En cette période de crise, il est bienvenue, tout investissement étranger qui nous amène de l’argent frais et quelques idées de développement mais est-ce bien nécessaire, alors que le coût du carburant flambe, de laisser un émirat « gazier » s’emparer de 2% du capital de « total » qui est notre principal entreprise pétrolière française. Le Qatar est maintenant le 3 éme actionnaire à égalité avec la chine. Le second étant « Albert frère » un milliardaire venu de Belgique


 Bien sur les salariés de total font toujours parti des actionnaires principaux mais nous pensons qu’en période de crise du pétrole, il n’est pas judicieux, voir dangereux, de laisser échapper des actions de ce type vers des pays hors de l’union européenne.

Il suffit pour cela de regarder autour de nous. Après le pétrole libyen qui avait fait monter le cours du baril, nous voilà maintenant sous le chantage de l’Iran de qui nous sommes dépendant et qui provoque aujourd’hui une nouvelle crise du pétrole qui provoque une hausse sans précédent du carburant aux pompes. La barre des 2 euros vient d’être franchie et va mettre à genoux toute une partie de la population et la majorité de nos entreprises. Quand toutes nos grandes sociétés françaises auront été acheté par les pays riches, que restera t’il à la France et à l’Europe tout entière ? Nos capitaux partent se "planquer" à l’étranger pendant que notre pays est bradé aux plus offrants qui demain nous vendront très cher « nos produits ». La population aristocratique de France qui se dit patriote, préfère investir en dehors de nos frontières et même en dehors de l’Europe et laisse nos monuments, nos châteaux, nos œuvres artistiques, nos propriétés et maintenant nos entreprises devenir progressivement étrangères. Bien sur le Qatar ne sera pas majoritaire avec 2% mais quand sera-il demain ? le "renard est dans le poulailler" mais le fermier n’à pas peur ! "La Fontaine" en aurait  certainement écrit une fable. En cette période électorale il serait bon que nos politiques ouvrent les yeux. Bien sur il faut que notre production soit achetée par des pays étrangers pour faire venir des capitaux et équilibrer la balance commerciale, mais que deviendra cette production quand toute notre industrie aura disparu.