Difficile à définir tant sont variables les pollutions des sols !
Toutes les eaux que nous buvons proviennent des sols qu’elles soient dites minérales ou simplement potables comme l’eau du robinet. Elles sont puisées soit à la source qui s’écoule du sol soit dans le sol qui reçoit l’eau de pluie mais aussi les eaux rejetées salies dans nos rivières, nos cours d’eau, nos lacs, nos bassins enfin tout ce qui permet de se débarrasser de l’eau que nous utilisons pour milles usages domestiques et industriels. Ces eaux lorsqu’elles sont captées, pompées, dans les nappes phréatiques ou dans des eaux de surface, n’ont pas toutes la même nocivité, je ne veux pas écrire la même pureté, car elles ne sont pas pures sauf quelques eaux de source dans des régions propres ou leurs passages dans les sols et les roches, qui leurs ont servit de filtre, leurs ont donnés des qualités nutritives dont notre corps à besoin, calcium, potassium, magnésium, sodium, bicarbonate. Elles peuvent être utilisées médicalement sans épuration si elles ne sont pas salies à la captation. Les eaux de sources Cristaline, Beaupré, Mont Dore, Chanflor sont souterraines non traitées naturellement potables et répondant à la législation des eaux potables. L’eau Cristaline est d’ailleurs très voisine de l’eau de Paris en propriétés. Il en est qui ne peuvent être bues par ce que trop sulfureuses, trop chargées en éléments leur donnant parfois un gout d’œuf pourrit mais pouvant servir à des bains rhumatismaux ou à des cures dans les stations thermales. Une grande quantité des eaux de source est utilisée en bouteilles pour la boisson courante comme l’eau d’Evian pour les bébés par ce que légère, l’eau de Vittel, Contrex, Hépar pour le foie, Badoie pour la digestion, l’eau de Vichy vendue en pharmacie n’est pas conforme aux recommandations des eaux potables trop saline, elles sont dites minérales et sont utilisées en eaux de table. Le tableau ci dessous donne les caractéristiques de certaines eaux de boisson.
C’est un document montage tiré de la référence «L’eau que nous buvons».
En dehors de ces eaux minérales, l’eau potable du robinet, est quelque soit son origine, sa qualité sanitaire est voulue la même dans toutes les régions. C’est en fait grosso modo vraie mais si on pousse très loin l’analyse ce n’est pas tout exact simplement par ce que les traitements sont variables et dépendent des matières dissoutes lors de la traversée des terrains. L’eau se charge et intègre un peu tout ce qu’elle trouve, on sait bien que la mémoire de l’eau mémorise son histoire bien que controversée. La filtration n’est jamais parfaite et beaucoup filtre l’eau du robinet ce qui n’est pas sans servitude. Par exemple en Alsace l’eau est potable pratiquement sans aucun traitement, alors qu’à Nantes puisée dans la Loire il faut un traitement plus important. Il n’en reste pas moins vrai que l’eau courante en France passe pour être le produit alimentaire le plus contrôlé. Les normes concernent 56 critères biologiques et bactériologiques chimiques et couleurs. En France les seuils garantissant sans affecter la santé à long terme sont vingt fois inférieurs à ceux préconisés par l’Office Mondial de la santé, OMS. Le problème majeur est que l’eau du robinet contient des nitrates utilisés dans les engrais. Ils s’infiltrent dans le sol et polluent les sources d’eau, les nappes phréatiques, rivières et lacs. Une fois dans notre corps, ils affectent notre santé sur le transfert de l’oxygène.
Or, on peut se poser la question l’eau du robinet est-elle potable ? Selon l’OMS 1,5 million d’enfants meurent chaque année de maladies transmises par l’eau, mais on n’en est pas là dans les pays développés. Aux pesticides on trouve maintenant des résidus médicamenteux. Les contaminants de l’eau sont donc nombreux, outre les traces excessives de nitrates et de pesticides en Eure-et-Loir et en Seine-et-Marne, on trouve une présence élevée de radon dans le Massif central, et d’aluminium et de résidus de médicaments dans de nombreuses autres régions. De ce fait, le ministère de la santé a commandé un rapport sur la présence éventuelle de médicaments.
«Il y a un mois et demi, l’Association santé environnement France (ASEF), qui regroupe près de 2 500 médecins, a lancé une étude, «de nombreuses mamans me demandent quelle eau elles doivent mettre dans le biberon de leur bébé», souligne le docteur Patrice Halimi, secrétaire général de l’ASEF et chirurgien pédiatre. «Nous avons démarré des analyses sur dix sites Français pour détecter d’éventuelles traces de médicaments (antidouleurs, oestroprogestatifs, antidépresseurs…) qui seraient potentiellement toxiques. L’idée n’est pas de faire peur, mais les premiers résultats semblent inquiétants, indique le docteur Halimi. Les pouvoirs publics doivent prendre en compte la question des stations d’épuration, poursuit le docteur Pierre Souvet, président de l’ASEF», tiré de la référence Le Monde 21 mai 2010.
Le docteur Alain Ragon, pharmacien et responsable du Laboratoire des eaux du pôle uro-néphrologie de l’hôpital de La Conception, à Marseille, n’est pas plus rassurant, «les médicaments étant par définition des composés ayant la capacité d’avoir un effet physiologique spécifique à de faibles concentrations, il est tout à fait possible que des cocktails de différents médicaments puissent se retrouver dans l’eau du robinet et poser des problèmes d’intoxication chronique, explique-t-il. C’est un problème sérieux dont les effets sont très difficiles à démontrer».
Soucieux du problème, le ministère de la santé a commandé un rapport sur la présence éventuelle de résidus de médicaments dans l’eau du robinet, qui sera rendu d’ici l’été. «Même si les doses sont homéopathiques, c’est important d’en savoir plus sur les quantités, les types de médicaments et les effets possibles», indiquait, lundi 17 mai, Didier Houssin, le directeur général de la santé.
C’est donc très alarmant.
Alors que faut-il faire, filtrer l’eau, les filtres Brita sont utilisés mais il faut changer la cartouche de charbon actif assez souvent elle élimine le chlore et certaines molécules organiques, et avec une résine échangeuse d’ions qui élimine la dureté. L’autre solution serait de faire bouillir l’eau d’une durée de 10 à 15 minutes pour tuer les bactéries ou les virus éventuels. En revanche l’ébullition n’élimine pas les métaux lourds et les pesticides.
Quelle est l’autre solution en présence d’une eau douteuse, c’est évidemment l’eau en bouteille, mais c’est plus cher. Quels sont les prix de l’eau .
En France, le mètre cube d’eau potable coûte entre 1 et 6 € selon les endroits. À Paris, l’eau coûte 2.69 €/m3 en janvier 2007. Cette grosse différence tient compte surtout de l’éloignement entre le lieu de distribution et la source ou l’usine de traitement d’eau potable, et de l’infrastructure, qui peut être minimale pour une source captée dans ou à proximité d’un village. La valeur moyenne devrait se trouver en 2007 autour de 3 € par mètre cube. Par comparaison, voici quelques prix. Ceux des eaux en bouteille sont les prix moyens par litre en «grande surface» (Leclerc, Auchan, Champion et autres) en janvier 2007.
Ce document est un montage tiré de la référence «L’eau que nous buvons» .
L’eau Cristaline est la moins chère du marché, 57 fois plus tandis que pour la Badoie c’est 323 fois plus.
De solution miracle il n’y en a pas, de même qu’une pollution de nos sols moins intensive il ne faut pas rêver, nous sommes donc condamnés par suite de notre développement anarchique à une pollution de notre eau de plus en plus importante ainsi qu’une amélioration de nos usines de traitement pour éliminer les produits médicamenteux. Le coût de l’eau du robinet ne peut donc qu’augmenter certes pas au point d’atteindre celui des eaux minérales. Le problème qui se pose également est celui à long terme de l’effet sur notre corps de ces pesticides et autres saletés qui bien, qu’en quantités très faibles, mais absorbées pendant des décennies peuvent engendrer des maladies mettant en cause notre potentiel de vie. Nous n’avons pas de données médicales scientifiques sur ce point, nous ne savons rien. Une chose paraît au moins logique, moins on boit l’eau du robinet même si elle et garantie très potable par l’OMS, moins on diminue à long terme notre fragilité aux attaques microbiennes de toutes sortes.
Ce qu’il paraît souhaitable c’est de faire tout à l’eau du robinet et ne boire de l’eau minérale que pour sa soif, d’ailleurs à l’hôpital on vous donne de l’eau minérale, c’est bien un signe.
Vous pouvez compléter votre information sur les références : D’ou vient l’eau que nous buvons ?, L’eau que nous buvons, Santé quelle eau boire ?
Pour ma part je dit qu’il y a magouille avec l’eau en bouteille et en plus pollution avec les bouteille en plastique en Allemagne les bouteilles en plastique faut payer une consigne et c’est normal
[b]lucien57[/b] bonsoir,
Les pesticides et les résidus médicamenteux ne sont pas de la magouille, c’est une réalité.
Le prix des bouteilles en plastique en France doit être inclus dans le prix de la bouteille.
Quand vous achetez de l’eau minérale vous payez l’emballage, c’est évident.
Bien à vous,
Anido
Bonjour Anido,
Chez moi on est adepte de l’eau du robinet.
On a la chance d’être 11 communes rattachées à une source (source de la Douée) qui nous délivre une eau excellente et, cerise sur le gâteau, à un prix très raisonnable, 1.48 euro le M3. Notre réseau est géré par un Syndicat et a été mis en régie plutôt qu’en donner la concession à une entreprise spécialisée qui aurait pignon sur rue et qui ne ferait qu’augmenter la facture.
Beaucoup de syndicats des eaux se sont cassés les reins en adoptant ce type de gérance, mais le nôtre est particulièrement efficace et ce depuis plus de 35 ans.
L’entretien du réseau (une priorité), un personnel compétent et une gestion rigoureuse des élus avec pour objectif de faire passer en premier les intérêts des abonnés sont la recette de ce succès.
Chaque commune siège au sein du syndicat.
Par ailleurs, le syndicat surveille l’environnement des zones proches du captage afin de d’éviter une exploitation inconsidérée d’une forêt ou toute autre action néfaste qui se traduiraient par une pollution de notre source.
Les agriculteurs sont aussi concernés puisque ,incités par le Parc Naturel régional dans lequel nous sommes, ils utilisent avec modération les produits chimiques comme les pesticides ou les engrais et évitent les cultures trop gourmandes en eau.
Cette eau minéralisée ni trop ni peu, ce qui en fait une eau que l’on peut consommer tous les jours. Son petit défaut, elle est un peu calcaire.
D’autres communes avoisinantes aimeraient pouvoir se joindre à nous.
Notre ressource n’est pas inépuisable et à ce titre, le syndicat procède à des forages à la recherche d’autres nappes phréatique pour prévenir d’éventuelles mauvaises surprises.
Aujourd’hui, nous sommes ravis de notre service des eaux.
Amitiés
ludo
[b][b]A la maison, je bois de l’eau du robinet, que j’ai mise, dans une bouteille en verre, au frais dans mon réfrigérateur…
Au restaurant, il m’arrive très souvent de l’eau minérale… Dans la majorité des restaurants, brasseries, bars, cafés…, les eaux minérales sont,[i][i] qu’elles soient en 1/4, en 1/2, en bouteilles entières[/i][/i], conditionnées dans des bouteilles en verre, ces bouteilles étant consignées…
Je pense qu’il faudrait, pour ce qui concerne les bouteilles en plastique, qu’elles soient obligatoirement consignées, donc, réutilisables…[/b][/b]
[b]Ludo [/b]bonjour,
Je suis bien conscient qu’il y a en France des régions ou l’eau est de source et délivrée à tous ceux qui sont raccordés sur son réseau, tant mieux pour eux. je suis très heureux pour vous
Ce n’est pas pour tous aussi bien.
Si j’ai écrit cet article c’est tout simplement par ce qu’il y a des inquiétudes sur l’eau du robinet.
Les résidus médicamenteux et radioactifs ne sont pas filtrés dans les stations de traitement, et si l’eau est contrôlée comme il est prescrit avec des garanties de salubrité, le problème n’est pas immédiat, mais à la longue ces saletés qui nous buvons ne peuvent ne pas donner de conséquences sur notre santé. L’eau que nous buvons n’est pas pure il faut le savoir, elle est simplement ce que nous pouvons faire au mieux.
Le problème est notre ignorance, notre contamination est une évolution très lente, comment réagit notre corps ?
Nous n’arrêtons pas de salir notre terre et notre atmosphère, il serait étonnant que nous n’en subissions pas les conséquences.
Notre corps s’adapte mais jusqu’à quand ?
Bien à vous,
Anido
[b]Dominique[/b] bonjour,
Les bouteilles en plastique sont une solution de facilité mais peut être très lourde de conséquence sur notre santé, si l’eau reste très longtemps dans ces bouteilles, il devrait y avoir une date limite d’utilisation. De plus la pollution qu’elles génèrent dans les pays sous développés est inimaginable.
Il n’y a pas mieux que le verre mais c’est très lourd à traiter, et les réserves de silice s’épuisent. Il y a le recyclage du verre mais tout cela ne conduit pas à en réduire le coût.
[b]Le plastique est neutre d’autant plus qu’il est alimentaire[/b], normalement il n’apporte pas de nocivité mais beaucoup prétendent le contraire sans preuves.
Moi, je ne bois que de l’eau minérale Vitel. A Bagnolet nous avons une eau très calcaire, et je lui trouve un goût.
Je préfère me priver sur autre chose mais boire de l’eau minérale et cela depuis toujours.
Par contre tout le reste est fait avec l’eau de la ville.
Bien à toi,
Anido
[b]Anido,
il est vrai que le plastique n’apporte aucune nocivité, puisqu’il est neutre… De plus, plus il est dur, plus il permet une conservation des boissons… Cependant, puisqu’on manque de silice, je pense que les bouteilles en plastique devraient être, tout comme certaines bouteilles en verre, consignées… Puis, il faudrait, pour ce qui concerne les bouteilles en verre non consignées, faire en sorte qu’il y ait des poubelles spéciales destinées à ces dernières dans tous les lieux destinés à l’habitation…
Avec toute mon amitié,
Dominique[/b]
[b]Dominique[/b],
Pour consigner les bouteilles en plastique il faudrait qu’elles soient plus résistantes, elles sont très fines et n’ont aucune tenue.
Quand aux poubelles, elles existent même à Bagnolet, je dispose de deux sortes de poubelles, celle des recyclables et plastiques et celle des ordures.
Bien à toi,
Anido
quand je parle des bouteilles en plastique je parle de POLUTION
[b]lucien57[/b] bonjour,
Il n’était pas évident de vous comprendre, en d’autres termes les bouteilles récupérées avec la consigne seraient détruites par l’organisme chargé de cette récupération ou bien recyclées ?
Si elles sont récupérées pour être détruites par ce que non réutilisables autant que ce soit les Agents communaux des ordures qui le fassent, c’est ce qui se passe actuellement.
Si elles sont récupérées pour être recyclées, je ne vois pas très bien, elles ne sont conçues pour cela, il faudrait en concevoir d’autres et ce serait plus couteux.
Bien à vous,
Anido
Bonjour anidom nidolga,
voila quelques liens mais évidement y en d’autres [img][/img]
[url]http://www.lepoint.fr/actualites-sciences-sante/2009-04-22/consommation-les-bouteilles-en-plastique-bouleve[url][quote][quote][/quote][/quote][/url]rseraient-les-hormones-males/919/0/336926[/url]
http://www.notre-planete.info/actualites/actu_845_consommation_eau_bouteille_environnement.php
Ce qu’il faut aussi voir c’est les bouteilles non récupérées jeter dans la nature ou en mer ? des tonnes et une bouteille plastique a une vie très longue
http://www.mce-info.org/eau/page23.php
L’eau en bouteille coûte de plus en plus cher, bientôt, certaines familles ne pourront plus s’en offrir. Là… il faudra réagir car c’est une denrée de base à la quelle tout le monde devrait avoir accès.
[b]lucien57[/b] bonsoir,
Je viens de prendre connaissance de la référence que vous présentez.
Il s’agit d’une étude du département d’écotoxicologie aquatique de l’université Goethe de Francfort qui annonce que dans 60 % des cas, une hausse « significativement plus élevée » du taux d’oestrogène, l’hormone sexuelle féminine rendant nocives les bouteilles en plastique. Cela aurait pour conséquence d’altérer la capacité reproductive de l’homme.
Cette publication fait lever un ensemble de protestations qualifiant cette étude d’aberration par le professeur en Toxicologie à l’Université Bordeaux 1 et expert à l’AFSSA (Agence Française de sécurité sanitaire des aliments).
Ce n’est pas la première fois que le plastique des bouteilles d’eau minérale est attaqué, sans que pour autant il est été prouvé sa nocivité.
Moi, j’en bois depuis toujours et j’ai eu des enfants.
Bien à vous,
Anido
« La transcription de l’une des principales conférences secrètes de la Seconde Guerre Mondiale sur le métabolisme du fluorure est manquante aux archives nationales des États-Unis. Parmi les participants, se trouvaient des personnalités importantes. Après la guerre, ces personnalités allaient se charger de vanter l’innocuité du fluorure et de faire la promotion de la fluoration de l’eau: Harold Hodge du Projet Manhattan, David B. Ast du Projet Newburgh et H.Trendley Dean, dentiste des services de santé publique des États-Unis, connu comme le « père de la fluoration. » « Si elle est manquante, c’est probablement parce qu’elle est encore classée secret défense », explique le libraire des Archives nationales aux journalistes.
Un rapport classifié du Projet Manhattan datant de 1944 portant sur la fluoration de l’eau est disparu des fichiers de l’Université de Rochester (affiliée au Projet de l’énergie atomique) et des Archives nationales du Nuclear Repository à l’Université de Tennessee à Knoxville. Les quatre documents numérotés suivants sont également manquants, alors que le reste de la « série MP-1500 » est présente. « Soit ces documents sont encore classifiés, soit ils se sont ‘fait disparaître’ par le gouvernement », explique Clifford Honicker, directeur exécutif du Projet d’étude en santé environnementale des États-Unis de Knoxville au Tennessee, qui a fourni des données cruciales pour que le projet d’expérimentation sur l’irradiation humaine soit révélé au grand jour et fasse l’objet de poursuites.
D’un cahier de notes de 1947 du projet de la bombe à Rochester, dont le titre est « Litige avec DuPont », sept pages ont été arrachées. « Très curieux », note Chris Hoolihan, l’archiviste en chef de l’école médicale.(…) »
[b]Veritas[/b] bonjour,
Le fluor est un oligo-élément jouant un rôle capital dans la protection des dents et surtout de l’émail dentaire (contre l’attaque des bactéries). Il est également présent dans le squelette et renforce la structure osseuse.
Le fluor est très utilisé en dentaire, les fluorures administrés » per os » n’ont finalement que peu d’impact sur le processus carieux. Si la carie dentaire est en régression ces dernières années, nombreux sont les auteurs qui en attribuent la cause à l’utilisation généralisée des dentifrices à base de fluorures. Il est aujourd’hui unanimement reconnu que le fluor a principalement un effet local. Cet effet local est obtenu par incorporation directe des fluorures dans l’émail dentaire après l’éruption de la dent.
Le fluor, sous forme de fluorure de sodium, est rapidement absorbé par le tube digestif. Les mécanismes impliqués dans cette absorption sont mal connus.
On trouve une grande quantité de fluor dans le thé et dans certaines eaux vendues en bouteilles destinées à l’alimentation : l’eau de Badoit en contient 1,5 mg/L et l’eau de vichy Saint-Yorre 8,5 mg/L. Dans certains pays l’eau est enrichie en fluorure.
La présence de cations comme le calcium et l’aluminium réduit l’absorption digestive du fluorure en formant avec lui des sels insolubles.
Dans le plasma des sujets normaux, la concentration de fluorure est habituellement inférieure à 19 microgrammes par litre.
Lorsque l’apport alimentaire augmente, par exemple par la consommation d’eau riche en fluor, la fluorémie s’élève. Elle s’élève également après la prise de certains médicaments, soit le fluorure de sodium, soit des médicaments comportant dans leur molécule un ou plusieurs atomes de fluor qui sont libérés au cours du métabolisme.
Le tissu qui a la plus grande affinité pour le fluor est l’os dans lequel il s’accumule sous forme de fluoro-apatite selon la réaction suivante :
2F- + [Ca10 (PO4)6 (OH)2] 2 OH- + [Ca10 (PO4)6,F2]
L’incorporation du fluor ne s’effectue pas dans les tissus osseux déjà formés mais dans les tissus en cours de formation.
Le fluorure est filtré par le glomérule et en grande partie réabsorbé par le tubule, le reste s’éliminant dans les urines.
La quantité de fluorure éliminée par voie urinaire chez les sujets normaux non supplémentés est d’environ 500 microgammes par 24 h. Elle atteint plusieurs mg en cas de traitement.
Bien à toi,
Anido
[url]http://www.qvq.ca/afq/Articles/600-professionnels.htm[/url]
9 août 2007 – «Il faut en finir avec la Fluoration», affirment 600 médecins, dentistes, scientifiques et environnementalistes.
New York – 9 août 2007 – [b]Dans une déclaration rendue publique aujourd’hui, plus de 600 professionnels demandent au Congrès des États-Unis de mettre fin à la fluoration de l’eau, jusqu’à ce que des audiences soient tenues. Ils appuient leurs dires sur de nouvelles données scientifiques probantes qui démontrent que la fluoration, longtemps promue pour combattre la carie dentaire, est inefficace et qu’elle présente de sérieux risques pour la santé.
Parmi les signataires, on retrouve notamment un lauréat du Prix Nobel en médecine, trois membres du prestigieux panel mandaté par le NRC (Conseil national de la recherche scientifique des États-Unis) qui a publié en 2006 un rapport sur la toxicologie du fluorure, deux membres de la direction du Syndicat des professionnels de l’EPA (Agence environnementale américaine), le président de la Société internationale des médecins pour l’environnement et des centaines de professionnels du monde entier travaillant dans les domaines médical, dentaire, académique, scientifique et environnemental.
Le Dr. Arvid Carlsson, signataire et Lauréat du Prix Nobel de médecine en 2000, explique: “La fluoration va à l’encontre de tous les principes de la pharmacologie moderne. C’est une pratique désormais obsolète.”[/b]
[b]Veritas[/b],
Il n’y a pas de fluor que pour le dentaire il est couramment utilisé contre l’ostéoporose et dans d’autres domaines médicaux.
Combattre le fluor revient à revoir notre alimentation, il ne faut pas oublier que le fluor est radioactif en lui même, mais il est utile médicalement.
Je n’ai pas les connaissances de ces scientifiques, mais depuis toujours mon dentifrice contient du fluor et cela depuis qu’il a été introduit en dentaire. Je n’ai jamais eu de caries.
Bien à toi,
Anido
Moi , j’ai eu des caries bien que j’ai utilisé fluocaryl !
…
le fluor n’est pas plus radioactif que le carbone !
…
Le fluor est toxique pour l’Homme :
* 2 mg/jour : risque de fluorose dentaire ;
* 10 à 40 mg/jour : fluorose du squelette ;
* 20 à 80 mg/jour : fluorose ankylosante ;
* 100 mg/jour : retard de croissance ;
* 125 mg/jour : altération rénale ;
* 200 à 500 mg/jour : dose létale.
De jeunes enfants ayant avalé leur dentifrice en se brossant les dents sur une longue période, ou qui ont mangé du dentifrice présentent parfois des intoxications au fluor .
bien à toi.
[b]Veritas[/b],
Je n’ai pas prétendu que le fluor était plus radioactif que le carbone.
C’est comme tout, il ne faut jamais abuser, moi j’utilise le dentifrice Signal qui est moins chargé en fluor.
Le venin est mortel, mais utilisé correctement il est médical.
Bien à toi,
Anido