Trop c’est trop !

 

Et puis la Valérie, ne peut-elle pas s’appeler Hollande comme « tout le Monde » ?

Pas facile d’écrire son nom sans faire de faute…

Alors pour la circonstance, je l’appellerai Valérie Trévilaine

 

Oui c’est vrai que la Première Dame de France  ne cesse de se distinguer par ses incessantes remarques désobligeantes, envers tous ceux  qui la côtoient, ou la critiquent.

 

Pas facile à vivre la Pompadour de l’Élysée.

 

On commence par un tweet inopportun envers sa rivale juste avant les élections législatives, pour s’assurer qu’elle ne viendra pas  faire l’aumône  d’un portefeuille, au risque d’avoir à la côtoyer trop souvent à son goût. 

Puis s’en suit un procès d’intention contre les paparazzi de VSD qui la photographient en bikini à Brégançon.

Et maintenant la voici qui interdit la parution de sa biographie écrite par Christophe Jakubyszyn et Alix Bouilhaguet. 

Bruits de couloirs ou réalité, les deux auteurs de cette biographie, prétendent que la Valérie aurait fait Krac-Boum-Hu, avec Patrick Devedjian. Nouvelle sitôt démentie par les deux intéressés.

 

(Procès  assuré, Madame, est une procédurière.).

 

J’en arrive à regretter la Bravitude de Ségolène Royal, la Duchesse du Poitou, dont je me suis tant moquée  les années précédentes !!

Autant vous le dire tout de suite : je n’aime pas Valérie Trévilaine… , son regard dur, et son sourire pincé.  

Jamais je n’ai pu distinguer sur une « image »,  (volée ou pas), un peu de bienveillance hormis les sourires hypocrites quand elle est en représentation. 

Mais qui est donc cette intrigante de la Cour, qui a envoûté le  Président au point de le rendre incolore,  inodore, et sans saveur ?

 

Pour mieux comprendre le caractère, et l’influence qu’a Valérie , sur son concubin, je vous propose de suivre les échanges imaginaires d’un trio fort sympathique.

La scène se passe au Château , où sont réunis, François le Bon, Président Monarque, Ségolène, Madame Royale, duchesse de Poitou-Charentes, et Valérie de Trévilaine », Madame de Pompadour

François le Bon 

Je vous ai fait venir toutes deux jusqu’à moi pour mieux vous faire part de mon réel émoi.

Je me dois désormais de gouverner la France,

Et je veux me vouer à cette gouvernance

Sans me voir infliger chaque jour le souci

De devoir arbitrer vos permanents conflits !

Je veux que dès demain l’ensemble de la presse

S’abstienne de parler du cas de mes maîtresses.

Le trône que j’occupe exige que je sois

Digne de la posture que l’on attend de moi.

 

 Madame Royale

Vous êtes mal parti ! Lié à cette garce,

Vous resterez toujours le dindon de la farce !

 

La Pompadour 

Holà, Madame, holà ! Chantez un ton plus bas.

Ce sont là des propos que je n’accepte pas !

Vous vous trompez de genre, car en cette occasion,

L’on doit parler de dinde et non pas de dindon.

 

Madame Royale

Nous sommes bien d’accord ! Je vois avec bonheur

Que vous vous estimez à votre vraie valeur !

 

La Pompadour

Votre appréciation quant à elle m’enchante :

Vous êtes trop aimable en vous voulant méchante ;

Une injure de vous, frise le compliment.

 

Madame Royale

Pour vous complimenter encore un bref moment :

L’homme doit sa fortune à sa première femme ;

Enivré de gloriole, il en devient bigame,

Et il doit la suivante à sa bonne fortune !

 

La Pompadour

Vos considérations ne sont guère opportunes :

Ce n’est qu’avec François que vous avez trouvé

L’éphémère moyen de vaguement briller.

Puisant dans son esprit, sa force et sa raison

Les moyens de servir vos propres ambitions,

Vous avez tout gâché en y mettant du vôtre,

Exaspérant les uns, faisant rire les autres !

Et depuis vous avez, sans perdre vos grands airs,

Entassé joliment défaites et revers.

Vous vous croyiez précieuse et fûtes ridicule,

Vous espériez compter et ne fûtes que nulle !

 

Madame Royale

Permettez-moi, Madame, avec tout le respect

Que l’on se doit d’avoir pour qui est au sommet,

De très modestement vous dire sans ambages

Que le peu que j’obtins, je l’obtins sans « jambage » !

Tout ce que j’ai perdu, je peux le regagner

Sans devoir pour autant coucher à l’Élysée.

Je ne dois qu’à moi seule les postes que je brigue,

Perdant ainsi sans honte et gagnant sans intrigue.

Quant à vous, l’on pourrait demain vous replonger

Dans l’aimable néant dont vous fûtes tirée.

Adieu, Madame, adieu, et n’étant point méchante,

Je vous laisse rêver « hollandemains » qui chantent !

 

François le Bon

 

Eh bien voilà, voilà ; je crois que nous avons

Fait assez bien le tour de la situation !

Il est bon que parfois des vérités se disent,

Qu’on puisse se parler avec pleine franchise.

De la paix retrouvée, ces mots sont le prélude,

Et tout va donc rentrer dans la normalitude.

 

Puis s’adressant à Madame Royale

Embrasse les enfants, dis-leur qu’à eux je pense.

Quant à la Pompadour, elle eut droit à cette supplique

Toi, viens faire l’amour avec la Présidence !

 

Cette scène de ménage (légèrement modifiée pour la circonstance)  est issue d’un mail reçu dès la fin du mois de Mai.

PS : (si l’auteur se reconnaît qu’il le signale)

 

Si à la suite de ce billet, Madame Trévilaine m’intente un procès, là, je compte sur vous pour m’apporter des oranges !!!