Histoire de la pauvreté ordinaire au Maroc.Un pays émergeant où les différences de niveau de vie sont énormes… Il y a le côté face carte postale et le côté pile; un coté plus glauque, celui des arrières cours et des mallogés.
Une famille marocaine a vécu pendant sept ans dans des toilettes publiques à Salé près de Rabat.Le couple Mr Baja et Khadija Makbout se sont confiés récement à un quotidien régional.
Mr Baja explique qu'il était de plus en plus malade.Il a des problèmes sanguins , selon les medecins il pourrait mourir du jour au lendemain.
"J'ai travaillé dans ces toilettes pendant 23 ans pour moins d'un dollar par jour Sous-payé il ne pouvait payer son loyer, il a donc enménagé dans les toilettes.
Il y a beaucoup de vermine dans les toilettes! Les rats venaient rongés mes vêtements….La situation devenait insupportable…. Les autres enfants se moquent de son fils qui l'appelle: l'enfant qui vient des toilettes…..
Les autorités n'ont pas fait grand chose, une fois ils ont proposé une place mais sans toit…maintenant il vit chez sa mère…Il espère émigrer.
Plusieurs choses sont incroyable dans cette histoire
1) Comment vivre avec moins d'un dollar par jour et nourrir sa famille avec ce pécule.C'est une gageure…
2) Comment décider d'avoir une famille alors qu'on a vraiment pas mais alors vraiment pas les moyens d'en avoir ?
3) Comment se fait-il que les autorités ne trouvent pas de solution à ce problème?
N.B. un document étonnant :les papiers d'identités qui stipule qu'il habite dans les toilettes de Sidi !!!
c’est pas normal
voila je ne trouve pas du tout normal qu’on laisse ces pauvres gens sans domicile surtout leur donner comme seul domicile des toilette nous ne vivons plus au moyen âge la commune a bien une petite habitation pour cette pauvre famille c’est vraiment honteux en plus avec des enfant personne ne merite de loger dans des toilettes je souhaite de tout coeur que cette famille s’en remette et qu’ils aurons un avenir un peut meilleur ce genre de situation ne devrais jamais existé c’est vraiment trop triste.