Un président des États-Unis, coupable de haute trahison, l’histoire se répète-t-elle ?

La Constitution américaine stipule qu'après un certain nombre d'années, tous les documents officiels doivent être rendus publics. Selon leur connexion avec la sécurité du territoire, cette durée peut varier de 50 à 70 ans. Ainsi, voyons-nous peu à peu sortir des tiroirs des plus hautes sphères de l'État des documents classés secrets et top secret.

Les nouveaux documents déclassés laissent apparaître que l'attaque japonaise sur Pearl Harbor le 7 décembre 1941 était loin d'être une surprise pour le gouvernement américain, et laisseraient même à penser que c'était un piège tendu aux Japonais par le président Roosevelt pour pouvoir entraîner son pays dans la lutte contre l'Allemagne nazie.

Il ressort, en effet, des documents rendus publics par les services de sécurité de l'État et par la marine que non seulement les codes secrets utilisés par les Japonais étaient connus des Américains depuis la fin de l'année 1940, mais que les services de sécurité de l'État avaient aussi suivi la progression de la flotte nipponne tout au long de son périple qui allait la conduire à Pearl Harbor. Plusieurs documents révèlent aussi que c'est sur ordre exprès du président des États-Unis que la défense du port américain n'avait pas été organisée, et qu'ordre avait été donné de ne pas se défendre, même lorsque les observatoires de Pearl Harbor avaient remarqué la présence de la marine de guerre japonaise.

Franklin Delano Roosevelt, qui voulait à tout prix en découdre avec les nazis et qui était au courant du pacte que Hitler avait conclu avec les nippons – à savoir que si ces derniers attaquaient les États-Unis il déclarerait la guerre à l'Amérique – avait estimé que si les Japonais parvenaient à infliger une sévère défaite aux forces américaines, les Allemands n'hésiteraient pas à en entrer en guerre contre les États-Unis, ce qui n'aurait sûrement pas été le cas si les forces américaines avaient été capables de détruire toute la flotte japonaise dès la première attaque. C'est pour cela que pratiquement toute la force navale du Pacifique s'est retrouvée cantonnée dans le port le moins bien défendu de tous les États-Unis pendant plus d'un an, véritable appât pour les forces du soleil levant. Par deux fois, le président des États-Unis a d'ailleurs dû remplacer des amiraux qui non seulement s'étonnaient de cette situation, mais qui de plus refusaient d'obéir à des ordres aussi absurdes.

Le plus étonnant, c'est que la Russie, l'Angleterre, la Chine, la Corée, qui elles aussi avaient déchiffré les codes secrets japonais, avaient averti les États-Unis de la préparation d'une attaque sur Pearl Harbor dès février 1941, et que malgré ces informations rendues publiques depuis bien longtemps, l'histoire nous enseigne depuis plus de 50 ans que l'attaque japonaise sur Pearl Harbor fut une surprise totale ! Si l'on peut admettre que le gouvernement américain ait pu tromper son peuple pendant tant d'années, comment expliquer que le monde entier ait aussi été victime de ce mensonge ?

Ainsi, nous voyons qu'un président américain aidé par son gouvernement n'a pas hésité à sacrifier plus de 2000 personnes (civils et militaires) pour pouvoir entraîner son pays dans une guerre où mourront plusieurs centaines de milliers d'Américains. Et tout cela, pour pouvoir concrétiser ses propres plans et satisfaire des intérêts personnels. En analysant tous les documents actuellement publiés, les historiens proclament haut et fort que Franklin Delano Roosevelt s'est bien rendu coupable de haute trahison envers son pays. D'ailleurs, même Winston Churchill a admis dans ses mémoires que le plan d'attaque de Pearl Harbor en 1941 n'avait pas été élaboré par les Japonais, mais bien par le président américain.

Au vu de telles informations, je pense qu'il est normal de se poser la question de savoir si les attentats du 11 septembre 2001 n'avaient pas eux aussi été découverts par les services secrets américains qui, sur ordre de la Maison-Blanche, auraient égaré certaines informations, permettant ainsi à l'attaque de se perpétrer et amener les États-Unis à contre-attaquer les objectifs désignés par son gouvernement.