si elles ont un impact positif sur la vie des gens.
Cette phrase résume à elle seule la politique qu’il convient de développer, pour sortir de la crise qui a plongé le monde dans la récession. Environ 1,1 milliard de personnes dans le monde sont chômeurs ou vivent sous le seuil de pauvreté, déplore le Directeur général du Bureau international du Travail, BIT, Juan Somavia. «Ce qu’il faut, c’est que la création d’emplois dans l’économie réelle devienne notre priorité numéro un». Cette déclaration est dans le communiqué de presse du 24 janvier 2012 sur les tendances mondiales de l’emploi 2012 tiré de Global employment trends 2012, International Labour Office, ILO en Anglais.
Le monde est confronté au défit de créer 600 millions d’emplois selon le rapport annuel de l’Organisation Internationale du Travail OIT dans les prochaines dix années en vue de générer une croissance durable et de préserver la cohésion sociale.
Cela signifie que les politiques d’austérité menées sans objectif de croissance ne sont pas porteuses d’impact positif sur la vie des gens, puisqu’elles n’ont d’effet que pour les appauvrir.
«Dans ce cadre d’austérité Européenne, l’Agence Moody’s envisage la dégradation de la note AAA de la France et d’autres pays. Seuls seraient préservés l’Allemagne, le Luxembourg, la Suède, le Danemark, la Finlande et le fond Européen de stabilité financière, FESF. Parmi ses motifs d’explication, Moody’s avance le fait que, «les perspectives pour l’économie européenne sont de plus en plus médiocres, ce qui menace la mise en œuvre des programmes d’austérité et les réformes structurelles nécessaires pour promouvoir la compétitivité». Pour l’Agence c’est l’un des facteurs qui confirme la confiance fragile des marchés. En d’autres termes, l’austérité pour l’austérité n’apporte pas de compétitivité».
En outre le rapport précise que plus de 400 millions de nouveaux emplois seront nécessaires au cours des dix prochaines années pour absorber l’accroissement annuel de la main-d’œuvre estimé à 40 millions par an. A la reprise de 2009, la crise a généré 27 millions de chômeurs de plus. Cela fait que le rapport population en âge de travailler sur population qui occupe un emploi, s’est accru de 60,2% en 2007 à 61,2 % en 2010. Dans le même temps la main d’œuvre compte 29 millions de moins de ce que l’on espérait s’attendre avant la crise. Si l’on comptabilisait les travailleurs découragés parmi les chômeurs, le chômage mondial ferait un bond passant de 197 millions actuels à 225 millions.
Le rapport souligne que la situation macro-économique s’est sensiblement détériorée tout au long de l’été 2011. Les difficultés persistantes sur les marchés de la dette Européenne, ainsi que l’incertitude de la solvabilité des banques ont affaibli ce qui restait de croissance qui s’était développée en début d’année dans les pays d’Europe. L’activité économique qui a sensiblement ralentie a abaissé les espérances de croissance en particulier dans les économies avancées qui risquent maintenant de tomber à nouveau dans la récession, notamment l’Allemagne, le Royaume-Uni et l’Espagne ? La réaction en chaîne sur le reste de la région, aussi bien que sur l’économie globale mondiale, est une donnée substantielle des économies avancées et de l’Union européenne, elle représente 50 pour cent de production globale mondiale. Au mieux le rétablissement aura été mis en attente avant que les conditions de crise ne se dissipent progressivement à la fin de l’année, au pis aller, on peut s’attendre un nouvel affaiblissement et à de la récession.
Le rapport a épinglé la politique Allemande de compétitivité par les salaires, y voyant la cause structurelle de la zone euro. Le développement des salaires Allemands du secteur de la zone euro dans l’accroissement de la compétitivité est identifié être la cause structurale des difficultés récentes dans le secteur de l’euro. Les coûts de la main d’œuvre Allemande qui chutaient relativement de ceux des concurrents au cours de la décennie passée, ont fait que la croissance a été mise sous pression dans ces économies, avec de défavorables conséquences pour la durabilité des finances publiques.
D’une manière générale les pays en crise ont été empêchés à l’exportation pour compenser leur déficit dans le cadre d’une demande domestique concurrencée par une demande plus forte en Allemagne écrit l’OIT. Dans un contexte de chômage élevé en Allemagne, les réformes Schröder ont eu pour effet de «réduire les revenus du bas de l’échelle, notamment dans les services où de nouveaux emplois, essentiellement à bas salaires, sont apparus». Mais dans le même temps, «peu de choses ont été faites pour améliorer la compétitivité par le biais d’une progression de la productivité», selon ce rapport.
Les salaires mensuels Allemands se sont dégradés de 4% au cours de la décennie 2000-2010, représentant une perte moyenne de 100 euros, notamment en raison du développement du travail partiel, selon une étude de l’institut économique Allemand DIW publiée le 09/11/11. Le travail partiel s’est particulièrement développé au cours de la première moitié de cette décennie. En 2010 près de 25% des salariés avaient un emploi à temps partiel, s’accompagnant souvent de salaires horaires moins élevés. Le salaire horaire moyen d’un salarié à temps partiel s’élève actuellement à 7,79 euros brut à l’Ouest et 6,86 euros à l’Est, ex-RDA. Mais certains salariés, dans le commerce et la restauration notamment, gagnent à peine plus de cinq euros bruts de l’heure. note Le Figaro.fr économie. Voir aussi La misère de Merkel pire que celle de Sarkozy, sinon au moins égale.
L’effet du travail partiel a eu pour conséquence de peser sur les bas salaires, les tirants à la baisse au cours de la dernière décennie à l’exception des hauts revenus qui ont conservés une progression. Ce que l’on a prélevé aux pauvres a été transféré aux riches qui ont bénéficié de la compétitivité exportatrice de leur pays. Les salaires bruts ont chutés jusqu’à 20 % dans certains métiers dans la dernière décennie, accroissant l’écart avec les salaires les plus élevés. La politique du Doktor Hartz directeur des ressources humaines de Wolkswagen sur les «mini-jobs» et les «1 euro-jobs» permet de ne pas faire crever de faim les plus pauvres a été payante en terme de compétitivité. L’Allemagne n’a pas de salaire minimal généralisé de sorte que les partenaires sociaux peuvent les fixer région par région. L’avantage fait que dans l’Est de l’Allemagne, région pauvre, le salaire minimal est moins élevé que dans l’Ouest, la différence est 17 %, cela a pour effet de tirer plus de profits de la région la plus pauvre.
Nicolas Sarkozy qui voit dans l’Allemagne un modèle, l’OIT y voit au contraire un frein à la croissance Européenne.
Le rapport souligne que l’option politique entre l’austérité, et l’efficacité de la stimulation de la croissance, dans la production pour les emplois, n’a pas été bien évaluée dans les économies avancées, ou la plus grosse part des budgets est allée renflouer le secteur financier. Ceci a laissé peu de budget à l’économie réelle, à la production et à l’emploi. Il est démontré que la stimulation, dans la production de la croissance et des emplois dans les pays en voie de développement, ou la plus grande partie de la stimulation est allée aux secteurs réels de l’économie, la croissance et l’emploi ont plus rebondis que dans les économies avancées.
Il y a donc une preuve évidente pour l’efficacité de la stimulation de la production pour la croissance et les emplois.
Il est donc évident que le soutient de Madame Merkel à Sarkozy s’inscrit dans la politique dénoncée dans ce rapport, austérité sans croissance. Par contre la position de François Hollande trouve sa justification par le développement d’une austérité maintenue avec de la croissance, ce rapport est pour lui une référence à une alternative au Merkozysme. A l’analyse faite de la politique Allemande depuis le Gouvernement Schröder en 2003, l’OIT montre que, non seulement elle se distingue par son égoïsme au détriment des autres pays européens, mais qu’elle a également été nuisible à l’Allemagne elle-même, en renforçant les inégalités et la pauvreté. Il est évident que l’Allemagne sera tôt ou tard confrontée à des problèmes graves de pauvreté, à chaque action, il y a réaction. Tout n’est pas pour que le profit des uns se fasse au détriment des autres, dans cette économie fermée de la zone euro. Cette situation ne peut durer longtemps. La Grèce au bord de l’explosion en est la preuve par la grève générale qui vient d’être déclenchée. Elle aurait 50 % de chance de quitter la zone euro. Bientôt ce sera le tour du Portugal, la semaine dernière ses taux d’intérêt à deux ans sur la dette de l’État ont dépassés 20 %. La Grèce comme le Portugal ne peuvent rembourser leur dette.
François Hollande a indiqué mardi 07 février à France 2 son intention de consulter le parlement concernant la ratification du traité Européen qu’il entend renégocier avec Angela Merkel. Son intention est qu’il comporte un volet croissance et emploi. «Moi, je souhaite qu’il y ait un traité qui puisse être voté par le Parlement après l’élection présidentielle». «Et pour que ce traité puisse être voté, il devra être forcément négocié dans un sens qui permette aussi qu’il y ait, en plus des disciplines budgétaires indispensables, un volet de croissance et d’emploi».
[i] »Cela signifie que les politiques d’austérité menées sans objectif de croissance ne sont pas porteuses d’impact positif sur la vie des gens, puisqu’elles n’ont d’effet que pour les appauvrir » surtout à se demander qui a dépensé sans compter, gaspillé sans vergogne, appauvri le monde du travail et de l’entreprise ?[/i] [b]je vous donne la réponse: le monde politique ! c’est lui toutes tendances confondues qui porte la responsabilité de n’avoir pas voté des lois de coercition des us et coutumes des banques et établissements financiers, laissé filer l’embauche scandaleuse de plus de dizaines et de dizaines de milliers de postes auprès des collectivité territoriales…
Et ce référendum abscons qui veut « former » des chômeurs alors qu’il manque 3 à 4 millions d’emplois… le crétinisme politique de l’actuelle majorité va loin ces temps-ci, je suppose qu’ils seront formés à ne rien faire ? et en face « l’autre candidat » qui croit à la baguette magique …[/b]
[b]zelectron[/b] bonjour,
Je veux bien admettre le crétinisme de la majorité actuelle, mais quand au fait que François Hollande croirait à la baguette magique, je ne suis pas de votre avis. Il n’a jamais dit des propos qui le ferait croire, il est tout à fait conscient qu’il faut faire des économies, mais aussi de la croissance, c’est ce qui le différencie de la politique actuelle, et il a raison.
Vous verrez que si cette politique continue sans croissance, c’est l’échec assuré.
En outre, laissez lui faire sa politique et ne le jugez pas avant, c’est lui faire un mauvais procès.
Bien à vous,
Anido
[b]De par votre cursus vous savez pertinemment que tout passe par la création d’entreprises, par la performance des entreprises, par l’innovation y compris dans les entreprises, par la promotion au seing des entreprises, par l’enthousiasme dans les entreprises (quitte à virer certains patrons félons par les moyens de droit), les renforcements successifs des effectifs des administrations et assimilées tuent les initiatives individuelles y compris celle de SCOOP en devenir (auxquelles je ne crois pas beaucoup, mais chacun est libre…)les chasses protégées des gros EDF, SNCF, RATP, AREVA, FT/Orange/RNUR, Postes ne leur suffisent plus, il leur faut tous les autres territoires … Moi, je proposerais comme ce fut le cas aux USA qu’à partir d’une certaine taille les députés au cas par cas votent la création d’entreprises de taille moins inhumaines (Babybell)
L’État se doit impérieusement d’être un arbitre au dessus de tout soupçon et surtout de ne pas se mêler de la partie (juge et partie?) et surtout non seulement sanctionner mais aussi faire appliquer les mises sous les verrous et autres amendes fiscales, sans oublier les indemnités aux lésés en tout premier lieu.[/b]
[b]zelectron,
[/b]
Veste programme que vous préconiser. Je pense en effet que ce sont les entreprises qui font la croissance et la richesse du pays, l’État ne devant être présent que pour assurer l’équilibre des finances, la gestion économique, la justice, l’éducation, la défense, la police, la santé, et la politique sociale.
Il est toutefois impératif que des grands secteurs restent aux mains de l’État. L’énergie, et les transports, il ne faut pas qu’il y ait de différence de vie entre les Français, ce que pourrait permettre le tout privé.
Quant aux entreprises inhumaines c’est une question de régulation.
Il doit en effet être un arbitre au dessus de tout soupçon, ce qui est impossible, dès lors que ce sont des hommes qui jugent.
Bien à vous,
Anido
[b] »le tout privé » est peut-être une solution, avec des règles du jeu de « saine » concurrence assorties de sanctions retirant l’envie (à tout jamais?)des ententes illicites (comme dans la téléphonie mobile en France) sauf FT/Orange qui a du baisser son pantalon pour s’aligner, qui est bien issue des ex PTT, monopole d’état, et qui s’est bien payé notre tête pendant 30 ans (je les ai connu, jeune ingénieur, dans les années 70, de quoi sauter au plafond!) L’autre système privé/état ne donne pas de bons résultats du fait de l’embauche à vie des fonctionnaires ce qui en cas d’évolution (ou d’extinction) des marchés pose de graves problèmes.
Vous trouvez normal qu’EDF se précipite sur tout ce qui bouge pour empêcher la concurrence de prendre position en laissant des miettes pour les uns et les autres au lieu de s’occuper de son monopole des centrales nucléaire (sa vache à lait ?)[/b]
ZELECTRON
[quote][i] »le tout privé » est peut-être une solution, avec des règles du jeu de « saine » [/i][/quote]
Par définition le « privé » est assorti de rendements et de croissance qui génèrent des bénéfices, ce qui annihile automatiquement le concept de règles du jeu « saines ».
Je pense que pour équilibrer une économie, dans le sens occidental du terme, il est impératif d’adosser des entreprises publiques aux entreprises privées. Que l’état arrête de s’impliquer dans les affaires privées et d’entretenir un système de vases communicants privé/public très malsain, ce qui revient à dire de stopper le système mafieux qui phagocyte la France depuis trop longtemps.
Voeux pieux ?
[b]Nadine,
L’État édicte des lois (la règle du jeu), ceux qui y contreviennent doivent être punis y compris sévèrement. Dans ce cadre les entreprises peuvent acheter et vendre tout ce qui est licite, l’aiguillon « privé » est le moins mauvais qui ait jamais été inventé !
Tout le monde se souvient de la collectivisation en URSS, les paysans ont fini par se voir attribuer des jardins pour cultiver ce que bon leur semblait et que trouvait-on sur les marché ? je vous laisse deviner… rien provenant des sovkhozes et encore moins des kolkhozes, dont les productions (quant il y en avait partaient à l’export ou pour aider les pays frères).[/b]
ZELECTRON
[quote][i]L’État édicte des lois (la règle du jeu), ceux qui y contreviennent doivent être punis y compris sévèrement. [/i][/quote]
L’Etat édicte des lois… ?!?
Vous prenez un curieux raccourci. Comment peut-on faire l’impasse sur l'[b]OMC [/b]qui ne se prive pas d’établir des règles qui étranglent de très nombreux pays ?
On punit qui alors ?
Les contrevenants qui essaient de garder la tête hors de l’eau ou la toute puissante Institution dirigée par ce bon Pascal LAMY, Français socialiste de conviction pour ceux qui l’ignorent ?
Pascal LAMY est arrivé au seuil de Peter, et il est content!
Pascal LAMY fait surtout partie de ces réseaux puissants qui orchestrent le monde en plongeant dans une détresse effrayante un nombre invraisemblable d’êtres humains.
[b]Bonjour à tous,
[/b]
Je crois que l’on dérive un peu. Quelle est notre situation économique ? C’est de cela qu’il faut parler.
Notre situation économique est liée à nos entreprises, or elles n’ont su développer des produits qui se vendent puisque concurrencés par des produits à faible valeur ajoutée.
Comment remédier à cela, investir, modifier ou contraindre les entreprises à innover. Sur ce point l’exemple de l’Allemagne est bon, elle vend des voitures chères et fait d’énormes bénéfices, elle a choisit la qualité.
Ce n’est pas comme veut le faire admettre le gouvernement le coût de charges sociales, même s’il intervient pour quelques pour cent qui est la raison essentielle de notre déficit extérieur.
Baissez les charges sociales de 5 % ce qui est globalement l’écart avec l’Allemagne sur les bas salaires, pas sur les gros salaires, il faut le préciser, vous ne vendrez pas plus.
Et puis, il faut considérer les marges bénéficiaires dont on ne parle jamais, il ne faut pas en parler, secret défense.
Tout cela résulte de la politique patronale qui s’est désengagée à investir dans des produits de qualité préférant la facilité de délocaliser pour faire du chiffre. Le rendement était assuré.
Il s’agit donc actuellement de redresser la barre en aidant les entreprises qui veulent bien investir dans des produits de qualité. Pour cela, il n’y a que l’État qui peut le faire.
Les entreprises font partie de l’État, si elles ne fonctionnent pas bien c’est l’ensemble des Français qui subissent les conséquences, l’État a donc son mot à dire.
Bien à vous,
Anido
Zélectron et Nadine sont totalement dans le juste
Et cet hypernanti se dit socialiste.
A quoi rime une croissance de la production, du transport, de la vente et de la consommation accrue par l’obsolescence programmée de produits superflus et de luxe ?
Le PIB est un indice totalement débile
Il suffirait que la France subissent une très grande catastrophe naturelle dans les jours qui viennent pour qu’il n’y ait pas d’inflation parce que les réparations des dégâts entraîneront automatiquement une croissance du PIB
Rajouter à cela deux ou trois gros carambolages et c’est presque le Pérou.
Homo cretinus cretinus
C’est probablement des gens illustrant le sus évoqué principe de Peter, c’est à dire ayant atteint leur niveau d’incompétence, qui expliquent la persistance de l’utilisation de cet « outil » trompeur faussement informatif et encore moins comparable entre pays.
« Notre PIB prend en compte dans ses calculs, la pollution de l’air, la publicité pour le tabac et les courses d’ambulances qui ramassent les blessés sur nos routes. Il comptabilise les systèmes de sécurité que nous installons pour protéger nos habitations et le coût des prisons où nous enfermons ceux qui réussissent à les forcer. Il intègre la destruction de nos forêts de séquoias ainsi que leur remplacement par un urbanisme tentaculaire et chaotique. Il comprend la production de napalm, des armes nucléaires, et des voitures blindées de la police destinées à réprimer des émeutes dans nos villes. Il comptabilise les programmes de télévision qui glorifient la violence dans le but de vendre les jouets correspondants à nos enfants.
En revanche, le PIB ne tient pas compte de la santé de nos enfants, de la qualité de leur instruction, ni de la gaîté de leurs jeux. Il ne mesure pas la beauté de notre poésie, ou la solidité de nos mariages. Il ne songe pas à évaluer la qualité de nos débats politiques ou l’intégrité de nos représentants. Il ne prend pas en compte notre courage, notre sagesse, ou notre culture. Il ne dit rien de notre sens de la compassion, ou du dévouement envers notre pays. En un mot, le PIB mesure tout sauf ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue. » Robert Kennedy.
PS. Et si vous enregistriez cette citation de Kennedy (néanmoins hypernanti et obsédé sexuel) et la diffusiez autour de vous ?
Ça ouvrirait peut-être des yeux.
[b]Odile68[/b] bonjour,
A quoi voyez-vous que je soit hyper nanti ?
Expliquez-moi !
Bien à vous
Anido
[b]Un des commandements de la nouvelle ferme se lisait au départ : Tous les animaux sont égaux. À la fin, il se lit : « Tous les animaux sont égaux, mais certains le sont plus que d’autres » Orwell,la ferme des animaux. Et vous savez cher Anido que c’est vrai…
L’égalitarisme est un leurre mortel.[/b]
[quote][i]L’égalitarisme est un leurre mortel.
[/i][/quote]
C’est le moins qu’on puisse penser…et dire.