Katoucha, l'ex-égérie du créateur Yves Saint Laurent, était portée disparue depuis la nuit du 31 janvier 2008. Elle avait passé la soirée à faire la fête avec des amis et était rentrée très tard et probablement quelque peu ivre chez elle. Résidant sur une péniche amarrée sur la Seine, on avait juste retrouvé son sac à main près de la "Petite Vitesse", le nom de son bateau. Hier, le corps de la jeune femme a été retrouvé flottant dans la Seine…
Le 28, en début d'après-midi, la brigade fluviale a repéché un corps portant une robe de soirée à paillettes et des bottes noires à hauts talons, selon Le Parisien. Une triste fin pour cette femme, guinéenne d'origine et victime d'une excision à l'âge de 9 ans. Un drame qui la poursuivait depuis et la rongeait. Elle s'était d'ailleurs engagée aux côtés d'une ONG pour que d'autres fillettes ne subissent pas cet acte de torture…
C'est un passant traversant le pont Garigliano qui a aperçu le corps dérivant sur la Seine. Il a alors alerté les secours qui ont trouvé la dépouille, totalement défigurée par son séjour prolongé dans l'eau. Les analyses ont démontré que ce corps était effectivement celui de celle qu'on surnommait "la princesse peule", selon un communiqué de Europe 1, qui affirme également que la mort est dûe à une "submersion rapide sans traces de violence"…
L'hypothèse de la noyade par accident s'avèrerait donc exacte. L'ivresse de la jeune femme, le froid, la noirceur de la nuit et son lieu d'habitation difficile d'accès lui auront donc été fatals. Triste nouvelle…
SAlut! On s’intéresse décidément aux mêmes choses! Je suis en train de préparer, mais pas tout à fait comme pour ton article.
Ah! Si, je vois que tu as trouvé un extrait de son livre, absolument bouleversant!
Les mêmes sujets oui, mais il n’y a pas grand choix au niveau actualité il faut dire ! J’ai suivi l’affaire depuis l’émission de Fogiel où j’en ai pris connaissance. Certains parlaient déjà d’une possible noyade et malheureusement ça s’est avéré vrai…
Bizarre vous avez dit bizarre!
L’ancien mannequin d’origine somalienne Waris Dirie, ambassadrice itinérante de l’ONU contre l’excision naturalisée autrichienne, a disparu sans laisser de traces dans la nuit de mardi à mercredi à Bruxelles, ont annoncé ce vendredi les autorités à Vienne.
« Selon nos informations, elle a disparu vers 2 ou 3 heures du matin après avoir pris un taxi pour rejoindre son hôtel », a indiqué le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Peter Launsky-Tieffenthal, qui a précisé que l’ambassade d’Autriche à Bruxelles avait alerté le parquet belge. Waris Dirie, 43 ans, s’était auparavant égarée et avait été conduite par la police à un hôtel appartenant à la même chaîne que le sien mais pour lequel elle n’avait pas de réservation, selon M. Launsky-Tieffenthal.
Le quotidien autrichien Kurier avait dans un premier temps affirmé vendredi que Waris Dirie s’était trompée d’hôtel et avait disparu après avoir été emmenée par la police pour avoir fait un esclandre. Elle était attendue vendredi à Kerkrade (Pays-Bas) pour y recevoir un prix de la fondation Euriade et devait tenir une conférence à Bruxelles sur l’excision à l’occasion de la Journée mondiale de la femme samedi. Sa disparition évoque celle, début février à Paris, d’une autre ex-top model d’origine africaine engagée contre l’excision, Katoucha Niane, retrouvée noyée dans la Seine. Son corps ne présentait pas de traces de violences, selon l’autopsie.
Auteur de quatre livres autobiographiques, Waris Dirie avait été excisée quand elle était petite fille et avait fui son pays après avoir été mariée de force à l’âge de 13 ans. Remarquée par un photographe alors qu’elle vivotait à Londres, elle devient mannequin, notamment pour le parfumeur français Chanel, et joue dans un film de James Bond, Tuer n’est pas jouer, en 1987. En 2004, elle avait été agressée à son domicile à Vienne par un soupirant. Naturalisée autrichienne en 2005, Waris Dirie avait été faite l’an dernier chevalier de la Légion d’honneur française pour son engagement contre les mutilations sexuelles. (afp/7sur7)
Ca commence à faire beaucoup… Vous pensez que leur engagement contre l’excision aurait déplu à « quelqu’un » qui se débarrasse de ces militantes une à une ?
Waris Dirie retrouvée saine et sauve
L’ancien top-model et ambassadrice de l’ONU contre l’excision Waris Dirie Jones, 43 ans, a été retrouvée vendredi en début de soirée saine et sauve à Bruxelles, a-t-on appris via le parquet.
Elle n’avait plus donné signe de vie depuis mercredi 4h00. On ignore la cause de sa disparition. Elle n’a pas encore été auditionnée par la police.
Le parquet de Bruxelles donnera des informations supplémentaires samedi matin. (belga/7sur7)
bizarre
L’homme qui se trouvait avec Waris Dirie quant elle a été reconnue par un agent de police en civil vendredi après-midi est connu: il s’appelle William D., est laveur de vitres et a fait partie de la bande Maâche, annonce la Dernière Heure dans son édition dominicale.
« Je ne savais pas qui c’était. J’ai tenté ma chance, je lui ai demandé en anglais si elle voulait boire quelque chose », raconte William au journal. Le laveur de vitres et le mannequin papotent alors, sans que Waris Dirie ne dise son nom. « Elle m’a dit qu’elle avait faim. Je lui ai proposé de manger chez moi. Elle a dit yes… »
Le duo se rend alors au GB de la Bourse « main dans la main, en se faisant des mamours », d’après William. C’est sur le chemin de son appartement qu’un agent de police en civil reconnaît le mannequin et demande ses papiers au couple. William découvre alors qui est sa compagne. « Waouw, je m’étais dit qu’elle était belle et que j’allais passer un bon moment mais jamais je n’avais pensé que c’était elle! »
Au bout de quatre heures d’audition, William et Waris étaient libres. « Je lui ai vite donné mon numéro de GSM. Elle m’a donné son écharpe, celle que je porte », termine William, qui a purgé quatre ans de prison pour avoir fait partie de la bande Maâche. (belga/7sur7)
Suite
L’avocat de la mannequin somalienne Waris Dirie a indiqué dimanche à l’agence de presse autrichienne APA que sa cliente avait été séquestrée pendant deux jours à Bruxelles par un chauffeur de taxi. Ce dernier aurait importuné la femme et aurait notamment essayé de la violer.
Les déclarations de l’avocat offre donc une nouvelle version de l’odyssée de cette ambassadrice de l’ONU. Son manager avait déjà indiqué plus tôt à la même agence APA que la disparition de Waris Dirie était due à des « malentendus » et à un manque de connaissance du français.
Taximan entreprenant
Dimanche en fin de soirée, Me Gerold Ganzger, qui défend également Natascha Kampusch, a livré lui une toute autre version. A son retour vendredi, Waris Dirie aurait raconté qu’elle avait été promenée dans Bruxelles des heures durant par un chauffeur de taxi. Après un passage par son hôtel -la femme n’avait ni argent ni GSM sur elle-, l’homme lui aurait proposé de passer la nuit chez lui.
Ligotée et touchée
Arrivé à sa maison située en périphérie bruxelloise, le chauffeur aurait malmené sa cliente. Il aurait même essayé de la violer mais en vain. La mannequin aurait quelques blessures aux épaules et des égratignures aux jambes. Elle aurait été maintenue ligotée deux jours dans la maison. L’homme l’aurait ensuite ramenée en ville et l’aurait fait descendre de son véhicule sans l’importuner davantage.
Selon l’avocat et le manager, Waris Dirie aurait éclaté en pleurs vendredi dans son hôtel, à l’issue de ses déclarations faites à la police et aurait fait une dépression nerveuse. Elle n’avait rien confié de l’incident aux autorités belges parce qu’elle « ne voulait plus en dire un mot ». Elle voulait seulement avoir la paix. « Je pense qu’elle était tout simplement sous le choc », a indiqué dimanche son manager à Vienne. (belga/7sur7)
saga belgica
L’ex-mannequin d’origine somalienne Waris Dirie, hospitalisée suite à sa disparition mystérieuse à Bruxelles la semaine dernière, lance de graves accusations à l’encontre de la police belge: « Ils m’ont traitée comme une prostituée », clame-t-elle. « C’est un scandale », a commenté Dirie, qui dit mieux comprendre les immigrants qui arrivent en Belgique, sachant maintenant comment ils sont traités.
Dirie a expliqué lundi soir depuis son lit d’hôpital que la police bruxelloise l’avait traitée comme une prostituée, uniquement à cause de sa couleur de peau, selon ses propos, cités par l’agence de presse autrichienne APA. Elle aurait été renvoyée de deux commissariats et des agents l’auraient même menacée de la placer en cellule.
La police locale de Bruxelles n’a pas souhaité réagir à ces allégations pour l’instant. « Nous n’avons pas encore connaissance officiellement de ces déclarations et nous n’allons donc pas y réagir pour le moment », a déclaré le porte-parole Christian De Coninck, cité par l’agence Belga.
L’avocat de Waris Dirie a indiqué dimanche à l’agence APA que sa cliente avait été séquestrée pendant deux jours à Bruxelles par un chauffeur de taxi. Ce dernier aurait importuné la femme et aurait notamment essayé de la violer. A son retour vendredi, Waris Dirie aurait raconté qu’elle avait été promenée dans Bruxelles des heures durant par un chauffeur de taxi. Après un passage par son hôtel, l’homme lui aurait proposé de passer la nuit chez lui. Arrivé à sa maison située en périphérie bruxelloise, le chauffeur aurait malmené sa cliente. Il aurait même essayé de la violer. La mannequin aurait quelques blessures aux épaules et des égratignures aux jambes. (7sur7/belga)
Croisade contre la police belge
Waris Dirie, l’ex-top model d’origine somalienne disparue la semaine dernière à Bruxelles pendant quelques jours, lance une « croisade » contre la police belge. Sur son site internet, elle en appelle à toutes les femmes qui auraient connu des expériences malheureuses avec la police belge.
« Ces derniers jours, nous avons déjà reçu plusieurs mails de femmes qui ont eu des expériences similaires avec la police belge », écrit Waris Dirie. « Aidez-nous s’il vous plaît à faire la publicité de cette affaire. Nous vous garantissons l’anonymat », peut-on encore lire.
Waris Dirie souligne qu’elle ne peut pas donner de détails sur sa disparition mais qu’elle avait vécu « un vrai cauchemar ».
La Somalienne avait été portée disparue la semaine dernière à Bruxelles. Elle avait d’abord déclaré qu’elle avait été séquestrée et avait subi des abus. Ensuite, de retour en Autriche où elle réside, elle avait changé de version. La police belge aurait alors évité de l’aider alors qu’elle recherchait son hôtel et l’aurait menacée en cellule.
Waris Dirie a connu des problèmes d’alcool par le passé. Elle avait déjà « disparu » précédemment à Londres et Munich. (belga/7sur7)
Dernières nouvelles: la police belge fait former ses cadres par « IntelligenceSquared » !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Tu ne réussirais pas le premier des quatre tests: le test cognitif!