Ceux qui ont l’habitude de lire mes articles savent que je peux quelque fois avoir des mots assez durs et un changement pour le moins envers certaines personnes du paysage politique et culturel français. Pour celles et ceux qui éprouvent une sympathie sans limite et un attachement profond envers la première dame de France actuelle (et qui je l’espère, ne le sera pas plus de 4 autres longues années), alias valérie Trierweiller, ne lisez surtout pas la suite, j’y exprime ma profonde antipathie et mon exaspération quant à ce glaçon sur patte.
S’il faut bien reconnaître un mérite à François Hollande (ce sera bien le seul sortant de ma bouche), il s’agit de son extrême cohérence en terme de choix de femme.
En effet, je trouve beaucoup de similitudes entre son ancienne compagne, Ségolène Royal et son actuelle. Elles ont toutes deux ces traits communs qui caractérisent les femmes qui sont de véritables remèdes contre l’amour.
Froides, tyranniques, autoritaires et condescendantes, on peut dire que Hollande sait choisir les femmes avec lesquelles il s’entoure. Quel paradoxe pour un homme dont on critique, à raison, la mollesse, le manque de courage et l’indécision.
Je me souviens les nombreuses critiques qui avaient été adressées à l’encontre de l’ancienne première dame, Carla Bruni-Sarkozy. Je ne peux que m’indigner de la chasse aux sorcières dont elle a été victime au vue de ce que nous avons aujourd’hui à la place. Carla Bruni-Sarkozy a certes un coté bohème, artiste mais elle savait se montrer humaine, touchante et même si elle compte de nombreux détracteurs, elle a constitué pour moi une première dame de haut niveau.
Cette chère Trierweller dont je fais l’objet de mon article, surnommée à juste titre Rottweiller, est un concentré de froideur, de rancune envers l’ex-compagne dont elle a scellé l’élection ratée aux législatives grâce à son désormais célèbre tweet encourageant le rival de Royal, Olivier Falorni.
Et que dire de ce fameux voyage présidentiel complètement raté de Hollande à Dijon et pendant lequel une vieille dame tout à fait respectable disait au président au creux de l’oreille et devant les caméras médusées : « Ne vous mariez pas avec la Valérie, on ne l’aime pas ! ».
Cette vieille dame résume assez ce que l’opinion en règle générale pense de cette femme.
Là où je dois reconnaitre une chose, c’est dans le fait qu’avec un gouvernement tel que celui que nous avons et un président à la stature galactique que nous avons élu par dépit et sans enthousiasme, Valérie Trierweller est parfaitement à sa place dans ce club de personnes sinistres, condescendants et qui se permettent, comme la plupart des socialistes, à s’ériger en moralisateurs alors que l’actualité récente atteste une fois de plus et peu après l’affaire DSK et l’affaire Guerini que la Gauche est également un concentré de tout ce que la classe politique peut faire de pire.
Vous l’aurez compris, je ne peux pas voir cette Trierweiller en peinture et tout en elle me hérisse le poil. Ceci dit, je trouve que la France possède la première dame qu’elle mérite à l’image d’un pays qui croit, malgré les faits et la situation réelle, encore être un grand pays et qui meurt à petit feu sans que la moindre réaction et le moindre signe combatif pour se redresser ne se fasse ressentir. Continuons comme ça, c’est bien….
La nouvelle devise socialiste : faites ce que je vous dit, ne m’imitez pas, ça ne vous regarde pas je fais ce que je veux et je vous em…mène au paradis socialiste, enfin camarades nous touchons au but!
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Valérie Trierweiller : La première trame de France !
Les valeurs de la gauche sont inaliénables !
Moi président… république irréprochable…