Après la viande de cheval dans les lasagnes, des excréments dans des gâteaux chez Ikea, aujourd’hui on nous apprend qu’un consommateur a trouvé une souris dans une boite de conserve de haricots de la marque grand jury de chez Carrefour.

Il ne se passe pas un jour, sans que l’on nous annonce quelque chose sur ce que l’on mange.

Hier en lisant ma gazette, je suis tombé sur un article qui expliquait qu’au Portugal on avait détecté des traces d’anti-inflammatoire dans de la viande de cheval.

Ce produit vendu au Portugal par le groupe français Auchan a été retiré des rayons des supermarchés.

Les autorités sanitaires portugaises ont confirmé la nouvelle, tout en précisant que cela ne présentait aucun risque pour la santé publique. «Les valeurs de résidus de phénylbutazone détectées sur deux échantillons, l’un de hamburgers et l’autre de boulettes, sont infimes», a déclaré l’Autorité de sécurité alimentaire et économique(ASAE) portugaise.

Franchement que va-t-on encore oser manger, et surtout qu’est-ce que l’on a déjà pu manger comme saloperie sans le savoir.

Après Panzani, William Saurin, findus, Ikea, dans quels produits va t’on encore trouver de la viande de cheval à la place du boeuf.

 Souvenez-vous de  la crise de la vache folle dans les années 1990, il a fallu presque 6 ans pour que l’on nous en parle, et cela c’est caractérisé par l’effondrement de la consommation de viande bovine.

 Les consommateurs se sont inquiétés de la transmission de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) à l’homme via l’ingestion de ce type de viande.

 Cette épidémie trouverait son origine dans l’utilisation pour l’alimentation des bovins de farines animales, obtenues à partir de parties non consommées des carcasses bovines et de cadavres d’animaux. L’épidémie a pris une tournure particulière quand les scientifiques se sont aperçus en 1996 de la possibilité de transmission de la maladie à l’homme par le biais de la consommation de produits carnés.

 La maladie a fait à ce jour 204 victimes humaines, touchées par des symptômes proches de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, une maladie de même nature que l’ESB.

 On est en 2013 et je me demande ce qui a changé ?

 Surtout quand on entend que l’Union européenne abandonne les tests de dépistage, et cela dans la plus grande discrétion, alors que l’interdiction des farines animales a été partiellement levée.

 « En pleine crise de confiance sur l’industrie agroalimentaire, la Commission européenne a surtout déjà lâché du lest sur les farines animales.

 Elle annonçait, jeudi 14 février, la levée de l’interdiction des farines de porc et de volailles dans les élevages de poissons, à compter du 1er juin. L’utilisation des farines animales reste théoriquement sous étroit contrôle et catégoriquement interdite à la filière bovine. » Lu dans politis.fr

 

Bonne lecture à vous.