Puisque je suis puni de soleil du côté de Belfort, vu que l’été joue à cache cache, je suis allé au cinéma, plusieurs fois, j’ai lu un livre et j’ai écouté les conversations de mes collègues de travail.
Et pour vous, en voici un résumé :
Spider Man, ça vous dit vaguement quelque-chose, n’est-ce pas ? Je vous conseille vivement d’aller le voir au cinéma. Ce film fantastique américain est une réussite car le réalisateur a eu la bonne idée de s’intéresser au côté humain du célèbre héros Spiderman. Cela lui donne une épaisseur, un supplément d’âme. Le film dure plus de deux heures, et l’araignée, c’est promis, ne vous prendra pas dans sa toile…
Ah, la jolie Sophie Marceau ! Comment vous dire, je la trouve ravissante et attendrissante. Alors je suis allé la voir au cinéma, pour elle, bien-sûr, et je me suis régalé.
"Un bonheur n’arrive jamais seul" est donc un film familial, sympathique, enfin bref, un joli moment de détente assuré.
Sophie Marceau est divine. Gad Elmalh est en pleine forme. François Berléand, très à l’aise dans son rôle. Un beau trio d’acteurs au service d’un film ou le romantisme côtoie sans pudeur le comique et la drôlerie.
L’histoire, sans prétention, est la suivante :
Sacha, pianiste de jazz, est une célibataire endurci. Elle mène d’ailleurs une vie de patachon. Mais tout va changer lorsqu’elle va croiser le regard d’une certaine… Charlotte.
Le retour d’Arsène Lupin, le fameux et célèbre gentleman cambrioleur. Il débarque su papier grâce à Maurice Leblanc qui publie : "Le dernier amour d’Arsène Lupin".
2OO pages pour rendre hommage à ce Don Quichotte sans scrupules, capable du pire pour le meilleur. Ce livre saura, à coup sûr, remonter le temps de votre adolescence bercée par les aventures de ce personnage haut en couleur.
Une chose est sûre, ce roman est inédit. Il a été découvert par hasard par la petite fille de Maurice Leblanc, en haut d’une armoire. Belle trouvaille…
Vous apprendrez au fil des pages quelques secrets sur cet héros merveilleux, romanesque à souhait, drôle, facétieux et, toujours, chevaleresque.
Un livre qui vous enchantera certainement, comme je l’ai été moi-même.
Concernant l’auteur, Maurice Leblanc, il est mort en 1941. Il n’a donc logiquement pas pu donner sa version définitive à cette histoire écrite en 1936.
Bonne lecture !
Et enfin, pour terminer cet article, voici quelques brèves de conversations entendus sur mon lieu de travail :
– Heureusement qu’on a deux riens. Comme ça, si l’un ne marche plus il y a toujours un autre de secours. (Il voulait parler des reins !)
– J’ai tellement mal dans le bas du dos que j’ai l’impression de n’avoir que le haut qui fonctionne encore. (Oups !)
– Vu qu’il pleut sans arrêt, je vais finir par me noyer. (Bizarre, bizarre !)