La crise politique pakistanaise semble enfin s’apaiser, un jour après l’annonce du report des élections législatives au 18 février et l’arrivée d’une équipe anglaise de Scotland Yard pour mener l’enquête sur l’assassinat de Benazir Bhutto.
D’après le point de vue du groupe de réflexion Internationale Crisis Group (ICG), le président Pervez Musharraf, qui a pris le pouvoir par un coup d’Etat en 1999, devrait quitter son poste de chef de l’Etat afin de permettre au Pakistan de retrouver une certaine stabilité. Cependant, le président Musharraf ne voit pas les choses de cette façon et a lancé un nouvel appel à l’unité national et a promis des élections sous haute sécurité.
Le pouvoir du président Musharraf, réélu le 6 octobre lors d’élections plus que controversées, est de plus en plus branlant et serait rendu complètement inopérant si l’opposition venait à remporter les élections.
Sauf élément extérieur majeur, le climat politique pakistanais devrait s’adoucir dans les jours qui suivent.
D’après le point de vue du groupe de réflexion Internationale Crisis Group (ICG), le président Pervez Musharraf, qui a pris le pouvoir par un coup d’Etat en 1999, devrait quitter son poste de chef de l’Etat afin de permettre au Pakistan de retrouver une certaine stabilité. Cependant, le président Musharraf ne voit pas les choses de cette façon et a lancé un nouvel appel à l’unité national et a promis des élections sous haute sécurité.
Le pouvoir du président Musharraf, réélu le 6 octobre lors d’élections plus que controversées, est de plus en plus branlant et serait rendu complètement inopérant si l’opposition venait à remporter les élections.
Sauf élément extérieur majeur, le climat politique pakistanais devrait s’adoucir dans les jours qui suivent.
Pakistan :
[b]Asyf Aly ZardarY [/b]cruellement absent du terrain des inondations !
(non, il n’est pas au cap nègre !!!!!)
[b]le calme ne va pas revenir !!!!!!!!!!!!![/b]