Vos idées possibles pour la sortie de la crise…?

Et si nous donnions nos propres réfexions à nos élus qui ne semblent pas sortir de leurs pensées coincées dans la centrifugeuse depuis trop longtemp ?

La crise doit se voir par dessus son épaule afin d’envisager des solutions ou un autre horizon.

Idée 1

Le don aux associations est déductible des impôts.
Défiscaliser aussi le temps donné auprés des associations par des particuliers.
Cela génére une valorisation nationale et sociale qui arrange la collectivité pour rappel et fait faire des économies à l’état qui n’assume pas son rôle au lieu de gérer les conséquences sociales qui n’arrangent rien. Beaucoup de gens seraient plus solidaires et cela éviterait du travail parallèle informel.

Idée 2

La TVA est injuste pour les plus pauvres qui dépensent la totalité de leur argent ou leurs trés faibles revenus pour se nourrir ou survivre. Diminuer ou annuler la TVA sur les choses vitales de base (tout ce qui concerne la nourriture déja) et augmenter la TVA sur le superflu non indispensable. A voir aussi certaines taxes ou droits fiscaux sur des choses indispensables.

Idée 3

Payer à ne rien faire devant la télévision des gens qui malgré leur désir ne trouvent pas d’emploi, autant les inviter en échange d’une rémunération basée sur la collectivité à participer à des oeuvres associatives diverses, selon leur choix, plutôt que de subventionner via l’état nombre de ces ONG pour les faires fonctionner de manière doublement coûteuse. Cela permettrait de ne pas désocialiser les demandeurs d’emplois et de leur permettre de garder leur dignité.

Idée….   Il en existe encore bien d’autres puisque chaque homme en une société vit sur cette société d’une manière directe ou indirecte, autant avoir du bon sens collectivement…

PH

 

78 réflexions sur « Vos idées possibles pour la sortie de la crise…? »

  1. Permettre aux associations subventionnées UNIQUEMENT par des fonds publics de se rapprocher de sponsors privés.

    Ce qui n’est pas le cas en ce moment.

    Preuve à l’appui : Association La Pose à Valenciennes (dont je suis administratrice trésorière) qui a pour principal objet l’hébergement ET la réinsertion des familles en grande difficultés.

    A suivre…

  2. Revoir la CMU (plafond de ressources)

    Des personnes ayant petit salaire ou petite retraite, ne peuvent plus se soigner correctement : pharmacie soins dentaires, lunettes etc..)

    Non seulement revoir le plafond, mais intensifier la chasse aux « Tricheurs ».
    Il y en a de plus en plus

  3. Sophy, qu’une association sociale soient subventionnée par l’état est déja une forme de déviance du système à mon avis. Pourquoi donner d’un co^té alors que de l’autre l’état n’assume pas son rôle envers le peuple ?

    C’est Idem avec la CMU, si il faudrait effectivement relever le plafond pourquoi ne pas reprendre en main les soins Gratuitement par l’état en ajustant donc justement, le prix réel de ce soins et des médicaments ?

    Des études aux Usa déja dans les années 60 disaient que donner gratuitement même un revenu aux sans emplois était moins coûteux collectivement que la sommes des frais divers engagés dans les divers budgets sans oublier les conséquences trés lourdes de l’état du chômage comme la délinquence, la drogue, la violence, la déssocialisation dans le temps, même les députés républicains avaient dit oui à une réforme qui fut arrêtée ensuite… un test avait été fait dans un état, il confirmait que les gens ne profitaient pas plus du collectif pour autant et que nombre pnts de la sociétés étaient amélioré et plus économiquement pour le pays.

    Les tricheurs deviennent des tricheurs par manque de propositions, mettre tous les abus derrière les prisons coûtent encore plus à la Sté collective… c’est la vision réduite de nombre de politiques juste pour répondre à une tranche plus nantie de la société.

    PH

  4. Autre idée

    …qui n’est pas de moi seulement. Mais bonne à rappeler avant de tirer inutilement sur des ambulances…

    L’Europe prête de l’argent aux banques à un taux de 1%, banques qui prêtent ensuite aux états Européens à des taux jusque 7%…

    Pourquoi l’Europe ne prête pas directement aux banques nationales officielles des pays (comme la banque de France…) à ce taux de 1% ?

    Pour votre rappel l’endettement actuel de la France, c’est environ « 50 milliards d’euros » de remboursement des intérêts par an, le capital lui continue d’augmenter.

    (Pas avec des mesurettes politiques prises par les uns ou les autres que l’on peut arrêter cela). n’avez-vous pas l’idée la que les gens se laissent plumer via l’éta par les banques, et faut-il rappeler que l’argent de l’Eurpe qui donne en haut est prélevé chaque année du budget des états ? En clair nous donnons de l’argent à l’Europe qui par son fonctionnement en prend encore plus dans les pôches des peuples pour le donner aux banques « privées ».

    Bon la je pense que nous avonsune des idées prioritaire pour arrêter toutes les problématiques sociales il me semble…

    PH

  5. @Philippus,
    Tout çà sont des idéaux Humanistes, et vous savez bien que j’abonde dans votre sens.
    maintenant ces mesures ont un « coup ».

    Comment les financer.
    LÀ EST LE PROBLÈME !!

  6. Idée

    Interdire aux divers Lobbies qui ne peuvent être objectifs, de s’insérer au quotidien dans la vie des parlementaires divers notamment à l’UE.

    Réclamer la neutralité et l’indépendance des députés Européens vis à vis des grosses industries des pays.

    Il existe dans tous les pays des universitaires payés par les état, des spécialistes sur tous les plans qui n’ont aucun intérêt commercial ou autre avec le système économique et que l’on utilise malheureusment jamais pour venir assister nos divers élus sur les dossiers. Une source de savoir et d’analyse entretenue pas les pays mais inutilisé.

    Ces universitaires sont néanmoins des gens réputés et connus mondialement bien souvent du cercle des chercheurs internationnaux, et parfois n’étant pas suivis par leur pays finissent entre les mains des lobbies pour quelques uns parfois…

    PH

  7. Idée

    Autoriser des gares routières pour les particuliers ou des points de prise en charge pour le covoiturage. Dans des endroits de grands départs vers des destinations habituelles, combien se croissent et se suivent cul à cul sur les routes chaque jour entre même villes et destinations ? Economie d’énergie, plus écolo, et partage des frais par une participation symbolique.

    Au Mexique les gens qui sont seul en véhicule en ville sont verbalisés, mais les riches en gros 4×4 voyagent en prenant des pauvres qu’ils paient encore pour éviter le PV… c’est devenu un petit boulot, mais par manque d’organisation évidemment initialement. le but était de désenclaver les villes aux heures de pointe…

    PH

  8. Sophy

    Le discour de dire que cela aurait un coût est une fuite en avant afin d’oublier de dire que les conséquences désormais coûtent plus chères à la société.

    Payer un chômeur à ne rien faire sur le dos du collectif est-il moins cher au final que de l’intégrer dans la société ? Vous dites souvent vous mêmes en avoir assez de payer pour les autres en ayant encore une position de vie possible… et vous êtes dans l’associatif néanoins…

    La question est aussi de savoir qui gagne de l’argent en la situation actuelle et qui en perd, sur le terreau de la misére qui augmente et qui déversera de plus en plus de gens vers la drogue, la violence, l’insécurité, qui coûte encore au final. cette logique commence à sauter aux yeux, même des gens qui n’ont aucune approche analytique de ce que disent depuis des années des sociologues et mêmes des économismes, pour qui économie ne rime pas spécialement avec finances ni égoïsme.

    Il faut regarder plus Arte que TFI pour penser autrement.

    Gérer autrement la société s’impose sinon c’est l’éclatement. regarder les rues d’athène, de Madrid, de Rome, de Paris, ce ne seront plus les jeunes de banlieue qui vont monter en métro tout casser mais des retraités, des bons européens et français, s’ils n’attendent pas encore trop longtemps comme les Grecs pour voir diminuer tout de 40% pour payer la dette qui se creuse chaque jour…

    L’uthopie c’est de ne rien faire.

    J’ai arrêter l’associatif parfois car entretenir les gens en leur état est un encouragement à leur réactivité pour réclamer la justice et l’équité.

    Et ne pas mélanger société et social, la société ne veut pas être assistée mais participer au collectif.

    Ce n’est pas de l’humanisme, mais de la logique mathématique de sociologie.

    PH

  9. Sophy

    début des années 90, j’enseignais en formation continue, ce fut grosse vague de formation des chômeurs qui ne trouvaient pas plus de travail à la sortie ou alors ils remplaçaient ceux qui étaient virés des entreprises disons… 1 ou 2 sur 20 trouvait du travail en sortant de formation.

    Un sans emploi qui avait déja bien moins que le smic alors coûtaient en formation sur un an le triple plus ou moins au collectif, donc entre représenter un côut de rémunération de 50.000 frs au chômage à ne rien faire, il coûtait 150.000 FRrs en l’occupant pour le revoyer au casse pipe ensuite… certains avaient même plusieurs CAP BEP aprés quelques années dans ces cycles de formation….

    Les incorporer dans les entreprises sans aucune charge sociale, sans frais de déviance possible des chômeurs comme conséquences, le collectif aurait été gagnant… nous avons des générations maintenant qui n’ont pas connu leurs parents au travail quasiment….

    Ajouter au passage les allocations diverses familiales et aides sociales diverses et avantages que paient indirectement les autres dans leurs achats…

    Voila pourquoi ceux qui travaillent encore paient de plus en plus, même en travaillant plus comme invitait à le faire l’ancien inconscient…

    Nous devrions travailler à moins de 30 h semaine si hier l’on avait pas laissé pourrir les situations pour faire profiter une poignée de financiers et de lâches politiques…

    PH

  10. Toutes ces idées sont excellentes mais partiellement inapplicables et en tous cas il faudrait tellement d’accords politiques qu’on n’y arrivera jamais car avec notre particratie, ces gens se préoccupent plus de leur réelection que de faire fonctionner le pays. (exemple les salaires ubuesques de gens comme Flahaut:15.000€ par mois + indemnité de chauffage, etc..
    Mais pourquoi personne ne réagit-il quand je suggère quelque chose de parfaitement faisable, comme le sauvetage de Genk: pas assez de c….es? Ca pourtant c’aurait été un exemple de solidarité et d’efficacité.

  11. Dette
    Si l’on considère qu’une grande partie de ce pactole est issue de l’argent noir et des détournements divers de dirigeants malhonnêtes on peut considérer que la dette des pays n’existe pas ? Si l’on oblige la rentrée en Europe et ailleurs de cet argent et la fermeture des paradis fiscaux par une loi internationale la crise n’existe plus ?

  12. Jeanjean
    Certes que pour appliquer il faudrait faire changer des choses, mais il faudrait certainement plus communiquer sur des idées et des analyses possibles envers le peuple. Les gens se plaignent tous mais ce sont les mêmes qui vont voter pour les mêmes qui augmentent ensuite leurs plaintes.

    Malheureusement les bonnes idées ne seront pas appliquées ou alors partiellement, et se dissolveraient rapidement en échec dans une masse d’autres décisions plus puissances. Le pouvoir est matériel et néméraire plus que dans le verbe et l’esprit humain encore.

    Aucune civisation n’a un jour stoppé son fonctionnement pour tout remettre sur la table pour changer fondamentalement sa manière d’avancer. Seul un éclatement a fait faire des bonds aux hommes, bonds de formes plus que de fond la aussi…

    PH

  13. jeanbobdu84

    Réinjecter de l’argent caché par certains ne suffirait pas à relancer pour un pays sa position mondiale, la mondialisation étant celle de la finance. C’est souvent ces finances qui ont aussi développé les économies des pays émergeants.

    La problématique est l’usure qui permet d’avoir des revenus sans échange matériel, sans parler des gains sur des valeurs fictives créees ces dermières décennies sur les marchés boursiers. Les gains virtuels sont retirés en argent sonnant mais les pertes sont pour les peuples qui usent la main d’oeuvre et qui trébuche et qui paie les pertes.

    Les pays ont aidé dernièrement les banques en danger, en quelques temps elles se sont refait une santé, elles courrent de nouveau mais rien de plus dans le développement des hommes et des peuples, qui les ont aidé indirectement via les politiques. Il faut miser sur du réel, les entreprises les hommes, une autre vision plus collective, car toute l’essence même énergétique des peuples passent dans par des ordinateurs désormais qui travaillent encore plus vite que les traders, toute possibilité d’évolution sociale voit ses gains potentiels être pompés avant même d’exister concrêtement pour les productifs… (travailler plus et savoir déja gagner moins est bien la finalité actuelle constatée).

    L’argent est bien présent, c’est l’essence pour faire fonctionner le système mais les voitures restent au bord de la route, les pompistes n’ont plus besoins des autres…

    PH

  14. [quote][quote]søurire avait dit:


    Et pour faire la juste mesure au sempiternel discours populiste et démago de notre retraitée de l’existence Sophy, et de la bold communauté ci-présente de petits entrepreneurs ou indépendants sur le retour, concernant les tricheurs ou assimilés parasites selon leur expression habituelle, quelques chiffres. Chiffres tirés certes d’estimation, mais pointant sans équivoque l’origine et la nature de ces fraudes sociale, bien loin du discours droitiés populiste et démago fustigeant par idéologie ou acrimonie … ne vous fait pas de dessin.

    Fraude sociale globale estimée par la Cour des comptes : 10 à 15 Mds d’euros globalement.

    1/ Fraudes aux prestations sociales estimées 2 à 3 Mds d’€
    – Assurance maladie : 1,5 Mds (env 1% des prestations)
    – CNAF : 800 Millions d’€ ( 80% récupérées – en 2011 :600 Millions d’€ récupérés)

    2/ Fraudes aux cotisations (prélèvements sociaux : cotisations patronales et salariales non versées ) estimation entre 10 et 15 Mds

    Concernant les Fraudes à la TVA : 10Mds

    Fraude fiscale estimée: 50 Mds.

    Estimation évasion fiscale entre : 10 et 50 Mds (voir 100 pour les plus large).

    Concernant l’ Optimisation fiscale, patience, je cherche encore et croise mes sources.

    Coût global (RSA socle et RSA activité) : 9 Mds d’€
    Le schéma de financement détaillé dans le budget 2009 était le suivant : les dépenses au titre du RSA « activité » (pour les personnes qui travaillent; le coût du RSA « socle » pour celles qui ne travaillent pas étant pris intégralement en charge par les départements) devaient atteindre 1,4 milliard d’euros en 2009, puis 2,9 milliards en 2010 et 2011 en régime de croisière, sur la base de 2 millions de bénéficiaires. En réalité, on n’en comptait fin 2010 que 667.000, et ce nombre ne progresse que faiblement. Résultat, le coût du RSA « activité » s’établit «seulement» à un peu plus de 1,3 milliard. Soit, peu ou prou, le montant des recettes de la contribution RSA de 1,1% sur les revenus du capital (1,2 milliard) instaurée en 2009, et qui est pourtant plus faible que prévu en raison de la crise.

    source sur demande

    le ti poulpe en superficielle profondeur

    sourire

    Abus][Avis -][Avis +]
    16 November 2012 08h:47m
    Votes: +0[/quote][/quote][/quote]

  15. Sourire
    La fraude comme vous le soulevez se fait aussi bien chez les plus riches et les plus pauvres. Cequi exprime bien que les gens honnêtes ou du moins éduqués ainsi sur des principes moraux sont les dindons de la farce qui amortissent les cops entre les deux extrèmes. Cela exprime que l’homme reste bien un indépendant selon sa situation voire un égoïste. La fraude reconnait implicitement que le système n’est pas juste lui-même et que c’est en le détournant que l’on applique ses propres solutions. C’est donc bien tout un système à revoir ou attendre qu’il explose de lui-même, ce qui semble être en route depuis un moment.

    Si nous ne sommes pas les seuls à le dénoncer par les analyses, la masse des peuples ne dénonce pas, elle suit et fera exploser les choses à un moment. Fin de civilisation disait-on avant… maintenant que le monde est un ensemble sur les mêmes prncipes… la suite sera par quoi ?

    PH

  16. Interressante l’idée de rapatrier l’argent de la fraude fiscale, à la fois financierement et psychologiquement; c’est ce que s’apploient à faire Cameron Merkel au plus grand bonheur de leurs electeurs, pourtant conservateurs.

    Autre idée employée par les Anglosaxons qui a contribué à réduire leur dette: racheter les parts d’une de leur banque à l’agonie en 2009 (malgré les critiques de Lagarde, alors ministre des finances) et les revendre 2 ans plus tard avec plus value juteuse de quelques milliards.

    Pourquoi ne pas le faire pour nos industries en difficulté pour les mettre à l’abri d’OPA/OPE desastreuse pour l’emploi français

  17. VERS UN SYSTEME D’AUTOSUFFISANCE…

    FAIRE TOURNER LA ROUE DE FORTUNE
    A PLEIN RENDEMENT A L’ECHELLE MONDIALE…

    Pour qu’une économie soit prospère, nous avons besoin de plus
    d’argent dans nos poches pour lui redonner de la vigueur…
    Car l’argent n’est pas un luxe, mais un moyen utilitaire mis au
    service de la société dans son ensemble…
    Qui va le dépenser au service du marché commercial, dont les
    taxes perçues sont à l’avantage du gouvernement, qui lui retient
    des impôts sur ce que l’on gagne à la sueur de notre front…
    Tout cet argent est placé à notre insu, dans le rouage complexe
    de la bourse avec la complicité des banques, pour en retirer des
    profits faramineux qui prennent en partie la route des paradis
    fiscaux très prisés par les célébrités et le jet-set international…

    Gabriel Zucman de l’école d’économie de Paris, a enquété sur la
    soi-disant -richesse manquante des nations- ces capitaux cachés
    dans les paradis fiscaux…
    Cliquez sur ce lien et ensuite sur -La vie des idées-
    [url]http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/11/16/evasion-6-000-milliards-de-dollars-dans-les-paradis-fiscaux/[/url]

    Tout cela se passe à huis clos, dans des clubs mondains à l’abri
    des regards indiscrets et sans avoir le moindre scrupule pour les
    pauvres citoyens que nous sommes, à l’état financier précaire!
    Une misère galopante causée par une augmentation du coût de
    la vie, due à une inflation galopante bien gérée par un patronat
    qui exige son maintient, dans le but de donner plus de force à
    l’économie des mieux nantis, sans tenir compte des problèmes
    de la masse qui s’appauvrit de jour en jour…

    Alors qu’une partie de la société tend à évoluer vers un système
    d’autosuffisance, il serait bon d’envisager une participation plus
    globale et active de la population sur un marché boursier encore
    trop exclusif…Cela donnerait la chance aux citoyens de recourir
    à un revenu supplémentaire pour contrer l’endettement…

    A vrai dire, c’est un remaniement de société auquel nous devons
    penser, en trouvant le meilleur moyen de gérer un système mieux
    adapté aux besoins essentiels de l’humain qui se sent délaissé et
    mal-aimé…alors qu’un peu de compassion et d’aide financière le
    revaloriserait et lui redonnerait le goût de vivre..

  18. Concernant cette crise économique qui n’en finit plus…et dire que nous sommes
    en 2012, avec encore des mentalités de broche à foin qui bloquent de voir évoluer
    certains sujets brûlants dans le bon sens…
    Alors que la plupart des gens affichent une attitude passive et préfèrent se
    conduire comme des vaches qui regardent passer le train…et en subir toutes
    les peines et conséquences que de vouloir essayer de défaire
    les noeuds de ces blocages qui nuisent à l’ensemble de la population…
    Il faut croire que nous préférons rester dans l’engrenage de notre société
    occidentale de consommations abusives…
    [url]http://www.youtube.com/watch?NR=1&v=ewvJubvRxA0&feature=endscreen[/url]

    Et au lieu de remédier plus efficacement à la relance économique, nous faisons
    le pied de nez à la Chine qui nous propose avec condition, une aide fondamentale
    pour la redresser, alors qu’elle s’embourbe de plus en plus…
    Il est évident que nous désirons nous en sortir sans avoir besoin d’une main tendue
    venue d’ailleurs…
    Bien sûr que l’occident a engendré de grandes réussites, mais notre orgueil nous
    rend aveugle quand il s’agit de compter nos échecs…
    Il est vrai que les américains ont les plus grands offshores avec des milliards cachés,
    mais personne ne veut le dire ouvertement…
    Alors que les paradis fiscaux disposent actuellement de 6’000 milliards de $$$ de
    l’argent qui dort au soleil des Bahamas et ailleurs,,,Et pourquoi ne pas avoir recours
    à cette orgie de fortunes pour redresser l’économie de l’occident et du monde entier…

    Il faut absolument savoir que nous sommes en train de vivre un moment clé,
    une période charnière de l’histoire de l’humanité, car elle est en pleine mutation
    psychique et cela n’est pas à prendre à la légère…
    A lire: – La mutation psychique de l’an 2000 – de G.M. Méchoulam
    Éditions Sélect, avec une préface de Martin Gray
    [url]http://www.secondemain.ca/acatalog/Secondemain_M_choulam__G__M__3504.html[/url]

  19. Un sourire dans un monde sans esprit n’est pas malvenue… enfin devant ma porte de pavillon bien indépendant, n’abitant pas dans un HLM à pensée unique…:-))

    Sinon Sunraypq vos propositions, en synthèse, c’est changer totalement le système, mais vous avez une piste pour que nous espérions que la haut éventuellement ils se tirent une balle dans la tête avant un écroulement plus bruyant qu’ils pensent aussi retarder sans plus d’esprit ?

    PH

  20. Vos idées possibles pour la sortie de la crise…?
    LE PROCHAIN RETOUR EN GLOIRE DU SEIGNEUR JESUS-CHRIST.

  21. Le dimanche est jour de sortie du service de la censure, bientôt l’heure du retour pour terminer le poulet froid à coup de ciseaux…:-))

    Maintenant viser la seule personne ne suffit, l’on peut éventuellement entrer dans le texte et les positions incomplètes présentées afin de les aider à voir autrement et plus en profondeur certaines choses. A quoi bon lutter, autant les laisser écrire, cela donne du grain à moudre aux moulins des profondeurs et des ouvertures.

    PH

  22. Il faudrait trouver pour cette sortie de crise ce graal oxygenant
    pour nos pauvres esprits …
    cet Esprit , ce Paraclet , ce Saint-Esprit.
    pour sortir de cette convoitise généralisée.
    Pas vrai Philippus ?!!!!

  23. Je ne vous le ferait pas dire Véritas, maintenet sur cela l’approche aussi est diverse selon chacun, certains attendent un sauveur et un lmessager, mais jamais le plus grand des hommes n’a apporté de baguette magique en passant, c’est bien au genre humain de trouver la direction des choses moins matérielle, moins physiques. L’évolution des hommes sur divers plans s’est faite par l’évolution de l’intelligence, l’homme doit atteindre un autre niveau désormais, le passé jusqu’à nos jours prouve bien le manque ou la résistance encore dominante chez beaucoup. C’est face au paroxysme de ses erreurs que la majorité des hommes comprennent, sousmis plus souvent aux faux chefs qui se complaisent dans le pouvoir et les biens. Un auto-destruction régulière face à une vraie évolution empirique et lente. Maintenant le retard est important en ce décalage, le choc ne sera que proportionnel, nous ne sommes plus à petit peuples d’élu d’égoïstes mais à une mondialisation de l’ego, une fuite dans le mur…

    PH

  24. JE NE VOUS LE FAIS PAS DIRE , PHILIPPUS !!!:
    « [i]Maintenant le retard est important en ce décalage,
    le choc ne sera que proportionnel, nous ne sommes
    plus à petit peuples d’élu d’égoïstes mais à une
    mondialisation de l’ego,
    une /fuite/[/i] [b]une collision[/b] [i]dans le mur…[/i] »
    Fuite, c’est de l’hydrodynamique
    collision, c’est de la mécanique newtonnienne …
    c’est plus DUR SERA LA CHUTE !!!!

  25. La mondialisation financière: genèse, coût, enjeux. (Syros).
    François Chesnais

    [i]Chesnais nous propose un ensemble de contributions sur les dynamiques et structures d’un système financier émancipé de son cadre de régulation industriel et national. L’intérêt de cet ouvrage réside dans l’analyse de la mondialisation de l’économie non pas comme résultat de percées technologiques dans le secteur des communications, ni comme simple ouverture géopolitique permettant l’expansion «naturelle » de l’économie de marché, mais comme mutation des modalités de reproduction du capitalisme. Cette mutation serait double, liée à la fois à la constitution d’une sphère d’activité économique «supranationale» et à la centralité croissante des processus financiers dans la valorisation du capital. La mondialisation financière serait l’expression de la conjonction de ces deux processus, comprise comme mise en place d’un régime d’accumulation particulier plutôt que comme simple libéralisation d’un secteur économique. Cette mutation du capitalisme serait un produit contingent plutôt qu’une nécessité historique, résultant de l’interaction de facteurs politiques et économiques dans le contexte général d’une crise du mode de régulation «fordiste» analysé par l’école régulationniste 1. D’abord développement, dès la fin des années soixante, d’un marché de capitaux par des groupes industriels et des institutions financières multinationaux à l’extérieur du cadre de régulation créé par les accords de Bretton Woods, puis, graduellement, transformations de ces opérations «facilitatrices» d’échanges en opérations de valorisation financière et, finalement, adoption d’une stratégie de valorisation du capital dominée par l’innovation et l’ingénierie_financière. Conséquemment à ces transformations, orientation monétariste et néolibérale des politiques économiques en Angleterre et aux États-Unis comme stratégie de sortie de crise et, par la suite, déréglementation profonde des mécanismes nationaux de régulation des activités financières dans l’ensemble des pays industrialisés, les condamnant par le fait même à participer au virage amorcé par Reagan et Thatcher.[/i]

    (…)

  26. La mondialisation financière: genèse, coût, enjeux. (Syros).
    François Chesnais

    [i]Chesnais nous propose un ensemble de contributions sur les dynamiques et structures d’un système financier émancipé de son cadre de régulation industriel et national. L’intérêt de cet ouvrage réside dans l’analyse de la mondialisation de l’économie non pas comme résultat de percées technologiques dans le secteur des communications, ni comme simple ouverture géopolitique permettant l’expansion «naturelle » de l’économie de marché, mais comme mutation des modalités de reproduction du capitalisme. Cette mutation serait double, liée à la fois à la constitution d’une sphère d’activité économique «supranationale» et à la centralité croissante des processus financiers dans la valorisation du capital. La mondialisation financière serait l’expression de la conjonction de ces deux processus, comprise comme mise en place d’un régime d’accumulation particulier plutôt que comme simple libéralisation d’un secteur économique. Cette mutation du capitalisme serait un produit contingent plutôt qu’une nécessité historique, résultant de l’interaction de facteurs politiques et économiques dans le contexte général d’une crise du mode de régulation «fordiste» analysé par l’école régulationniste 1. D’abord développement, dès la fin des années soixante, d’un marché de capitaux par des groupes industriels et des institutions financières multinationaux à l’extérieur du cadre de régulation créé par les accords de Bretton Woods, puis, graduellement, transformations de ces opérations «facilitatrices» d’échanges en opérations de valorisation financière et, finalement, adoption d’une stratégie de valorisation du capital dominée par l’innovation et l’ingénierie_financière. Conséquemment à ces transformations, orientation monétariste et néolibérale des politiques économiques en Angleterre et aux États-Unis comme stratégie de sortie de crise et, par la suite, déréglementation profonde des mécanismes nationaux de régulation des activités financières dans l’ensemble des pays industrialisés, les condamnant par le fait même à participer au virage amorcé par Reagan et Thatcher.[/i]

    (…)

  27. Cette lecture du mouvement de mondialisation du capital n’est pas en soi originale, elle semble faire consensus parmi les analystes qui n’adhèrent pas à une vision complaisante de ce phénomène 2. Là où l’ouvrage se démarque, c’est par la prise en compte d’un troisième facteur déterminant dans la constitution d’un système financier autonome et global: l’émergence, pendant les années soixante-dix, d’un nouveau type d’acteur, l’investisseur institutionnel. À la fin de la décennie, au moment même du tournant néolibéral des politiques monétaires, «les fonds de pension et les organismes de placement collectif des valeurs mobilières anglo-saxons (les edge funds et les mutual funds) qui sont les acteurs les plus puissants du régime de la finance de marché mondialisé, ont franchi un seuil dans la croissance du montant de l’épargne qu’ils centralisaient» (p. 16). Plutôt que de diaboliser la financiarisation, de la montrer comme responsable des diktats de la finance imposés à la société à partir d’une position de pure extériorité… il y a dans cet ouvrage une reconnaissance du rapport structurel existant entre le champ systémique des opérations financières globales et la diffusion à l’intérieur de la société de positions rentières. L’accumulation de l’épargne et son absorption à des fins de valorisation par le système financier a comme première conséquence d’intégrer une majorité d’acteurs sociaux dans le processus de financiarisation non pas seulement comme victimes mais aussi comme bénéficiaires de cette dynamique. La mondialisation financière apparaît ainsi dans toute sa complexité sociale, sa légitimité ne repose pas seulement sur la diffusion militante de l’idéologie néolibérale par des organisations telles que l’OCDE, la FMI et la Banque mondiale, elle repose aussi sur les intérêts économiques des épargnants (syndiqués) de la classe moyenne.

  28. Cette lecture du mouvement de mondialisation du capital n’est pas en soi originale, elle semble faire consensus parmi les analystes qui n’adhèrent pas à une vision complaisante de ce phénomène 2. Là où l’ouvrage se démarque, c’est par la prise en compte d’un troisième facteur déterminant dans la constitution d’un système financier autonome et global: l’émergence, pendant les années soixante-dix, d’un nouveau type d’acteur, l’investisseur institutionnel. À la fin de la décennie, au moment même du tournant néolibéral des politiques monétaires, «les fonds de pension et les organismes de placement collectif des valeurs mobilières anglo-saxons (les edge funds et les mutual funds) qui sont les acteurs les plus puissants du régime de la finance de marché mondialisé, ont franchi un seuil dans la croissance du montant de l’épargne qu’ils centralisaient» (p. 16). Plutôt que de diaboliser la financiarisation, de la montrer comme responsable des diktats de la finance imposés à la société à partir d’une position de pure extériorité… il y a dans cet ouvrage une reconnaissance du rapport structurel existant entre le champ systémique des opérations financières globales et la diffusion à l’intérieur de la société de positions rentières. L’accumulation de l’épargne et son absorption à des fins de valorisation par le système financier a comme première conséquence d’intégrer une majorité d’acteurs sociaux dans le processus de financiarisation non pas seulement comme victimes mais aussi comme bénéficiaires de cette dynamique. La mondialisation financière apparaît ainsi dans toute sa complexité sociale, sa légitimité ne repose pas seulement sur la diffusion militante de l’idéologie néolibérale par des organisations telles que l’OCDE, la FMI et la Banque mondiale, elle repose aussi sur les intérêts économiques des épargnants (syndiqués) de la classe moyenne.

  29. [i]La force de La mondialisation financière est l’analyse empirique et théorique de cette diffusion sociale des rapports financiarisés et de l’intégration grandissante des sociétés industrialisées dans la nuée des opérations financières du système financier globalisé. L’ouvrage propose une analyse théorique du procès de financiarisation du capitalisme par le biais d’une réinterprétation de la notion de capital fictif chez Marx 3, ainsi qu’une périodisation de ce procès de financiarisation depuis I960 4. Un chapitre est consacré à l’analyse empirique du rôle des investisseurs institutionnels dans la mondialisation du capital 5. L’ouvrage comprend aussi des analyses empiriques de l’interaction entre politiques économiques et innovation financière (Suzanne de Brunhoff, Dominique Plihon, Pierre Salama) ainsi qu’une analyse de la financiarisation des groupes industriels (Claude Sefarti).

    La mondialisation financière est un complément indispensable aux analyses critiques de la mise en place des politiques sociales et économiques néolibérales ainsi qu’aux travaux portant sur la mutation des modalités de reproduction des entreprises dans le cadre de la mondialisation.[/i]

    Éric PINEAULT

    1 Pour une synthèse des travaux relevant de cette école, voir, R. Boyer et Y. Saillard (dir.), Théorie de la régulation. L’état des savoirs, Paris, La Découverte, 1995.
    2 Citons, par exemple, J. Adda, La mondialisation de l’économie, Paris, La Découverte, 1996; M. Aglietta, «Le système monétaire international», dans R. Boyer et Y. Saillard (dir.), ouvr. cité; H. Bourguinat, Finance internationale, Paris, PUF, 1995.
    3 Voir plus particulièrement les textes de R. Guttmann, «Les mutations du capital financier», chap. 3, et de F. Chesnais, «Mondialisation financière et vulnérabilité systémique», chap. 8.
    4 F. Chesnais, «Introduction».
    5 R. Farnetti «Le rôle des fonds de pension et d’investissement collectifs anglo-saxons dans l’essor de la finance globalisée», chap. 6.

    NB :
    Pour citer ce compte rendu, utiliser l’adresse suivante :
    [url]http://id.erudit.org/iderudit/1002685ar[/url]

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    [url]http://www.erudit.org/apropos/utilisation.html[/url]

  30. Ce que les théoriciens financiers ne prennent pas en compte ce sont les sciences humaines, au même titre que les sciences humaines souvent n’entrent pas assez souvent dans l’analyse économique et financière. Il existe de trés bonnes analyses et des livres présentés par ces deux réalités , mais rarement des propositions de l’ensemble qui à terme pourraient se maintenir seule face au monde actuel.

    PH

  31. Détrompe toi, suite à Habermas et l’école de Francfort, de jeunes impétrants, et même les économistes atterrés s’y collent.

    – on en reparle si tu le souhaites,

    time to rest by now

  32. Intéressant effectivement comme sujet. Nous ne serons pas dérangés par beaucoup…:-))

    La question est de savoir si sorti de la théorie quel est l’objectif. Dans les universités ou l’on parle économie, ou plutôt disons le plus souvent des écoles de commerce privées, l’objectif reste trop souvent l’argent au final, et dans les amphithéatres des sciences humaines l’on vise plus le social que la société dans son ensemble.
    Manque de pluridisciplinarité des enseignements malheureusement. Déja en interne chacun se spécialise et n’a pas une approche plus ouverte aussi bien sur l’économie ou sur la notion humaine chez les autres.
    A la sortie chacun rentre dans le moule des la « rentabilité » de son job par nécessité ou alors quelques théoriciens chercheurs qui restent fonctionnaires qui ne peuvent s’exprimer que dans les livres qu’ils sortent ou les théses que peu de gens lisent, surtout pas les politiques.
    Des solutions existent effectivement en théorie, mais pas applicable directement dans une société sans tout faire éclater disons. Une erreur d’ailleurs car sans cela c’est souvent un autre choc plus violent qui s’imposent rapidement à un moment aux peuples par des conflits qui n’attendent plus leurs avis.

    PH

  33. Dans l’attente: le « Manifeste des « économistes atterrés »
    – écrit par P. Askenazy, T. Coutrot, A. Orléan & H. Sterdyniak, ( éditions LLL, 2010),
    – ouvrages de la lignée du mouvement des Indignés.

    Dans un contexte de crise économique et d’endettement européen, ils dénoncent 10 fausses évidences et proposent 22 mesures pour sortir de cette impasse. Je vous citerai ici uniquement les fausses évidences, pour plus d’info, lisez leur livre!

    « Fausse évidence n° 1: Les marchés financiers sont efficients.

    Fausse évidence n° 2: Les marchés financiers sont favorables à la croissance économique.

    Fausse évidence n° 3: Les marchés sont de bons juges de la solvabilité des Etats.

    Fausse évidence n° 4: L’envolée des dettes publiques résulte d’un excès de dépenses.

    Fausse évidence n° 5: Il faut réduire les dépenses pour réduire la dette publique.

    Fausse évidence n° 6: La dette publique reporte le prix de nos excès sur nos petits-effants.

    Fausse évidence n° 7: Il faut rassurer les marchés financiers pour pouvoir financer la dette publique.

    Fausse évidence n° 8: L’union européenne défend le modèle social européen.

    Fausse évidence n° 9: L’euro est un bouclier contre la crise.

    Fausse évidence n° 10: La crise grecque a enfin permis d’avancer vers un gouvernement économique et une vraie solidarité européenne. »

    Bonne réflexion!

    [url]ALTERPENSER – PENSER AUTREMENT[/url]
    http://paris.reelledemocratie.net/node/872

    Penser autrement notre planète & notre humanité.

    sourire

  34. S’il s’agit de dénoncer les dérives actuelles nous sommes tous des indignés avec un minimum d’approche (et il faut l’être évidemment). Maintenant la théorie et la contre théorie restent dans un duel entre l’homme en situation d’avoir et l’homme en espoir de l’être à venir.
    Sur ce plan personnellement j’ajouterais au dessus de cela une couche d’approche philosophique et même spirituelle (pas religieuse je précise) et le dossier serait complet.
    C’est bien non pas une crise que nous devrions craindre mais une mutation désormais plus positive, mais qui garde le pouvoir en main encore, et même demain si éclatement, quel sage viendrait proposer l’idéale solution à des gens qui incomplètement préprarés ne suivraient pas plus ensuite ?

    Les révolutions sans leader et ligne directrice finissent en anarchie ou s’étouffent dans l’existant et sont réduites au placard. Même les penseurs repris avec le temps font que les gens recréent parfois pire qu’avant, Marx et le communisme furent deux choses différentes, ce qui prouve que les hommes ne pensent pas pareil et ne sont pas prêts au même moment.

    La problématique reste comptable par les échanges entre les hommes et non par les lettres et l’esprit des lettres qui elles avancent dans l’histoire des hommes plus doucement au niveau de leurs évolutions.

    PH

    PH

  35. Une autre vision à prendre en compte éventuellement…

    La compréhension peut changer le cours de l’existence, le mode de pensée, d’action. Sans compréhension, la souffrance se perpétuera. La souffrance ne prend fin que par la connaissance de soi, la perception lucide de chaque pensée, chaque sentiment, de chaque mouvement du conscient, comme de l’inconscient. La méditation est compréhension de la conscience, de son aspect caché ou évident, et aussi du mouvement qui se situe au-delà de toute pensée, de tout sentiment. Le spécialiste ne peut percevoir l’ensemble ; son paradis est la spécialisation, petit rêve mesquin du cerveau, paradis de la religion ou du technicien. L’aptitude, le don, est d’évidence préjudiciable, car il renforce l’égocentrisme ; étant fragmentaire il nourrit donc le conflit. L’aptitude n’a de valeur que dans la perception globale de la vie, qui est du domaine de l’esprit et non du cerveau.

    Il faut donc, chaque jour, vivre et mourir à la fois – car c’est en mourant qu’on est au contact de la vie.

    Krisnamurti.

    PH

  36. sans blague !!!
    Les ossements de Krishnamurti sont retrouvés et
    recueillis plus tard par des dévots pour faire un petit squelette !!!

  37. Mr K c’est n petit voyage interne pour éviter justement de rester dévots et de répéter des paraboles sans savoir les comprendre et ainsi se libérer du connu.
    PH

  38. Sinon autre idée pour la crise. Revaloriser les métiers manuels. Menuisier 2500 euros net/mois et parfois 45.000 euros /an, cela existe aussi…

    [url]http://www.rue89.com/rue89-eco/2012/11/23/nicolas-ebeniste-le-bois-cest-vicieux-237026[/url]

    PH

  39. Phil, comprenons-nous bien, ce manifeste des atterrés – [url]http://www.atterres.org/[/url] – est loin, à la façon dont certains économistes – « infra » atterrés – du FN s’en réclament, de vouloir remettre en cause l’euro, ou même le chemin vers une Europe fédérale, que verrons sans doute nos enfants. (à considérer, quoique qu’en pense encore aujourd’hui les peuples désorientés (ignorants ou dépassés) de la seule union européenne qui soit: celle de l’union dite économique mais surtout financière).

    Les conditions pour que les états nations d’Europe construisent démocratiquement l’Union Européenne sont multiple. Mais la première passe avant tout par les moyens politiques à trouver pour établir une harmonisation fiscale, de l’économie libérale – entrepreneuriale – sociale, de marché, comme condition à ce projet à venir (d’) à_venir.

    – vaste projet, qui est loin, aujourd’hui, de faire consensus.

    Mais qui ici est prêt , avec argument et sans sens_sûr, de venir en débattre…

    sourire

  40. intro

    Au commencement était le vide…
    Dans l’atemporalité de toute chose, ce vide, énergétique à l’échelle quantique, devint un jour e_space-temps. De la protohistoire à l’histoire du monde dit moderne, l’esprit de la chair conquit l’absurdité de l’existence afin de voir, d’appréhender l’uni_vers : le tout, dans le creux éminant de l’instant, et son nirvana en toute rémanence transitoire, ô vacuité ! – saisissement de l’infini dans le vide immanent d’un espace-temps naissant à l’éternité de l’INSTANT – cet éternel présent… vide de sens, mais plein de vie.

    Et, quand le chemin qui nous foule à chaque pas ne devient que la projection sur l’écran blanc de nos nuit blanche du film de notre née_cecité – aveuglante réalité -, sourions encor… In fine, il s’absorbe dans l’impermanence de toute chose.

    Préliminaire
    Cils_en_cieux, un sourire vient de toucher la pulsation sublimée…
    Mon fil à plomb trace les infinies ressenties (j’euh féminise mon [i]ainsité[/i]), phénoménologie cosmo-logique des infinis re-sentis – dés-astre(s) parcellaire(s) qui s’esquisse(nt) en une évidence holiste et tactile dans la voie lactée des origines du . Pulsation subtile des chairs extatiques qui se pensent puis s’émancipent des origines fractales, des rayonnements résiduels d’onde de choc qui les composent jusque dans leur subjectivité conscientisée. Non obstant, ce «JE», cette chair « conscientisée » – esprit de la chair (de toute souffrance existentielle à sa libération) – devenue > tutélaire – n’est ni illusion ni réalité, il est instant multiple dont la confluence réalise la mesure pour stabiliser en homéostase durable le fait noumène – et quel phénomène… Un instrument de mesure de l’existence – vide d’existence propre – analysant puis intégrant l’altérité qui le compose par jeu de relation et d’interdépendance… sorte d’en-ciliation, de battement pédago_cosmologique entre l’uni et l’omni, pour enfin sortir de toute dualité être-non-être, et sentir… re-sentir… appréhender et intégrer la vacuité immanante des atomes qui le structure en agrégat évoluant en symbiose efficiente… – enstase prophétique de toute spiritualité bio-organicisée – instrument de mesure à sensation qui mémorise, interprète, jouant entre conscience subjective et réalité entropique.

    de l’hyper complexification de la nature simple des choses à la poésie de la vie dans la mouvance de toute d’épureuuuh, le réalise son immanence tactile.

    some words… (just-in-case)

    Liminaire
    Ouvrons les yeux pour voir la lune baigner sa nudité dans le cas niveau 5 – agrégat consensuel ncp -, océan virtuel dont l’horizon volitionnel se perd en son originelle vacuité.

    …>

    sourire

  41. Où en sommes-nous avec le temps…
    Que serait le présent comme fin… Un réveil!
    – réveil à l’altérité qui nous habite, à la vacuité et l’impermanence de toute chose.

    Et quel en est le moyen… 
 Trois lettres dégagées de toute continence : expression masticatoire par l’esprit de la chair ramené à son rythme… et sans ciel et astral des aspects de l’existence, [i]douant ainsi d’authenticité notre sourire sauvage qui constitue la seule tâche spirituelle dans l’atemporalité de toute conditon, où, comme l’exprime si effrontément Mallarmé : « Rien n’aura eu lieu que le lieu. » 
Acte tranchant : attentat au « reportage universel », à la croyance en général ( Dieu, Société, Monde), à toute conditionnalité (Travail, Patrie, Famille) ; 
effet sans cause, liberté même puisqu’elles sont – ces 3 lettres – en soi origine ! bien loin de toute représentation dans notre océan de l’in_authentique – sourire… rien de nouveau sous le soleil, retournons à nos agapes et : surveillons notre masti(fi)cation : la lune est éclatante, propice à tout émoi – suffit-il encore de désserer les machoires entre perception ouverte et obsession morale, entre refoulement et liberté est-ce thétique « soyez a(i)mant, vous serez inventif » annonçant la lumière (du 4ème chandelier)
    mais à se regarder mastiquer : voilà comment vanité et hypocrisie mènent le monde. N’en veuillez point à mon esprit de con traducteur – pardon : dicteur ! 
 la nature est plus fine que l’homme : ce dernier s’en aperçoit rarement – à vouloir obsessionnellement ordonner le chao : j’ajouterai, pour exprimer mon exaltation dans l’apaisement, ces deux vers de la Fontaine[/i] : « Jours devenus instant, instant filé de soie » :

    « La voie s’écoule sans cesse. 
Mais dans ces effets elle ne déborde jamais. 
C’est un gouffre sans fond qui semble être l’ancêtre de toute chose ». le Tao Té Ching

    … >…

    « l’eau se croise, se joint, s’écarte, se rencontre ; se rompt, se précipite au travers des rochers »

    – ∂e l’Eloge de l’infini.

    sourire

  42. Mes quotes ayant supprimées qqles mots:
    ré_édition.

    Intro

    Au commencement était le vide…
    Dans l’atemporalité de toute chose, ce vide, énergétique à l’échelle quantique, devint un jour e_space-temps. De la protohistoire à l’histoire du monde dit moderne, l’esprit de la chair conquit l’absurdité de l’existence afin de voir, d’appréhender l’uni_vers : le tout, dans le creux éminant de l’instant, et son nirvana en toute rémanence transitoire, ô vacuité ! – saisissement de l’infini dans le vide immanent d’un espace-temps naissant à l’éternité de l’INSTANT – cet éternel présent… vide de sens, mais plein de vie.

    Et, quand le chemin qui nous foule à chaque pas ne devient que la projection sur l’écran blanc de nos nuits blanches du film de notre née_cecité – aveuglante réalité -, sourions encor… In fine, il s’absorbe dans l’impermanence de toute chose.

    Préliminaire
    Cils_en_cieux, un sourire vient de toucher la pulsation sublimée…
    Mon fil à plomb trace les infinies ressenties (j’euh féminise mon [i]ainsité[/i]), phénoménologie cosmo-logique des infinis re-sentis – dés-astre(s) parcellaire(s) qui s’esquisse(nt) en une évidence holiste et tactile dans la voie lactée des origines du « JE ». Pulsation subtile des chairs extatiques qui se pensent puis s’émancipent des origines fractales, des rayonnements résiduels d’onde de choc qui les composent jusque dans leur subjectivité conscientisée. Non obstant, ce « JE », cette chair « conscientisée » – esprit de la chair (de toute souffrance existentielle à sa libération) – devenue « MOI » tutélaire – n’est ni illusion ni réalité, il est instant multiple dont la confluence réalise la mesure pour stabiliser en homéostase durable le fait noumène – et quel phénomène… Un « JE(u) » instrument de mesure de l’existence – vide d’existence propre – analysant puis intégrant l’altérité qui le compose par jeu de relation et d’interdépendance… sorte d’en-ciliation, de battement pédago_cosmologique entre l’uni et l’omni, pour enfin sortir de toute dualité être-non-être, et sentir… re-sentir… appréhender et intégrer la vacuité immanante des atomes qui le structure en agrégat évoluant en symbiose efficiente… – enstase prophétique de toute spiritualité bio-organicisée – instrument de mesure à sensation qui mémorise, interprète, jouant entre conscience subjective et réalité entropique.

    ∂e l’hyper complexification de la nature simple des choses à la poésie de la vie dans la mouvance de toute d’épureuuuh, le « JE » réalise son immanence tactile.
    some words… (just-in-case)

    Liminaire
    Ouvrons les yeux pour voir la lune baigner sa nudité dans le cas niveau 5 – agrégat consensuel ncp -, océan virtuel dont l’horizon volitionnel se perd en son originelle vacuité.
    .
    « je me réjouis de voir – simplement Que le ciel est bleu… que la terre est terre C’est cela le plus difficile : voir un rocher quelque part. … (les_vies_dansent !) Et puis faire qu’il soit là, rocher, couleur de la vie »

    sourire

  43. Où en sommes-nous avec le temps…
    Que serait le présent comme fin… Un réveil!
    – réveil à l’altérité qui nous habite, à la vacuité et l’impermanence de toute chose.

    Et quel en est le moyen… 
 Trois lettres dégagées de toute continence : expression masticatoire par l’esprit de la chair ramené à son rythme… et sans ciel et astral des aspects de l’existence, [i]douant ainsi d’authenticité notre sourire sauvage qui constitue la seule tâche spirituelle dans l’atemporalité de toute conditon, où, comme l’exprime si effrontément Mallarmé : « Rien n’aura eu lieu que le lieu. » 
Acte tranchant : attentat au « reportage universel », à la croyance en général ( Dieu, Société, Monde), à toute conditionnalité (Travail, Patrie, Famille) ; 
effet sans cause, liberté même puisqu’elles sont – ces 3 lettres – en soi origine ! bien loin de toute représentation dans notre océan de l’in_authentique[/i] – sourire… rien de nouveau sous le soleil, retournons à nos agapes et : surveillons notre masti(fi)cation : la lune est éclatante, propice à tout émoi – suffit-il encore de désserer les machoires entre perception ouverte et obsession morale, entre refoulement et liberté est-ce thétique « soyez a(i)mant, vous serez inventif » annonçant la lumière (du 4ème chandelier).

    mais à se regarder mastiquer : voilà comment vanité et hypocrisie mènent le monde. N’en veuillez point à mon esprit de con traducteur – pardon : dicteur ! 
 la nature est plus fine que l’homme : ce dernier s’en aperçoit rarement – à vouloir obsessionnellement ordonner le chao : j’ajouterai, pour exprimer mon exaltation dans l’apaisement, ces deux vers de la Fontaine : « Jours devenus instant, instant filé de soie » :

    « La voie s’écoule sans cesse. 
Mais dans ces effets elle ne déborde jamais. 
C’est un gouffre sans fond qui semble être l’ancêtre de toute chose ». le Tao Té Ching

    [i]Et… 
Coule des jours heureux à vivre 

    Eclatent des gouttelettes de joies simples,
    dans la vasque des fontaines 
de nos ermitages quotidiens 

    où nous ne vivons jamais 
seuls
    Que la présence 
de tout ce qui vit, 

    qui bouge,
    
qui est 

    déborde… 

    en ruissellements sans faim[/i].

    « l’eau se croise, se joint, s’écarte, se rencontre ; se rompt, se précipite au travers des rochers »
    De l’Eloge de l’infini

    le ti poulpe en superficielle profondeur

    sourire

  44. lire: le chemin vers une Europe fédérale, que verront sans doute nos enfants.
    (à considérer, quoique qu’en pense encore aujourd’hui les peuples désorientés – ignorants ou dépassés – par cette seule union européenne qui soit : celle dite économique – mais surtout financière).

    Où en sommes-nous avec le temps (celui de nous-même) – disais-je pour conclure !

    ∂e l’humanisme abstrait : parlant toujours du futur en fonction du passé, jamais du présent comme abîme… et de la vie tirant d’elle-même l’énergie de son mouvement.

    Cadavres assoupis dans les rêves de toute concupiscence et de pouvoir, nous sommes des somnambules volontaires. L’humanoïde… automate en transit, rêve_ailé en son humanité, qui sait pourtant qu’il doit mourir, fait tout pour subsidier à la question de sa condition. On l’observe, il s’observe – et ne se trouve en lui que contradiction(s), dérobade(s)…
    Monstre incompréhensible soumis au déguisement, au mensonge, à l’hypocrisie… Il s’occupe (le plus souvent à se détruire), il se pense, il s’étourdit, et s’aveugle, s’abreuvant du temps qui s’écoule, de tradition(s), de rituel(s), d’idéologie(s), de religiosité(s) – de temps et d’espace sacré – l’installant, de sa propre incompréhension de lui-même, de sa souffrance, de ses peurs, de sa soif de lui-même, de son combat à l’encontre de sa vacuité originelle… dans la recherche de la pureté comme fin.

    – Nous ne vivons jamais… nous essayons de survivre : morts-vivants ou dormeurs agités.

    Qu’est-ce que l’homme dans l’infini…
    Une simple construction de ses espérance…
    – la géométrie c’est bien, très bien même pour construire des lieux de culte, ses tours de Babel… ses tombeaux d’ivoire – ou ses cathédrales de verre – je souris à ma propre concupiscence offerte aux quatre vents!

    Puissions-nous vivre ensemble, au sein du seul temple qu’il soit: La Nature qui le fait vivre, et partager l’instant – cet éternel présent – de toute condition, en état de présence réelle. Mais voilà : le présent , cet instant_tanné_d’éternité, cet éternel présent où nous nous renouvelons sans cesse – naissance et re_naissance à nous-mêmes, en chaque instant – n’est jamais notre fin! Le passé et le présent sont nos moyens, et le seul avenir est notre fin (sourions). Ainsi nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre (et le sacré nous y encourage).

    souris…

    Que serait le présent comme fin… Un réveil :
    réveil à l’altérité qui nous habite, à la vacuité et l’impermanence de toute chose.

    Gardons_nous
    et
    Re_gardons-nous

    et…

    Indignons-nous!
    – mais de nous même avant tout, dirais-je en substance, sous forme de clin d’oeil à Stéphane Hessel.

    sourire

  45. sourions…

    Un peu de grain à moudre pour tous les cils_en_cieux !

    [i]Le gouvernement souhaite construire un « pacte de compétitivité » sur l’ensemble du quinquennat de François Hollande, inspiré par les mesures préconisées par le rapport Gallois. La rengaine est connue : notre pays souffrirait d’un déficit de compétitivité dû, entre autres, à un coût du travail trop élevé. Qu’en est-il vraiment ?

    Les mesures annoncées par le gouvernement constituent un ralliement aux dogmes libéraux, selon lesquels les salaires et la protection sociale seraient la cause de nos difficultés, les dépenses publiques devraient diminuer, et la TVA anti-sociale serait une solution. Il est pourtant urgent de sortir de cette logique qui créé les conditions d’une concurrence de tous contre tous, d’un état de guerre économique permanent qui appauvrit les populations et détruit les équilibres écologiques.[/i]

    (…)

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