Et l’on peut rajouter à cela cles hivers plutôt doux qu’a connus l’hémisphère nord ces dernières années, douceur ayant entraîné une réduction importante de l’utilisation des installations de chauffage, ce qui a provoqué une réduction de la demande en produits pétroliers et la chute des cours à laquelle on assiste aujourd’hui.
Ainsi, les changements climatiques se traduisant par plus de douceur et de vents dans l’hémisphère nord et hélas plus d’inondations dans l’hémisphère sud et la région équatoriale, devraient permettre de réduire nos émissions de gaz à effet de serre.
Hélas, alors que tous les gouvernements semblent se mettre d’accord sur la nécessité de protéger notre environnement, les intérêts économiques prennent déjà le dessus, et une récente étude géologique américaine à révéler que la libération des glaces de certaines régions de l’Arctique permettrait l’exploitation de son sous-sol où dorment des réserves estimées à 90 milliards de barils de pétrole, 47 billions de mètres cubes de gaz naturel et 44 millions de barils de gaz naturel liquéfié.
Mais est ce que le reste du monde se sent concerné par ce problème?