Indépendamment du pays où elles ont lieu les études universitaires peuvent coûter très cher. Afin de payer leurs frais de scolarité, les jeunes travaillent et cherchent des solutions pour que leurs frais soient rapidement couverts. Ayant fait des recherches sur Internet, je remarque qu’une solution dite facile pour les filles de financer ses frais de scolarité est de vendre sa virginité sur Internet.Récemment, une jeune étudiante de 19 ans a vendu son corps.

Cette Néo-Zélandaise a utilisé le surnom «Unigirl» sur le site suivant : ineed.co.uz. Ce site néo-zélandais est reconnu comme étant un site Web de ventes aux enchères. La jeune fille a eu 1 200 personnes qui ont enchéri à cette enchère et 30 000 participants ont consulté son offre. Cette dernière a finalement accepté une offre de 45 000 dollars néo-zélandais. C’est-à-dire, 33 777 dollars canadiens.Ce qui est surprenant dans cette histoire, c’est que la police (néo-zélandaise) a autorisé cette vente, puisque la loi n’interdit pas ce genre d’enchère. D’ailleurs, la prostitution entre adultes est légale en Nouvelle-Zélande depuis 2003.

Le propriétaire du site a dit : «Tant que cela n’est pas illégal ou offensant, nous continuerons à diffuser l’offre.» De plus, un sexologue catégorise cet acte comme étant une nouvelle forme de travail sexuel.Ce qui est décevant c’est qu’en cherchant sur Internet, on peut constater que cette jeune fille n’est pas la seule ayant utilisé cette solution pour financer ses frais d’éducation.

Est-ce que l’argent mène le monde à ce point là? C’est ça l’avenir? En espérant que cette façon de ramasser de l’argent va faire réagir les gens. Et si l’on rassemblait tous les gens qui ont la même réaction que moi, pourrions-nous arriver à la gratuité de l’éducation? Ce qui n’est pas impossible puisque certains pays d’Europe et Cuba y ont  droit. 

 http://www.iprostitution.org/2008/05/30/nouvelle-zelande-effets-benefiques-de-la-legalisation-de-la-prostitution/