Un traitement à l’aspirine pour réduire la mortalité féminine.

Selon une étude effectuée au « Massachusetts General Hospital » et à la « Harvard Medical School », la consommation d'aspirine de manière modérée fait baisser le risque de mortalité chez les femmes et plus particulièrement chez les femmes âgées présentant des déficiences cardiaques.

Une baisse significative du risque de développement de maladies cardio-vasculaires peut être constatée après cinq ans de consommation de manière modérée du médicament. Les réductions de risques de cancer n'apparaissent qu'après la consommation régulière d'aspirine pendant au moins dix ans.

Cette étude, qui a duré vingt-quatre ans et qui a porté sur près de 90.000 femmes, ne précise pas si une étude similaire a été effectuée chez les hommes, ni ce que l’on doit considérer comme une consommation modérée, ni quels sont les risques en cas de surconsommation… Mais j’en conclus qu'il faut s’en tenir à la posologie de l’aspirine.