Le « Non » au Traité constitutionnelle est encore dans toutes les mémoires. Mais est-ce pour autant l’ « Europe » qui a été ainsi rejetée ? Non, tout le monde en convient ! L’a été une certaine vision, compréhension, conception de l’Europe. Le fameux « sens des mots », trop souvent source d’incompréhension, de confusion …
Et au sein des causes de ce rejet figurent en bonne place la Turquie ! – Alors, ce pays, européen ou pas ? – Remarquons que répondre par la positive, reviendrait à admettre que l’Iran et l’Irak ont une frontière commune avec le vieux continent… Tout de même estomaquant… – Décortiquons, autant que faire ce peux en quelques lignes obligatoirement réductrices. Certains mettront en avant le fait que la Turquie est laïque, et que son alphabet est le latin !
Pourquoi donc ne pas l’accepter ? – Notons d’abord que cette position indique que les frontières (ou leurs absences) ne sont pas que géographiques, elles peuvent également être culturelles. -Commençons par les géographiques.La formule de Gaule est connue : l’Europe s’étend de l’Oural à l’atlantique et s’arrête au Bosphore. Cohérent. Mais, en rapport avec notre question, il y a un « hic »… La Turquie se jette sur des deux rives du Bosphore, et les puissances victorieuses du premier conflit mondial qui ont redessinée, avec un trait de plume parfois malheureux, les frontières ont validé cet existant. Aussi, de quel côté faire pencher la balance ? Et si l’ont prenait tout simplement comme unité de mesure le km2 ?
Où en trouvent-on le plus ? En Europe ou en Asie ? Evident, non… – Frontières culturelles.Comme « nous », n’est-elle pas laïque, et si l’écriture est un des éléments constituant la culture d’un peuple, comment ne pas mettre en avant son alphabet, latin comme celui que « nous » utilisons ? Effectivement… Mais tout cela n’est que greffon au devenir incertain… Un risque réel de rejet par la souche existe…- Osons aborder à présent un sujet tabou, un sujet qui fâche, l’origine chrétienne de l’Europe, de ses valeurs, de sa culture ! Pourtant, est-ce plus choquant que de souligner le poids de l’Islam dans la culture des pays arabes ?- A la façon d’une plaque photographique classique qui renvoi une image inversée, la laïcité turque est l’inverse de la notre (occultons le fait que la laïcité française n’est pas la laïcité anglaise etc.…) : L’histoire européenne du XX siècle ne manque pas d’exemples -pensons à l’Espagne de Franco- ou un pouvoir « fort » utilise la puissance de l’armée pour imposer une idéologie religieuse au mépris de la laïcité, alors qu’en Turquie, à partir des années 20, le pouvoir a utilisé la force de l’armée pour imposer la laïcité, au mépris de l’idéologie religieuse dominante…
D’ailleurs le mot « laïque » est inconnu du vocabulaire arabe et le terme turc utilisé est emprunté au vocabulaire occidental… Car au delà du mot, le concept même véhiculé par « laïcité » est extérieur à l’Islam radical où le rejet de la foi (islamique) ne peut conduire l’ « apostat » qu’à la mort physique ordonnée par un corps social qui en agissant ainsi se purifie… En français cela s’appelle un meurtre, un assassinat, tout comme le sont tout également les « crimes d’honneur », coutumiers en Turquie… – Revenons en France. La sérénité et le recul que donne l’écoulement du temps, permet de dire que, paradoxalement, et au-delà des déchirements consécutifs à la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat, et à l’opposition des « culs bénis » et des « bouffeurs de curés », la laïcité est aussi fille de la célèbre parole christique « Rendez les choses de César à César et les choses de Dieu à Dieu »… Dans la même veine, pourquoi les « Droits de l’homme » peinent-ils tant à s’imposer et à prospérer en pays musulmans ? Car ils ont été conceptualisés sur le terreau fertile des valeurs chrétiennes, de l’humanisme chrétien, pour devenir l’expression d’un christianisme déchristianisé, d’une foi chrétienne désacralisée, laïcisée… – Ouvrons une parenthèse. Ne confondons pas tolérance et laïcité. Nous parlions à l’instant de « bouffeurs de curé », terme né à une époque ou le paysage religieux français métropolitain était majoritairement occupé par le catholicisme. Aujourd’hui existe toujours des « Talibans de la laïcité » qui prônent l’athéisme comme Vérité révélée et rêvent de marginaliser les citoyens qui ont pour défaut d’être croyants et de le dire !Espagne mauresque : L’arrivée des arabes en Espagne au VIII° siècle mit fin à la persécution dont les juifs étaient victimes de la part des Wisigoths qui avaient abandonnés l’arianisme pour le catholicisme. Et pendant de nombreux siècles sous domination musulmane, l’Espagne a été une terre de paix et de tolérance pour les trois religions monothéistes ! Comme quoi, Islam n’est pas toujours synonyme de fanatisme et d’intolérance…- Fermons la parenthèse.- Quand-à l’alphabet latin, il est entré en Turquie à la même époque que la laïcité et lui aussi au forceps, l’Empire ottoman utilisant l’alphabet arabe, c'est-à-dire il y a moins d’un siècle.
Alors que « chez nous », déjà avant les premiers écrits en « français » du XV° siècle, les lettrés qu’étaient les clercs, écrivaient évidement et depuis « toujours » en latin ! – Aussi, tant pour des raisons géographiques que culturelles, il me semble difficile de prétende que la Turquie puisse avoir vocation à intégrer l’Europe ou la communauté européenne, notions qui sont différentes (La Suisse appartient à la première mais pas à la seconde). Et, pour prétendre le contraire, que l’on ne mette pas en avant un quelconque partenariat économique ! L’Europe peut commercer si elle le souhaite avec l’Afrique du sud sans pour autant que ce pays entre dans l’Europe ! Identique pour la Turquie ! – Prétendrais-je que ce rejet affirmé, que cette position est vérité, réalité objective ? Non… – Pour prendre conscience de la relativité des certitudes, également des certitudes géographiques, transportons-nous au temps de Rome. – Si l’Empire romain prétendait à l’universalité, dans les faits, des frontières se sont imposées : Au nord, l’Ecosse (le mur d’Hadrien).A l’ouest, évidement l’atlantique.Au nord/est le Rhin et le Danube.Au sud l’Afrique noire (les pays de Maghreb étaient partie intégrante de l’Empire -neutralisons Carthage-)Au sud/est le Tigre et l’Euphrate.Cela pour souligner que si la géographie peut dire ce qu’est l’Europe, cette définition ne vaut que pour « aujourd’hui » (au sens de l’Histoire).
Si nous demandions à nos contemporains européens où se trouve le centre géographique de l’Europe, qui citerait la capitale de l’Italie ? Personne !Mais l’Empire s’est construit autour de la Méditerranée avec en son centre cette ville, Rome, elle même située sur cette péninsule, cet appendice pénétrant ce « centre du monde » qu’était la « Grande mer », comme on l’appelait alors.
Toujours à cette époque, le civilisé, était logiquement de type méditerranéen, c'est-à-dire pas très grand, brun et basané. Et le barbare, lui était grand, blond et à la peau très blanche…
Relativité des concepts, disions-nous…Et parmi ces barbares, il est des tribus germaniques qui allaient nous devenirs « chers » à nous français, celles des Francs… – Le rapport avec notre sujet ? Dans le monde romain, la région nommée de nos jours Turquie ne posait pas de problème : elle appartenait à l’Empire, tant pour des raisons géographiques que culturelles !
Et elle n’était même pas en zone frontière ! Et le latin, comme ailleurs, y était aussi la langue officielle, administrative ! Mais cela était il y a « deux milles ans »… – Certitudes, avez-vous un socle digne de ce nom ? – Pour conclure, maniant le paradoxe, clin d’œil à Edmond Wells et à son Encyclopédie du savoir absolu relatif, je dirais que la Turquie ne fait pas partie de l’Europe et qu’il s’agit là d’une position objective élaborée au sein d’un concept qui lui, ne l’est pas…
Cette affirmation découle d’une prise de conscience selon laquelle il n’y a pas une vision du monde mais plusieurs, indissociables de grilles de lecture, parfois inconscientes, qui sont autant de filtres. Et la pseudo objectivité de la de la stricte géographie s’efface devant le poids de la géopolitique qui elle-même s’efface devant celui de la géoculture, autant de réalités subjectives dans leurs valeurs.
Prêcher le faux pour apporter une pseudo-vérité.
Monsieur Colpin:
» Car au delà du mot, le concept même véhiculé par « laïcité » est extérieur à l’Islam radical où le rejet de la foi (islamique) ne peut conduire l’ « apostat » qu’à la mort physique ordonnée par un corps social qui en agissant ainsi se purifie… En français cela s’appelle un meurtre, un assassinat, tout comme le sont tout également les « crimes d’honneur », coutumiers en Turquie »
Prêcher le faux pour apporter une pseudo-vérité.
Le radical tue. Que ce soit chez l’Islam ou chez Chrétien. Point besoin d’étaler sa culture théologique pour le prouver.
Qui oserait affirmer, sans tomber dans le ridicule, que la Turquie est état d’islam radical? Vous oseriez?…
Les crimes d’honneur ne sont pas le propre de la culture turque puisqu’ils existent aussi en Corse, en Italie, en Espagne et dans n’importe quel autre pays de la méditerranée. Ils sont plus courant dans le Sud Est de la Turquie comme ce fût le cas dans le Sud de l’Italie, je vous l’accorde. Mais les choses évoluent.
Monsieur Colpin:
« Dans la même veine, pourquoi les « Droits de l’homme » peinent-ils tant à s’imposer et à prospérer en pays musulmans ? Car ils ont été conceptualisés sur le terreau fertile des valeurs chrétiennes, de l’humanisme chrétien, pour devenir l’expression d’un christianisme déchristianisé, d’une foi chrétienne désacralisée, laïcisée… »
Les « Droits de l’homme » évoluent en Turquie d’une façon perceptible. Ce n’est pas moi qui affirme mais des rapports de la commission des « droits de l’homme ».
Si on prenait plutôt l’évolution de la démocratie en pays chrétiens tels que ceux de l’Amérique du Sud; la Colombie, le Guatemala, le Brésil, le Chili, l’Argentine… et tiens! Passons maintenant vers les pays comme la Russie, la Yugoslavie…
Allez-vous nous demander de mettre des œillères pour tous ces pays chrétiens, cher Monsieur? Elle est ou dans ces pays « cette démocratie si chrétienne »?
A vous entendre on pourrait croire que la démocratie, comme l’humanisme a toujours été le propre de la chrétienté.
Pour vous accorder notre confiance, vous devriez auparavant nous faire avaler des pilules qui nous feraient oublier l’inquisition, les génocides des civilisations pré-colombiennes, Staline, Hitler… et j’en passe…
Pour le reste Cher Monsieur;
Nos origines nationale, régionale ou locale ont, pour chacun d’entre nous, forgé notre identité avec ses composantes culturelle, linguistique et émotionnelle ; elles sont à la base de notre sentiment d’appartenance, de nos espérances, de notre volonté de nous impliquer pour cette Europe.
Par contre, avons-nous fait assez pour créer ce même sentiment à l’échelle « humaniste » ?
Je crois qu’il s’agit là d’une question capitale. Car sans cette dimension « humaniste » nous ne serions jamais à l’abri des dérives et vous nous le prouvez!
La dimension culturelle de l’Europe n’est donc pas une sorte d’embellissement de façade pour faire accepter une construction religieuse ou politique ou pour compenser un défaut de civilisation.
Au contraire, elle est une composante essentielle de « la construction humaniste » et une condition pour sa réussite.
D’où aussi ma profonde conviction que dans l’échelle des valeurs, la pluriculturalisme de l’Europe vient devant la religion ou l’économie. La culture européenne, c’est la diversité – une diversité qui constituerait notre richesse et qui doit être préservée.
Le plein respect de ces principes n’enlève cependant rien à la légitimité d’une action de l’Union européenne. Pour toutes les raisons que j’ai évoquées plus haut, il faut :
– stimuler davantage le dialogue interculturel et, à travers lui, la connaissance mutuelle de la diversité culturelle tout en mettant en évidence l’identité culturelle qui nous est commune ;
– encourager la mobilité des artistes, des opérateurs culturels et la diffusion des biens culturels, matériels et immatériels, y compris par la traduction ;
– donner, à l’intérieur de ces actions, une priorité à celles qui rapprochent anciens et nouveaux Etats membres ;
– veiller à ce que la spécificité de la culture soit respectée dans l’ensemble des politiques, internes et externes, de l’Union, comme l’exige d’ailleurs l’article 151 du Traité ; cet aspect est particulièrement important, notamment dans le cadre des négociations en cours au sein de l’UNESCO sur la préservation de la diversité culturelle.
Toutes ces activités ont leur légitimité au niveau européen, car elles contribueront à accentuer la dimension culturelle de l’Europe ; elles mettent en exergue le projet de civilisation que l’Europe représente ; elles donnent un sens au projet européen pour les citoyens. Pris ensemble, ces éléments constituent la spécificité d’une politique culturelle européenne.
Si je devais y identifier une notion centrale, c’est bien celle du dialogue interculturel. Une notion qui nourrira utilement la plupart des grands axes de la construction européenne, qu’il s’agisse de l’éducation, de la politique urbaine, de l’immigration, de l’intégration sociale ou de la politique étrangère. Une notion dont les deux termes sont également importants : dialogue et inter culturalité. Le dialogue interculturel peut nous aider en matière de prévention des conflits, à l’intérieur comme à l’extérieur des frontières de l’Europe. Il peut également renforcer la dimension multilatérale à laquelle l’Union européenne est profondément attachée.
Dans la lumière humaniste de la construction européenne, Monsieur Colpin, alors la Turquie, dans l’Europe ou pas?
J’allais dire « amen » Monsieur Colpin
Mais voila
J’ai quelque objections sur ce que vous écrivez
Quelque point qui doivent être clair
Le « non » au TCE
Etait un non au TCE avant tout
D’après ce que j’ai pu lire à l’époque
Le « non » à la Turquie (car on sais que le non français avait diverses raisons et la plus grande place revenait à Monsieur J. Chirac) ne représentait que 6% des votant du non.
Oui… bon…
La Turquie européenne où non ?
Il n’y a que les pays du continent européen qui peuvent faire une demande d’adhésion
Et la Turquie est candidate, à mon sens cette question là, on ne doit plus en discuter
Vous nous parlez d’un pourcentage des territoires de la Turquie
J’ai juste une question
Quel est le % d’appartenance de l’île Chypre et de Malte (certains, poses la même question concernant la UK) ?
La laïcité de la Turquie
Effectivement la Turquie est un pays laïc
Mais je ne savais pas que la Turquie avait une obligation d’appliquer à la lettre la laïcité française ?
Je pense que la laïcité ne fait pas partie des conditions d’adhésion
Si c’était le cas
Il faudra sortir tous les pays de l’EU qui ne sont pas laïc
il n’y a que deux pays laïc parmi les membres de l’EU
La France et le Portugal
L’Origine chrétienne de l’Europe
La aussi, il y a des choses à dire
Lorsque la Turquie est devenu candidate et pays négociateur en vu de son adhésion
Personne n’a dit que les turcs allés se réveiller le lendemain d’ouverture des négociations, avec des cheveux blond aux yeux bleus et une croix au coup
L’idée de l’EU est la paix entre les peuples dans leur diversité
Paix avant tout entre les allemands et les français
Par la suite entre les autres peuples de l’Europe
Si les pères fondateurs de l’EU avaient voulu une union chrétienne
Ils auraient fait cette union autour du Vatican et ils auraient choisit le Pape comme président
Ce n’est pas le cas
Bien au contraire l’état de Vatican ne faisant pas parti de l’EU
Grâce aux efforts de la France, il n’y a eu aucune mention de cette chrétienté ni dans le TCE ni dans le mini traité, et c’est tant mieux car sur le continent européen il n’y a pas que les chrétiens, d’ailleurs le Pape EST favorable à une adhésion de la Turquie à l’EU
La géographie devient un critère déterminant à vos yeux
La Turquie ne pourra pas être européenne car elle n’est pas sur le continent européen
Mais vous accepté facilement que ces terres étaient européen du temps des romains
C’est curieux ?
Anatolie européenne il y a 2000 ans
Mais pas européenne aujourd’hui parce qu’habité par des turcs ?
Pour conclure
Selon vous il y a des filtres pour adhérer à l’EU (pour beaucoup de ces filtres, ne sont pas des préalable à une adhésion)
Concernant la géographie, aucun filtre n’a marché par exemple pour l’île Chypre
Concernant la laïcité, aucun filtre n’a marché par exemple pour la Pologne
Concernant l’alphabet latin, aucun filtre n’a marché pour la Grèce
Concernant les racines chrétiennes de l’Europe, aucun filtre n’a marché pour la France ou Portugal par exemple.
mais voulez vous que tout ces filtres fonctionnent concernant la Turquie?
La Turquie n’est plus candidat mais un pays qui négocie la dernière étape de son adhésion à l’EU selon les critères mise en place par l’EU
Il n’y a aucune raison valable de déroger ces règles
Engin
Le plus grand obstacle sur le chemin de la Turquie,c’est elle-même.En quel sens ? Elle n’est pas démocratique dans les faits.Un exemple: les alévis contribuent aux impots et taxes divers, et pourtant ils sont discriminés et ne perçoivent rien de l’Etat, contrairement aux sunnites auxquels des millions sont versés chaque année.
Un deuxième exemple: les turcs ne sont pas suffisamment instruits pour être tolérant.Les chrétiens sont pourchassés,les turcs qui se convertissent au christiannisme sont assassinés,les alévis sont brûlés ( rappelez-vous de (SIVAS)…
Un autre exemple: la place des femmes.Elles n’ont qu’un droit, celui de la fermer.Elles sont mariées à 12 ans( ça existe encore!), quand elles refusent une proposition de mariage, elles sont souvent tuées, leurs familles les cloitrent à la maison et choisissent leur mari…
Un autre exemple: combien de filles turques se sont mariées avec un français ? très peu ! Pourquoi ? parce que ce sont des chrétiens, et que c’est mal, c’est une honte, c’est déshonnorant pour la famille…
Messieurs, des exempes, je peux vous en donner beaucoup. Le problème n’est pas la géographie, la religion, c’est le vivre ensemble ! Les turcs ne sont pas prêts à vivre avec nous. Et au fond de vous, vous le savez, car parfois vous avez honte de vos propres compatriote, n’est-il pas ?
Alors, quand la Turquie sera véritablement démocratique, quand elle sera plus tolérante, quand sa populations sera plus instruite et ouverte sur les autres, on en rediscutera !
Scandaleux
Article honteux. L’Union européenne est une union économique, peut etre bientot politique. En aucun cas il ne s’agit d’une union géographique.
Par ailleurs, le style de l’article est tres mauvais.
l’Ouverture?… Vouz avez dit l’ouverture?
Albert a écrit;
« Le plus grand obstacle sur le chemin de la Turquie,c’est elle-même.En quel sens ? Elle n’est pas démocratique dans les faits.Un exemple: les alévis contribuent aux impots et taxes divers, et pourtant ils sont discriminés et ne perçoivent rien de l’Etat, contrairement aux sunnites auxquels des millions sont versés chaque année. »
Les alévis? C’est qui?…Un peuple? Une communauté? Un cast?
C’est quoi ce délire? N’importe quel citoyen turc peut-être alévi. Un alevi ne porte pas « une étoile » sur sa veste que je sache. Feu Turgut Ozal qui a été Président de la République était alevi. Nous ne savions pas que l’Etat turc distribuait de l’argent à ses citiyens sinon on serait rentré en Turquie!
Une désinformation de cet acabit, il faut le faire!
Albert a écrit:
« Un deuxième exemple: les turcs ne sont pas suffisamment instruits pour être tolérant.Les chrétiens sont pourchassés,les turcs qui se convertissent au christiannisme sont assassinés,les alévis sont brûlés ( rappelez-vous de (SIVAS)… »
Le taux d’analphabétisme en Turquie (hors région Sud-Est) est de 1,7 % pour les femmes, 1,9% pour les hommes. Ce sont les données de « l’institut des statistiques » (TSE) pour l’année 2006. Ce sont des chiffres tout à fait honorables comparés aux taux européens.
D’autre part, il est aussi utile de préciser que les infrastructures universitaires turc accueillent chaque an près de 300 mille étudiants originaires des pays de Moyen Orient et de l’Asie.Dans toutes les grandes villes, une femme sur trois est dans la vie active. Il suffit d’aller visiter la Turquie et voir soi-même pour comprendre la place des femmes dans la société turque.
Maintenant, concernant la région Sud-Est de la Turquie que certains aimeraient appeler « kurdistan », les chiffres et les informations que je viens de citer ne sont pas valables car il est vrai qu’il existe un grand écart voir même une fracture de civilisation à l’intérieur même de la Turquie,avec cette région. Les differences de mode de vie et des mentalités conjugées aux actions terroristes du PKK (lire: http://www.info-turc.org/article1579.html)ont isolé cette region du reste de la Turquie. Lorsque la stabilité serait revenue par la disparition de l’organisation terroriste PKK, les enseignants turcs accepteraient plus volontier d’exercer dans cette région et c’est avant tout par l’instruction que le problème serait résolu.
Concernant les evénements tragiques de Sivas (1993) les agitateurs sont encore sous les verrous et les 15 responsables des massacres ont été exécutés par la peine capitale en 1995 avant que la Turquie abolisse la peine de mort.
Albert a écrit:
« Un autre exemple: la place des femmes.Elles n’ont qu’un droit, celui de la fermer.Elles sont mariées à 12 ans( ça existe encore!), quand elles refusent une proposition de mariage, elles sont souvent tuées, leurs familles les cloitrent à la maison et choisissent leur mari… »
Elles sont mariées à 12 ans( ça existe encore!), quand elles refusent une proposition de mariage, elles sont souvent tuées, leurs familles les cloitrent à la maison et choisissent leur mari… »
Ca aussi ça existe encore,… dans le Sud-Est de la Turquie. Comme j’ai expliqué plus haut, c’est par l’instruction que les mentalités vont pouvoir changer. Sinon, pour le reste de la Turquie, les crimes d’honneur se rarefient et sont sévérement punis par le code civil.
Le calvaire des femmes battues n’est pas propre à la société turque. Chaque mois, en France, six femmes meurent sous les coups de leur conjoint. Derrière ce chiffre se cache une multitude de violences conjugales qu’on ne veut pas toujours voir.
Albert a écrit:
« Un autre exemple: combien de filles turques se sont mariées avec un français ? très peu ! Pourquoi ? parce que ce sont des chrétiens, et que c’est mal, c’est une honte, c’est déshonnorant pour la famille… »
Donnez-nous des chiffres Albert, avant de nous imposer ce genre d’affirmation. Dites-nous combien de filles turques se sont mariées avec un français? J’aimerais l’apprendre avant d’ouvrir ce débat.
Albert a écrit:
« Messieurs, des exempes, je peux vous en donner beaucoup. Le problème n’est pas la géographie, la religion, c’est le vivre ensemble ! Les turcs ne sont pas prêts à vivre avec nous. Et au fond de vous, vous le savez, car parfois vous avez honte de vos propres compatriote, n’est-il pas ? »
Comment pouvez-vous affirmer que nous puissions avoir honte de nos propres compatriotes??? On croit rêver! C’est tellement absurde!
Nous aurions honte de quoi?
Du rare crime d’honneur qui a été perpétré par ce ressortisant turc que les médias nous étale avec déléctation?…
Sur une communauté turque de plus de 200 milles membres, ça représente quoi par an, en pourcentage?
Vous finissez vos phrases avec » ouverte sur les autres »
Mais ditez-nous, elle est ou cette « ouverture » chez vous. Personellement, j’ai du mal à la décéler!
francTurk
M. Franc Turk,
Vous avez bien voulu répondre à mon commentaire, et vous apportez quelques réponses. Regardons de près vos réponses:
1) concernant les alévis:
Les alévis ne sont pas une caste, ne portent pas d’étoile ou tout autre insigne de reconnaissance…C’est vrai. Mais je n’ai jamais rien affirmé de tel. Qu’est-ce que je dis ? Je dis que les alévis qui ne font pas le Ramadan, ne vont pas à la mecque, ne portent pas le voile…sont discriminés.
a)L’etat est tenu de donner des subventions pour permettre la bonne marche des cultes. Or les alévis ne recoivent rien, contrairement aux sunnites.
b) La population alévis est mal perçue. Leurs enfants sont obligés de subir l’enseignement religieuse sunnite(cf: procès d’un père auprès des juridictions européennes)car l’Etat turque oblige ces enfants à suivre des cours de « sunnisme ». Lors du Ramadan, les étudiants alévis sont tabassés, parce qu’ils mangent, contrairement aux autres qui observent le jeun.
c) Autour des alévis, il y a des préjugés entretenus par les chers sunnites, tellement tolérantavec leus islam (ils puent, ils entretiennent des relations incestueuses,…)
2) Concernant la population turque qui vit en France. Allez étudier toutes les études faites par l’INSEE, ou autre instituts, vous verrez que la population turque est celle qui est la plus renfermée sur elle. Elle ne veut pas de mélage, d’échange avec les français.Et ne soyez pas de mauvaise foi, pour les mariages entre filles turques et garçons français, c’est de l’odre de 10 chaque année, et encore.
3) Il n’est pas utile de parler des turcs de turquie, quand en France, la population turque refuse de vivre avec les français, de se mélanger.Ce que veut la Turquie, c’est le fric des européens, et non vivre avec les valeurs occidentales.
Je ne doute pas cependant qu’ il y ait des individus tels que vous, sans doute tolérants, ouverts…mais çà représente combien dans une population qui est de plus en plus repliée sur elle-même et qui tient à ses aleurs comme à son voile de manière fanatique ?
Mais revenons
J’ai trouve les chiffres sur les mariages mixtes et sur le replie sur soi de la population turque en général:
– les mariages mixtes sont exceptionnels, puisque 98 % des filles et 94 % des garçons sont endogames…
allez voir à l’adresse suivante: http://www.ataturquie.asso.fr/informations_immigration.htm
Tous ces européens qui commencent à se précipiter pour vivre en Turquie, sont-ils tombés sur la tête?
Albert a écrit:
« … Je dis que les alévis qui ne font pas le Ramadan, ne vont pas à la mecque, ne portent pas le voile…sont discriminés.
a)L’etat est tenu de donner des subventions pour permettre la bonne marche des cultes. Or les alévis ne recoivent rien, contrairement aux sunnites.
Vous ignorez cher ami qu’il y a eu beaucoup de progrès de ce coté avec, surtout, un decrét de loi concernant « le financement des cultes islamiques » appliquée depuis novembre 2006.
D’autre part, l’enseignement religieux n’est pas obligatoire en Turquie et dans les écoles les parents sont libres de dispenser leurs enfants des « din dersi » .
Comment pouvez-vous affirmer que l’Etat turc qui est laic puisse obliger les enfants à suivre des cours religieux!??
C’est de la désinformation lorsque vous affirmez que les Alevis sont tabassés lors du ramadan car vous systématisez des incidents isolés qui sont arrivés (c’est regrettable) dans cette Turquie de 70 millions d’habitants.
Par contre, je vous accorde que les sunnites ont un pas à faire vers d’avantage de respect envers les alévis. Vous savez autant que moi que dans les villes la situation est en nette progrès par rapport au milieu rural.
Concernant les mariages franco-turcs, désolé de ne pouvoir vous accorder de crédit puisque vous êtes dans l’impossibilité de me citer vos sources. Des affirmations devraient avoir des bases verifiables.
Par ailleurs, avez-vous seulement songé ne serait-ce qu’un instant que « nos filles » pouvaient, elles aussi, subir de la discrimination de la part des français?
Combien de « bonnes familles françaises chrétiennes seraient prêtes à reçevoir sans opposition, en leur sein « une belle fille d’origine turque »?
Refléchissez-y!
Concernant les turcs de France dont j’en fais partie, croyez-moi sur parole que si on pouvait retourner définitivement en Turquie, nous le ferions sans hésiter. Ce qui nous arrête ce n’est pas l’argent, ce n’est pas non plus « ce confort de polichinel » que nous offre cette France mais ce sont nos enfants, qui ont grandi et qui se sont adaptés à ce pays. Ils se retrouveraient en Turquie le jour au lendemain et ils seraient perdus.
Mieux vaut qu’ils continuent à vivre dans ce pays,au milieu de nulle part dans l’esprit, ni complètement français, ni complètement turcs, une drôle de génération en somme, mais c’est là un autre débat!…
Par contre, vous devriez vous renseigner du nombre d’immigrés turcs qui rentrent en France. Vous seriez très surpris.
Avec une croissance de 1.5%/an à peine, ses hordes de chômeurs, ses xénophobes et ses racistes, son manque de soleil et de la chaleur humaine, je vous demande cher ami, qu’est-ce que cette France a à offrir d’avantage aux ressortissants d’un pays emergent tel que la Turquie?
Voici le Rapport annuel du Ministère de l’Immigration Turc:
http://tckimlik.nvi.gov.tr/web.nufus/foreign.aspx.doc
Le nombre d’immigrés issus des pays de l’Union Européenne dans l’attente d’un carte de sejour turque en 2006: 128473
Alors, tous ces européens qui commencent à se précipiter pour vivre en Turquie, sont-ils tombés sur la tête???
Monsieur, Madame,
Tout d’abord, j’ai cité mes sources,c’est le site « Ataturquie », je vous ai donné l’adresse internet( s’agissant des mariages mixtes et du repli de la communauté turque).
Ensuite,je ne nie pas qu’en France, il y a des milliers de familles turques parfaitement intégrées, tolérantes…
Mais ce que j’essaie de montrer c’est que ces familles sont en général « bien entre elles », qu’il n’ y a pas d’échanges avec la population française. Même parmi les étudiants,lorsqu’il s’agit de se marier,ils préfèrent les turques. Alors, s’ils veulent rester entre-eux,où est l’utilité pour les turcs de Turquie d’intégrer l’Unio européenne ? C’est donc bien l’appat du gain, non ?
La Turquie est un pays émergent et qui se développe très vite, je vous l’accorde, mais ce développement n’est que de facade, car il ne s’accompagne pas d’un développement des idées, des mentalités. Et au contraire,le pays rétrograde ! Un seul exemple: votre pianiste de réputation mondial, fazil bey, a voulu quitter la Turquie à cause des islamistes, et ce sont les pleurs de sa mère qui l’ont retenu.
En d’autres termes, bien-sûr que vos enfants seraient perdus en Turquie, puisqu’un turc de Turquie comme Fazil l’est déjà, a fortiori les votres.Ils ont raison de rester en France, et c’est bien comme celà. Loin de moi, l’idéee de jeter l’anathème sur les turcs. Je dis qu’ils sont respactables, mais que pour les turcs de Turquie, il vaut mieux qu’ils restent en Turquie. Pourquoi ? Car s’ils venaient en nombre, vous verriez que les popilations euripéennesseraient choquées par le spectacle. Les turcs de Turquie sont encore théocratique (enfermés avec Dieu ou Mahomet), très peu sont laics en vérité.
Alors, pour les turcs d’ici comme pour nous, il vaut qu’ils restent en Turquie, non ?
Nous rentrons dans un débat stérile mais pour en terminer;
Je vous désigne 128473 immigrés européens rien qu’en 2006,pour s’installer définitivement en Turquie et vous, vous nous montrez l’exemple d’un pianiste en mal de vivre qui a menacé de quitter la Turquie mais qui y reste toujours, parce que « sa mère à pleuré »!
Les gens curieux voulant en savoir plus pourront se fier à l’avis de ces centaines de milliers de touristes français qui se rendent chaque année en Turquie.
Pour le reste, je vous lisse continuer votre désinformation empoisonnée car j’ai d’autres chats à fouetter qu’à tourner dans un dialogue de sourd avec vous.
P.S: Vous auriez pu au moins le courage de nous divulguer vos origines. Vous n’êtes certainement pas français, ni turc. Vous parliez de honte tout à l’heure… 😉
Adios hombre!
M. Franc Turk,
D’abord une prière: arrêtez de fouetter les chats, ils ne vous ont rien faits.Les chats de France comme de Turquie(Ankara,le chat de Van…)sont si beaux et plus « humains » que les hommes.Mais si le coeur vous en dit, fouettez qui vous voudrez,chats, vaches, moutons et pourquoi pas vous-mêmes ?
Ensuite,il faut accepter la contradiction dans une discussion,sinon çà veut dire que vous ne savez pas discuter mais plutôt commander.C’est votre côté autoritaire qui se manifeste ?
Pour en finir, mes origines sont françaises,et je connais bien la Turquie pour y avoir passé mes vacances assez souvent. Croyez-moi, que les turcs de Turquie restent là où ils sont, ce sera mieux pour tout le monde. Non pas qu’ils soient pires que les autres,mais vous seriez déçus,et les français aussi.
La laïcité en Turquie.
C’est un Belge francophone qui vous le dit : « le droit des gens »,
celui notamment de parler et d’écrire, où que ce soit,la langue de son choix, doit prévaloir sur « le droit du sol », si souvent responsable de guerres et d’autres intolérances.
La majorité démocratique (60 % de Flamands en Belgique) n’a pourtant pas nécessairement toujours raison … ! Pas plus qu’en Turquie où, à chaque élection, les islamiques (-istes ?) gagnent du terrain, ce qui ne va évidemment pas dans le sens d’un « progrès humain » … Et pour cause, historiquement : la laïcité y a été imposée, certes avec d’excellentes intentions humanistes, par Mustafa Kemal Attaturk, franc-maçon anglophile, mais hélas de manière dictatoriale, évidemment impensable de nos jours. La réaction était inévitable …
Une petite remarque : la plupart des athées ne sont pas des « talibans de la laïcité » …! Ils souhaitent seulement que tout être humain puisse choisir, aussi librement et tardivement que possible, de croire ou de ne pas croire, à partir d’alternatives non aliénantes, dont une information non prosélyte sur les principes, les valeurs, les fondements et les objectifs de l’humanisme laïque.
Cordialement,
Michel THYS, Waterloo.
Monsieur Thys,
Entièrement d’accord avec vous sur la liberté individuelle et j’ajouterai qu’en Turquie personne n’empêche un citoyen turc d’origine kurde de parler et écrire dans sa langue. Cependant la langue officielle reste le turc. Par contre, à coté de la langue turque qui est obligatoire, il est souhaitable que le gouvernement autorise les enfants qui veulent apprendre le kurde de pouvoir l’étudier à l’école. Je crois savoir que c’est dans le programme des prochaines réformes du gouvernement.
Par contre, je peux vous assurer que le gouvernement d’Erdogan n’est « islamiste » que d’apparence. La laicité n’est pas en danger en Turquie, contrairement aux appels aux loups des milieux extrêmistes(nationalistes).
Cordialement,
francturk
je suis tout a fait d accord avec mr colpin
mais le probleme c est les profits de l Europe
la seul raison c est les liards
on s en fou de vos excuse
la Turquie a plus d excuses que l UE pour ne pas y adherer
la Turquie sera plus puissantes en s alliant avec la Russie ;l Iran
et
les pays Turc de l ex URSS
laissons leur europe soit disant democratique
la neige est plus blanche a l est
« Un autre exemple: la place des femmes.Elles n’ont qu’un droit, celui de la fermer.Elles sont mariées à 12 ans( ça existe encore!), quand elles refusent une proposition de mariage, elles sont souvent tuées, leurs familles les cloitrent à la maison et choisissent leur mari… »
HA HA HA
ça me fait marrer d’écouter l’opinion des français au sujet de la Turquie si la Turquie est un pays si islamiste expliquez moi pourquoi l’AVORTEMENT y est legal alors que des pays comme l’Irlande,la Pologne,Malte(U.E.)sont contre.
En Turquie il y a deja eu une femme premier ministre(poste le plus important au niveau politique car le president ne ser a rien)alors que beaucoup de Francais n’ont pas vote Royal car c’est une femme.Les femmes Turques ont obtenu le droit de vote avant les femmes Francaises…
« 3) Il n’est pas utile de parler des turcs de turquie, quand en France, la population turque refuse de vivre avec les français, de se mélanger.Ce que veut la Turquie, »
Un autre point important vous ne pouvez pas comparer les Turcs de Turquie aux Turcs de France
car les Turcs de France viennent des regions les plus religieuses,pauvres et ineduqées de la classe sociale pauvre c’est pour ça qu’ils ont quites leur pays d’origine alors qu’il y a en Turquie une classe tres riche et moyenne qui est completement différente.
Ce n’est pas un probleme religieux ou culturel c’est un probleme ECONOMIQUE.ARRETEZ DE PARLER DE LA TURQUIE vous ne la connaissez pas allez faire un tour à Istanbul ou autour dans la region d’Izmir vous serez étonné.LES MEDIAS FRANCAIS SONT A CHIER ET RACONTENT QUE DES CONNERIES Y’en a marre a la fin…..
AVEZ-VOUS RAISON MR MC CAIN???: John McCain, sénateur et candidat républicain à l’élection présidentielle américaine, estime que la Turquie fait partie des principales démocraties :
« Aujourd’hui s’exprime la puissante voix collective de l’Union européenne, de l’Inde et du Japon, de l’Australie et du Brésil, de la Corée du Sud et de l’Afrique du Sud, de la Turquie et d’Israël, pour ne citer que quelques-unes des principales démocraties. »