Une approche de la vie conciliante, tentant d’éviter l’entrée en contradiction avec le christianisme et le bouddhisme.

            (Le masculin neutre sera employé)

 Le constat apparent du monde l’extérieur.

Le fonctionnement de l’Univers évoque des mouvements quasiment cycliques en dehors des rares moments de discontinuité et de rupture.

Ceux de la vie en sont-ils loin ? Les obligations de respirer, de s’alimenter, de récupérer, etc., les jours, les saisons, se suivent. Selon un rythme plus long, naissance et mort forment le début et la fin de notre cycle d’existence terrestre.

Les écosystèmes et ses agents de dégradation sont les seuls systèmes conformes à perpétuation de la vie multiplicative dans un milieu fermé.

 Le constat intérieur en partie (soigneusement !) occulté.

Si jamais on posait l’hypothèse qu’il est préférable de posséder et d’avoir assimilé le

mode d’emploi d’un appareil complexe si jamais on désire s’en servir efficacement, serions-nous dans le cas optimal ? !

Est-il sûr que nous essayons d’analyser systématiquement les influences des  trois

composantes principales du cerveau avant d’engager une action ? ! N’est-ce pas le préalable de toute démarche rationnelle ? ! (Pour en savoir plus, v. par ex. Internet à 3 cerveaux ou cerveau triunique ou tripartite)

Si le rôle du cerveau des émotions est peu diffusé, la « Société de consommation » n’aurait-elle pas, à court terme, tout avantage

Le principe fondamental ou le ressort de la société de consommation n’est-il pas l’exploitation « positive », tous azimuts, des manques, frustrations, mal-être, fantasmes ; la proposition de sources de plaisirs compensatoires s’estompant dès que consommés ; l’incitation à renouveler l’accès à ces impressions gratifiantes en achetant « toujours plus » (t. p.) d’autres produits t. p. sophistiqués et générateurs de t. p. de profits ? !

Présenté autrement, ne sommes-nous pas invités à nous placer sous la dépendance du cerveau des émotions (au détriment du néocortex) ? !

   Quelles sont les conséquences de cet état d’esprit ?

L’homo sapiens (h. s.) est-il rationnel ou plutôt peut-il l’être ? !

Une théorie, idéologie, révolution, projet, construit sur le postulat de « l’homme rationnel » ont-ils les moyens d’aboutir selon leurs objectifs ?

 

Quelles seraient-elles s’il utilisait correctement son néocortex ?

 

-Intégrant la mort, il s’arrangerait pour aménager au mieux le cycle de la vie.

-Il ne se contenterait pas de valoriser le début (la naissance et la jeunesse) mais positiverait encore plus la fin. La vieillesse et la mort seraient agréables, « dignes » (ou « vraiment humaines » !).

-N’ayant plus peur de la mort, de « l’enfer » inventé par les religions elles-mêmes bâties par des gens apeurés, angoissés, cherchant comme les enfants un « Père » protecteur à qui se raccrocher, il la décrypterait comme le point de passage vers l’Après-vie.

La remise des religions à leurs justes places n’implique absolument pas l’athéisme !

Pourquoi l’Univers serait-il né de rien ?

L’h. s. est-il capable de se prononcer sérieusement ? !

(Une évaluation comparative de son génome et de celui du chimpanzé ne vient-elle pas de relever une différence inférieure à 2 %. Ne sommes-nous donc pas objectivement des sortes de bonobos boostés !)  

 

Une proposition en relation avec la théorie mathématique des jeux et le principe de Pareto.

Le principe de Pareto, entre autres,  permet de concevoir la vie d'une autre façon, d’être nettement plus près du quotidien vécu, des obstacles rencontrés …

Au départ, fin 19e siècle, un économiste sociologue  Alfredo de Pareto fut attiré par un phénomène curieux : la constance approximative de la répartition des richesses d’un pays.       On en tira le principe de Pareto ou la règle des 20% / 80% (V. Internet pour en savoir plus.)

Réexaminé par des physiciens, mis en équation, il s’applique ou est validé dans la physique des fluides …Voici une autre illustration succincte via un article d’Internet relatant une expérience entreprise par deux chercheurs : « Mettez 500 singes dans une salle des marchés… Les mathématiques de la fortune ». Pour eux, cette équation décrit très exactement la répartition des richesses dans une population. Leur conclusion : pour devenir riche, le hasard suffit.  Personnellement, je me suis basé sur l’observation de l’être dit humain, ai retenu l’hypothèse qu’il ne devait pas être nécessaire être doué, « intellectuel », pour saisir le minimum requis pour vivre sans le stress existentiel ! 1) J’ai défini l’h. s. comme un être en manque, en déséquilibre.(Au départ, c’est un livre du biologiste renommé « Henri Laborit » « Eloge de la fuite » qui m’a éveillé il y a plus de trente ans)

Dans un paradis idéal, sans aucun besoin, pas de réaction, action, mouvement, animation, vie !

 2) J’ai posé que les manques et déséquilibres partiels composent les motivations qui alimentent le moteur de la vie.Sans motivations, n’est-ce pas le suicide ? !La personne qui déclare en toute « inconscience » ne « croire » en rien croit suffisamment en elle-même pour « jouer » plus ou moins adroitement ou maladroitement le « jeu de la vie »Selon ses aptitudes et autres tendances, elle pariera, misera, échafaudera des tactiques, élaborera des stratégies, etc. pour « gagner », « s’en sortir », connaître la « victoire », les « honneurs », la « gloire », etc., voire « dominer » !Et si elle parvient à ce stade, si elle est prudente, elle poursuivra ses efforts pour se préserver, se mettre plus en sécurité, en dehors des dangers multiples. Elle accumulera et conservera … au risque de tomber dans la dépendance (plaisir, argent, pouvoir, richesse visible, etc.) !Si elle est battante, compétitive et compétitrice, elle foncera encore plus !

Dans les deux scénarios, le problème de l’ADDICTION » n’est-il pas en filigrane ? !

 3) Ces pratiques n’emprunteraient-elles pas plus ou moins à celles des jeux … ? !            Qu’on le veuille ou non, ne serait-il pas habile de s’en inspirer pour les approfondir ? !

Un Jeu ne peut bien « marcher » que si cohabitent pacifiquement peu de gagnants et beaucoup de perdants liés par l’ « ESPOIR » de s’en sortir avec un peu de chance.

Ce taux ne peut pas trop varier sans provoquer la perte de l’intérêt de participer, donc sans déclencher l’effondrement du jeu et son remplacement par une innovation attirante et plus sophistiquée !

 Ne serions-nous pas très très  loin des petites phrases du genre :-« Si tu travailles bien, tu réussiras » !-« Si chacun faisait un effort, tout irait mieux » ! -« Si tout le monde était intelligent, ce serait formidable » !-Etc. ! 4) *** Ne serait- il pas évident que les préoccupations du joueur ne peuvent être de la même dimension que celles du créateur du jeu ? !

Qu’est-ce qu’un « joueur », voire « bon joueur » ? ! Ne sont-ils pas indispensables ? !

Les rapports chance/malchance, gain/perte, réussite/échec, plus intelligents/moins intelligents, etc., ne sont-ils pas inhérents à cette organisation ? !

En réfléchissant un peu plus, la durée du séjour garde-t-elle une importance ? ! Sa longueur n’est-elle pas une bonification subjective ? !

 Cette mise en perspective n’a-t-elle pas un atout consensuel : ne pas démolir les autres religions mais les intégrer « positivement » ? ! La BibleQue la Bible soit d’essence divine ou un recueil de contes et légendes, les figures littéraires ou paraboles traduites, ne collent-elles pas à nos agissements ? !La plus célèbre, celle du « péché originel », aussi abracadabrantesque qu’elle paraisse, n’est-elle pas l’esquisse de la prééminence du « principe de plaisir », du mépris du « principe de réalité », et de son enchaînement ? ! « Ch. 1.28 …Croissez et multipliez-vous, remplissez la terre, et vous l’assujettissez, et dominer sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tous les animaux qui se meuvent sur la terre »Ne nous conduisons-nous pas comme les nazis face aux animaux de consommation ? N’avons-nous pas institué des véritables camps de concentration, de torture ?

Ne sommes-nous pas des authentiques « bourreaux » qui se cachent ce qu’ils ne

sauraient voir (cf. Molière). Les poissons ne sont même pas épargnés ! Les saumons d’élevage sont tellement malmenés qu’ils perdent leur couleur rougeâtre ! Il faut leur fournir des colorants artificiels pour qu’ils reprennent un aspect artificiellement présentable aux acheteurs ! « Ch. 3.16 Vous enfanterez dans la douleur.Vous serez sous la puissance de votre mari, et il vous dominera »

N’est-ce pas une confirmation de notre nature animale minimisant l’histoire (non pas

du Père Noël racontée habituellement par des parents sans dommage …) de l’Homme créé à l’image de Dieu (V le Ch. 9.6) ? !

Et dans certains continents, quel est le sort de la femme au 21ième siècle ? !

Ne les punit-on pas en les fouettant, les lapidant ? Et, le comble, si les dits

« hommes » se transforment en kamikazes au nom de leur Dieu, ne gagnent-ils pas le paradis ? Non ! Insuffisant mon cher Watson ! ! ! Ils ont en plus leur rêve et fantasme premier réalisé : ils ont le droit de posséder 72 vierges (pas une mais 72) ! ! ! Comment déchiffrer cette invitation ? Qui pourra démontrer qu’il ne s’agit pas de quantité mais de qualité ? Que l‘exploit de la conquête n’est pas  honoré ?  Que l’amour est au centre de ce paradis et non pas le sexe ?

« Ch. 3.17 La terre sera maudite à cause de ce que vous avez fait, et vous n’en  tirerez de quoi vous nourrir pendant toute votre vie qu’avec beaucoup de travail »« Ch. 3.19 Vous mangerez votre pain à la sueur de votre visage »            Comment prenons-nous soin de la planète ? !

Plus trivialement, la formule signalant l’impossibilité d’obtenir le beurre et  l’argent du beurre ne pourrait-elle pas convenir ? !

 Ch. 8. 10 de l’ év. s. St-Luc.   Le Christ s’adresse à ses disciples « Pour vous, il vous a été donné de connaître le mystère du royaume de Dieu ; mais pour les autres, il ne leur est proposé qu’en paraboles ; afin qu’en voyant, ils ne voient pas, et qu’en écoutant, ils ne comprennent point ».Ch. 13. 13 de l’ év. s. St- Matt. … « C’est pourquoi je leur parle en parabole ; parce qu’en voyant ils ne voient pas, et qu’en écoutant ils n’entendent pas, ni ne comprennent point » (Trad. De Lemaître de Sacy, Ed. Laffont)

Quelle que soit l’interprétation, il souligne qu'ils n'évolueront pas et que tout se terminera par la catastrophe !
            Quel est le contexte actuel ?

Quant à l’amour à deux ou réservé à la famille, au clan ; qui est source de privilèges, injustices, rancoeurs, envies de vengeance, conflits, guerres ; n’est-il pas épinglé  par rapport à « l’amour du prochain » (de tous les autres et non pas des proches !) ? !

Si la malédiction, les fins tragiques, sont placées en exergue comme dans tout bon synopsis, les dernières paroles du héros, Jésus, ne résument-elles pas la « pauvre » condition  de l’h. s. ? !

L’év. s. st.-Matt. ch. 27.46 « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’avez-vous abandonné ? » ne souligne-t-il pas la faiblesse du fils de Dieu, donc a fortiori de l’h. s. ? !

            L’év. s. St.-Luc, ch. 23. 34 Et Jésus disait : « Père, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font » ne sous-entend-il pas une amnistie générale pour celles et ceux qui respirent aussi bêtement ? ! Quant aux h. s. qui jurent qu’ils sont Napoléon, qu’on ne peut pas contrarier sans qu’ils ne s’énervent, dans quelle catégorie les ranger ? !

            Etc.

 Le Bouddhisme

            Puisque l’impermanence n’est pas un mot mais la vérité, l’attachement, les « soifs » de posséder, de conserver, ne sont-ils pas vaines (en utilisant une litote !).

            Des phrases telles celles qui suivent n’expriment-elles pas le bon sens ? Les appréhender pleinement exige-t-il un bagage ou une culture quelconque ? !

            « On veut tout gagner et on a peur de perdre »

            « Si vous avez un but, vous devenez inaccessible, possédé par ce but »

            « Les gens ont peur du vide, car ils ne savent pas que le vide n'est pas le vide »

            « Le zen ne s'attache à rien »

            « L'homme est devenu esclave de ses pensées »

            « Même si mes paroles sont justes, même si mes pensées sont exactes, cela n'est pas conforme à la vérité »

            « Il n'y a pas de différence entre le sot et l'avisé »

            « Notre tête, notre mental ne valent pas plus qu'une paire de sandales »
             « La vraie réponse de l'existence de l'homme ne peut être obtenue par la réflexion »

            « Je ne peux rien expliquer parce que je ne sais rien »

            « Le problème fondamental de l'homme est de s'attacher à la vie et de rejeter la mort »

            *** « Si tu rencontres le désastre, il est bien de rencontrer le désastre ; si tu meurs, il est bien de mourir ; si tu crois à la réincarnation, elle existe ; si tu ne crois pas à la réincarnation, elle n'existe pas »

            « L’on est riche de tout ce dont on a pas besoin »            « Apprendre à vivre, c’est apprendre à mourir »            « La vie est un moyen et non pas une fin »            « Soyez vous-même votre propre lanterne »            « Harmoniser les contraires en remontant à leur source, cela est le propre de l'attitude zen. La voie du milieu : c'est embrasser les contradictions, en faire la synthèse »            « Cette liberté, c’est saisir la non peur » (mais ne vivons-nous pas dans le monde de la peur, de la mort ? !)             Sauf si on est intégriste, l’ensemble n’est-il pas « synthétique » ?             A vous de « choisir » !            Quant à l’hypothèse des réincarnations (qui ne manque pas de logique), est-ce gênant si d’autres, aussi cohérentes, la remplaçaient ? !  L’Après- jeu ou l’Après- vie me semble indépendant(e) des résultats terrestres … On parle souvent de la recherche de l’harmonie …-Entre l’apparent calme du ciel d’une belle nuit sans nuages, la sensation de bien- être ou de sérénité dans des situations favorables, et la réalité au niveau des infrastructures, n’y aurait-il pas une incompatibilité de perceptions ? ! Les particules et autres éléments élémentaires (peut-être inconnus ?) ne font que s’entrechoquer, se détruire mais aussi renaître sous d’autres formes … !Et que dire des énergies ? !-Analogiquement, les h. s. fortunés, égocentriques, affirment en toute bonne foi que la vie est merveilleuse : par ex. « Chéri, que cette vie et maison sont harmonieuses ! Il suffit d’appuyer sur un bouton, d’indiquer son souhait, et celui-ci se réalise magiquement en quelques minutes, sauf contretemps majeur » ? !  

* En ne s’attardant pas sur les collisions des météorites, astres, étoiles, que signifient les dites catastrophes naturelles si dévastatrices ? Les éruptions volcaniques, tremblements de terre, tornades, cyclones, foudre, tempêtes,  tsunamis, inondations, sécheresse, etc. ? Et la loi de la jungle selon laquelle le plus fort mange le plus faible ?

            Chez les animaux, elles génèrent la panique …

            Chez les h. s., aussi.

            Mais chez l’ « homme vrai » ? 

            * Si ces événements n’étaient pas stupides (comme parfois nos actes !) mais avaient une raison, ne constitueraient-ils pas des indices (mais au second degré !) signalant que la « mort » ouvre l’accès à une seconde phase (inimaginable pour nos frêles têtes aussi prétentieuses, présomptueuses, qu’inconscientes et limitées) ; qu’il ne faut donc pas « en faire une maladie » (ou une dépression)  ? !

* N’est-il pas amusant ou navrant de constater :

-que beaucoup de « faux humains » sont prêts à user tous les moyens (les plus

horribles ou barbares) pour demeurer dans l’ « enfer terrestre » ? !

            -Qu’ils préfèrent souffrir que s’échapper ? !

            -Qu’ils voudraient bien y mariner éternellement, donc travailler dans le stress, la précarité, la compétitivité (qui ne pourraient être que t. p. intenses) ? !

            (Si tous les Terriens vivaient comme les Européens, il faudrait 3 planètes pour satisfaire leurs appétits ! ! !)

            * Nous qui nous prenons pour des merveilles …, quel est notre emploi du temps ?      -Chaque matin et soir, si nous ne sommes pas au chômage, comme des fourmis, nous nous élançons à la queue leu leu dans les rues puis les rails du métro ou de la SNCF ou les routes, etc. !

            -Et nous louons non pas seulement (comme certaines, le temps d’une passe !) notre corps mais, de manière bien plus grave (en toute bonne conscience !), notre matière grise pendant 40 ans à un employeur (si on en trouve un qui veut bien s’occuper de nous, nous « protéger ») !

            -Nous fabriquons ou manipulons ou vendons des matériels ou des denrées dits modernes (avec toutes leurs déficiences : ne sont-ils/elles pas fréquemment superficiel/les, nocifs/ves puisque contenant des polluants, etc. ?) uniquement contre rétribution et quelquefois (si c’est possible, si l’occasion se présente !) volontairement pour obtenir un maximum d’argent (en mettant en valeur nos compétences et charmes !) ! En dehors de toute morale ! Peu importe alors leur qualité, dangerosité potentielle, destination, prix !

            -Et ce parcours, plus que balisé, perdure sans révolte !           

-Et nous certifions être « heureux » ! (A plus de 70 % d’après les sondages annuels !)

             La conclusion tiendra dans cet humour noir ou blanc où je ne sais …

Pourquoi le prolonger plus inutilement ? !

La boucle n’est-elle pas refermée ? !

 N. B. Si j’avais à dénoncer fortement une « hérésie », elle viserait les rationalistes se reniant, se parjurant en se définissant !

Pour commencer, un exercice explicite décompose le problème général qu’ont résolu

les matheux avant de tricher effrontément !

Il propose de disposer 6 allumettes (figurant 6 segments de même longueur) sur une

table plate (ou un plan) de manière à configurer 4 triangles équilatéraux ayant pour côtés ces 6 segments.
             * Si on est obligé d'abandonner ce problème sans solution dans le plan (de dimension 2) ; l'idée consistant à décoller, à se mouvoir dans l'espace traditionnel (de dimension 3), aboutit de suite à la construction d'une pyramide triangulaire de type équilatérale formée des 4 triangles envisagés.

** N'est-il pas clair que dans un espace plat, une entité forcément sans épaisseur (ou de nature plate), vivant et se déplaçant …ne peut pas avoir conscience de la notion de relief  ? !

L’escroquerie ! Les rationalistes, férus de mathématique, ont démontré lors de leur cursus scolaire qu’un problème sans solution dans un espace vectoriel E de dimension " n " peut parfois être résolu dans un espace F incluant E et de dim " n+1 ". (V. le pb. des allumettes) ; qu’il n’est pas possible d’accéder à la conscience d’un espace nous dépassant !

 

            Dans ces conditions, décréter être des représentant(e)s de l’espèce de la plus grande dimension de l’Univers, ne devrait-il pas les mettre mal à l’aise ? ! Eh bien, non ! ! !

            Ils osent laisser suggérer qu’ils sont des dieux en devenir, qu’il suffit de trouver et d’agir t. p. vite !

Ceci n’expliquerait-il pas largement cela ? ! ! !              C. Q. F. D. !

 THE END !

Freud était déjà arrivé en toute logique au non jugement des personnes

inconscientes ou irresponsables !

Sans chercher midi à quatorze heures, en raisonnant simplement par l’absurde,

-pourquoi la majorité de la population d’une planète serait-elle condamnée par essence, quelle que soit son évolution,  à vivre « mal » parce que victime du « système d’exploitation de l’h. s. par l’h. s.» lui-même échafaudé sur « la peur de la mort » animale, celle qui est enclenchée par la prééminence de l’instinct de survie imprégné dans le cerveau le plus primitif ou reptilien ? !