Les femmes et les hommes ont un comportement souvent incompréhensible et des pulsions guidées par des forces invisibles qui leurs font commettre des actes répréhensibles et nous amènent à nous poser des questions sur nos règles comportementales.

Un directeur de prison en correctionnelle pour avoir aimé une détenue, du reste fort belle et c’est l’émoi dans la prison. Mais comment peut-on en arriver là ? Comment peut-on se laisser prendre au piège d’un amour aussi interdit que destructeur ! Et si tout était de la faute de nos « hormones » ?

 


Les  «  hormones «, ces petites « Molécules »invisibles et microscopiques qui dirigent nos âmes et nous font faire tant de bêtises. Elles dirigeraient le monde et imposeraient leurs lois en jouant sur notre comportement et notre façon d’être. La testostérone Serait elle la véritable responsable des débordements amoureux de toutes ces personnalités, piégées et bloquées dans leur ascension pour un moment d’égarement.

 Comment ces substances chimiques peuvent t’elles anéantir ces mastodontes : hommes politiques, directeurs et présidents de républiques qui, pris sous la dictature hormonale, franchissent la barrière du politiquement et moralement « correct ».

Aujourd’hui un homme, à un poste de responsable a agi comme un adolescent et laissé libre court à ses sentiments  prenant le risque de réduire sa carrière et sa vie de couple à néant, pour la beauté et l’amour d’une femme, prise, semble t’il, elle aussi sous l’emprise de cette drogue qui dirige le monde depuis la nuit des temps « le désir amoureux ». Faut –il vraiment les condamner lourdement ? N’avons-nous donc jamais craqué devant le sourire d’une femme  ou les avances d’un homme ? Sommes nous donc sans faille ! Aujourd’hui un directeur de prison à été condamné à 1 an ferme et son amante à 4 mois, était-ce vraiment nécessaire de punir aussi sévèrement, "le délit d’amour" ? Que pensent les humains que nous sommes ?