C’est clair, Washington a pris un nouveau pli depuis l’arrivée de la nouvelle Administration au pouvoir! Et on a pû le constater ces derniers mois en voyant les changement que prodigue Obama de part ses décisions, tant sur le plan social américain que sur le plan international.

 

 

Sous l’Administration Bush l’étiquette n’était pas de couleur rose pour les américains. L’ancienne Administration a, en effet, laissé pas mal de mauvais souvenirs liés à sa politique de 2001 à 2009. Les protestations n’ont pas cessé de fuser non plus en ces 8 dernières années sur le plan international. Critiquant notamment la guerre en Irak, l’opinion publique n’a pas cessé de manifester son désaccord avec cette politique qu’elle désapprouvait sur bien des plans. Les actions de la politique "Bush" ont créé une méfiance à l’égard de l’impérialisme américain, et ceci est toujours d’actualités.

 

Il fallait donc, après une décénnie de méfiance, redorer l’image américaine. Pour cela le nouveau président Barack Obama a un sacré boulot et pas des moindres. Les attentes du monde vis à vis du nouveau président sont nombreuses si on compte le réchauffement climatique, la crise économique, le renouement du dialogue avec les pays du moyen-orient, etc… Et cela Monsieur Obama le sait très bien, mais il a quand même tenu à rappeler au reste du monde que "les efforts à faire concerner tous les pays et pas seulement les Etats-Unis". 

 

Autant dire que les changements ne se sont pas fait attendre. Après une réforme du système de santé américain, l’Administration "Obama" a décidé de renoncer à son projet de bouclier anti-missiles en Pologne, initialement annoncé par Bush&co, et ce pour le plus grand bonheur de la Russie qui, rappelons le, avait menacé ces derniers de represailles militaire si un tel bouclier était construit si près de leurs frontières considérant ceci comme une atteinte à sa propre sécurité.

 

On est donc loin du discours de l’ex président américain qui, lors de ses premières incursions en Irak, avait énoncé aux protestataires de l’époque un petit "ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous". Au contraire de son prédécesseur, le nouveau président lui ne fait pas preuve non plus de chauvinisme puisque lors de son discours de charme au Caire il lâcha un "Salam alekoum" ou "que la paix sois sur toi".

 

Il faudra certe du temps pour refermer le fossé créer pas ses prédécesseurs. En attendant Barack Obama a du pain sur la planche et beaucoup sont scéptiques quant à son rôle sur le plan mondiale, en effet 2 mandats paraissent dérisoires pour rattraper toutes ces années de gaspillage politique de la part de la première superpuissance mondiale.