Depuis que nous connaissons l’ampleur des dégâts que nous avons causés à notre environnement, nous recherchons dans toutes les sphères de la société des moyens de réduire le taux de pollution. Nous avons d’abord commencé par les gaz s’échappant de nos usines ensuite de réduire les gaz à effets de serre produits par nos véhicules. Dès à présent, une large partie de la bataille verte s’oriente vers les sacs de plastique, que nous utilisons par quantité industrielle et cela à tous les jours. C’est ainsi que j’en viens à la partie centrale de cet article.

Le géant des cosmétiques, Yves Rocher, à annoncé cette semaine qu’il bannira littéralement le bon vieux sac de plastique de toutes ses places d’affaire pour mettre en marché une toute nouvelle gamme de sac réutilisable. Le but de l’entreprise n’étant aucunement de faire des profits il distribuera ces tous nouveaux sacs au prix coûtant, c’est-à-dire qu’il n’en tirera aucun bénéfice. Dans les lignes qui suivent, je vous exposerai sur le projet d’Yves Rocher et les importantes répercutions qu’elles pourront apporter ainsi que des problèmes qu’il pourra aider à solutionner. […/…]

Premièrement, l’entreprise française a toujours depuis sa création affichée un slogan en faveur de la nature : « Depuis la création de la compagnie en 1958, Yves Rocher reconnaît que les êtres humains dépendent de la nature et qu’ils doivent la protéger pour se protéger eux-mêmes »[1] Cette phrase a été tirée de l’article sur : www.gaiapresse.ca, de la bouche du directeur général des magasins Stéphane Duval.

Cela me paraît être une excellente nouvelle car ces sacs sont des plus attrayants pour les clients de l’entreprise mais sont également écologique. Dans une vision des plus optimistes j’entrevois qu’à la suite d’un géant tel qu’Yves Rocher, de plus petites entreprises mais aussi des plus grosses emboîteront le pas et qu’un virage vert pourra se faire voir chez la majorité des marchants de toutes sortes dans un avenir rapproché. Il y également le prix de ces articles qui vient amplifier la valeur de l’idée de l’entreprise. Car en ne voulant faire aucun profit avec les sacs vert cette dernière donnera le goût à une clientèle des plus variée de se procurer des sacs écologique.

Ensuite, cette initiative des magasins français ne pouvait pas mieux tomber, car de grandes crises dans tout le monde se préparent. Nous n’avons qu’à penser au «pic pétrolier» ou à la pollution dans l’océan pacifique nommée la «great pacifique garbage patch». Premièrement, le «pic pétrolier» est tout près de nous beaucoup plus qu’on ne peut l’imaginé, alors si nous pouvons économiser nos ressources de pétrole en créant des nouvelles lignes de sacs réutilisable et écologique j’y vois là un très grand pas dans la bonne direction. Car par l’économie de pétrole que nous ferons là, nous pourront réinvestir les quantités de pétrole économisé vers d’autres utilisations beaucoup plus indispensable que des sacs pour mettre nos dépenses quotidiennes. Par ailleurs, l’accumulation de déchets dans l’océan pacifique est en grande partie composée de nos déchets quotidiens c’est-à-dire un très haut pourcentage de sac de plastique. Je ne dis pas que nous éliminerons cette problématique seulement avec cette création mais c’est au moins un premier bel effort collectif pour y parvenir.

Pour conclure, je crois qu’il faut accueillir très favorablement la nouvelle d’Yves Rocher, et les encourager dès la sortie des sacs réutilisable qui aura lieu en juin. Car cela pourra encourager les autres marchants à emboîter le pas de l’entreprise et ainsi réduire la quantité de sac de plastique dans les magasins. Également cela pourra avoir un impact fort bénéfique sur des problématiques mondiales tel que le «pic pétrolier» et la «great pacifique garbage patch». Par ailleurs, il y a également le temps incroyablement long de la décomposition des sacs de plastique populaire, qui aurait pu me servir de très bon cheval de bataille, nous parlons ici en chiffre de près de 400 ans en moyenne.


[1] http://www.gaiapresse.ca/documents/180208_YR.pdf

Sources de l’article : http://www.gaiapresse.ca/documents/180208_YR.pdf

http://www.canoe.com/artdevivre/societe/article1/2008/04/16/5302441-ca.html