On est tenté de penser qu’en période de crise les gens sont stressés voir angoissés par une situation économique moins favorable et qui peut être synonyme de problèmes au travail, de pouvoir d’achat en berne…  Bref, pas de quoi développer la libido à priori. Et pourtant nombreuses études ont prouvées le contraire. ..

 

Ces temps-ci vous l’aurez remarqué, il n’y a pas moyen d’allumer TV ou radio sans entendre les mots dettes, hausses d’impôts et autres composants du champ lexical de la crise. Pourtant sous la couette les Français n’ont pas vraiment l’air perturbé par cette situation inquiétante.

Explication :

Sur un plan psychologique tout d’abord, la crise a toujours été un exutoire à une conjoncture lourde car il est un bon moyen d’oublier ses problèmes ne serait-ce qu’un moment. 

Au plan physiologique ensuite, il faut savoir que lors de l’acte, le corps libère des endorphines qui  agissent comme des antidépresseurs naturels.  Enfin et c’est un de nos derniers instincts, en cas de dangers et de risque pour sa propre survie l’homme comme n’importe quel animal va voir son désir multiplié. Cela pour la survie de l’espèce.

C’est ainsi que durant toutes les périodes de guerre la natalité a augmenté en France. De manière plus légère c’est également la raison pour laquelle l’ascenseur en panne, est à la fois anxiogène et donc érotique.

Mais évidemment aujourd’hui nous ne sommes plus à proprement parler en danger. Donc un autre paramètre à prendre en compte est le budget. En effet, en période de crise les ménages doivent se serrer la ceinture et les calins sous la couette sont un bon moyen de passer un moment agréable à deux sans se ruiner…

Les français ne sont d’ailleurs pas les seuls à qui s’applique ce constat une étude d’une célèbre marque de préservatif daté du 19 septembre dernier prouve ainsi que les pays dans lesquels on fait le plus l’amour en Europe sont dans l’ordre :

1° La Grèce
2° L’Italie
3° L’Espagne

Étonnant non ? De là à voir un rapport de proportionnalité entre le degré de crise et la fréquence des ébats il n’y a qu’un pas non ?

 NB : Tiré de la même étude les Français sont ceux qui sont les plus difficiles quant à l’évaluation de la qualité de leurs partenaires (non lié à la fréquence). Les polonais sont quant à eux les plus enthousiastes à ce niveau.