Le président-directeur général d'une société proposant des séjours linguistiques et culturels a entamé une grève de la faim la semaine passée, pour protester contre le refus de sa banque de lui accorder un découvert.
Jean-Luc Maury-Laribière, patron de Silc, a repris la société dont il est actuellement le président-directeur général il y a sept ans déjà et avait pu redresser la barre, évitant ainsi la faillite et la perte de 60 emplois.
Mais maintenant, alors que le mois d'août est la saison de plus grande activité pour cette entreprise, les banques n'ont pas voulu donner le petit coup de pouce nécessaire à la trésorerie de Silc, mettant ainsi en péril l'ensemble des emplois.
Cette grève de la faim d'un patron montre bien que, quelque part, patronat et travailleurs sont unis puisque, pour pouvoir donner travail, il faut en avoir.
Le retour du mamouth
Sans créateurs d’emplois, il n’y a pas d’emplois, plus d’état, plus de policiers pour vous sauver des méchants.
Retour en mode menhir.
On va regretter de ne pas avoir protéger les arbres.
– C’est qui le plus costaud de la bande s’il vous plait?