En l'absence d'informations fiables, qui ne viendront peut-être jamais, doit-on pratiquer l'auto censure sur un sujet pénible mais passionnant, ou se résoudre à relayer la confusion, quand ce n'est pas la dés-information pré-mâchée des grands médias ? Ce n'est pas la définition que je me fais d'Internet : j'ai trouvé sur ce support nombre de commentaires judicieux et d'échanges enrichissants de la part des internautes anonymes quand les articles de fonds étaient tout simplement désertiques… 

Le projet Web bot n'est pas dénué d'intérêt par exemple, car il tient compte de la part de pressentiment qu'internet peut véhiculer tout autant que de rumeurs ou légendes urbaines. C'est le propre d'un média sans contrôle de couvrir les potentialités des deux hémisphères cérébraux humains : le logique et l'intuitif.

Donc ne renonçons pas à nous interroger lorsque l'environnement nous invite à livrer notre sens critique à la passivité qu'organise et dont tire partie le système officiel de pseudo-informations. De nouvelles supputations peuvent-elles être envisagées sur la base d'une compréhension élargie ? Nous ne nous interresserions pas à ce sujet si de telles conditions de disparition d'un aéronef ne faisaient pas l'objet de déclarations si contreversées et ne présentaient pas des zones d'ombres inquiétantes. La vérité n'est pas un luxe dans une démocratie, la crise bancaire nous l'a suffisamment démontré. Exigeons-là.

 

Il devient de plus en plus crédible que l'avion d'Air France disparu des écrans radars il y a déjà 5 jours a bien explosé en vol.

Alors que cette version était contestée dès le départ par les autorités officielles voulant nous faire croire à un avion en perdition au-dessus de l'océan, suite à une avarie de ses systèmes électriques, on  écartait ostensiblement la thèse d'un attentat à bord.

Qui aujourd'hui encore est capable d'apporter le moindre indice plausible sur ce qui s'est réellement passé à 12 000 mètres d'altitude pour 228 passagers et 12 membres d'équipage ?

 

Les dernières déclarations françaises et brésiliennes ajoutent à la confusion de départ.

Désormais, la nappe de kérozène flottant en surface dans les lieux du crash résulterait du dégazage en mer d'un navire, et les éléments éparpillés ne seraient pas ceux du vol selon Europe 1.

Mercredi, l'armée française confirmait posséder des débris de l'avion : mais parle t-on des mêmes quand l'armée brésilienne révèle détenir des morceaux et que la radio infirme ses propos ?

Etrangement, il flotte un air de confusion et de dés-information sur cet événement et ce depuis le début. On viendra ensuite reprocher aux partisans, dans tous les domaines, de la théorie du complot, leur imagination débordante !

Les familles des victimes ne s'y sont pas trompées : elles ont rapidement constitué une association pour agir en justice et avoir accès aux dossiers, du moins ceux qui ne seront pas couverts par un quelconque secret défense ou la Raison d'Etat.

Je suis mauvaise langue me direz-vous ?

Je tire la leçon des accidents précédents et des procédures d'enquête.

 

Ce qui est confirmé, c'est le désir de savoir ce qui s'est vraiment passé chez un public pour lequel la presse entretient le suspens, ayant sans doute trouvé là un sujet en or.

Ce désir ne se dément pas jour après jour, il est très sain et relève d'un questionnement auquel personne ne tente vraiment de répondre judicieusement au plus haut niveau, comme on serait en droit de s'y attendre en 2009.

Voudrait-on continuer à faire flotter ce crash dans le brouillard le plus total, histoire de choisir la version la plus intéressante à la fin… qu'on ne s'y prendrait pas autrement.

Mais rappelons que N. Sarkozy rencontrera les familles des victimes lundi prochain : voilà un week-end qui contribuera à l'enregistrement d'une meilleure image affective, plus positive dans la mémoire collective, sollicitée par le rite prestigieux de l'anniversaire du Débarquement qui se déroulera à la même date avec B. Obama.

Il y a des événements qui se télescopent dans l'actualité et qui laissent songeur. Le destin aurait-il lui aussi son calendrier ou journal de bord ? Le Hasard n'est pas une loi de notre univers où toute chose existe en vertu d'une nécessité.

Même la science reconnaît cela en menant son enquête : le monde est intelligible et pas simplement sensible. Le monde résulte d'un contact au niveau de l'intelligence (esprit) autant que des sens. 

Sinon, on n'enquêterait pas si on devait se résoudre à ne jamais rien pouvoir prédire. Car la connaissance ne vise rien d'autre qu'à satisfaire la quête, le besoin de prédiction au service du désir de contrôler les enchaînements factoriels en prévoyant les phénomènes à partir de causes connaissables et mesurables.

Reprenons le cours de cette analyse : réfléchir, ce n'est pas connaître, c'est douter !

Tentons de conserver notre esprit critique, ce qui veut dire à ce stade n'exclure aucune hypothèse.

 

Il s'agit de se souvenir qu'un pilote avait déclaré à son arrivée à terre avoir aperçu des débris flottants sur un périmètre de 5 kms au cours d'un vol dont il avait la conduite dans la proximité de l'accident, et ce dès le début de l'alerte. Il n'avait encore pas pris connaissance de l'existence du crash et n'avait pas apporté plus d'attention à cette vision.

 

La thèse de l'attentat reste t-elle encore plausible ?

Pas sûr.

Elle ne peut pas être éliminée à 100 % évidemment. Air France procédait bien, paraît-il, à des fouilles des appareils avant décollage… Manifestement, celui-ci a dû échapper à un tel contrôle.

 

Au bout de 5 jours, l'effroyable destruction n'aurait-elle pas été déjà revendiquée… ?

Mais ça peut encore venir, si on trouve inopinément une cassette quelque part dans les grottes de Lascaux, par exemple.

Il y a eu des attentats non revendiqués. Plus rares, mais ça existe…

 

Désormais, d'autres éléments intéressants viennent combler le vide saisissant laissé derrière lui par l'Airbus 330 : ils émergent à la surface d'un océan de confusion et proviennent plus souvent de l'étranger qui semble animé d'une même interrogation et d'une volonté de participer, ou tout du moins de contribuer, à exhumer l'étrange doute planant encore sur cette affaire.

 

Attachons-nous au témoignage recueilli auprès d'un pilote de la Compagnie Air Comet qui effectuant un vol Lima-Madrid avait traversé la zone supposée du AF 447.

Le Commandant a effectivement pris l'initiative de faire un rapport à sa compagnie, lequel fut aussitôt transmis à Air France et aux autorités en charge de l'enquête, où il relate avoir aperçu un éclat intense qui chutait à la verticale avant de se segmenter en six morceaux dans la nuit de dimanche à lundi !

Cette version, pour le moins inédite, a été de plus, confirmée par le témoignage d'une passagère de ce vol selon le Figaro qui révèle l'information

 

Les éléments de ce rapport, en tout cas ceux repris par la presse française, ne soulignent malheureusement rien des conditions météos rencontrées par le commandant d'Air Comet, à savoir la confirmation ou non d'une zone d'intempéries particulièrement virulente qu'il aurait pu connaître également.

 

On ne peut déduire non plus de ce témoignage la distance approximative des deux avions : un tel flash lumineux peut se voir de très loin par temps clair au-dessus de l'océan, de nuit comme de jour, mais plus difficilement si la visibilité est rendue pour le moins nuageuse (les fameux grêlons gros comme un poing !) et que les éclairs jaillissent de partout autour des appareils.

 

Des dizaines d'avions ont traversé cette zone et peuvent apporter des éléments de réponses sur la réalité des conditions de vol rencontrées par l'A330.

Là encore, des témoignages contradictoires confirment tantôt des pannes électriques d'une heure dans un vol de TAP à bord d'un Airbus également, ou des turbulences étranges au milieu de l'Atlantique sur la route du AF 447, tantôt des conditions de vol normales comme la Lufthansa.

Nul doute que les gendarmes qui procèdent à l'enquête demanderont la délivrance de commissions rogatoires internationales pour pousser plus avant leurs investigations et se faire une idée des conditions rencontrées par l'avion français.

 

Ceci dit, il est troublant de songer que personne ne pense jamais à des informations d'origines satelittaires que pourraient fournir les nombreux engins de surveillance et d'étude tournant autour de la Terre et constituant une toile d'observations inédites.

Ne nous dit-on pas qu'un de ces appareils peut détecter un ballon dans votre jardin ?

Rien n'empêche de recourir à l'étranger pour cela.

Il ne faut pas exclure qu'en ce moment même une puissance étrangère est en train de posséder et d'étudier de telles informations pour son compte.

 

Effectivement une telle demande a été adressée aux USA par N. Sarkozy.

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/06/01/01016-20090601ARTFIG00258-un-avion-air-france-disparait-des-ecrans-radars-.php


Mais des satellites européens ou chinois, voire russes, tournent également autour de la planète…

Pour ma part, et en l'absence d'informations rapides dans les premières heures du drame, je déplore l'attitude officielle française consistant à rapidement conclure à un accident par foudroiement (réfuté par plusieurs pilotes), et a adresser des condoléances, comme si aucun espoir ne devait plus réapparaître…

On a vu d'autres cas où le sauvetage avait laissé quelques espoirs, ou en tous cas une période de flottement avant que les autorités décident de conclure presque définitivement à un tel épilogue.

Surtout que beaucoup de bâtiments et avions sont allés sur zone semble t-il (voir le lien plus haut). Ce réalisme des autorités me saisit d'effroi… Nous sommes en 2009, et un barbu d'afghanistan peut mettre " en échec plusieurs armées du monde", des pirates somaliens jouent au chat et à la souris avec les forces de l'Otan, un avion disparaît sans laisser de trace au-dessus de l'océan, simplement par les caprices du temps… et en plus dans une zone non couverte par les radars, comme par hasard !

 

Je n'arrive pas à me résoudre à croire aucune de ces hypothèses. Et ce n'est pas l'attitude et les déclarations des uns et des autres qui aident à s'y retrouver 5 jours après. Alors je pense à l'impensable, à ce dont on ne nous parlera sans doute jamais…

 

Le temps, la météo justement… ou bien un missile, voir une arme à onde !

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/06/02/01016-20090602ARTWWW00283-les-causes-possibles-de-l-accident-de-l-airbus.php



Faisons un tour si vous le voulez sur l'île de Fernando de Noronha…

les familles des victimes ont demandé à pouvoir s'y rendre.

http://www.noronha.com.br/histoire.htm

http://tf1.lci.fr/infos/jt/0,,4433499,00-l-ile-fernando-de-noronha-transformee-en-base-militaire-.html

http://www.starzik.com/vod/video/Fernando_de_Noronha-836798.html


Une ile aujourd'hui écologique, mais dont le passé n'a pas été tranquille. Les gros porteurs disposent d'une piste d'atterrissage semble t-il. Le radar de l'île couvre encore une bonne partie de l'atlantique après les côtes brésiliennes et en direction de l'Afrique. Evidemment, c'est dans ce qu'on appelle une « zone blanche » que le vol d'Air France a sombré… Le destin pesait sur ce vol.

 

Nous sommes au niveau de l'Equateur. Les différentes armées du monde ont des bâtiments un peu partout… et des avions en vol.

Par conséquent, le vol français a forcément dû apparaître sur les écrans radars d'un autre appareil : avion ou bateau. Ou bien rencontrer inopinément sur sa route un autre avion (type militaire) qui l'a coupé en deux au milieu du nuage de déluge, ou encore être télescopé par un missile ou le rayon d'une arme à ondes au cours de manoeuvres discrètes.

La perte de chalutiers, ces dernières années, au large des côtes françaises a rappelé à notre bon souvenir ce type d'éventualité. On sait comment cela se termine quand un sous-marin vogue en sub-surface près des lieux de pêche.

 

Les US sont friands depuis des décennies des armes à ondes.

Ils les ont déjà utilisé au cours de la première guerre du golfe, obtenant la reddition des forces irakiennes, tandis qu'on prétendait alors que les soldats de la coalition devaient s'attendre à des attaques chimiques de la part de l'ennemi.

On n'a pas vu grand chose arriver de réellement conséquent de ce côté-là, à part des sections entières d'Irakiens venant se rendre prisonniers.

Que s'est-il passé ?

 

Un élément de réponse que quelques uns trouveront démentiel, mais je vous rappelle quand même que nous sommes en 2009 et que les armées du monde n'ont pas à communiquer sur leurs stratégies ou arsenal au grand public. La démocratie ne s'entend pas jusque-là ! Même dans les pays de l'hémisphère nord réputés les chantres de la liberté mais où certaines informations ont du mal à sortir tout de même.

C'est pour elles d'ailleurs que Jospin a inventé le fumeux concept de transparence qu'il ne faut pas assimiler à un devoir de vérité ! La Vérité n'est d'ailleurs même pas un droit inscrit aux frontons de la République Française. Allez savoir pourquoi cet oubli jamais corrigé  en droit,

N'est elle pas aussi importante pour la bonne marche d'une démocratie adulte, que l'égalité par exemple ?

 

Quel est donc cet élément que je désire soumettre à votre critique ?

L'ordinateur que vous utilisez en ce moment doit être pris comme un sous-produit de l'ère de l'électronique dans laquelle notre civilisation occidentale est réellement rentrée depuis deux décennies au moins.

Cela signifie que les ondes, les armes silencieuse et à rayons font partie des guerres modernes, tout autant que les médias sont devenus des outils de propagande sous couvert d'informer…

 

« Comment? Tout simplement en modifiant la circulation des vents en haute atmosphère là o ils entrent en interaction avec l'ionosphère. On pourra également provoquer la libération soudaine d'une énorme quantité d'énergie en imitant par exemple le flash provoqué par une explosion nucléaire à haute altitude. Un type d'action militaire qui ne relève en rien de la science-fiction puisqu'elle a déjà été utilisée sur le terrain en 1991 au cours de la guerre du Golfe et de l'opération "Desert Storm". Selon le périodique militaire officiel Defence News (n°19 du 13 avril 1992), les Etats-Unis avaient déployé sur le champ de bataille une arme à impulsion électromagnétique (EMP Weapon). Le but de cette arme est double: il permet, comme le fait une explosion nucléaire, d'empêcher toute forme de communication radio chez l'ennemi et a un effet redoutable en matière de guerre psychologique. On comprend mieux dans ce cas pourquoi des dizaines de milliers de soldats irakiens se sont rendus sans combattre. Autre application de la technologie "Haarp" : transmettre sans l'apport d'un cable électrique de fortes quantités d'énergie d'un point à l'autre. Utile, par exemple, pour ravitailler à distance les batteries électriques d'un sous-marin. »

 

 

« Bouclier global

L'utilisation des ondes et de leurs propriétés électromagnétiques est une arme terriblement efficace. Le Dr Rosalye Bertell affirme que les Américains expérimentent à l'insu de tous et surtout au mépris des conventions internationales ce genre d'armement depuis plus de quarante ans. Se sont succédé ainsi une série de projets : "Argus" (1958), "Starfish" (1962), "Solar Power Satellite" (1968 et 1978), "Space Shuttle Experiments" (1985), "Mighty Oaks" (1986) ou "Desert Storm" (1991), qui avaient tous pour but de jouer avec l'ionosphère ou avec certaines ondes pour différentes raisons : rupture des communications de l'ennemi, armes à plasma, etc.

 

"Haarp" est donc le dernier chapitre en date de ces projets. Les Américains auraient même l'intention de développer un véritable réseau de stations similaires à travers le globe afin de créer de la sorte un bouclier modulable total. Ainsi, il existe d'autres complexes de recherches sur l'ionosphère comme à Puerto Rico, en Norvège à Tromsoe, au Pérou à Jicamarca, en Russie (près de Moscou) ou encore à Nizhny Novgorod, en Ukraine ou dans le Tadjikistan… »

Sources :

http://gaelle.hautetfort.com/archive/2008/05/12/le-projet-haarp.html

 

 

14h55 : Une météo normale une heure avant le drame ? Les pilotes d'un vol Lufthansa Sao Paulo-Francfort, qui opérait la nuit du crash du Rio-Paris d'Air France n'ont remarqué «rien d'anormal» dans les connditions météo sur leur trajet, annonce la compagnie aérienne allemande. L'avion de Lufthansa, un Boeing 747-400 avec quelque 300 passagers avait décollé le dimanche 31 mai à 18H36 locales de Sao Paulo au Brésil (21H36 GMT) et avait atterri lundi à Francfort (ouest de l'Allemagne) comme prévu à 10H57 locales (8H57 GMT). Le vol AF447 avait lui quitté Rio de Janeiro à 19H29 locales (22H29 GMT) dimanche avec 228 personnes à bord et devait se poser lundi à Paris à 11H15 (9H15 GMT).   

 http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/06/04/01016-20090604ARTFIG00394-af-447-de-nouveaux-debris-de-l-appareil-reperes-.php

Voilà qui peut donner à réfléchir sur, entre autre, les 153 bases US présentent à travers le monde et destinées paraît-il à protéger les USA d'attaques terroristes fomentées par des réseaux réputés planétaires comme ALQuaida. En réalité, Business is business ! Et l'armée sert les affaires des multinationales américaines.

Et puis la stratégie des attaques préventives mise au point par le Pentagone, (sans compter le contrôle de la Chine et de la Russie que l'on voudrait bien voir être contenues dans leurs frontières, ni oublier que les USA ont pour culture de surveiller davantage leurs alliés que leurs ennemis), justifie ces implantations afin de donner une base solide à un prochain conflit planétaire (où l'arme à onde et l'arme météorologique seront largement utilisées), à de prochains cataclysmes "naturels", en vue de l'installation d'une future gouvernance mondiale qu'on nous annonce inéluctable (Dixit le Psdt Sarkozy dont l'Atlantisme n'est plus à prouver).

 

Pour conclure : au milieu de l'Atlantique le Nouvel Ordre Mondial est -il en préparation ?