Il est difficile à ce jour de dire avec exactitude combien de chinois vivent sur le continent africain. Selon des statistiques non officielles, ils seraient estimés à plusieurs centaines de milliers, voire plus d’un million. On les retrouve dans tous les secteurs d’activités, de l’informel à la grande industrie. Aussi, contrairement aux occidentaux, les chinois ne se contentent pas seulement de vivre dans les grandes métropoles. Ils sont présents partout où ils estiment pouvoir trouver leur compte.
Cependant, bien que les rapports soient jusqu’ici excellents entre les africains et les chinois, il est craindre que cela ne soit pas pour longtemps!
Ceci, à cause de certaines attitudes que beaucoup de ces chinois affichent à l’égard des africains ; peut-être naïvement !
Si l’Afrique a ouvert grandement ses portes aux chinois, c’est parce que flattée par le développement spectaculaire de ce pays, elle voudrait s’inspirer de son exemple. Seulement, dans les faits, l’homme chinois ne semble pas très disposé à coopérer dans ce sens. Car ici, difficile de trouver des ingénieurs locaux dans un chantier réalisé par une entreprise chinoise. Ceux des rares employés qui s’y trouvent ne sont que des manutentionnaires. Où est donc le transfert de technologies ?
Pus grave encore, les chinois d’Afrique vont un peu trop loin dans l’entreprenariat, en investissant même dans des domaines exclusivement réservés aux locaux. Sinon comment comprendre que des jeunes chinois aillent jusqu’à vendre des sachets d’eau dans les rues africaines ? Ceci, au mépris de la législation en vigueur. Ici en République Démocratique du Congo par exemple, les autorités ont promulgué une loi l’an passé, interdisant la vente à la sauvette aux expatriés. Mais, celle-ci semble ne rien dire aux chinois qui continuent de faire de le faire.
L’une des choses et pas des moindres qu’on reproche aux chinois d’Afrique est leur attitude un peu trop égoïste. Car, ceux-ci n’aiment pas trop partager. Aussi, ils se montrent trop réservés. Malgré leur nombre sur le continent, il existe très peu de mariage entre chinois et africains. Ce qui apparait à nos yeux comme un complexe de supériorité qu’ils éprouveraient vis-à-vis de l’africain.
Il faut reconnaitre que les chinois restent jusqu’ici de loin les meilleurs partenaires économiques qu’a longtemps cherché l’Afrique. Mais, afin que cela se pérennise, nos frères chinois gagneraient en rompant avec ces attitudes pas très amicales.
C’est très simple il m’a été rapporté il y a pas mal d’années que le meilleur contrat avec un étranger pour un chinois était celui qui une fois signé permettait d’uriner dessus…alors avec un africain …
« LES-CHINOIS-EN-AFRIQUE-C’EST-LE-GRAND-MALHEUR-,de ce continent nous sommes le marche pied,de leur hegemonie sur le monde;et le bras séculier de toutes leurs bassesses enfouis… je l’ai déjà dit maintes fois…
http://www.alternatives-economiques.fr/la-chinafrique-par-serge-michel–michel-beuret-et-paolo-woods–photos-_fr_art_735_38068.html
les colons sont violents, quelle que soit leur culture,ou leur inculture ou leur couleur de peau
là, comme ailleurs, ce sont des « tableurs de chiffres » qui tirent les ficelles, non?
[url]http://www.alternatives-economiques.fr/la-chinafrique-par-serge-michel–michel-beuret-et-paolo-woods–photos-_fr_art_735_38068.html[/url]
La Chinafrique, par Serge Michel, Michel Beuret et Paolo Woods (photos)
éd. Grasset, 2008, 352 p., plus deux encarts de photos, 19,50 euros.
La photo de couverture nous met dans l’ambiance. Un soldat congolais, au garde-à-vous, abrite du soleil un Chinois devant le chantier dont il est responsable, de somptueuses villas à l’occidentale – « les salles de bain sont épatantes », écrivent les auteurs – destinées aux privilégiés du régime. Contrepartie, le livre nous l’apprend, de gigantesques concessions chinoises d’abattage des arbres d’une des dernières forêts primaires du monde, au sein même du parc national parfois…………..
Les Africains louent leurs terres et vendent leur bras aux Chinois, mais dès qu’ils ont un problème intérieur, il appelle la France à leur secours ! Cherchez le Hiatus !