Très peu de ceux qui interviennent sur le sujet dans des médias et/ou sur de forulms semblent avoir une connaissance sufisamment détaillée de ce qui s’est passé à New-York, Washington et Tel-Aviv, sans négliger Paris et Moscou, durant tous les jours du mois de novembre 1947 à propos de la Palestine. Alors que perdure une situation dramatique qui non seulement entraîne des morts, non seulement est douloureuse et physiquement mal vécue par plus  de 6 000 prisonniers dont plus  de 300 enfants) , mais encore, relativement plus grave peut-être,  détruit  quotidiennement , jour et nuit, l’équilibre psychique de toutes les générrations de la majorité des Palestiniens, patriotes actifs ou non. Sauf des collabos méprisables, jusqu’au plus haut  niveau,  qui profitent de la situation. Comment essayer d’y remédier ?

Ou encore le pourcentage de Palestiniens, d’habitants du Proche-orient, de militants autres sur la planète dit pro-palestiniens qui ont une idée suffisamment précise et détaillée du texte, du contexte et de la qualité (en particulier au sens liberté de vote) des votes des résolutions 181, 194 et 273 de l’ONU ?

Cette connaissance suffisamment précise du passé est pourtant essentielle pour essayer de bien contrer aujourd’hui la propagande quotidienne sioniste répandue par les descendants d’Hébreux, de Khazars ou d’autres citoyens convertis d’autres peuples regroupés sous l’appellation « Juifs » ; en particulier sur les sites Internet et dans les commentaires de lecteurs des articles des médias sur Internet ?

Pour augmenter ce pourcentage déjà  parmi les francophones, plutôt que des auteurs (et ou conférenciers) plus demandés, mais pas clairs si on y regarde de près , lisons et faisons lire (aussi ?) les deux auteurs nettement moins imparfaits que sont le Juif né en Palestine en 1930 Claude Brzozowski dans « Du foyer national juif à l’état d’Israël. Analyse d’une spoliation », ou encore « le Juif non juif » (comme il dit de lui-même) et historien luxemburgo-américain Arno Mayer dans « De leurs socs ils ont forgé des glaives. Histoire critique d’Israël ».

Certes ils parlent du passé, mais c’est ce passé majoritairement très mal connu et résumé que les zélateurs de l’anomalie étatique sioniste (qui surveillent bien plus nos médias que les militants dits-pro-palestiniens) nous resservent, à leur fétide sauce mensongère, chaque jour du présent pour obérer le futur.

Ce  qui justifie d’avantage encore, pour aider modestement les patriotes palestiniens – qui seuls doivent décider, pas nous – à préparer le dit  futur, de suivre et de promotionner les sites des courageux animateurs palestiniens du BDS ( http://www.bdsmovement.net/) et de ODSG ( http://www.odsg.org/co/) bien plus représentatifs des aspirations des forces vives palestiniennes que l’ex-président depuis le 9 janvier 2009 de la non-Autorité palestinienne et collabo Abbas et sa clique qui s’enrichissent sur ce drame.