d'auscultation des cartables.
Le 15 mai dernier dans un collège de Fenouillet en Haute-Garonne, une enseignante a été légèrement poignardée (blessée) par un élève de 5ème, fait rarissime mais qui fait suite à de nombreux actes de délinquance dans nos écoles commis par des élèves de plus en plus jeunes. Les chiffres sont inquiétants, 34 % des lycées (enseignement général et technologique), 56 % des lycées professionnels et 60 % des collèges se disent concernés par les violences verbales. 34 % des lycées, 54 % des lycées professionnels et 57 % des collèges se disent concernés par les violences physiques. (Source : Education nationale).
Cette violence s'exprime sous différentes formes, elle est principalement verbale, injures entre élèves ce qui a toujours existé.
Une scène se passe à la cantine d’un collège parisien. Un élève se sert de l’eau à la fontaine et, sans le faire exprès, éclabousse son voisin. Le ton monte, les insultes partent, «Tu pourrais t’excuser, espèce de c… ». Très vite, les deux élèves s’empoignent, jusqu'à ce qu’un adulte intervienne et les sépare. Les élèves sont tendus, les nerfs sont à vifs.
Ce genre de dispute est fréquent. Doit-on en conclure qu’il existe aujourd’hui davantage de violence dans les établissements scolaires ? «Il y a toujours eu des bagarres dans les cours de récréation, mais, depuis quelques années, nous sentons monter une tension très forte», témoigne Jean-Louis Dubremetz, directeur du collège Saint-Joseph de Lille. Son établissement de 460 élèves se situe en périphérie, près de quartiers constitués de barres d’immeubles. «La violence est surtout verbale, insultes, impolitesse, marques d’irrespect. Très rapidement, les élèves peuvent en venir aux mains, voir ici .
Dans l’ensemble scolaire Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle à Saint-Denis, qui accueille 2 200 élèves, Mona Decreton, directrice du collège, fait une constatation semblable, «Les élèves s’insultent fréquemment, et cette manière de s’exprimer leur paraît normale. «La violence verbale est en quelque sorte le symptôme d’un manque de respect à l’égard des biens et des personnes, qui peut conduire ensuite à des comportements plus graves».
Entre élèves et enseignants la violence est récente, elle est de rejet, le mal vivre, elle n'existait pas il y a plusieurs années. Le respect du maître n'est plus ce qu'il était et il suffit d'un seul cas dans une classe pour que d'autres se livrent aux insultes afin de se monter dans une dominance de bande. Les enseignants ne maîtrisant plus la situation sont déstabilisés et les mauvaises notes pleuvent rendant ainsi une classe ingouvernable. Des élèves sont renvoyés.
Il y aurait le harcelement sexuel des garçons sur les filles et sur certains élèves handicapés.
Le viol très très isolé dans les écoles, inconnu dans certaines localités. Il y a un exemple récent, une élève a été victime d’un viol collectif de la part de ses camarades dans une grande ville.
Le vandalisme est bien souvent venu de l'extérieur à l'école, les élèves s’en prennent souvent aux édifices publics, aux cabines téléphoniques, aux bâtiments de l’école, aux matériels pédagogiques.
Les vols et rackets sont en forte augmentation dans l'école primaire, un agissement de bandes.
Et bien entendu les cas marginaux de délinquance à l'arme blanche pour se venger de mauvaises notes ou pour des luttes d'influence entre bandes. De plus en plus, des jeunes ont le sentiment d’appartenir à une cité, à un groupe d’immeubles. Des bandes se forment et, à l’occasion, s’affrontent. Il arrive que le territoire en cause soit beaucoup plus réduit, Mona Decreton se souvient d’une querelle violente dans un bus, entre deux filles qui se disputaient le même garçon…
La violence qui sévit à l’intérieur des établissements scolaires est une violence «importée» de l’extérieur. Eveline Geoffroy, directrice de Saint-Germain de Charonne à Paris 3ème, aime rappeler que «la rue entre dans l’école tous les matins». Son établissement se trouve dans le XXe arrondissement, dans un quartier populaire, dont les habitants sont de nationalités, de cultures et de religions différentes. Cette diversité est bien sûr représentée parmi les 700 élèves, écoliers et collégiens, accueillis par l’établissement. Les tensions existant dans le secteur ont forcément des répercussions dans la vie scolaire. «Tout ce qui est «tricoté» ici dans la journée peut être défait en une nuit et à reprendre le lendemain».
L'école n'est-elle pas le reflet de notre société, c'est une société en miniature et d'aucuns diront que c'est l'abandon des parents dépassées par leur situation familiale, c'est vrai si l'on se place dans le contexte d'il y a plusieurs dizaines d'années, ou la famille représentait encore une valeur, mais ce n'est plus le cas. Nous avons détruit la famille par désir de liberté d'égoïsme et d'indépendance. Le père la mère ne sont plus écoutés, ils ne sont plus un exemple, comment le pourraient-ils, ayant des difficultés pour vivre créant parfois un climat conflictuel, et l'enfant, ne sachant que faire, va chercher dans la rue, avec ses copains un peu de joie.
N'est-elle pas recomposée pour beaucoup d'entres elles, n'est-elle pas devenue libre par tout ce qu'elle montre aux enfants, ou sont les interdits ? N'a-t-elle pas perdu ses références, tout cela ne conduit-il pas à faire naître chez le mineur, qui raisonne peu, et qui dans une ambiance conflictuelle par des parents sans travail, montre une révolte désordonnée qui s'exprime sur son terrain, la rue et l'école ?
Ou est l'exemple de nos dirigeants qui pour beaucoup d'entres eux montrent un exemple détestable par le peu d'honneur dans leur comportement politique et civique. Sans chef exemplaire moralement, politiquement, civiquement sur lequel la société puisse prendre exemple, elle perd ses repères.
Il faut un chef à une nation qui représente une valeur d'exemple !
Evolution inéluctable qui n'a plus de remède puisqu'elle résulte de l'abandon par la société d'une partie de sa population.
Alors ne sachant résoudre le problème de fond, Xavier Darcos prône la fouille à l'école. Le ministre de l'Education nationale a proposé de réfléchir à la création «d'une force mobile d'agents» et jugé nécessaire de pouvoir fouiller les élèves en cas de soupçon. Il a proposé jeudi 21 mai de réfléchir sur des missions de prévention et de contrôle de la violence, et jugé nécessaire de pouvoir fouiller les élèves suspectés de transporter des armes. «Puisqu'il faut des moyens, mais des moyens bien utilisés, je veux mettre en débat la possibilité de créer, auprès des recteurs, une force mobile d'agents qui pourront intervenir dans les établissements sur des missions de prévention et de contrôle», a-t-il déclaré lors de l'ouverture du 90e Congrès de la Fédération des parents d'élèves de l'enseignement public (PEEP), qui se tient à La Rochelle de jeudi à samedi.
Il n'est pas dit d'ailleurs qu'elle soit accepté pas les parents qui verraient d'un mauvais œil la fouille de leurs enfants.
Que doit-on en penser, en premier c'est ce que j'ai appelé la politique des cas, voir ici. On risque d'apporter, à partir de quelques cas certes graves, un remède, étendu à tous, qui peut s'avérer plus néfaste que le mal que l'on veut juguler.
Si, la mise en place de portiques de détection de métal pourrait empêcher l'entrée de couteaux ou autres objets contendants, elle ne résout en rien la violence verbale et la violence tout court. Sans couteaux on peut violer une ou des filles voire tabasser un écolier qui n'accepterait pas le racket de la bande, insulter son maître. Il n'est pas nécessaire d'avoir un couteau pour faire du mal, c'est donc une mauvaise solution.
La politique menée depuis des années est une politique d'escalade vers la répression associée à la réduction des moyens et effectifs. On voit qu'elle ne produit aucun effet positif sur la délinquance juvénile. La réduction des pions, c'est à dire des surveillants dans les collèges n'a rien arrangé, bien au contraire elle permet à la délinquance de s'épanouir envers les maîtres, et ils sont contraints de sanctionner, ce n'est pas leur rôle. A partir de là, les jeunes au lieu de s'en prendre aux pions s'en prennent à eux. On a cassé le paravent des pions entre les voyous et les maîtres. Alors, on souhaite le rétablir par une force mobile d'agents, mobile qui ne serait donc pas sur place, c'est n'importe quoi ! Il faut qu'elle y soit, qu'elle connaisse les fauteurs de troubles en d'autres termes qu'elle remplace les pions qui ont été supprimés.
Comment peut-on faire face à la situation ? En rétablissant les pions, mais le mal est fait, il sera difficile de le juguler.
[b]Cher Nidolga
Le rétablissement des « pions » dans les collèges et lycées, ne changera pas grand chose, comme vous le dites il est un peu tard pour s’apercevoir, que ces « surveillants » étaient le bouclier entr’élèves, et enseignants!
Le Mal est fait, et ce ne seront sûrement pas ces portiques détecteurs de métaux, qui juguleront la violence à l’école!
L’EDUCATION, doit reprendre toute sa place, et cette Education, doit se faire au sein de la famille, si elle est défaillante pour de multiples raisons, il conviendrait de rétablir, à partir du « primaire », les leçons de morale (même si çà fait ringard), l’instruction Civique, et des interventions dès le plus jeune âge de personnes compétentes pour sensibiliser l’enfant, au respect de « L’AUTRE », (adulte ou enfant lui-même)
Quitte à former et rémunérer ces spécialistes de l’EDUCATION!
A raison de quelques heures par semaine, ces « spécialistes », se substitueront aux parents qui baissent les bras..
La Prévention, plutôt que la Répression!
Le rétablissement des Pions, n’est pas suffisant
Un pion, est là pour surveiller, et punir quand le « mal est fait »
Le travail des femmes, et la multiplication des familles mono parentales font que les valeurs qui furent les notres, n’ont plus cours au XXIème siècle
Pas facile d’être enseignant, à notre époque…..
Cordialement
Sophy[/b]
[b]Sophy[/b] bonsoir,
Votre avis d’expert me fait plaisir, c’est vrai, [b]plutôt [u]la prévention[/u] que la répression.[/b]
Je ne trouve pas que les leçons de civisme et de morale seraient ringardes, [b]bien au contraire,[/b] il faudrait que dès la maternelle elles puissent être enseignées. Ce n’est que dans une logistique comme celle là que l’on peut [b]avec des pions[/b], [b]il en faut[/b], [u][b]cela forme un tout, il faut préserver nos enseignants des voyous.[/b][/u]
Le problème des parents mériterait de les mettre dans la responsabilité de leurs enfants, en exigeant qu’ils soient présents au moins aux conseils de classe.
J’ai fait parti de ces conseils lorsque mes enfants étaient au primaire et au collège, il y avait très peu de parents, et pourtant à cette époque la situation n’était pas celle de maintenant, ou les parents sont en première ligne.
[b]Mais le monde à changé, on ne peut plus raisonner comme avant, il faut en avoir conscience[/b]. A Valenciennes je pense qu’il est encore possible que les parents surveillent leurs enfants. [b]Mais en Seine Saint Denis et ailleurs en banlieue parisienne les cas sociaux sont légions et les patents démobilisés baissent les bras.[/b]
Dans notre pays, [b]il y a des disparités énormes d’existence[/b], [u]il faut en avoir conscience.[/u]
[b]Bien sûr Nidolga, Valenciennes n’est pas la Courneuve, mais le Nord de la France, qui s’enlise dans un chômage grandissant, a lui aussi des problèmes de violence dans les collèges et Lycées,
Moins accentués néanmoins qu’en région parisienne!
Chez nous c’est l’ABSENTEÏSME, qui bat des « reccords » (si je puis dire)
Et au Consiel de Développement nous planchons sur un livre bla, qui permettria de remédier à de fléau, ou les élèves font l’école buisssonière…
La fonction d’Educateur avec quelques heures par semaine, me semble être un bon paliatif, au renoncement des familles !
Il me semble que c’est dans l’accadémie de Créteil, qu’une « Ecole des parents » a été expérimentée », quand l’annonce en a été faite j’ai failli écrire, et puis l’information est passée sous silence, à part dans les « Lettres de l’Education », que je continue de recevoir!
Bonne soirée Nidolga, votre sujet m’a beuacoup plu, et là je savais que nous aurions trouvé un concensus..
Amicalement
Sophy
[/b]
[b][i]les« Xavier Darcos suggère l’installation de portiques de détection de métaux devant certains établissements « à risques », voire des fouilles corporelles. »[/i][/b] : eh oui… Ce n’est pas si étonnant que cela… [b]Xavier Darcos[/b], qui manque de courage politique, n’a pas encore compris, malgré la présence de sa collègue F[b]adela Amara[/b], que la Banlieue est à conquérir ! C’est ce que j’ai constaté en lisant cet excellent papier de[b] Michel[/b] : [b][i]« Xavier Darcos n’est que le reflet du manque de courage politique ! »[/i][/b], [url]publié le 21 mai 2009[/url]
[url]http://www.come4news.com/index.php?option=com_content&task=view&id=26971[/url]
Au lieu de cela, notre divin [b]Ministre de l’Éducation Nationale[/b] s’attelle à des réductions de poste, mettant en péril de nombreux établissements scolaires, qui se retrouvent en sous effectif ; des parents, oubliant trop souvent qu’ils sont en charge de l’éducation de leurs enfants, ne veulent pas comprendre que les enseignants sont chargés de les instruire, de leur transmettre des valeurs républicaines !
Pendant des années, [i]et [b]Xavier Darcos[/b] n’en n’est absolument pas responsable (!)[/i] , nos Gouvernements ont laissé, sans doute par « angélisme », sans doute par laxisme, sans doute par des manques évidents de volontés politiques, des cités entières se ghettoïser, les laissant à l’abandon et aux mains de bandes (qui se battent entre elles)…
Alors, ce n’est pas à coup de portiques, de fouilles corporelles… et que sais-je encore (?)… que nos Gouvernants pourront reconquérir l'[b]école de la République[/b], réinvestir les banlieues, responsabiliser des parents « défaillants », rassurer les enseignants et les fonctionnaires mis à mal par les bandes… Non… Il faut réinvestir toutes ces banlieues, il faut restaurer immédiatement l'[b]autorité républicaine, laïque, démocratique et citoyenne[/b], il faut renforcer la [b]Laïcité de l’État[/b]…, et, il faut surtout éradiquer la misère, le mal et non logement, le chômage, la précarité de l’emploi…
[i][b]Alors, à quand un véritable courage politique pour redonner du sursaut démocratique et républicain à notre Nation ?[/b][/i]
Pour continuer mon raisonnement, il faudrait détruire toutes ces barres, notamment celle de la trop célèbre [b]Cité des 4000[/b] à la Courneuve… Il faudrait restaurer la discipline à l'[b]école de la République[/b]… Il faudrait restaurer l’autorité démocratique et l'[b]ordre citoyen de la République[/b] dans nos Banlieues, devenues des [b]zones de non-droit[/b], du fait de la « démission » de nos Gouvernants (!)… Il faudrait renforcer la [b]Laïcité de l’État[/b]… Il faudrait responsabiliser les parents défaillants… Il faudrait cesser de faire des réductions d’effectifs au [b]Ministère de l’Éducation Nationale[/b]… Il faudrait restaurer le respect dû aux enseignants… Il faudrait réintroduire des leçons de morale, en donnant des exemples tendant à montrer les valeurs républicaines… Puis, les enseignants devraient, mais, pour cela, il faudrait qu’ils soient soutenus par leurs hiérarchies, avoir le droit de sanctionner sans subir les foudres de parents d’élèves ou de syndicats de parents d’élèves…
Puis,
[i]- [b]sachant que les parents sont chargés de l’éducation de leurs enfants[/b],
– [b]sachant que les enseignants sont chargés de l’instruction des enfants, des adolescents…[/b],
il conviendrait que notre [b]Ministère de l’Éducation Nationale[/b] soit renommé pour prendre le nom de [b]Ministère de l’Instruction Publique[/b] ![/i]
Bref, il convient de revaloriser le métier d’enseignant… Mais, [i]et [b]SOPHY[/b] ne me contredira pas sur ce point[/i], il conviendrait de réformer la formation des [b]maîtres[/b] et des [b]enseignants[/b]… Peut-être, faudrait-il dépoussiérer, [i]voire même réformer[/i], l'[b]Institut Universitaire de la Formation des Maîtres (IUFM)[/b] ?
[i][b]************************************************[/b][/i]
[b]Anido[/b],
bravo pour ton article, qui est criant de vérité, et, qui remet les pendules à l’heure face à une politique irresponsable menée depuis tant d’années…
Avec toute mon amitié,
[b]Dominique[/b]
Ce sont les enfants qui souffrent prioritairement, pas les adultes.
Des politiques sociales plus justes inspireront les familles et les enfants à suivre le bon exemple qu’on ne leur donne jamais, ni du côté des profs, ni du coté des politiques, des sportifs (regardez les fautes de jeu au foot, sport très médiatisé)…
En somme, au lieu de dire que le mal est fait,
dite plutôt le mal qu’on a fait aux enfants depuis de longues années en les prenant pour des délinquants en puissance car ça satisfaisait l’intervention ou solution politique, à la place de la vraie remise en cause :
LES ADULTES D’AUJOURD’HUI NE SONT-ILS PAS LE PLUS MAUVAIS EXEMPLE DONNE AUX ENFANTS DEPUIS LONGTEMPS ?
Regardez le sommet, et vous aurez vite compris…
[b]Force de l’exemple au lieu de l’exemple de la force ![/b]
et vive la jeunesse !
les égoïstes sont la génération au pouvoir.
[b]Sophy [/b]bonjour,
Hier soir je suis allé me coucher, et ce matin avec la grève des transports pour ma petite fille ce n’est pas simple, nous avons dû renoncer devant les embouteillages pour aller à l’hôpital Robert Ballanger.
C’est vrai, Valenciennes n’est pas La Courneuve [b]tant mieux pour vous[/b]. Le chômage grandissant dans le nord, [b]il est grandissant partout[/b], [u]et je me demande si des informations ne nous sont pas masquées pour ne pas faire peur.[/u]
Je ne sais pas comment est l’absentéisme dans mon département, probablement élevé eu égard au mélange des habitants, [u][b]c’est très cosmopolite le 93.
[/b][/u]
Je me souviens lorsque mes fils étaient en collège, il y avait plus de 35 élèves en classe et lors des dictées, [u][b]certains faisaient 40 fautes en trois lignes[/b][/u]. Impossible de laisser mes enfants dans cet établissement, et j’ai eu d’énormes difficultés pour les placer dans un autre collège du département.
[b]Le maire est intervenu et une solution a été trouvée.[/b]
Vous savez dans ma rue, [b]il y a des femmes en noir avec ces grillages sur les yeux.
[/b]
Une école des parents oui, mais il faudrait qu’ils parlent le Français [b]et ce n’est pas demain.[/b]
Je ne suis pas raciste mais parfois, [u][b]je comprends que l’on puisse l’être.[/b][/u]
Mais, il ne faut pas croire que ces populations sont plus délinquantes que d’autres, [u][b]bien souvent ce sont des Français qui le sont. [/b][/u]
[b]Dominique[/b] bonjour,
J’ai lu le papier de Michel, nous sommes du même avis, [b]sauf qu’il confond la famille d’il y a des décennies à celle de maintenant[/b], [u]ce n’est plus la même[/u].
On ne peut plus raisonner sur les valeurs familiales d’antan, [u][b]elles ont disparues[/b][/u]. Le père, la mère, sont dépassées, [b]les enfants sont majeurs avant l’âge de raison[/b], on le voit chaque jour puisque l'[u][b]on ne cesse de baisser l’âge de responsabilité pénale[/b][/u].
Ce n’est pas en culpabilisants les parents que l’on résoudra la délinquance juvénile mais en ayant une politique cohérente, supprimer des poins dans les collèges est un manque de responsabilité impardonnable, [b]comment est-ce possible [/b]?
Fédala Amara n’a rien compris, [u][b]comment peut-elle être dans ce gouvernement ?
[/b][/u]
Quand aux citées ghettos [b]ce n’est pas que de la faute des gouvernants[/b]. Les communes riches ne veulent pas accueillir des pauvres, [u][b]les prix des logements sont un obstacle majeur[/b][/u], alors ils ne peuvent que se retrouver dans des cités comme celles de [u][b]Clichy sous-Bois ou ailleurs.
[/b][/u]
La loi SRU est du bidon et de plus n’est pas appliquée, [b]cette loi qui oblige les communes riches de payer une taxe aux communes pauvres[/b].
Il vaut mieux payer et rester chez soi, entre nous, [b]voilà la réalité.
[/b]
[u][b]Quand on fait une politique qui est basée sur la répression, il ne faut pas s’attendre à autre chose, on supprime des postes et on emprisonne ceux qui se rebellent.
[/b][/u]
C’est simple, et cela plait à un certaine classe de la société.
[b]Nidolga, votre sujet me tient à coeur, je reviendrai dessus demain, aujourd’hui, c’est « la course »![/b]
[b]Dominique[/b],
Je reviens. J’avais écris il y a quelques temps qu’il pouvait y avoir une solution en déplaçant de ses ghettos les fauteurs de trouble pour les répartir en province en France de manière à [u][b]diluer cette population dans le tissu national.[/b][/u]
Mais, il faut du courage, et si un gouvernement serait tenté de faire cela, il ne serait pas reconduit. [u][b]Nous sommes une démocratie, imparfaite mais une démocratie, alors, il faut en accepter ses défauts. [/b][/u]
[b]jmarc2006[/b] bonjour,
Comme on se rejoint, la force de l’exemple plutôt que l’exemple de la force, [u][b]bravo[/b][/u] !!!
Nous sommes des égoïstes, [u][b]le chacun pour soi et que Dieu fasse le reste.[/b][/u]
[u][b]Avez-vous remarqué que nos gouvernants sont domiciliés dans des communes convenables[/b][/u], sans beaucoup de problèmes, [b]et dès lors qu’ils sont tranquilles tout va bien.[/b] Si quelques délinquants surviennent on fait intervenir la force publique, [u][b]et le tour est joué.[/b][/u]
Finalement, [u][b]on fait des murs [/b][/u]et on reste entre nous, [u][b]c’est la société vers laquelle nous allons. [/b][/u]