Quelle déferlante autour de la première dame de France. Cécilia Sarkoy devient la cible d’un déballage médiatique, affichant une vision antédiluvienne de la fonction de première dame de France.

Pierre Moscovici, avec ses allusions, ne fait qu’étaler une vision politique du siècle passé, la fossilisation remplace-t-elle la rénovation ?

Le parti socialiste poursuit le feuilleton de l’été, affichant une notion primitive de la fonction de première dame de France. Messieurs, Cécilia n’est pas Tante Yvonne, nous sommes bien au XXIéme siècle. Le modernisme semble ne pas effleurer un parti en pleine léthargie. Une politique du siècle passé, des attaques qui fleurent bon le réglement de compte dans nos cours d’école d’antan…

La fossilisation succéde à la rénovation !!

Que le parti socialiste réclame une commission pour "enquêter" sur le processus de libération de l’équipe médicale, en Lybie, soit. La démocratie passe par la clarification et la transparence des actes. Pourquoi s’acharner en insistant pour mettre Cécilia sur l’autel de leurs revendications ?

Que dire du fameux barbecue, la non présence de Cécilia, commentée de façon à insinuer une médisance, qui flirte avec l’ignominie. L’angine blanche devient une affaire d’Etat !!

Que se passe-t-il au sein de la cellule socialiste ?

L’électorat de gauche ne peut garder une once de confiance, dans un parti complétement rétrograde. Rien ne semble activer le processus de rénovation, le passéisme exhale toujours ses relents. Prisonnier de la gestion mitterrandienne, incapable de se projeter dans le futur.

Quelques frémissements, Manuel Valls incarne-t-il le printemps d’une cause perdue ?…