The Wicker Man est un film dramatique réalisé par Neil Labute relatant l’histoire suivante :

Edward Malus (Nicolas Cage), shérif dans l’état de Californie fait ses contrôles routiers lorsque la poupée d’une petite fille se retrouve au milieu de la route… rien de bien compliqué en apparence mais tout se corse lorsqu’un camion vient percuter de pleine face la voiture de la mère et sa mère au moment où Edward s’écartait pour ramasser de nouveau la poupée. Il essaye alors de sauver la petite prise au piège dans la voiture… Choqué par l’accident, il se retrouve en convalescence et reçoit une lettre d’aide de son ex fiancée Willow (Kate Beahan) pour retrouver sa fille.

Cette enquête va l’emmener sur une île privée du Maine occupée par une colonie d’hommes et de femmes pratiquant des rituels un peu particuliers… toutes les portes se ferment lors de ses recherches et finira par faire une rencontre cérémoniale avec « the Wicker Man » ou l’homme d’osier.

J’ai regardé ce film sans l’apprécier vraiment car en général quand Nicolas Cage est dans le casting d’un film, on s’attend à soit une belle romance comme dans « la cité des anges » à de l’action comme dans « les ailes de l’enfer », à du mystère comme dans « gost rider » ou à de l’aventure comme dans « benjamin Gates », bref on s’attend à quelque chose de bien et qui marque.

Dans « the Wicker man » il a une histoire banale de disparition qui se transforme en rituel païen, on comprend l’histoire qu’à la fin du film et le scénario est fait de telle manière qu’on a l’impression de regarder une série télévisée ! Vu le titre du film je m’attendais à une histoire aboutissant à un peu d’horreur qui aurait pu relever le film mais raté. Les scènes ne sont pas dynamiques, y a pas d’humour et on perd vite le fils de l’histoire. La recherche de la petite fille ressemble plus à une balade qu’à une enquête policière. Pour un flic il procède un peu bizarrement sans grande ferveur.

Le seul point positif c’est la beauté de l’île et la petite procession costumées des adeptes de l’homme de paille, bien fait d’ailleurs.

Voilà encore un film bien mou auquel je préfère largement la série l’arme fatale avec Mel Gibson.