Jugé par l’Inquisition, il du abjurer publiquement sa doctrine sur la rotation de la terre autour du soleil.
C’estle 23 juin 1633 devant le tribunal de l’Inquisition qu’il du abjurersous la menace de la torture que la terre était ronde et tournaitautour du soleil en soutenant la théorie de l’héliocentrisme selonlaquelle le soleil est au centre d’un système. Les planètes effectuantune rotation cyclique autour de cet astre. Réfutant les arguments dugéocentrisme qui place la Terre au centre de l’univers, on comprendalors que l’héliocentrisme devient le pire ennemi de l’Église, cettedernière ayant fondé plusieurs de ses dogmes sur le constat que laTerre est ferme et immobile. Religieux et scientifiques s’affrontent deplus en plus violemment. Les enjeux de ces découvertes restent énormeset les risques d’une vérité percutante constituent un foyer de révolteextrêmement menaçant pour l’Église.
Peinture de Jan Matejko.
Partisande la doctrine Copernicienne décrite par Nicolas Copernic 1472-1543 cesavant humaniste qui a changé la vision du monde en plaçant le soleilau centre de l’univers, les planètes décrivant une trajectoire qu’ilpensait circulaire. Voir ici Copernic et le système héliocentrique.
Galilée est l’un des grands défenseurs de la théorie coperniciennec’est pour cela qu’il fut un des tout premiers à divulguer lesprincipes de ce système en collaboration avec Giordano Bruno un martyrde la science, voir ici.Toutefois, le penseur élargit l’étendue de la doctrine coperniciennequi était à l’origine, presque uniquement cantonnée au domaine del’astronomie. Il avait compris que l’adhésion au système copernicienéquivalait à une rupture avec tout le vieux monde médiéval et àl’introduction d’une nouvelle conception de la réalité. La doctrinecopernicienne était en effet pour lui un véritable point de convergencede toutes nouvelles recherches scientifiques (mathématiques,mécaniques, astronomiques …). Mais Galilée ajoute à la doctrinecopernicienne un grand principe,
il prétendit que le monde n’était pas clos comme l’avaient déclaréPtolémée (Claudius Ptolemaeus est un astronome et astrologue etmathématicien Grec qui vécut à Alexandrie, Egypte au IIème siècle. Ilest le créateur du système dit de Ptolomée qui adapte le systèmegéocentrique d’Aristote au mouvement rétrograde de certains planètes, voir ici), ou encore Copernic, mais infiniment composé d’une infinité de planètesen orbite autour d’une infinité d’astres similaires au Soleil,
apparut dès lors la notion d’Univers.
Galilée se détourne rapidement de la recherche scientifique pure afin de se consacrer à une action de «propagande culturelle».
Selonles vœux mêmes de Copernic, cette doctrine resta pendant longtempsconfinée à un cercle restreint de spécialistes. Elle provoqua néanmoinsdes réactions de la part des savants et des théologiens. La plupart desastronomes restèrent fidèles au géocentrisme, tandis que laquasi-totalité des théologiens prirent position contre la théoriehéliocentrique de Copernic.
Parmi les théologiens réformés, on peut citer Melanchthon, et parmi lesthéologiens catholiques, on peut citer Bartolomeo Spina, soncollaborateur le dominicain Giovanni Maria Tolosani, et le théologienjésuite Nicolaus Serarius.
Les astronomes de leur côté avaient développé une doctrineintermédiaire entre le modèle géocentrique et le modèle héliocentrique,et l’équivalence des hypothèses. L’équivalence des hypothèses désigneune doctrine prônée entre 1580 et 1700 par l’Église catholique poursauver la face suite aux avancées scientifiques prouvant la pertinencede l’héliocentrisme.
La première lunette de Galiléo, document les dossiers de l’histoire.
C’esten 1610 que Galilée commence ses observations astronomiques avec unelunette de 1609 d’un opticien Néerlandais du nom Lipperseiy qu’il metau point. L’objet est brut et sans grand intérêt scientifique, on yvoit mal et flou. Galileo y entrevoit des immenses possibilités etdécide de l’améliorer. Dans son atelier, il travaille sur une lunette àpouvoir grossissant supérieur et aux qualités de vision trèsutilisable. Il polit lui-même les verres de Venise jusqu’à ce qu’ilobtienne un grossissement à 9 fois, l’image est fort correcte. A laprésentation au Dodge de Venise c’est la stupéfaction puisl’enthousiasme. Galileo invite les Sénateurs de la République à venirl’essayer du haut du campanile de Venise. L’effet est inouï, lesmonuments éloignés de 30 km semblent proches seulement de troiskilomètres. Le Sénat vote un doublement du salaire de Galileo etconfirme son poste à vie.
Ilcommença alors à faire de la propagande copernicienne à Florence et àRome. Il rencontra des résistances de la part des philosophes et desthéologiens.
Galileoécrit des lettres, argumente sa position, tente d’illustrer ses diresgrâce à ses travaux d’astronomie, à l’invention d’un microscope aussi,mais il ne parvient toujours pas à prouver la rotation de la Terreirrévocablement. Il se lance alors dans l’étude des marées et en 1624,il entreprend à la suite des recherches sur la longitude et la latitudela rédaction d’un livre qu’il veut appeler dialogue sur les marées. Ily expose les hypothèses de Copernic et de Ptolémée. Mais une foisencore, il ne parvient pas à expliquer la présence de deux marées parjour dans ses probabilités relationnelles avec le cycle lunaire.
En1615, le carme Paolo Antonio Foscarini prit une position favorable àl’héliocentrisme, en montrant que cette hypothèse n’était pas contraireaux Écritures saintes. La controverse prit une telle ampleur que lecardinal Bellarmin, pourtant favorable à Galilée, fut obligéd’intervenir le 12 avril. Il écrivit une lettre à Foscarini où ilcondamnait sans équivoque la thèse héliocentrique en l’absence deréfutation concluante du système géocentrique. Tout en reconnaissantl’intérêt pratique, pour le calcul astronomique, du système deCopernic, il déclarait formellement imprudent de l’ériger en véritéphysique. Galilée de son côté était bien conscient des difficultés queposait le système de Copernic par rapport aux passages cosmologiques dela Bible, comme le montre sa lettre à Christine de Lorraine (1615),mais il revendiquait une autonomie dans ses recherches.
En février 1616, malgré tous ses efforts de persuasion pour faireadmettre la pensée copernicienne, celle-ci est soumise à l’examen duSaint-Office et désormais frappée d’interdit dans tous les payscatholiques, cette censure étant ratifiée par le pape Paul V etl’Inquisition. Galileo se remet difficilement de cet échec cuisant.
Toutefois,on ne considérait pas les idées héliocentriques comme hérétiques, maissimplement comme téméraires. Ses adversaires ne se sont pas directementattaqués à lui mais ont dénoncés au Saint Office les doctrines de Copernic et du Danois Tycho Brahe 1546-1601 et de l’Allemand Johan Keppler1571-1630. En 1616, les livres de Copernic sont officiellementcondamnés et les livres qui lui sont favorables sont soumis à lacensure.
Lecardinal Bellarmin 1542-1620 président de la commission du Saint Officenotifia personnellement à Galilée qu’il ne doit plus soutenir que lesoleil immobile au centre du monde est une opinion fausse et absurde enphilosophie et est profondément hérétique par ce qu’elle est contraireaux Écritures. Le cardinal lui conseille de ne traiter le sujet qued’une manière hypothétique et dans des buts scientifiques et de ne pasessayer de les concilier avec la Bible. C’est en faisant référence àcette recommandation du Cardinal que l’Inquisition mettra Galileo enaccusation quinze ans plus tard
Il est malade et ne se réinvestit dans des recherches actives que vers 1618.
En1624 toujours soutenu par l’Académie des Lynx et par son ami lecardinal Maffeo Barberini, qui deviendra le pape Urbain VIII, le savantmathématicien et astronome et mécanicien, continue avec acharnement saquête de la vérité. Mais en cette période tourmentée par lesdécouvertes scientifiques, le moindre pas vers une vérité subversivetourne irrémédiablement à l’hérésie. En 1632, protégé par le Grand-Ducde Toscane, Ferdinand II de Médicis 1610-1670, et sur commande du PapeUrbain VIII 1568-1644, à la suite de son livre sur les marées, lesautorités religieuses de Rome et de Florence approuvent le contenu etmodifient le titre en,
«Dialogo sopra i due massimi sistemi del mondo» (Dialogue sur les deux grands systèmes du monde),
ouvrage dans lequel il ridiculise ouvertement le géocentrisme.L’ouvrage est un succès européen et le livre est rapidement épuisé.
Cette théorie basée sur une discussion entre trois hommes de sensibilité différente, Sagredo un homme désireux d’apprendre rencontre Salvati qui représente Galiléo et défend les théories de Copernic, et Simpliciosymbolisant la vieille pensée aristotélicienne bouleverse la science.On voit dans cette façon de représenter la croyance et l’incroyance legénie de cet homme. Le Pape, qui avait plutôt commandé une œuvreobjective, s’indigne du côté propagandiste du dialogue qui défend laseule vision copernicienne. Une fois encore, Galileo qui a 69 ans estconvoqué par le Saint-Office comparait pendant 20 longues journées etil renonce à argumenter sa défense ne sentant pas de répondant parmises juges, il sera cette fois condamné à la prison à vie.
Son combat contre l’église fut donc le calvaire de sa fin de vie desavant, celui de la science contre le dogme. A cette époque seulel’église avait la connaissance, et quiconque contredisait son autoritéétait condamné à la prison à vie. L’église adepte du géocentrisme nepouvait transiger sur cette question devant toute la chrétienté. Et encondamnant Galileo Galilei elle rétablissait son autorité pendant cettepériode en cause ses dogmes.
Le 22 juin 1633, au couvent dominicain de Santa-Maria, la sentence estrendue, Galiléo est condamné à la prison à vie (peine immédiatementcommuée en résidence à vie par Urbain VIII) et l’ouvrage est interdit.
Le tribunal de l’Inquisition ou Galileo abjure ses observations sur le mouvement des planètes.
Document les dossiers d’actualité de l’histoire n° 240.
Le texte des paroles prononcées par Galileo devant le tribunal.
«Moi,Galileo, fils de feu Vincenzio Galilei de Florence, âgé de soixante dixans, ici traduit pour y être jugé, agenouillé devant les très éminentset révérés cardinaux inquisiteurs généraux contre toute hérésie dans lachrétienté, ayant devant les yeux et touchant de ma main les SaintsÉvangiles, jure que j’ai toujours tenu pour vrai, et tiens encore pourvrai, et avec l’aide de Dieu tiendrai pour vrai dans le futur, tout ceque la Sainte Église Catholique et Apostolique affirme, présente etenseigne. Cependant, alors que j’avais été condamné par injonction duSaint Office d’abandonner complètement la croyance fausse que le Soleilest au centre du monde et ne se déplace pas, et que la Terre n’est pasau centre du monde et se déplace, et de ne pas défendre ni enseignercette doctrine erronée de quelque manière que ce soit, par oral ou parécrit; et après avoir été averti que cette doctrine n’est pas conformeà ce que disent les Saintes Écritures, j’ai écrit et publié un livredans lequel je traite de cette doctrine condamnée et la présente pardes arguments très pressants, sans la réfuter en aucune manière; cepour quoi j’ai été tenu pour hautement suspect d’hérésie, pour avoirprofessé et cru que le Soleil est le centre du monde, et est sansmouvement, et que la terre n’est pas le centre, et se meut.
UrbainVIII donna l’ordre de faire connaître la condamnation de Galilée à tousles professeurs de mathématiques et de philosophie. Les copies de lasentence et de l’abjuration de Galilée furent envoyées dans l’Europeentière et suscitèrent la surprise des savants.
René Descartes d’après Frans Hals.
C’estainsi qu’en novembre 1633, René Descartes apprit la condamnation deGalilée. C’est la raison pour laquelle il renonça à publier son traitédu monde et de la lumière. Il reçut l’année suivante une version duDialogue sur les deux grands systèmes du monde. Pensant que Galilée s’yétait mal pris pour démontrer la thèse héliocentrique, Descartesentreprit une carrière philosophique pour proposer une nouvelle méthodede pensée se détournant de la scolastique, carrière qui commença avec le célèbre discours de la méthode (1637).
Le discours de la méthodeest le premier texte philosophique écrit par Descartes. Écrit enFrançais, langue vulgaire à l’époque voulait s’opposer à la traditionscolastique. Le discours de la méthode est le premier ouvragephilosophique en Français. C’est dans ce discours que l’on retrouve lacélèbre phrase «je pense donc je suis» (cogito, ergo sum), c’est la base de toute connaissance, la première chose dont on ne peut douter, je peux douter de tout sauf de mon doute, c’est-à-dire de l’existence de ma pensée pendant que je doute, voir ici .
La méthode scolastiquedu latin scola, école, désigne une philosophie développée et enseignéedans les universités au Moyen Âge visant à concilier la philosophieantique (particulièrement l’enseignement de la philosophie premièred’Aristote) avec la théologie chrétienne.
Sa définition précise reste problématique. «La scolastique médiévale nepeut se définir davantage par le souci de subordonner la vieintellectuelle à la vie religieuse, et de constituer un systèmespéculatif ayant pour objet essentiel l’accord direct d’une philosophieavec le dogme chrétien, ou le dogme musulman, s’il s’agissait d’unescolastique musulmane. Oui, les médiévaux ont poursuivi un idéal desavoir, une conception du monde, où s’engageraient dans une haute etunique sagesse les ressources des diverses sciences réunies».
Lacontroverse et le procès de Galilée mettaient en effet en évidence leslimites de la méthode scolastique, trop spéculative et ne prenant pasassez en compte les résultats de l’expérience. Descartes fut lephilosophe qui se démarqua le premier de la scolastique et de laphilosophie aristotélicienne. Il proposa un système philosophiqueessentiellement rationaliste, dans lequel la recherche de la vérité reposait sur la raison et les lumières naturelles, et non sur les lumières de la foi.
La Recherche de la Vérité par la lumière naturelle, la seule œuvre dialogique de René Descartes, bien qu’inachevée,constitue l’un des textes cartésiens parmi les plus vifs et pénétrantsqu’il ait écrits. Il y apparaît la «modernité» d’une pensée formée parune culture très proche du scepticisme moderne et des Essais deMontaigne. Eudoxe (Descartes) ouvre un débat polémique contre unreprésentant de la tradition, Epistémon, et s’efforce de convaincre unjeune, Poliandre, qui n’a pas étudié au collège et ne faitconfiance qu’à la lumière naturelle qu’il est possible de fonder unescience solide, tout à fait autre que celle des philosophes.
Dans ce but, Eudoxe expose dans une forme presque pédagogique lespoints déterminants de sa spéculation métaphysique, une singulièreforme de scepticisme, «le plus vertigineux qu’il ait peut-êtreprofessé», une analyse du doute de rare profondeur, une assertion bâtiesur les ruines de la logique aristotélicienne et du principe decontradiction. Ouvrage introduit par Ettore Lojacono, qui enseigne laphilosophie à l’Université La Sapienza (Rome), texte revu parMassimiliano Savini, professeur de philosophie à l’Université de Lecce.
La suite à la seconde partie.
[b]Cher Nidolga,
Nous voici repartis dans une nouvelle série Historique, très joliment illustrée par des photos superbes.
Je la suivrai en silence, mais là, comme je n’avais pas encore lu de commentaires, je suis passée faire un « petit coucou à Descartes! (et à VOUS, par la même occasion)
Le siècle des « Lumières », ….[/b]
le siècles des « lumières » …hum, hum !!!
Descartes était des Rose-croix …
Comme lumière on fait mieux !
[b]SOPHY[/b] bonjour,
L’histoire n’est-elle pas la base de la politique ?
Guy Mollet disait qu’un bon politique doit connaitre l’histoire, la politique est bien le prolongement de l’histoire puisque c’est elle qui en est la créatrice.
Non, il ne s’agit pas d’une série mais de deux articles sur ce savant inventeur astronome mathématicien et mécanicien, un génie en quelque sorte.
J’ai voulu écrire en ce début d’année sur cet homme qui à eu a affronter la toute puissance de l’église pour faire avancer ses découvertes mais qui devant l’ignorance des hommes a du se renoncer devant l’Inquisition.
Mais son œuvre reste, à l’impossible nul n’est tenu.
J’aime bien diversifier mes pensées et l’histoire m’en donne l’occasion d’autant qu’en ce début d’année en politique rien de bien passionnant à nous mettre sous la dent.
Alors si le personnage vous plait et que je vous aie diverti, j’en suis heureux.
Bien à vous,
Anido
« Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix ». cette organisation remonte à la plus haute antiquité égyptienne ; elle est en mesure de faire connaître une « sagesse précieuse », communiquée jadis par des « maîtres » et transmise de génération en génération par des initiés. Parente de la Franc-Maçonnerie, la Rose-Croix serait plus ancienne que cette dernière. L’emblème de l’ordre est une croix portant en son centre une rose rouge. Il existe des « loges rosicruciennes » dans la plupart des pays du monde, de nombreuses publications rosicruciennes, et une « Université Rose-Croix Internationale ». Il est recommandé de fréquenter une loge ; mais pour un débutant, une bonne partie de la formation peut être assurée par correspondance, en-dehors de tout regroupement. L’organisation se présente comme un mouvement fraternel et philosophique, mais non religieux. La page d’accueil du site « www.rose-croix.org ». comporte cette devise : « Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’Univers. »
[b]Veritas[/b] bonjour,
René Descartes mathématicien, philosophe et physicien expose dans le discours de la méthode ses pensées philosophiques en 1637 après les avoir exposées en 1628 dans les règles pour la direction de l’esprit. Très critiqué c’est vrai au Siècle des Lumières par Voltaire, Diderot et Rousseau.
Le discours de la méthode ici :[url]http://fr.wikipedia.org/wiki/Discours_de_la_méthode[/url]
Mais qu’importe, René Descartes n’en fût pas moins un grand savant,
René Descartes [img]http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/06/Descartes-moncornet.jpg/180px-Descartes-moncornet.jpg[/img]
[img]http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/40/René_Descartes_i_samtal_med_Sveriges_drottning,_Kristina.jpg[/img]
Bien à vous,
Anido
Bonjour Nidolga !
on peut en dire la même chose pour Leibnitz, mathématicien remarquable,
mais aussi membre de la secte Rose croix, societé-soeur de la franc-maçonnerie!
[b]Veritas[/b],
Dans la série que j’ai fait sur la Franc-maçonnerie j’évoque l’Ordre des Rose-Croix sans m’étendre.
La franc-maçonnerie remonte à l’antiquité Veritas, aux bâtisseurs de cathédrales les tailleurs de pierres leur signe le compas et l’équerre, bien avant celui de l’Ordre des Rose-croix.
L’Ordre de la Rose-Croix fait son apparition au XVIIème siècle en Allemagne alors que la Franc-maçonnerie existait sous les Templiers. En fait on ne peut avec exactitude se prononcer, puisqu’ils apparaissent aussi dans dans la littérature ésotérisante, souvent comme successeurs des chevaliers du Graal et des templiers.
Bien à vous,
Anido
[b]Veritas[/b],
Tout à fait Veritas, société secrète sœur de la Franc-maçonnerie.
Quand à Liebnitz tout aussi de votre avis, mais dans mon article il n’apparaît pas. Ce qui ne signifie en rien qu’il ne soit pas un grand mathématicien.
Par contre Galilée ne faisait parti d’aucun ordre.
Anido
[b]Bravo Anido…. J’attends la suite de cette série historique avec beaucoup d’impatience…
Avec toute mon amitié et tous mes vœux pour 2010
Dominique[/b]
[b]Dominique[/b] bonjour,
Merci pour ton passage. En fait ce n’est pas une série mais deux articles aussi passionnant l’un que l’autre.
Comme je l’ai écrit sur le commentaire de Sophy, actuellement nous n’avons pas beaucoup de grain à moudre en politique, donc je meuble en attendant.
Et puis, écrire toujours sur les mêmes sujets, cela devient lassant.
Bien à toi, et tous mes vœux,
Anido