtemps montrés du doigt comme mes anciens ou toujours « clients-prostitueurs » : tous mes professeurs du lycée, avec qui je suis censée avoir couché pour qu’ils me mettent de bonnes notes et me fassent un bon dossier scolaire, les suivants, tout pareil, mes anciens employeurs, clients, supérieurs hiérarchiques, collègues, pour m’avoir employée, avoir témoigné en ma faveur, etc… et plein d’autres personnes rencontrées hors le cadre de mes activités professionnelles, idem.
J’étais Socialiste depuis cette loi débile pénalisant le client (on rêve) je me suis promis de ne plus jamais voter socialiste de ma vie…
Je ne suis plus de gauche, c’est l’exaspération le ras bol, l’incompréhension !
Je vais voir des prostituées consentantes c’est un de mes seuls plaisir, ce sont des amies, elles sont cools et elles aiment ça…Aujourd’hui elles sont consternées de ces lois de tarés et la plupart étaient aussi socialistes où de gauche…Que vont elles faire désormais voter Front National ! Hé oui !!
Bravo Hollande et ta clique vous êtes vraiment de vrais cons nuls, vous ne connaissez rien à rien à la vraie vie !
Et puis vous ne savez plus faire qu’une chose rajouter des impôts aux impôts… Et faire chier les citoyens… CA SUFFIT vos conneries ! C’est la goutte d’eau de trop !
Au bal des faux-culs s’affichent parfois sur écran géant des appels au secours de victimes. L’assistance s’en offusque, en appelle au Gentil Organisateur, dont le rôle consiste à faire taire ces rabat-joie quand la fête bat son plein. Il n’y a que chez les sadiques que le modératUeur laisse entendre leurs cris. Cela décuple le plaisir des fêtards.
Des fantasmes de ma mère maquerelle :
[quote]pour info : le début de « rentrée » d’AC! Brest dans la presse locale.
Je ne peux m’empêcher d’y joindre un petit clin d’oeil des nanas d’AC! Eh
oui, elles existent, malgré le concours de circonstances qui a fait cette
photo exclusivement masculine… Rassurez-vous, ils ne nous avaient pas
attachées aux radiateurs pour parader seuls face aux objectifs… la
prochaine fois, promis, on fait une conférence de presse « nanas »… [/quote]
Compte tenu de mon expérience personnelle, il y a bien longtemps que je ne fais plus grande différence entre magistrats et proxénètes. Ils travaillent ensemble, les premiers sont au service des seconds, d’un bout à l’autre de la chaîne des processus du système prostitutionnel. Ils ne se contentent pas de leur assurer l’impunité en cas de plaintes ou dénonciations de victimes ou de témoins, ils interviennent bien en amont en préparant le « matériel » de telle sorte qu’un certain nombre de proxénètes peuvent se targuer de ne jamais contraindre personne, et même s’indigner que les violeurs ne soient pas poursuivis. On trouve aussi bien des consommateurs parmi les magistrats.
Dans ma bonne ville de l’Ouest dite « La Rouge », nous avons eu durant de nombreuses années un juge des enfants pédophile. Tout le monde savait. Ses moeurs n’ont jamais dérangé personne, jusqu’au jour où il a eu l’idée lumineuse de sauter sur une greffière du tribunal. Il a alors été muté à Nanterre, où il n’est resté que le temps d’obtenir sa mutation dans le tribunal où exerçait son épouse magistrate, à quelques dizaines de kilomètres du premier. Il a continué jusqu’à la retraite.
Aujourd’hui, nous en avons un qui durant toute sa carrière de juge d’instruction s’est fait remarquer pour son sadisme prononcé à l’égard des victimes de viol et de pédophilie.
Vous pouvez me dénoncer à ces magistrats, je m’en fous, je leur dis déjà ce que je pense en face depuis longtemps, et vais continuer.
Pour Domani :
Je ne suis pas client, mais quasiment riverain, et du fait de cette loi, je me suis informé auprès de « ces dames ».
De toute façon, « fabriquer » un client, la police sait faire. Et comme la suprême ambition est de faire du « prostitueur-violeur » quelqu’un de passible d’un délit (on n’ose en faire un violeur à part entière, passible des assises), tous les chantages sont possibles, toutes les sanctions et mises à l’écart sont possibles.
C’est la gôche bien-pensante qui croit qu’elle ne sera jamais remplacée par un régime totalitaire qui pave ainsi le chemin d’une éventuelle dictature. D’où, aussi, outre ce que les prostituées ont pu me dire, d’autres riverains aussi, &c., ce qui fait que je dénonce cette loi.
Cela étant, ce n’est pas ce qui suffira à me faire adhérer à des partis de droite. Aux européennes, le vote blanc sera distingué du nul (mais ils n’ont pas osé le décompter de manière à bien montrer que, avec l’abstention, les politiques ne sont plus élus que par moins du quart des inscrits). Mais c’est sûr que le PS ou le PCF peuvent aussi se passer de moi. Les contraintes, sauf quelques médiatisées pour servir de justificatif aux subventions versées à qui leur fournira le texte à réciter, resteront contraintes. En revanche, les indépendantes vont rejoindre la cohorte des demandeuses d’emploi et des salariées intermittentes du boulot « flexible ». Mais elles leur ont fait quoi, à ces pseudo-féministes auto-proclamées, prébendées et stipendiées ?
Hi ! Hi !
[url]http://puy-l-eveque.blogspot.fr/2013/07/serge-rodallec-en-appel-rennes-13-ans.html[/url]
Alors là, d’après ce que j’ai pu entendre, il pourrait s’agir d’un règlement de compte pour une sombre histoire d’argent.
Sinon, il aurait continué, comme tous les autres.
Pour Un Petit Coucou :
Ok, vous avez fourni un dossier à Denis Robert et il n’y avait pas dedans que des choses inintéressantes.
Mais on ne peut être partout.
Par ailleurs, que nous (lui, moi, d’autres…) soyons convaincus qu’une injustice vous ait été faite ne permet guère d’obtenir une révision.
On peut comprendre que tout vous évoque votre propre cas, mais il y a aussi des sujets plus généraux.
Dans l’actualité du jour :
[url]http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/12/01/01016-20131201ARTFIG00023-fillette-noyee-a-berck-le-compagnon-de-la-mere-se-dit-effondre.php[/url]
[url]http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/meurtres/fillette-morte-a-berck/fillette-morte-a-berck-une-mere-enigmatique-incapable-d-assumer-son-role_471710.html[/url]
Le 19 novembre, Fabienne K. s’est rendue à Berck pour noyer sa fille de quinze mois.
Aujourd’hui, elle a des remords et explique qu’au moment où elle a commis ce geste irréparable, elle ne voyait plus d’autre issue à sa situation.
A votre avis, Jef, que vous aurait-elle dit si vous l’aviez interrogée à Berck le 19 novembre ?
Hé ! Ho ! Vous êtes bouché ou vous le faites exprès ?
Je ne demande pas de révision pour les injustices dont j’ai été victime dans un passé lointain, cela n’aurait de toute façon plus aucun sens aujourd’hui. A l’époque, je me battais pour récupérer mon droit à la vie. La mère maquerelle a bien réussi à m’en priver durant plus de vingt ans, c’est-à-dire qu’elle m’a volé toute une vie, c’est aujourd’hui un fait acquis, rien ni personne ne pourra jamais me rendre cette vie.
L’objet du « litige » qui m’oppose aujourd’hui à cette salope, et qui s’étale publiquement sur divers sites et blogs depuis plus de cinq ans, c’est ma biographie, qu’elle a décidé de revisiter de fond en comble. A l’aide de nouvelles violences qui me font sérieusement craindre le pire pour les témoins de mon passé qu’elle peut réussir à débusquer avec ses campagnes de calomnies publiques nominatives à mon encontre (il y a fort à parier qu’elle fasse assassiner tous ceux qui peuvent se manifester auprès du malade mental de Puy-l’Evêque), elle est en train d’imposer à tous et de manière tout-à-fait officielle l’ensemble de ses inventions calomnieuses concernant toute ma vie, en substitution de tout ce qu’a été ma vraie vie.
Denis Robert fait partie de tous ceux qui savent qu’elle ment, affabule, invente absolument n’importe quoi pour me calomnier, puisqu’il dispose d’un dossier assez volumineux attestant de réalités en contradiction totale avec les prétentions de cette folle me concernant.
Et contrairement à d’autres, il jouit d’une notoriété qui en fait une autorité reconnue pour les malades mentaux de la bande de celui de Puy-l’Evêque.
Comment se fait-il qu’il se soit toujours tu, et continue à se taire ?
Ce que je vous dis aussi publiquement depuis quelques jours, mais ce n’est pas une découverte pour ceux qui connaissaient déjà tout ou partie de ses campagnes de calomnies publiques à mon encontre, c’est qu’elle n’a toujours pas abandonné l’idée de me prostituer et continue à faire ce qu’il faut pour m’y contraindre.
Ce que j’écris serait-il donc incompréhensible ?
En quelle langue dois-je m’exprimer pour être entendue ?
Chacun réagit en fonction de ses moyens et de ses circuits neuronaux particuliers.
En voilà un autre qui sait que la mère maquerelle ment, affabule, invente absolument n’importe quoi pour me calomnier, il fait partie des victimes collatérales de toutes ses exactions à mon encontre :
[url]http://ripostelaique.com/distribuant-pour-marine-le-pen-jai-ete-mis-ko-par-un-antifa-plainte-non-instruite.html[/url]
Tout ce qu’il a trouvé, donc, c’est de mettre le cap à tribord toute.
Il reste menacé, comme en atteste encore le contenu suivant :
[url]http://www.breizh-info.com/3362/actualite-politique/brest-la-permanence-du-front-national-vandalisee-par-lextreme-gauche-sous-les-yeux-de-la-police/[/url]
Pour en revenir à la proposition de loi, qui me concerne à titre personnel en tant que victime de proxénètes, je ne crois pas qu’elle parte de mauvaises intentions, j’ai plutôt l’impression que ses auteur(e)s vivent sur une planète où c’est que le juge appliquerait la loi et dirait la vérité.
[b]MAIS CE N’EST PAS DU TOUT LE CAS EN FRANCE !!![/b]
Encore du foin sur le FN dans ma bonne ville de l’Ouest dite « La Rouge » :
[url]http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20131202.OBS7758/le-recruteur-du-fn-pris-en-flagrant-delit-de-mensonge.html
[/url]
Bien visionner la vidéo : le FN est qualifié de « coucou », et la musique de fond du reportage est l’un de mes choix musicaux pour le Petit Coucou…
Et toujours pas un mot sur ce qui fait une part du succès de ce parti depuis quelques temps : il s’agit bien de ma vente publique comme prostituée… alors que je suis ingénieur, et que j’ai travaillé sur des projets classés, entre autres…
Le piégé s’explique :
[url]http://www.lefigaro.fr/politique/2013/12/02/01002-20131202ARTFIG00340-fn-piege-sur-canal-couteaux-s-explique-sur-son-mensonge.php[/url]
[quote]Interrogé par Le Figaro, Paul-Marie Coûteaux reconnaît son «bluff» mais avoue «ne pas avoir été surpris» par le traitement de la chaîne. «On sait très bien qu’avec Canal +, on s’expose à des chausse-trappes, ils sont là pour ça, confie-t-il, c’est adjacent à la politique. On transforme la politique en cirque et cela va d’ailleurs très bien avec l’esprit du temps où l’on dissout la politique comme un sucre dans une mare.»[/quote]
Pour le coup, je me demande s’il n’a pas fait exprès de se faire « piéger ».
Ils ont aussi menti dans leur article paru le 25 novembre dans le Télégramme : Joël Roma n’a jamais milité à Lutte ouvrière, il était à la LCR, et a fait un court passage par le PT entre la LCR et le FN. LO est finalement le seul parti d’extrême-gauche auquel il n’ait jamais adhéré.
Toute la semaine, j’ai attendu de voir si oui ou non des locaux allaient faire paraître un démenti ou un rectificatif quelconque (chez LO, par exemple, ils pourraient bien s’estimer outragés par ce mensonge). Or, il n’y en a pas eu un seul…
Conclusion : pour faire mouche, y’a intérêt à multiplier les coquilles…
Des demi-cerveaux…
Et encore, je suis gentille…
Je rappelle ce qu’écrit le malade mental de Puy-l’Evêque sur son blog :
[quote]Au bout du compte un modérateur de Rue89 me déclarera en novembre 2012 :
[…] sincèrement désolé. On a clairement mis du temps à repérer le petit jeu de Jexiste, mais il faut reconnaître qu’elle était particulièrement douée dans sa folie :-([/quote]
A ce niveau-là, ce n’est plus de la tromperie, c’est carrément du viol : on attire le chaland en lui faisant croire que son expertise sur le sujet du harcèlement moral en entreprise intéresse, il arrive, parle un peu de ce que c’est, illustre son propos avec quelques anecdotes tirées de son cas personnel, puis on le fait traiter de « fou » ou de « folle » et lyncher sur tout le site, bientôt tout Internet, par une bande de malades mentaux totalement déchaînés qui se disent « déconnologues »…
Mouais…. le cerveau dans le slip !
C’est drôle comme les extrêmes se rejoignent :
[url]http://www.leparisien.fr/flash-actualite-politique/prostitution-marine-le-pen-contre-la-penalisation-des-clients-04-12-2013-3376267.php[/url]
Avec quelques différences, toutefois. Ainsi, par exemple, pour l’extrême-gauche n’a-t-il jamais été question de lutter contre les mafias ou les réseaux criminels, puisque ceux-ci, selon les dires des militants ou de leurs cadres, n’existent pas – tu parles, ils en sont…
A noter :
Paul-Marie Coûteaux était conseiller du ministre de la Défense Jean-Pierre Chevènement quand j’ai été habilitée Secret Défense, en 1988.
A ce titre, il fait partie de toux ceux qui par la suite, après mon refus de travailler pour des trafiquants d’armes, des potes de la mère maquerelle du NPA de Brest, ont été qualifiés de « débiles mentaux » ou de « malades mentaux » par la dame et ses amis mafieux pour avoir habilité et fait travailler sur des projets classés une soi-disant prostituée débile mentale et malade mentale, de surcroît fille de truand…
Une interview de Françoise Gil :
[url]http://www.lejdd.fr/Societe/La-loi-sur-la-prostitution-ne-va-strictement-rien-changer-642129[/url]
Au-delà des batailles de chiffres (aussi ridicules qu’incensées), il y a quand même bien de vrais problèmes de fond :
1/ [quote]Elles ont choisi de se prostituer parce qu’elles n’avaient pas d’autre moyen de rembourser leurs dettes. Alors oui, on peut penser pouvoir sortir ces femmes de la prostitution mais il faudra alors leur trouver, non seulement des papiers, mais surtout un vrai travail avec un salaire convenable.[/quote]
Ah… Sociologue, ou économiste de la fonction publique ?
2/ [quote]L’Etat va décider, à la place de ces femmes, de ce qui est bien ou pas pour elles, sans se soucier d’ailleurs de savoir comment elles vivent leur condition; la moindre des choses aurait été quand même de leur demander leur avis.[/quote]
Bah… Il le fait déjà pour tous les autres suicidants…
3/ [quote]Quant aux clients, ils sont désormais taxés de prostitueurs! Ce ne sont pourtant pas des proxénètes et les prostituées ne sont pas à leur disposition. [/quote]
Ben si, justement…
4/ [quote]Parmi ces clients, on trouve d’ailleurs des personnes très respectables. [/quote]
Parmi les violeurs aussi. Mais en effet, généralement, les messieurs socialement bien insérés ne sont pas poursuivis.
5/ [quote]L’Etat va se permettre de les éduquer, de leur dire quelle doit être leur sexualité.[/quote]
Ben ce serait pas un mal, qu’ils apprennent à le faire sans foutre en l’air ou voler des vies – ah oui, c’est vrai, j’oubliais, une femme, ça ne compte pas, c’est moins qu’un chien… et c’est une femme qui le dit… Comment a-t-elle accédé aux fonctions, au poste qu’elle occupe ?
6/ [quote]Cela pose aussi la question dramatique des handicapés. Ce n’est ni aux mères de famille, ni aux éducateurs spécialisés de s’occuper de leur sexualité.[/quote]
Ben ce n’est pas non plus à d’autres femmes de se sacrifier pour les petits « plaisirs » de ces messieurs.
7/ [quote]Compte tenu de la représentation qui est faite de la prostitution, ce n’est pas demain qu’ils auront droit à des assistantes sexuelles.
[/quote]
Des assistantes formées en BEP fellation ?
8/ [quote]La prostitution est un révélateur des sexualités. Il y a beaucoup de choses que la norme réprouve et que l’on demande à des prostituées parce qu’elles sont discrètes et qu’elles ne jugent pas.
[/quote]
Parce qu’elles n’ont pas le choix.
9/ [quote]Et puis, la vie de couple, c’est très bien mais c’est aussi des contraintes, y compris au niveau de la sexualité.[/quote]
Pour qui ? Homme ou femme ?
10/ [quote]Pour certains hommes, la prostitution est un espace de liberté.[/quote]
Oui, on le sait, liberté pour eux et esclavage pour d’autres.
Tiens, tiens :
[url]http://www.mediapart.fr/journal/france/051213/karachi-un-avocat-reclame-la-cjr-pour-balladur-leotard-et-sarkozy[/url]
Qu’en pense Denis Robert, l’ami des juges ?
Là, maintenant, l’avocat leur dit stop, n’allez pas plus loin…
D’abord, c’est qui, le procureur, c’est lui ?
De qui, de quoi ?
Pour info :
Le dossier que j’avais transmis à Denis Robert bien avant que les enquêtes sur l’attentat de Karachi ne s’orientent vers l’examen de contrats d’armement conclus en 1994 contient des morceaux de puzzle qui s’emboîtent parfaitement avec tous ceux que les juges ont depuis réunis.
Et j’en ai d’autres en stock.
Depuis maintenant plus de cinq ans, la mère maquerelle du NPA de Brest me fait une publicité monstre en tant que prostituée débile mentale et malade mentale qui n’aurait jamais été ni ingénieur ni informaticienne et s’inventerait une vie qu’elle n’aurait pas eue, entre autres choses parce qu’elle aussi connaît très bien les dossiers précités, et tous les tenants et aboutissants des affaires sales dans lesquelles elle s’implique jusque par-dessus tête depuis plus de vingt ans.
Tiens, Méluche est au pétard contre Canal +, qui devient « l’arroseur arrosé » :
[url]http://www.lexpress.fr/actualites/1/politique/le-parti-de-gauche-accuse-canal-d-utiliser-des-images-d-une-mauvaise-manifestation_1305210.html[/url]
Par ailleurs, sur les dégradations de la permanence du FN à Brest :
[url]http://www.breizh-info.com/4606/actualite-politique/la-permanence-front-national-saccagee-pour-la-6eme-fois-brest/[/url]
[url]http://ripostelaique.com/brest-sixieme-agression-du-local-du-fn-toujours-aucune-arrestation.html[/url]
Joël Roma ne dit toujours pas un mot de son ancien parti, la LCR, ni de la mère maquerelle (annoncée sur la liste Front de gauche dès le début de l’été), dont il a pu voir comment elle m’a fait condamner au mois de juin dernier pour avoir tenté de me défendre contre toutes ses exactions à mon encontre, totalement incroyables, et absolument scandaleuses. Il explique que les réactions locales de son nouveau parti aux attaques de la folle et de ses sbires se font sous contrôle des cadres parisiens. Le 25 novembre, il a été présenté comme un ancien militant de LO, alors qu’il militait jadis à la LCR. Après s’être fait bizarrement prendre en flagrant délit de mensonge par des reporters de Canal + à propos de nouvelles adhésions lors de son passage à Brest le 21 novembre, le recruteur du parti s’est justifié en expliquant qu’il avait voulu protéger de nouveaux adhérents d’un autre parti que celui annoncé.
Essayons de décrypter : Joël Roma est menacé à titre personnel par son ancienne patronne, la folle du NPA, ma mère maquerelle, et ne sait comment s’en plaindre ou communiquer à ce sujet, sachant à quel point la « justice » locale est corrompue.
Je confirme une chose : il y a bien dans cette histoire des fous furieux qui ont depuis longtemps du sang sur les mains, et pas qu’un peu.
Une initiative à saluer :
[url]http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-affaire-karachi.-une-nantaise-attaque-google-et-vise-la-nsa_fil-2445469_actu.Htm[/url]
Celui qui veut la vérité a en effet tout intérêt à court-circuiter la « justice » française.
C’est elle la première à mentir. Elle sait, elle a tout depuis très longtemps. Ses représentants se livrent à un cirque essentiellement médiatique dont le but n’a jamais été de mettre à jour la vérité, mais de régler des comptes.
Je suis pour la pénalisation des clients de prostituée.L’être humain n’a pas à vendre son corps.Aucune femme n’a eu pour ambition,et comme métier rêvée,de finir prostituée.La prostitution n’est que violence,humiliation,dégradation de soi,exploitation…Stop à toutes formes de prostitution.