Nous avons été conviés Jeudi soir 24 Avril devant nos écrans à une intervention du Chef de l’Etat, soigneusement préparée, et présentée comme un évènement destiné à expliquer aux Français le bien fondé des réformes soutenues par le Chef de l’Etat et son gouvernement, avec en parallèle l’intention déguisée de redresser son image affaiblie par les résultats désastreux des sondages que tout le monde connait et sur lesquels il est inutile de revenir, pour ne pas enfoncer le clou dans la plaie.
Nous n’avons rien appris de plus que nous ne savions déjà : en matière d’orientation politique il persiste, confirme et signe !
La presse note un discours « répétitif » et souligne le changement de ton de Nicolas Sarkozy lors de son intervention télévisée. La plupart des articles relatent que le message des Français repris par les instituts de sondages au chef de l'Etat a été entendu. Beaucoup d’explications en retour qui apparaissent confuses pour certains commentateurs, en dépit de l’allure composée et du ton calme de Monsieur Sarkozy qui s’est efforcé, pendant presque deux heures de répondre pour justifier ses réformes et ses prises de position, face à cinq journalistes qui en excellent acteurs de communication jouaient dans l’ensemble leur rôle en prenant un air concentré, fortement attentif et quelquefois réprimant une feinte réprobation pour corser la mise en scène. Toutes les questions ont portées sur les sujets les moins épineux, la question de l’Otan pourtant importante n’a pas été posée, la position atlantiste du Chef de l’état n’a pas été soulevée.
Monsieur Sarkozy a reconnu des erreurs de communication et a justifiés les couacs et cafouillages du Gouvernement par une certaine inexpérience des membres du Gouvernement.
Il a toutefois admis qu'il avait "sans doute fait une erreur" en ne sanctionnant pas les "couacs" de ses ministres, assurant que cela "ne se reproduira pas".
A bon entendeur salut !
Selon Monsieur Sarkozy, les couacs seraient l’exercice inexpérimenté de «jeunes ministres» envers lesquels il a fait preuve de tolérance, et aussi le fait de « collaborateurs » un peu trop présents dans les médias. Mais, d’après le Chef de l’état, l’équipe a été "reprise en main".
Il nous faut supposer que des membres du Gouvernement ont été nommés à ces postes de responsabilité importante en dépit de leur inexpérience , et en fait c’est l’aveu implicite qu’ils n’ont été nommés que pour conforter une politique qui s’éloignant de l’efficacité et de la compétence a privilégié une politique d’ouverture qui s’est avérée fragile par l’ incohérence résultant des avis contradictoires et des démentis en cascades, et il nous faut regretter que ces écarts n’aient pas été sanctionnés par le renvoi des « indisciplinés ». Une double incohérence qui passe difficilement dans l’opinion publique.
Quant aux « collaborateurs » un peu trop présents dans les médias ils n’ont fait que tenter de percer quelque peu pour ne pas se faire enterrer, face à la surexposition constante du Chef de l’Etat, qui pendant plus de huit mois étaient à la Une de tous les quotidiens et magazines relayés par les écrans.
Voici en résumé les principaux points de l’interview en direct de l'Elysée:
Sur le « Travail » : le chef de l’Etat n’en démord pas : il explique que "le problème de la France c'est qu'on ne travaille pas assez", en critiquant une fois de plus les 35 heures « Franchement, les 35 heures ont coûté 20 milliards d'euros pour travailler moins et créer moins de richesse", a affirmé le chef de l'Etat. le dispositif d'exonération sur les heures supplémentaires entré en vigueur au 1er octobre "ça marche" a-t-il dit, tout précisant qu'au dernier trimestre 2007, il y avait eu "28% d'heures supplémentaires en plus".
"Un demi-million d'entreprises donnent des heures supplémentaires à 5 millions de salariés, …. « Cinq milliards 500 millions d'euros de pouvoir d'achat ont ainsi été distribués aux Français", …. " Toute l'idée était que celui qui travaille plus gagne plus.
Une journaliste présente a tenté de souligner que dans les faits cela ne rapportait que 50 euros par mois en moyenne à un salarié, mais sa remarque a été recouverte par les propos du Président qui l’a éludée et elle n’a pu terminer sa question.
Pour les prix à la consommation qui ont augmenté de 3,2% sur les douze derniers mois, un niveau record depuis août 1991, essentiellement en raison de la hausse de l'énergie et de l'alimentation, selon les derniers chiffres publiés par l'Insee en mars le Président a estimé que
"Les prix ont davantage augmenté en France" que dans la plupart des autres pays d'Europe… Les prix ont augmenté "pas seulement à cause de la hausse des matières premières" mais "parce qu'il n'y a pas assez de concurrence" et il a annoncé que le secrétaire d'Etat à l'Industrie Luc Chatel et la ministre de l'Economie Christine Lagarde "présenteront au mois de juin un texte qui va permettre la négociabilité entre les fournisseurs et les grandes surfaces ».
Autre thème : l’Intéressement
Nicolas Sarkozy a annoncé, qu'une entreprise qui distribuera une partie de ses bénéfices à ses salariés paiera moins d'impôts sur les bénéfices, et que "Le Premier ministre déposera dans les 15 jours un texte sur l'intéressement" …… « Ce sera "un projet de société", a affirmé Nicolas Sarkozy……, "Il y a des entreprises qui font des profits et c'est tant mieux, des profits souvent considérables et c'est tant mieux", a répété M. Sarkozy. "Il faut que chaque salarié puisse en profiter"….. "Les entreprises de moins de 50 salariés ne sont pas obligées en France de faire la participation ou l'intéressement, désormais une entreprise qui distribuera une partie de ses bénéfices à ses salariés paiera moins d'impôts sur les bénéfices", a-t-il promis. Le Chef de l’Etat veut qu’ "Il faut qu'un tiers des profits aille aux salariés, un tiers à l'investissement, un tiers aux actionnaires", a ajouté le chef de l'Etat.
RSA
Nicolas Sarkozy a assuré qu'il ne renonçait pas au Revenu de solidarité active (RSA) et affirmé qu'il voulait le généraliser. Le président de la République a ajouté que le RSA se ferait "l'année prochaine", "en en maîtrisant les coûts" et pour "1 ou 1,5 milliard d'euros".
Reste à trouver les moyens de financement qui n’ont pas été indiqués.
Paquet fiscal
Nicolas Sarkozy a estimé que la loi dite du "paquet fiscal" avait donné lieu à "une erreur de communication totale" et ne revient pas sur cette mesure fortement combattue par l’opposition.
Chômage : durcissement et sanction
… « On est en train de faire un système qui serait le suivant : fusionner l'ANPE avec l'Unedic pour que les demandeurs d'emploi n'aient qu'un seul interlocuteur. Au bout de trois mois, on serait obligé d'accepter un emploi qui représente 95% de son salaire, au bout de six mois, on serait obligé d'accepter un emploi à moins d'une heure de transport en commun de l'endroit", a déclaré M. Sarkozy.
Il a rappelé avoir "demandé au gouvernement qu'il y ait un processus de sanction pour un chômeur qui refuserait deux offres d'emploi correspondant à ses qualifications et ses aspirations". "Il n'y a pas de société où l'on a des droits sans avoir des devoirs", a exposé le chef de l'Etat. "Il y a 500.000 offres d'emploi pas satisfaites avec 1,9 million de chômeurs, l'immense majorité des chômeurs essayent de trouver un emploi, mais certains ne veulent pas se mettre au travail, c'est une minorité qui choque", a prétendu M. Sarkozy.
Il y a pour les chômeurs de tristes réalités qui ne s’accorderont pas toujours avec les prétentions du Chef de l’Etat
Régularisation des « travailleurs » sans papiers
Pour les travailleurs sans papiers Monsieur Sarkozy a déclaré qu'il n'y aurait "pas de régularisation globale", …… "Il n'y aura pas de régularisation globale parce que la régularisation globale conduit à la catastrophe", a-t-il soutenu M. Sarkozy ….. "Ca conduit à un appel d'air qui profite aux trafiquants, on fait la politique des trafiquants", a-t-il ajouté. "On ne devient pas français parce qu'on travaille dans la cuisine d'un restaurant, aussi sympathique soit-il", a poursuivi le président en suggérant aux patrons en manque de main d'œuvre d'embaucher parmi les immigrés sans emploi en situation régulière. "Il y a 22% de chômeurs chez les immigrés réguliers", a-t-il souligné.
Il y a la une confusion semble-t-il entre la régularisation du statut d’immigré et la nationalité française, qui est passée inaperçue sur le plateau !
Vote des étrangers
Le président s'est dit favorable "à titre intellectuel" au vote des étrangers non européens aux élections locales "sur la base de la réciprocité", mais n'avoir "pas de majorité pour faire passer" cette mesure.
Sur cette question notons au passage une différence de point de vue « intellectuel » entre le président et sa majorité.
Déficit public
Le déficit public sera "réduit" à l'horizon 2012, grâce au non remplacement d'un départ à la retraite d'un fonctionnaire sur deux, a estimé Monsieur Sarkozy. Questionné pour savoir si l'objectif de "zéro déficit en 2012" tenait toujours, M. Sarkozy a répondu: "oui"…. et a confirmé que "Le déficit sera réduit à horizon de 2012 comme je m'y suis engagé". "Nous n'avons pas remplacé 23.200 fonctionnaires cette année, ça m'a été assez reproché", a rappelé le chef de l'Etat. "L'Etat français a embauché 300.000 fonctionnaires de plus depuis 1982 alors qu'il a y eu la décentralisation et les progrès de l'informatique", a-t-il ajouté. "Si nous ne remplaçons qu'un fonctionnaire sur deux on reviendra au niveau de la fonction publique en 1992", or "la France n'était pas sous-administrée", a soutenu M. Sarkozy. Il a rappelé que l'an prochain, l'Etat ne remplacerait pas un départ à la retraite d'un fonctionnaire sur deux: "c'est bien pour réduire le déficit", a-t-il affirmé.
( Le déficit public de la France pour 2009 a été récemment revu à la hausse à 2,0% du PIB, contre 1,7% prévu initialement. Pour 2007, la France table sur un déficit à 2,7% du PIB et pour 2008, à 2,5%. Elle compte éliminer son déficit d'ici 2012.)
Retraites
Nicolas Sarkozy a déclaré que les retraites seraient financées en "travaillant et en cotisant plus longtemps", rappelant que la loi prévoyait un passage à 41 ans de cotisations.
Enseignants
Sur le « mouvement » lycéen, lié aux suppressions de 8.830 de postes d’enseignants prévues dans les collèges et lycées publics à la rentrée prochaine qui ont déclenché depuis plusieurs semaines des manifestations particulièrement suivies par les élèves de banlieue parisienne, Monsieur Sarkozy a répondu qu'il "maintiendrait les réformes qui permettront les réductions" d'effectifs. "Je maintiens les réformes qui permettront les réductions de postes", a déclaré M. Sarkozy sans commenter les chiffres avancés. "Vous me dites que les enseignants sont malheureux, vous avez raison. La politique qui a consisté à l'embauche systématique sans bien rémunérer ne les a pas rendus heureux" ……. "Il ne faut pas que je poursuive une stratégie qui conduit à un double échec, pour les enseignants et pour les élèves …… « S'il suffisait d'embaucher des enseignants pour avoir la meilleure éducation nationale, ça se saurait », a-t-il dit en rappelant ironiquement que "Sur les 25 dernières années, il y a eu 18 manifestations lycéennes qui ont en général conduit à ce que tous les ministres de l'Education successifs, « avec un grand courage », ont dit « eh bien puisque les lycéens sont dans la rue, on renonce » ….
Environnement
Monsieur Sarkozy ne "trahira ni l'esprit ni la lettre du Grenelle" dont les recommandations font l'objet d'un projet de loi qui doit être présenté dans les prochains jours : ….. "Je ne trahirai ni l'esprit, ni la lettre du Grenelle de l'environnement : la question de la sécurité sanitaire des Français, c'est de la responsabilité d'un chef de l'Etat", a souligné le président qui était interrogé à propos des OGM. Il a justifié la décision qu'il avait prise de suspendre la culture du maïs MON810, seule culture génétiquement modifiée qui était pratiquée en France, car il "n'avait pas les éléments qui permettaient de l'autoriser". "Je suis favorable à la recherche sur les OGM, dont on a besoin. Mais je dis que s'agissant de la culture OGM en plein champ, mon devoir est de prendre des précautions".
Chine
Nicolas Sarkozy a déclaré qu'il avait été "choqué par ce qui s'est passé au Tibet" et qu'il l'avait "dit au président chinois".
Turquie
Le Président a réaffirmé son opposition à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne, indiquant qu'il "ferait un référendum" si "la question se posait".
Une promesse à ne pas oublier.
Afghanistan
Monsieur Sarkozy a affirmé que si la France "laisse tomber l'Afghanistan, le Pakistan tombera comme un château de cartes".
"Nous sommes en Afghanistan aux côtés des Afghans" et "à côté de l'Afghanistan il y a le Pakistan, il y a la bombe atomique", a souligné Monsieur Sarkozy …….. "Si on laisse tomber l'Afghanistan, le Pakistan tombera comme un château de cartes", a-t-il estimé. Le président a expliqué que la France n'était pas engagée dans une guerre en Afghanistan: "ce n'est pas une guerre, puisque l'immense majorité des Afghans ont besoin de la coalition qui se trouve sur place". "Si j'ai décidé d'envoyer 700 hommes supplémentaires, c'est parce qu'il faut que nous réussissions" et "que l'armée afghane prenne le relais" et que "nous puissions coordonner l'aide civile et économique".
Capitalisme français
Le président estime que notre capitalisme "marche sur la tête" …….. "Je crois au capitalisme, à l'économie de marché", a déclaré Monsieur Sarkozy …. "Mais je pense que notre capitalisme marche sur la tête, que le capitalisme financier a besoin d'être moralisé » Monsieur Sarkozy a fustigé "ces fameuses agences de notation", se disant choqué que l'une d'elles ait "noté vendredi avec la meilleure note un produit d'épargne", et le lundi, après la crise des "subprime", ait "dégradé" la note de ce même produit. "Ces agences de notation doivent être sanctionnées, elles n'ont pas fait leur travail", a déclaré M. Sarkozy en ajoutant qu'il fallait poser "des règles de transparence internationales". La spéculation actuelle sur les matières premières est "invraisemblable", a estimé le chef de l'Etat. Il a aussi jugé que ce qui est arrivé à la Société générale est "proprement stupéfiant". "Qu'un seul homme puisse être responsable d'un tel désastre c'est préoccupant", a-t-il estimé. Interrogé pour savoir si son PDG Daniel Bouton aurait dû démissionner, il a indiqué: "quand on a des salaires de ce niveau, que peut penser le salarié qui n'a pas le même salaire ?" "Je suis pour que le patron soit responsable".
Autres points évoqués :
Pour Monsieur François Fillon qui attend que le président Nicolas Sarkozy " lui redonne une feuille de route pour les prochaines semaines et les prochains mois, et le cap sur les réformes qui doivent être conduites", et "un travail d'explication sur les réformes qui sont en cours et qui ont besoin d'être expliquées par le président de la République, et ensuite par l'ensemble des membres du gouvernement", le Président a affirmé que le Premier ministre, lui, donne toute satisfaction et a répété qu’ils travaillent ensemble «main dans la main» : «C’est un bon Premier ministre , j’ai confiance en lui.» Et Monsieur Sarkozy a conclu : «Si Fillon rencontrait un échec, personne ne croirait que ce n’est pas aussi le mien.»
Monsieur Sarkozy a souhaité que la majorité se montre « moins frileuse, plus soudée.
Enfin sur sa vie privée avec Carla Bruni Sarkozy il reste discret ….. « Tout est rentré dans l'ordre », a-t-il rassuré avec un sourire qui laissait voir une satisfaction attendrissante.
Quant à son avenir politique, au moment il esquive la question. « En prendre pour cinq ans après, ce n'est vraiment pas mon sujet » …….. » Ce rendez-vous-là, c'est dans quatre ans »
Nous pouvons être certains qu’il ne changera pas d’orientation et dans les semaines à venir nous annoncera de nouvelles réformes.
Pour les Municipales: elles ont été considérées comme "une sanction normale" avec un certain optimisme pour les législatives ……
Je ne sais pas si Monsieur Raffarin qui, depuis des mois, réclame une meilleure «hiérarchisation» des réformes et si Monsieur Balladur qui avait déclaré dans une interview au Journal du Dimanche. à l’adresse de Monsieur Sarkozy Il faut permettre aux Français d'y voir plus clair" en souhaitant "par exemple que le gouvernement fasse savoir rapidement quel est son plan d'action pour 2008 à quel rythme il compte avancer, ce qui est prioritaire et ce qui peut être reporté à 2009", trouveront dans cette interview réponse à leur questionnement.
Enfin Monsieur Sarkozy a demandé du temps pour obtenir des résultats : «Mon rendez-vous c’est la fin du quinquennat. ….J’ai quatre ans.» Mais pas question de changer de méthode.
Sur sa vie privée avec Carla Bruni Sarkozy il reste discret ….. « Tout est rentré dans l'ordre », a-t-il rassuré avec un sourire qui laissait voir une satisfaction attendrissante
Quant à son avenir politique, il esquive la question. « En prendre pour cinq ans après, ce n'est vraiment pas mon sujet » …….. » Ce rendez-vous-là, c'est dans quatre ans »
Oui mais …. Les électeurs seront-ils au rendez-vous ?
ooOoo
L’émission était techniquement parfaite et réussie, une image présidentielle classique et des journalistes cadrés dans la mission impartie, hélas un contenu qui n’a rien de nouveau, rien que nous ne savions déjà ! Deux heures de révision ! C’est dur …dur d’être un téléspectateur.
Le Président
Merci Pons de se rappel que j’ai sondé ,je n’ai pas vu l’augmentation du pour d’achat
et globalement lui lui lui est très satisfait malgré quelques erreurs.J’ai bien fait
de saper cette mascarade !!!! 😉
« Ensemble, tout devient impossible » : telle devrait être la devise de l’actuel locataire de l’Elysée…
En regardant cette émission, j’avais, même si, sur certains points, j’étais en parfait accord avec le Chef de l’Etat, comme une impression de « leçon bien apprise »…
Hormis Yves Calvi, qui semblait mal à l’aise, on voyait des journalistes, presque au garde à vous, entrain de poser des questions savamment préparées, avec, très certainement, des réponses tout aussi sciemment apprêtées !
Puis, lorsque le Chef de l’Etat a parlé de lui-même de la somme récupérée grâce aux franchises médicales, quel ne fut pas mon étonnement ? En effet, aucun journaliste, pas même Yves Calvi, ne s’est précipité pour lui poser des questions sur cette disposition ô combien impopulaire !
Bref, j’ai assisté à une émission qui m’a laissé totalement sur ma faim ! En effet, elle manquait, aussi bien de la part des journalistes, que de celle du Président Nicolas Sarkozy, de spontanéité !
En conclusion, « Ensemble, tout devient possible, même de ne plus espérer ! ».