Un normal à l’offensive sur l’Europe, la France n’est pas le problème mais la solution,

prend de court les analyseurs politiques.

L’an II c’est l’offensive.

 

Une conférence de presse de plus de deux heures, avec un exposé de 40 minutes au lieu des 20 minutes prévues, François Hollande s’est montré offensif, maîtrisant bien les dossiers, clair, et objectif. Une nouvelle posture par rapport à la précédente nous montre un président nouveau dégagé des difficultés d’adaptation de l’an I, au cours duquel son équipe et lui même prirent les rennes du pouvoir après 10 années d’un gouvernement de droite. Mais aussi une situation catastrophique sur tous les plans, et une hécatombe économique sans précédent. En fait, il a réaffirmé la cohérence et la continuité de sa politique, pouvait-il faire autrement ? Cela aurait été avouer qu’il se serait trompé, ce n’est pas son genre d’autant qu’il a raison. Deux heures de questions des journalistes qu’il maîtrisa avec humour sans la moindre gène, un maître en la matière. La presse et les autres médias n’eurent pour lui et son équipe durant l’an I aucune clémence, et il était bien normal qu’il montra aux journalistes leur dérive inconsistante. Il avait vaincu l’invincible droite, impardonnable pour elle qui s’arroge le droit d’une gouvernance éternelle, n’était-ce pas de la compétence ?.

Ils ont montré dès l’origine qu’ils étaient prêts au matraquage, d’Hollande bashing et autres gentillesses, auxquelles on vient d’assister. Quand on lit dans l’Express.fr les notes qu’ils lui furent attribuées pour cette conférence de presse, on se rend bien compte que ce site n’a plus rien de valable, ne devenant qu’une entreprise de basse presse perdant toute considération. François Hollande a donc remis quelques uns de ces 400 journalistes dans leurs petits souliers, et il n’a surement pas été apprécié, mais qu’importe, il a bien fait en répondant avec précision et justesse aux questions, dont certaines d’un niveau sans mesure à la prétention des auteurs. En fait François Hollande justifia pas à pas sa politique.

Le clou de cette conférence fut l’annonce de la création d’un gouvernement économique axé sur l’homogénéisation des finances, l’uniformisation du social par le haut, et de la fraude fiscale des pays de la zone euro. Une présidence pour une durée longue avec une réunion chaque mois. Son but, débattre des principales décisions économiques définies ci dessus. Une manœuvre habile de rependre la main quand on l’accuse d’être le valet de la chancelière Angela Merkel. Mais, on ne peut s’empêcher de penser qu’ils en eurent débattu ?

Une bombe qui met tout le monde KO, eu égard à l’esprit des peuples qui souffrent accusant de tous les maux, avec juste raison d’ailleurs, la politique de la Commission. Un niveau de décision supplémentaire, une privation de liberté économique ? On se demande si d’aucuns mesurent le courage de cette annonce aussi bien en France qu’en Allemagne ou nombres d’allemands ne pensent qu’à sortir de l’euro reprochant à la chancelière de trop payer pour les autres.

Mais que dire des Français qui verraient ainsi perdre encore plus leur souveraineté, rejetant sur la Commission européenne tous leurs malheurs alors qu’elle n’est que l’émanation de nos gouvernements successifs. Outre le fait, que dans la mesure où l’on reste dans l’Europe des 17, il vaut mieux que soient uniformisés nos finances ce qui conditionnerait une mutualisation de la dette, ce que les allemands ne cessent de refuser, et que soit uniformisé notre protection sociale mettant les autres pays à notre niveau, ce qui ne peut être que bon pour nous. La lutte contre la fraude fiscale pourrait être plus efficace si l’ensemble des 17 pays s’unissaient, et pour cela ce gouvernement économique s’impose pour briser les oppositions de l’Autriche et du Luxembourg.

En attendant cette bombe ne fut reprise par aucun média, pourquoi ? De plus rien ne filtra de la réunion des chefs d’États et du gouvernement du 26 mai, outre les conditions du refus de l’Autriche et du Luxembourg pour accepter de coopérer contre l’évasion fiscale. Dans six mois peut être puisque les chefs d’États se sont donnés jusqu’à la fin de l’année pour arracher un compromis sur une législation contre l’évasion fiscale, bloquée depuis cinq ans par ces deux pays.

Mais, on ne me fera pas croire que d’autres m’étaient pas au courant ? Il en prit donc l’initiative pour se positionner avant les élections allemandes de septembre ? Mais plus que tout, c’est sur le plan intérieur qu’il marqua un grand coup prenant au dépourvu l’UMP et les centristes de Borloo. Quant à François Bayrou on sait qu’il saute à pieds joints dessus.

Dans le même esprit c’est un plan européen pour l’insertion des jeunes dans le cadre du budget qui a déjà prévu six milliards d’euros pour leur emploi. «Mobilisons tout de suite, avant même que le cadre financier ne soit en place pour 2014», une partie de ces fonds pour que nous puissions venir en soutien de tous les jeunes d’Europe qui, aujourd’hui, peinent à trouver une formation ou un emploi.

François Hollande donna le 28 mai le coup d’envoi d’une offensive pour l’emploi des jeunes en Europe, mettant à exécution son annonce lors de sa conférence de presse, assurant par ailleurs agir de concert avec la chancelière Angela Merkel.

Et puis, pour être complet sur l’Europe, deux autres initiatives, une Communauté européenne de l’énergie coordonnant tous les efforts, ainsi qu’une capacité budgétaire de la zone euro à lever l’emprunt.

L’idée européenne c’est le mouvement.

Il associa l’an II de sa gouvernance avec une impulsion politique européenne, notre économie y est liée, lui donnant l’avantage dans cette période de creux, avant les élections allemandes, de faire de la France, donc de lui, le leader européen. Le résultat des élections allemandes tranchera, si la chancelière est réélue, sa politique sera confirmée et elle sera encore plus forte, dans le cas contraire, François Hollande aura pris une option de leader. C’est de toutes façons un beau coup politique.

 

Mais pourquoi donc ce ne fut pas reprit par les médias ?

 

Rappelant avant de passer aux réformes de l’an II ce qu’il fit avec son gouvernement. De la retraite à 60 ans pour ceux qui commencèrent à travailler tôt, à l’augmentation de 25 % de la rentrée scolaire, aux emplois d’avenir 100.000 et les contrats de génération, à la banque publique d’investissement, en passant par la flexibilité dans la sécurisation de l’emploi et la réforme du marché du travail, montrant que son gouvernement avait moins dépensé que le gouvernement précédent dans un objectif de réduction de la dette, évoquant les 20 milliards pour la compétitivité, le fameux CICE, Crédit d’Impôts pour la Compétitivité et l’Emploi, financement de l’amélioration de la Compétitivité des entreprises à travers notamment des efforts en matière d’investissement, de recherche, d’innovation, de formation, de recrutement, de prospection de nouveaux marchés, de transition écologique et énergétique et de reconstitution de leur fond de roulement. Mais aussi, et il fit bien de le montrer, que les impôts furent de 12 milliards pour le gouvernement précédent et de 4 milliards pour lui, ce qui remet les pendules à l’heure.

Le fait nouveau, ce fut donc la nouvelle communication plus offensive d’un président «normal». Sa faiblesse de l’an I, si tant est qu’il fut faible, était pour beaucoup cette impression de mollesse qui tranchait avec la fougue de Sarkozy. Difficile d’y échapper tant il laissa son empreinte pendant 10 années. En fait de mollesse, il montra une volonté sans faille sur tout ce qui fut entrepris dont le mariage pour tous pour lequel il voulu un grand débat, plus de 4.000 amendements furent débattus. Quand il fallu engager nos forces au Mali, il n’hésita pas. D’ailleurs, une question des journalistes porta sur le manque d’autorité qu’il aurait, il démontra sans peine que cette annonce qui n’était que sans fondement et que propagande.

On reproche à ce gouvernement son coté «technocratique» à celui d’un plus politique, d’où cette fameuse boite à outils. Dans notre situation sans croissance, voire négative de 0,2 % que faire d’autre sachant que seule la croissance est génératrice d’emplois.

Cet allongement de deux années que la Commission lui donne, le souffle d’engager la réforme de régime du retraite par répartition, son déficit de 21 milliards en 2020 ne laisse aucune autre possibilité. Allongement de la durée de cotisation qui va de pair avec celui de la durée de vie tout en conservant l’âge à 60 ans pour les carrières longues. De même, celle des allocations familiales en déficit de deux milliards d’euros. Elles seront modulées en fonction des revenus. Ce ne sont pas des contraintes imposées par la Commission tient-il à faire remarquer sur la retraite qui motive cette réforme, mais sur la nécessité de l’assurer pour les années futures.

Mais aussi le clou, le choc de simplification administratives. Il y associe plus d’emplois par que ce serait plus de temps disponible pour les entreprises. Il s’agirait d’une modification des règles administratives pour accélérer les décisions. L’idée serait que le silence de l’administration vaudrait accord au delà d’un certain délai, et non plus rejet.

Une telle réforme ouvre grandes les portes à la facilité, mais aussi à la tromperie, aux abus, aux fraudes si l’on n’y prend garde. Elle devrait s’accompagner d’effectifs supplémentaires.

Enfin pour clore ce chapitre des réformes, la formation professionnelle du chômeur sera revue. Il est vrai que ce qui est actuellement fait ne donne pas satisfaction et coûte très cher plus de 31 milliard d’euros.

Pour François Hollande la France peut conserver son modèle social mais en le rénovant. La France serait une Nation singulière, plus qu’une grande histoire, c’est un projet ! Elle doit montrer sa voix en Europe et dans le monde, la France n’est pas le problème c’est la solution.

Le texte de l’allocution du président ici.

 

11 réflexions sur « Un normal à l’offensive sur l’Europe, la France n’est pas le problème mais la solution, »

  1. [quote][b]le silence de l’administration vaudrait accord au delà d’un certain délai, et non plus rejet. Une telle réforme ouvre grandes les portes à la facilité, mais aussi à la tromperie, aux abus, aux fraudes si l’on n’y prend garde. Elle devrait s’accompagner d’effectifs supplémentaires. [/b][/quote]
    [b]Ne serait-ce pas plutôt la qualité du fonctionnariat qui devrait primer, plutôt que la pléthore ? L’indigence de certains (peut-être un peu plus que ça) montre à l’envie la plaie béante de cette administration française qui nous tue, mais si proprement, n’est-ce pas ? … [/b]

  2. Une remise plus ou moins à plat que tout n’est pas noirceur ou lumière sur un Président, et qu »il faut toujours prendre du recul vis àvis des visions qu’offre l’image faussée de la presse et des médias en général, sans oublier la vindicte trés populaire et partisane qui entre dans le jeux.

    Cela suffira-t-il néanmoins à faire bouger dame Europe rapidement, qui même seule ne pourra pas s’en prendre au réel virus mondial qui continuera d’agir. Le mal est connu, ce n’est donc pas avec du sirop calmant que l’on arrêtera le fils de la b^te qui amenuise chaque jour léconomie, et l’énergie des peuples avant même qu’ils n’oeuvrent plus pour rien mais bien pour uniquement garder la têtre hors de l’eau un moment.

    Les mesures de ces dernières années sont remises en cause par les chiffres tous les 3 mois et aprés chaque réunion politique en Europe, comme dans tous les autres pays ou groupement de nations, donc sans être pessimiste, arrêtons de croire, même si une légère relance devait se dessiner prochainement, devant les dégats préalable socialement, le nombre ne s’y retrouverait pas. Le mal persiste tant que les divers éléments positifs ne sont pas dans une réunifaction vers le même objectif.

    PH

  3. Zelectron n’a pas tort…

    L’administratif par les moyens modernes informatiques se doit de répondre en temps et en heure aux demandes, c’est justement cela aussi qui éviterait les possibles « arangements » pour certains et remettre chaque citoyen devant les mêmes régles dans les dossiers.

    Le privé optimise au mieux les outils de communications pour réduire les frais et améliorer les services, il serait temps que l’état s’y mette sérieusement en informatisant au mieux l’administration vers le grand public et les professionnels. Supprimer déja les administrations doublons qui entre elles restent contradictoires et qui bloquent les réponses…

    80% de choses inutiles fonctionnent trés bien avec internet et s’améliorent dans le fonctionnement au point que les gens n’arrivent plus à suivre la vitesse, prendre exemple…

    PH

  4. [b]Bonsoir à vous deux[/b],

    On peut en effet admettre que l’Administration ne soit pas performante, et que les fonctionnaires ne sont pas à la hauteur de ce que l’on attend d’eux.

    Mais c’est trop facile, 10 années de droite n’ont rien changé, et pourtant la droite par sa politique de prime au mérite avait tout le loisir de rendre cette administration performante !

    C’est donc que les difficultés sont nombreuses et que peut être trop de textes comptables impliquent ses lourdeurs.

    Je ne crois pas que les fonctionnaires soient des fainéants, au contraire ils travaillent avec conscience, seulement, leurs effectifs furent trop réduits pour qu’une charge de travail dangereuse ne soit pas accompagnée d’effectifs supplémentaires.

    Bien à vous,

    Anido

  5. [b]Mais cher Anido c’est une maladie chronique en France que d’avoir des fonctionnaires qui pullulent; les gouvernement successifs, soit ont peur de la révolte (exemple Sarko qui a augmenté un bon nombre de leurs salaires sur la soit-disant économie réalisée sur les départs [il a « oublié » le coût des retraites des fonctionnaires, une paille] en croyant naïvement qu’ils voteraient pour lui!), soit recrutent sur système de copinage (de gauche le bien plus souvent) pour s’assurer de la « reconnaissance éternelle » de ces nouveaux « pis aller »
    nb pour mémoire les chiffres moyens oscillent entre 1.5M€ et 3.5M€ par fonctionnaire/assimilé ou territoriale.[/b]

  6. [b]zelectron,[/b]

    C’est vrai que Sarko n’a pas été à la hauteur, et qu’il eut peur des révoltes des fonctionnaires. Mais c’est vrai aussi que nombreux sont ceux qui ont un statut que les protègent et tant qu’ils ne seront pas tous remplacés, tous gouvernements ne pourra agir contre une modification de leur retraite.

    Je suis comme vous ahuri des avantages qu’ils ont encore dans la RATP, l’EDF, les cheminots, et dans bien d’autres régimes spéciaux. Mais qui va s’attaquer à cette forteresse ?

    Facile à dire quand la Commission de Bruxelles demande à un gouvernement socialiste de s’attaquer aux régimes spéciaux, alors qu’elle s’est tue sur ce sujet lorsque Sarko était aux commandes, un peu d’honnêteté dans cette politique ferait beaucoup de bien.

    Mais cela nous éloigne du sujet,qui reste la simplification des procédures administratives.

    Ce qui se passe voyez-vous c’est une mauvaise répartition du travail, il y a des secteurs qui n’ont rien à faire et d’autres qui sont à bloc. Par exemple dans les sous préfectures qui ne servent à rien, sans parler de certains départements.

    Nous n’aurons jamais satisfaction, les élections empêchent toute modification en profondeur.

    Le gouvernement actuel va perdre sa majorité socialiste, pour une majorité de gauche totale, cela revient à dire
    qu’aucune réforme non consentie par cette majorité de gauche totale ne pourra être effectuée, cela fait réfléchir !

    Alors avant de critiquer à tout va, réfléchissons.

    Bien à vous,

    Anido

  7. [i] Une conférence de presse de plus de deux heures [/i]. Oui, comme les fameux discours-fleuves des partis communistes du XIXe siècle ! Et, sans vergogne, il s’est attribué tous les mérites que d’autres avant lui avaient initiés, et qu’il avait pourtant combattus étant dans l’opposition !
    Moi, j’ai plutôt constaté un net fléchissement à droite, que je qualifierai de pragmatique, mais du moment qu’il a dit qu’il était un président socialiste, alors là tout va bien ! Ah ! C’que fait faire l’idéologie !

  8. [b]Nous sommes bien d’accord: Sarko était et est un jean-foutre (probablement sera) ! Le malheur veut qu’Hollande perd du temps (pseudo-mariage) et autres balivernes ! ne recule-t-il pas pour essayer de mieux sauter ? Il risque fort de se prendre dans ses propres filets; par exemple, pourquoi ne pas s’être occupé du chômage avant, c’est ça qui était de la plus extrême urgence ! Ce fut un temps perdu (à double titre) qui ne se retrouvera jamais et je crains que ça continue …[/b]

  9. Anidom
    Point d’intention personnelle contre des fonctionnaires actuels, il en faut aussi. Mais par ce que nous avons pu voir les plus anciens il y avait de quoi les critiquer objectivement, j’en avais dans ma famille et j’en ai connu de nombreux qui ne se cachaient pas de la légéreté de leur emploi et des moultes avantages même s’ils s’ennuyaient au travail et devaient apprendre à gérer le temps plus qu’à le remplir. ce qui à générer des générations administratives trés protectrice de toute évolution au regard des besoins de la réalité.

    Pour rappel, entendu cette semaine, la France à proportionnellement, le double de fonctionnaires que la moyenne des autres pays en Europe…

    Il y a des manques par endroit et trop en d’autres services éventuellement mais ne pas oublier le service public qui en plus n’est plus assumé pour autant depuis un moment. Il faudrait plutôt laisser des administrations partout pour le vrai service public mais en regroupant cela en un lieu unique avec tous les moyens de communication modernes vers les pôles centraux.

    La problématique est le changement, chacun veut garder ses avantages en le réclamant, les employés et ouvriers fonctionnaires les premeirs, qui néanmoins sont dans la rue…

    PH

  10. Mais croyez-vous un instant que nos politiques, de quels bords qui soient, et particulièrement la gauche, oseront remettre de l’ordre dans la forteresse des fonctionnaires ? Surtout pas, car c’est leurs principaux électeurs. C’est un État dans l’État qui tient tous nos politiques par les… Remarquez, quelque soit la couleur politique de nos dirigeants, ils ne manquent jamais de leur adresser de courtoises félicitations, tandis que les chefs d’entreprises comme les employés du privé, ceux qui créent la vraie valeur économique du pays, sont au pire conspués, au mieux ignorés !

  11. L’époque n’est donc plus aux politiques pour faire changer l’emploi et l’économie, mais bel et bien au système des choses qui seul peut le faire bouger. Nos politiques ne décident plus ils surfent sur les chiffres et le peuple par ses propres intérêts selon son niveau social est dans le paradoxe entre la croyance idéologique et ses propres intérêts économiques personnels… lui aussi…

    1327 emplois de moins chaque jour ce moi-ci, inverser la courbe avant fin 2013, ce sera déja s’attendre à 250.000 demandeurs en plus environ au 1er décembre, avant même, sous quel miracle attendu, de penser voir l’emploi revenir…!!! quelles mesures concrête serait annoncée alors que le tissus industriel continue à suivre le chemin de l’externalisation et la recherche des marchés nouveaux ou les chiffres économiques montent, mais ailleurs…

    le temps permet aux politiques de faire prendre conscience au peuple non formé de la réalité économique mondiale pourtant en place depuis presque 50 ans… ce qui justifie que la masse est conditionnée comme les moutons. De Gaulle disait des veaux à son époque…

    PH

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