Merci les politiques de tous bords qui croient dur comme fer qu’il suffit d’incanter avec des formules magiques telles que : YAKA, YFOKON, YAPUKA
 
L’industrie met des décennies à se construire n’en déplaise aux "Phinanciers" tels des sorciers africains avec leurs danses de la pluie et autres simagrées. Les baguettes magiques sont en particulier celles des gauchistes qui avant de discuter de quoi que ce soit provoquent des grèves à répétitions et surtout approuvent toutes les revendications y compris les plus absurdes sans discernement rien que pour semer la zizanie, quels programmes !
Pour redresser la barre, ce sont les cadres et les patrons de PME/PMI qui ont probablement des avis certainement bien plus autorisés que d’aucuns, hors entre ministres (intègres) président en tête (qui ferait bien de présider au lieu de commettre ses avis sur tout et rien, assisté de "conseillers-non-payeurs") d’élus qui n’ont qu’une compétence d’aboyeurs de foire, de "grands patrons" déconnectés de la base et la foultitude "d’ôtes toi d’là que j’m’y mette" sans oublier une seule seconde les banquiers foireux qui se croient plus malins que les autres.
C’est vrai que quelques milliards mal utilisés ne feront qu’un déjeuner de soleil et nous en serons quelques mois plus tard au même point si ce n’est pire.
C’est si facile d’octroyer 10 milliards d’euros à je ne sais quelle grosse entité qui fait l’objet d’un seul dossier et de repas bien arrosés ainsi que d’enveloppes pour bonnes œuvres que de s’occuper de 10000 dossiers pour de petites et toutes petites structures qui vont mobiliser beaucoup trop de travail pour des fonctionnaires incapables de faire face à une telle avalanche, sans oublier que leur formation n’est pas adéquate.
 
Comme toujours lorsqu’il s’agit de guerre, car celle-ci en est une, il n’est pas judicieux d’annoncer publiquement le plan de bataille, même si certains parmi les "petits patrons" ont des qualités de stratèges de haute volée. Les réunions gouvernement-syndicats-CAC40 sont d’une inutilité affligeante et je crains que nous allions à vau-l’eau.