Une crèche d’entreprise, c’est une société, qui est là pour faire des bénéfices… Cependant, et beaucoup de cadres de ces entreprises, beaucoup de directrices de crèches, l’oublient trop souvent, il convient de ne pas penser qu’à la rentabilité, qu’à l’argent, qu’aux bénéfices engendrés grâce aux parents, qui confient leurs enfants ! Car, un bébé n’est pas égal à un contrat ! Un bébé, c’est une personne en devenir… Le monde de la petite enfance, tout comme celui des personnes âgées, est un monde où le facteur humain doit être privilégié par rapport aux questions bassement comptables ou budgétaires !
« Il fait bon grandir avec nous », affirme la crèche ‘’Les Petits Chaperons Rouges’’ (LPCR)[1]. Elle va beaucoup plus loin dans ce slogan fort évocateur : « Les Petits Chaperons Rouges… Une passion : la petite enfance ! ». C’est dire si le projet pédagogique de cette crèche est fondé sur « l’éveil et le respect du rythme de l’enfant », puisque son crédo est : « des enfants sereins, des parents heureux »[2]… La qualité n’est pas oubliée pour autant, puisque LPCR, qui prône : « La qualité au cœur de notre métier ! », écrit : « Nous attachons une attention toute particulière au bon respect dans nos crèches de notre processus QSH (qualité-sécurité-hygiène). Notre personnel est formé pour cela et nos directrices sont les garantes de sa bonne application. De plus, nos contrôleurs qualité se rendent régulièrement dans nos crèches. »[3].
Les Petits Chaperons Rouges… Une passion : la petite enfance !
Théoriquement, sur le papier !… Car, là où le bât blesse, c’est que côté ‘’coulisses’’, les choses s’avèrent très différentes de ce qui est annoncé sur le site de cette entreprise[4] !
Il faut dire que, dans diverses crèches LPCR de la région parisienne, les conditions de travail sont déplorables, à un point tel que le projet pédagogique n’est plus respecté, ce, au détriment des enfants, de leurs parents et des professionnelles pourtant si dévouées… De plus, aux dire des salariées que j’ai rencontrée dans plusieurs crèches de la région parisienne, « la Crèche n’est pas adaptée pour accueillir un nombre important d’enfants… d’où un manque évident de place pour les enfants et un manque de sécurité pour eux et pour les employées qui s’occupent d’eux »…
Lorsque des salariées d’une crèche LPCR se retrouvent en arrêt de travail légal et légitime, il leur arrive de subir certaines pressions… On pourrait parler de harcèlement moral, car certaines directrices ne semblent pas apprécier que des salariées de leur crèche se mettent légitimement en arrêt maladie.
C’est dire si les professionnelles de ces crèches sont sous pression, à un point tel qu’ regrettent qu’ « il n’y ait pas assez de personnel, surtout en cas d’arrêts de travail légitimes », s’alarment sur le fait qu’ « il y a trop d’enfants accueillis en même temps », et, avouent qu’ « aucune solution n’est trouvée par la Direction »…, ce, « au détriment de la sécurité et du bien-être des enfants, mais aussi du bien être et de la santé des professionnelles », ce, au « mépris du projet pédagogique ».
Une autre salariée, que j’ai rencontrée, m’a raconté que les personnes en arrêt de maladie, arrêt pourtant légal et légitime, n’étaient pas remplacées ! De ce fait, les professionnelles, qui doivent accueillir une quinzaine d’enfants, chez les bébés, chez les moyens, chez les grands, ne se retrouvent qu’à deux pour faire fonctionner une des sections ! Cela crée, aux dires de celles-ci, des tensions entre les professionnelles, qui, pour des broutilles, peuvent se disputer entre elles…
« Beaucoup de mes collègues ne sont pas solidaires entre elles : elles se plaignent des conditions de travail, mais ne font strictement rien pour faire jouer la solidarité face à une Direction qui ne veut rien comprendre »…, déplore cette jeune femme, qui se plaint également des heures de pause en m’expliquant très clairement qu’ « elle ne sait jamais à quelle heure, elle va pouvoir prendre sa pause déjeuner ». « De plus, toutes les salariées de cette crèche, qui travaillent dix heures par jour, devraient, en plus du déjeuner, avoir une pause de 10 minutes le matin et une autre pause de 10 minutes l’après-midi », nous précise cette professionnelle, visiblement inquiète des conditions de travail !
Il faut dire que les caisses d’allocation familiale estiment que le tarif des crèches, qu’elles soient d’entreprises, qu’elles soient municipales, est de 400 € par mois et par enfant. Il est évident que les embauches, les divers frais de fonctionnement[5] dépendent des budgets alloués par le Siège. Pourtant, certaines directrices de crèche subissent des pressions du Siège qui leur interdit de prévoir des remplaçantes devant intervenir en cas d’arrêt de travail. De ce fait, seules deux professionnelles se retrouvent à gérer une section de 15 enfants, alors, qu’en temps normal, elles sont au nombre de quatre !
Dans d’autres crèches LPCR, cela se passe également mal… Des témoignages affluent sur le Forum ‘’Le Social’’[6]… Celui de Lila, en date du 12 février 2009, est effarent, puisqu’elle écrit « Bonjour, ayant travaillé en crèche privée et à LPCR, je peux vous en toucher deux mots! Pour ma part, j’ai été très déçue, voire même dégoutée de mon passage dans une de leur crèche. (Ce n’est que MON avis, dans UNE crèche, peut être qu’ailleurs c’est différent[7]…). En effet, malgré un projet pédagogique très attrayant et hyper motivant, la réalité sur le terrain est tout autre. Le but est de faire de la rentabilité à tout prix, en mettant le plus d’enfants possible avec le moins de personnel ! Le respect de l’enfant, pffff, c’est que pour faire de la pub. Tout est dans le "paraître" auprès des sociétés, des parents. Mais sur le terrain au secours !! Aucun soutien, de la part de la direction et du siège LPCR en cas de difficultés, ou de coup dur. Le personnel malade ou en vacances n’est pas remplacé, et donc on se retrouve à deux pour douze enfants (voire même moins), mais on nous dit qu’on est LARGEMENT dans les normes !! Et qu’on ne doit pas se plaindre car il y a pire ailleurs !! On nous demande clairement de vivre pour la crèche, notre vie privée on s’en fout. (Horaire impossible, dix heures par jour de travail: exténuant dans de telle condition). Et il y a tout les inconvénients du privée : pas de convention collective, pas de possibilité de formation (mensonge à l’embauche), pas d’augmentation de salaire malgré l’ancienneté, pas de CE, pas de jours enfants malade; jours de maladie non payés; seulement 5 semaines de vacances… ».
En date du 13 février 2009, toujours sur ce même forum, puisqu’elle répond à Lila avec qui elle est « d’accord à 100 % », Jeanne, qui précise qu’elle travaille aussi dans une crèche LPCR, s’insurge en ces termes : « … Autre point qui a mon avis est discutable : ils ne donnent pas le même salaire à deux personnes pour expérience et diplôme équivalents. C’est lié je pense à ce qui est négocié lors de l’entretien mais pour l’égalité entre pros ou la reconnaissance, bonjour ! Une journée d’absence dans l’année et on vous sucre une partie de votre prime prétextant que cela joue sur votre assiduité. Si vous passez un diplôme supérieur (genre cap alors que vous étiez non diplômé) on ne le reconnait pas et vous restez en tant que non diplômé. Aucun aménagement de temps de travail ou de droits spécifiques pour les femmes enceintes ; elles continuent de faire 10 heures par jour et si elles s’arrêtent LPCR ne prend pas le relai auprès de la sécu… ».
En date du 31 mars 2009, toujours sur ce même forum, puisqu’elle affirme « rejoindre à 200% les témoignages de Lila et Jeanne », Willette nous raconte d’un ton amer son expérience : « Lors de l’ouverture de la crèche il y a un an, et de l’embauche, ils nous ont promis plein de choses… (Formations, conventions collectives, 36ème heure récupérée, un budget conséquent…), mais sur le terrain, rien de tout cela ne se concrétise. Le projet pédagogique est ambitieux, motivant, alléchant…mais la réalité est bien différente : directrice a mi-temps pendant 1 an, suivie d’une directrice intérimaire, pas de remplacement de personnel, peu de budget pour le matériel pédagogique, aucun avantage social, pas de convention collective, recrutement sur piston pour la moitié de l’équipe (ces personnes n’avaient aucune expérience auprès de jeunes enfants)…et surtout pas de réel respect du rythme et du stade de développement des enfants. Le siège social impose à ma directrice de remplir la crèche au maximum tous les jours. Le mot d’ordre de ma crèche, c’est le profit, les sous…au détriment du bien être des enfants. Par exemple, passage forcé des enfants d’une section à une autre, personnel tout juste aux normes d’encadrement, dans la section des grands, 2 professionnelles pour 14 enfants au quotidien en cas de vacances d’une collègue, équipe jeune, non professionnelle et pas motivée, pas de directrice qui mène l’équipe… En tant qu’Educateur de Jeunes Enfants (EJE, j’ai beaucoup de responsabilités, réunions, compte rendu de réunion, commandes matériel, être responsable pédagogique de 2 sections, écrire des projets de section, préparer les journées pédagogique…), j’ai même été officieusement adjointe pendant 1 an… Et là, c’est la grosse désillusion quand aux conditions de travail et à la mise en place du projet pédagogique…comment faire de l’éducatif alors qu’on blinde les effectifs des 3 sections ? J’ai souvent l’impression de faire de la garderie…Je ne travaille pas avec l’enfant comme je le voudrais, je suis très déçue de cette société gestionnaire de crèche…Des belles paroles, et sur le terrain, rien.
J’ai appris il y a une semaine que ma collège AP gagne 30 euros de moins que moi…je suis révoltée et dégoutée ! J’ai appris aussi que les non diplômées avaient négocié leur salaire a l’embauche et gagnaient presque autant qu’une AP ! J’ai décidé de demander une augmentation au cours d’un entretien au siège, mais je ne suis pas dupe, je suis certaine qu’ils me diront d’aller voir ailleurs si je veux gagner plus… ».
A l’appui de tous ces témoignages collectés sur le Forum Le Social, à la suite de mes rencontres avec des salariées de la Crèche LPCR de la région parisienne, c’est à se demander où l’on va et si on n’est pas tombé sur la tête… A croire que les enfants ne sont considérés que comme des contrats, puisqu’ils rapportent de l’argent !
Que faudrait-il faire ? Il faudrait que les conditions de travail de ces professionnelles soient améliorées, que les promesses inscrites sur le site de la crèche LPCR soient tenues ! Les réunions, servent-elles à quelque chose ? On en doute, à voir les témoignages…
Malheureusement, que ce soit dans les crèches LPCR, que ce soit dans d’autres crèches, il est regrettable que les métiers de la petite enfance ne soient pas assez valorisés et reconnus ! Est-il normal que les auxiliaires de crèches, que les éducatrices de jeunes enfants (EJE)…, ne soient pas assez payées, alors qu’elles ont la responsabilité du bien être des enfants dont elles s’occupent, tant sur leur développement psychologique, psychique, moral, que physique ? Non ! Ca ne l’est pas… Mais, quelles solutions adopter lorsqu’on sait que les parents paient 400 € par mois et par enfant, le tarif étant le même que celui des crèches municipales ?
Il serait temps que le Gouvernement fasse quelque chose, ne serait-ce qu’en faisant tout pour améliorer les conditions de travail des professionnelles de la petite enfance !
En effet, une grande majorité de professionnelles de la petite enfance ne semblent pas s’épanouir dans leur travail. Elles ont la nette impression de faire de la garderie dans une ambiance très stressante. Leur travail s’assimile à du travail à la chaîne.
L’enfant ne peut donc pas être serein lui aussi, et, n’est donc pas respecté comme un être humain.
Le projet pédagogique fondé sur l’éveil et le bien-être de l’enfant n’est, par conséquent, pas appliqué !
Et pourtant, Françoise Dolto, ne disait-elle pas : « Un enfant est une personne » et que « l’adulte doit le respecter comme tel » ?
[4] Créée en 2000, la crèche LPCR, qui déclare être « acteur des références privées », possède 124 établissements établis sur toute la France… En six ans, 65000 familles ont été accueillies dans ces crèches LPCR… 1700 professionnels y travaillent. LPCR est en partenariat avec plus de 300 administrations et entreprises.
[5] Achat de mobilier ou autre, réparations diverses…
Les images, la première étant le logo de LPCR, sont tirées du site de l’entreprise http://www.lpcr.fr/LPCR.cml
Hélas…!On est à l’époque du numérique…triste constat!
[b]Mozarine[/b], bonjour… Merci d’être passé sous mon article ! Mais, qu’entendez-vous par
[quote][i][b]… On est à l’époque du numérique…triste constat!…[/b][/i][/quote] ?
Je pense qu’on est plutôt à l’ère des plans comptables drastiques et inhumains, qui supposent qu’on ne parle qu’en terme de rentabilité, qu’en terme de profit ! On n’hésite pas à réduire du personnel ! Et, tant pis pour le client… [i]Or, là où c’est grave, c’est lorsque des enfants, à leur corps défendant, sont concernés par ces baisses ou gels d’effectifs ![/i]
Amicalement,
[b]Dominique[/b]
bonjour, je suis écoeuré par cet article totalement mensonger. cela fait 5 que je travail comme auxilaire de puericulture chez les chaperons rouges (lyon puis ile de france maintenant) et votre article raconte vraiment n’importe quoi. toute mon équipe de creche est super fier car on a des conditions de travail top (4j par semaine, une crèche neuve, un vrai projet péda, …). alors même si les chaperons sont privé, je vous rappelle qu’aucune crèche public ou associative ne permet qu’un adulte pour 6 enfants au lieu de 8 chez les moyens (ma section !). pareil pour le decret morano, les chaperons ne l’appliquent pas donc on ne dépasse pas 110% d’inscrits et on a bien la moitié de catégorie une contrairement à la plupârt de creches en france. alors nous on adhere au fait que pour avoir des moyens pour la crèche on doit etre performant, et cela se fait dans la qualité sinon on serait plus la, la preuve chaque annéee les familles nous remercient. votre article est nul parcequ’il remet en cause notre travail et notre combat social. sophie
[quote]Je pense qu’on est plutôt à l’ère des plans comptables drastiques et inhumains, qui supposent qu’on ne parle qu’en terme de rentabilité, qu’en terme de profit ! On n’hésite pas à réduire du personnel ! Et, tant pis pour le client… Or, là où c’est grave, c’est lorsque des enfants, à leur corps défendant, sont concernés par ces baisses ou gels d’effectifs ![/quote]
Oui Dominique ,vous avez raison en ce qui concerne la réduction du personnel partout quoique je ne connais pas cette crèche mais je voulais parler du temps passé avec les enfants,on ne prends plus le temps dans une crèche ou autre de considérer l’enfant comme un être humain…aujourd’hui,cela devient aussi un numéro comme la plupart des choses actuelles…
Bonjour Dominique.
Un constat qui tend a la généralité.Les gens travaillant dans ces œuvres pour aider quiconque sont tout de même pressés comme des citrons !! Rentabilité,budget,minimum de personnel pour un maximum de personnes a charges ,dans le cas présent une crèche.C’est un peu partout idem,que se soit dans le social,médico-social,crèches ,hôpitaux !!!
Ne pas le reconnaitre est un tort,une belle hypocrisie.Il n’y a que les gens biens avec leur hiérarchie qui ne s’en plaignent pas et n’oseront jamais se l’avouer !!!
A plus tard Dominique et bonne fin d’après midi.
[b]Sophie[/b] ([b]soso[/b]), bonjour… Merci pour votre passage sous mon article !
[quote][i][b]… bonjour, je suis écœuré par cet article totalement mensonger. cela fait 5 que je travail comme auxiliaire de puériculture chez les chaperons rouges (Lyon puis ile de france maintenant) et votre article raconte vraiment n’importe quoi. toute mon équipe de crèche est super fier car on a des conditions de travail top (4j par semaine, une crèche neuve, un vrai projet péda, …)…[/b][/i] [/quote]
En quoi mon article est mensonger ? L’avez-vous lu, et, êtes-vous allée sur le lien du [b]Forum [i] »Le Social »[/i] [ [url]http://www.lesocial.fr/forums/read.php?f=5&i=146734&t=146734[/url] ][/b] ? J’en doute… Parce que si vous vous y étiez rendue, vous auriez constaté que bon nombre de vos collègues, fort mécontentes, ne faisaient qu’exprimer leur mécontentement !
Puis, j’ai enquêté en me rendant dans plusieurs crèches de la région parisienne ! Je n’ai trouvé que des personnes mécontentes de leurs conditions de travail !
[quote][b][i]… alors même si les chaperons sont privé, je vous rappelle qu’aucune crèche public ou associative ne permet qu’un adulte pour 6 enfants au lieu de 8 chez les moyens (ma section !). pareil pour le décret Morano, les chaperons ne l’appliquent pas donc on ne dépasse pas 110% d’inscrits et on a bien la moitié de catégorie une contrairement à la plupart de crèches en France. alors nous on adhère au fait que pour avoir des moyens pour la crèche on doit être performant, et cela se fait dans la qualité sinon on serait plus la, la preuve chaque année les familles nous remercient…[/i][/b][/quote]
C’est très bien pour vous puisque, manifestement, vous vous êtes trouvée, tant à Lyon qu’en Région parisienne, dans des crèches où les conditions de travail sont idéales pour vous…
[u]Puis, au risque de vous décevoir, lorsqu’on s’occupe d’enfants, on ne peut pas parler de PERFORMANCE[/u] : [i]l’Enfant, c’est un être humain en devenir ; l’enfant ne doit pas être l’enjeu d’une performance ! Je vous invite, à cet égard, à relire les œuvres de [b]Françoise Dolto[/b] ![/i]
[quote][b][i]… votre article est nul parcequ’il remet en cause notre travail et notre combat social…[/i][/b][/quote]
[b]Sophie[/b] ([b]Soso[/b]), rien ne vous permet d’écrire que mon article est nul ! Le seul droit que je vous donne, c’est de ne pas être en accord avec ce que j’écris… Maintenant, je vous invite à vous inscrire en tant que auteur [b] »C4N »[/b], ce, afin, que vous puissiez rédiger votre propre papier, qui, serait une sorte de droit de réponse qui me serait adressé !
Ceci dit, j’ai mené mon enquête du mieux que j’ai pu, cherchant vainement des personnes satisfaites de leurs conditions de travail à [b]LPCR[/b]… Malheureusement, je n’ai trouvé que des mécontentes !
Cordialement,
[b]Dominique Dutilloy[/b]
Bonjour [b]Pascal[/b]… Merci d’être passé sous mon article. Es-tu allé sous mon article précédent ?
[quote][i][b]… Un constat qui tend a la généralité. Les gens travaillant dans ces œuvres pour aider quiconque sont tout de même pressés comme des citrons !! Rentabilité,budget,minimum de personnel pour un maximum de personnes a charges, dans le cas présent une crèche.C’est un peu partout idem,que se soit dans le social,médico-social,crèches ,hôpitaux !!!
Ne pas le reconnaitre est un tort,une belle hypocrisie.Il n’y a que les gens biens avec leur hiérarchie qui ne s’en plaignent pas et n’oseront jamais se l’avouer !!!…[/b][/i] [/quote]
Justement, c’est pour toutes ces raisons que j’ai voulu rédiger cette enquête… A trop vouloir raisonner avec une vision « comptable », « budgétaire », « rentable », « performante », on détruit le tissu humain, on détruit la solidarité… De ce fait, les enfants, les personnes âgées, les personnes dépendantes ne deviennent que des numéros, que des contrats, que des objets dont il faut s’occuper, l’aspect humain étant laissé de côté ! C’est écœurant !
Amitiés,
[b]Dominique [/b]
[quote][i][b]… Oui Dominique ,vous avez raison en ce qui concerne la réduction du personnel partout quoique je ne connais pas cette crèche mais je voulais parler du temps passé avec les enfants,on ne prends plus le temps dans une crèche ou autre de considérer l’enfant comme un être humain…aujourd’hui,cela devient aussi un numéro comme la plupart des choses actuelles…[/b][/i][/quote]
[b]Mozarine[/b], je n’ai pas enquêté que sur une seule crèche de [b]LPCR[/b]… Heureusement, car, sinon, mon travail aurait été fort incomplet…
J’ai rencontré plusieurs professionnelles de la petite enfance, qui travaillent dans diverses crèches de l’Île de France…
Malheureusement, et je n’ai rencontré que des professionnelles mécontentes, il y a des lacunes concernant le fonctionnement de ces crèches… D’ailleurs, sur le [b]Forum [i] »Le Social »[/i] [ [url]http://www.lesocial.fr/forums/read.php?f=5&i=146734&t=146734[/url] ][/b] dont je parle dans mon article, il y a aussi des mécontentes qui se sont manifestées…
J’espère que mon article servira à faire évoluer les mentalités, ce, de manière à ce qu’il n’y ait plus de vision « comptable », « budgétaire », « rentabilité », « performance »…
Amicalement,
[b]Dominique[/b]
[b]Bonjour Dominique,
Voilà un beau pavé dans la marre des exactions de la vie quotidienne.
Je ne sais dans quelle mesure où les crèches sont encadrées par la loi, mais à priori il n’y a guère de contrôle, et le laisser faire parait prendre le dessus.
Très étonnant lorsqu’on voit comment au niveau des écoles les règles sont devenues tellement dures, que les enseignants ont cessé de pratiquer certaines activités comme des sorties dans la nature, risquant au moindre incident de se retrouver devant un tribunal.
A en croire ton article, on n’a pas autant d’égard vis à vis des plus petits!
Ce qui m’étonne également, c’est que les entreprises qui « emploient » ces crèches, n’aient pas mis leur grain de sel sur ce qui se passe réellement dans chacune d’elles.
Amitiés
Ludo[/b]
[b]Rien n’est plus précieux qu’un enfant.
Or dès l’âge de « la crèche », on lui apprend la sociabilisation, c’est à dire, la vie en groupe.
Il est bien évident, que si le personnel en charge de ses jeunes enfants, diminue, cet apprentissage de la vie indispensable quand les parents travaillent, ne se fera pas ou se fera mal.
Ne sacrifions pas ces futurs adultes auxquels il risque de manquer les notions essentielles du respect de l’autre.
Bravo Dominique, pour cet article !!!
SOPHY [/b]
Bonjour Dominique,
Mes félicitations pour ton nouvel article, sur un sujet inattendu, fruit d’une intéressante enquête de terrain. Je devrais le signaler à une mienne amie qui a travaillé en crèche.
Bonne soirée, et bon week-end !
Amitiés,
Frédéric.
Bravo pour cet article, Dominique! Il nous alerte sur des conditions de travail inacceptables pour les adultes qui ont pour conséquence, forcément ,d’accueillir les bébés dans le déni de leurs besoins les plus élémentaires. Ne parlons pas de ce que Dolto nous a appris de l’épanouissement du tout petit, de l’attention aigue qu’il faut lui apporter pour son futur développement.
La bébé n’est plus une personne mais une marchandise.
Merci de nous avoir signalé ce scandale!
Mon Cher Ludo, bonjour. Merci d’être passé voir mon article et de l’avoir commenté.
[quote][i][b]… Voilà un beau pavé dans la marre des exactions de la vie quotidienne. Je ne sais dans quelle mesure où les crèches sont encadrées par la loi, mais à priori il n’y a guère de contrôle, et le laisser faire parait prendre le dessus. Très étonnant lorsqu’on voit comment au niveau des écoles les règles sont devenues tellement dures, que les enseignants ont cessé de pratiquer certaines activités comme des sorties dans la nature, risquant au moindre incident de se retrouver devant un tribunal…[/b][/i][/quote]
Tout d’abord, je te confirme que les crèches sont encadrées par la loi, et, normalement, dépendent du [b]Ministère des Solidarité et de la Cohésion Sociale [ [url]http://www.solidarite.gouv.fr/espaces,770/enfance-famille,774/dossiers,725/accueil-du-jeune-enfant,1793/[/url] ][/b]. D’ailleurs, le [b]Décret n° 2010-613 du 7 juin 2010 relatif aux établissements et services d’accueil des enfants de moins de six ans [ ][/b] démontre que les crèches sont encadrées par la Loi ! D’ailleurs, au sein de la [b]Caisse d’Allocations Familiales[/b], il existe une structure : [b]l’Observatoire national de la petite enfance [ ][/b]
[quote][b][i]… A en croire ton article, on n’a pas autant d’égard vis à vis des plus petits! Ce qui m’étonne également, c’est que les entreprises qui « emploient » ces crèches, n’aient pas mis leur grain de sel sur ce qui se passe réellement dans chacune d’elles….[/i][/b][/quote]
[u][b]Ludo[/b], ces entreprises sont plus intéressées par la rentabilité de leurs salariés[/u] :[i] elles ont passé des contrats avec les crèches pour que leurs salariés, également des parents, placent leurs enfants dans les crèches ; peu importe le nombre d’enfants accueillis ; peu importe le bien être des professionnelles et des enfants… C’est ça la gestion des ressources humaines « moderne » ![/i]
Amitiés,
[b]Dominique[/b]
Je n’ai mis aucune photo… Personne non plus ! Au secours, Ludo, au secours, SOPHY..
[i] »c’est à se demander où l’on va et si on n’est pas tombé sur la tête… »[/i]
on est en plein dans la grande rétrogradation (de toute nature), Dominique.
Eh oui, [b]Veritas[/b]…
Malheureusement, il en est ainsi !
Amitiés,
[b]Dominique[/b]
Les racailles sont adulées et les gens de bien sont honnis !
ce siècle est à l’agonie .
A bons entendeurs , Salut en Jésus-Christ.
plusieurs vont encore se rendre compte…
qu’ils vont en avoir besoin !
ce sont les liens trop longs
Merci Fabien d’avoir corrigé le problème… Malheureusement, contrairement aux images, on ne peut pas savoir si les liens sont trop longs…
Amitiés,
Dominique
[u]Donc, pour compléter ma réponse à [b]Ludo[/b][/u] :
– pour le [b]Décret n° 2010-613 du 7 juin 2010 relatif aux établissements et services d’accueil des enfants de moins de six ans[/b], il suffit d’aller sur le portail de [b]LEGIFRANCE [ [url]http://www.legifrance.gouv.fr[/url] ][/b], puis effectuer une recherche en donnant le n° du décret, sa date de promulgation…, Sinon, il est disponible et commenté sur [b]La Gazette.fr [ [url]http://www.lagazettedescommunes.com/39911/modification-du-fonctionnement-des-creches/[/url] ][/b];
– pour [b]l’observatoire de la petite enfance[/b], il suffit de se rendre sur le site de la [b]CAF [ [url]https://www.caf.fr/wps/portal[/url] ][/b] et taper dans Recherche : [b] »Observatoire de la Petite Enfance »[/b].
[quote][b][i]… Mes félicitations pour ton nouvel article, sur un sujet inattendu, fruit d’une intéressante enquête de terrain. Je devrais le signaler à une mienne amie qui a travaillé en crèche…[/i][/b][/quote]
Merci, [b]Frédéric[/b], pour ton passage et ton commentaire. Ton amie, qui a travaillé en crèche, pourrait venir sous mon article donner son ressenti…
[u]Mon enquête, je l’ai faite sur le terrain, car je n’admets pas que l’on ait, dans le monde du travail, public, privé, petite enfance, une vision comptable ou gestionnaire dans la gestion des ressources humaines[/u] : [i]à terme, il risque d’y avoir des accidents graves ; or, lors d’un accident très grave ayant provoqué des dommages corporels, des décès accidentels, la justice recherche toujours des boucs émissaires au lieu de rechercher les véritables causes de cet accident ![/i]
Amitiés,
Dominique
[b]SOPHY[/b], merci d’être passé sous mon article et de l’avoir commenté !
[quote][b][i]… Rien n’est plus précieux qu’un enfant…[/i][/b][/quote]
D’autant, [b]SOPHY[/b], que [b]Françoise Dolto[/b] avait dit, à juste titre : [b][i]« Un enfant est une personne »[/i][/b] et que [b][i]« l’adulte doit le respecter comme tel »[/i][/b].
[quote][b][i]… Or dès l’âge de « la crèche », on lui apprend la sociabilisation, c’est à dire, la vie en groupe…[/i][/b][/quote]
Justement, l’enfant, c’est un futur adulte, une personne formée en devenir… C’est là qu’on doit lui apprendre la vie en société, ce, avant l’arrivée à l’école, au collège, au lycée…
[quote][b][i]… Il est bien évident, que si le personnel en charge de ses jeunes enfants, diminue, cet apprentissage de la vie indispensable quand les parents travaillent, ne se fera pas ou se fera mal…[/i][/b][/quote]
[u]Malheureusement, ceux qui sont chargés des budgets alloués aux crèches, ont trop tendance à faire des économies, non seulement sur le dos des professionnelles, de leurs directrices, mais également sur celui des enfants et de leurs parents[/u] : [i]un jour ou l’autre, cela pourrait avoir des conséquences très graves ![/i]
[quote][i][b]… Ne sacrifions pas ces futurs adultes auxquels il risque de manquer les notions essentielles du respect de l’autre…[/b][/i] [/quote]
Vœu pieux qu’il faudrait asséner à tous ces « comptables », tous ces « économistes », tous ces adeptes du « bon » budget, qui, du fond de leurs bureaux, travaillent en dépit du bon sens, puisqu’ils ne connaissent rien à la gestion d’une crèche ou au travail des professionnelles de cette crèche !
GBGB
[b]Dominique[/b]
Siempre, bonjour… Merci pour votre passage sous mon article ; merci pour votre commentaire !
[quote][i][b]… Il nous alerte sur des conditions de travail inacceptables pour les adultes qui ont pour conséquence, forcément, d’accueillir les bébés dans le déni de leurs besoins les plus élémentaires…[/b][/i][/quote]
[u]Eh oui, [b]Siempre[/b]… Mais, comme je l’ai écrit en répondant à SOPHY, ceux qui sont chargés des budgets alloués aux crèches, ont trop tendance à faire des économies, non seulement sur le dos des professionnelles, de leurs directrices, mais également sur celui des enfants et de leurs parents[/u] : [i]or, un jour ou l’autre, cela pourrait avoir des conséquences très graves ! Alors, au lieu de s’attaquer aux véritables causes d’un accident, d’un décès, survenu dans une crèche, la Justice cherchera des boucs émissaires ![/i]
[quote][i][b]… Ne parlons pas de ce que Dolto nous a appris de l’épanouissement du tout petit, de l’attention aiguë qu’il faut lui apporter pour son futur développement. La bébé n’est plus une personne mais une marchandise… Merci de nous avoir signalé ce scandale![/b][/i[/quote]
Malheureusement, [b]Siempre[/b], nous avons des gens, à l’esprit obtus, qui ont pour règles d’or : [i][b] »rentabiliser »[/b][/i], [b][i] »économiser »[/i][/b], [b][i] »avoir plus d’argent »[/i][/b], [b][i] »faire des bénéfices en dépensant moins »[/i][/b], ce, au détriment de l’élément humain, ce, au détriment du bien être des enfants, de leurs parents, des professionnelles ! Seulement, [i]et c’est aussi bien valable pour les crèches qui sont l’objet de mon article, pour des entreprises privées ou publiques, que pour les transports en commun[/i], ces gestionnaires ne connaissent rien au travail de terrain, puisqu’ils sont confortablement installés dans leurs bureaux devant des colonnes de chiffres !
Amitiés,
[b]Dominique[/b]
[b]Dominique[/b] bonsoir,
Merci de m’avoir informé de ce bel et émouvant article sur les crèches privées.
Il n’est pas permit qu’une crèche soit privée, il ne faudrait pas.
Il n’est pas permit qu’avec une crèche on gagne de l’argent, il ne le faudrait pas.
Les crèches ne devaient être que municipales, c’est à dire financées par la communauté. Ces enfants ne devraient pas être la source de profits, ils sont normalement tous égaux bien qu’ils ne le soient pas.
Le problème est qu’il manque de crèches pour accueillir tous les enfants, il se produit de ce fait une exploitation à la fois préférentielle et financière.
L’État devrait y mettre fin par des règlements stricts concernant leur gestion.
Mais est-ce possible d’application, eu égard au besoin des mamans ?
Là est la question, alors on fait au mieux ne pouvant faire autrement.
Ce n’est pas bien, mais il y a des crèches.
Bien à toi,
Anido
[b]Anido[/b],
bonsoir… Merci d’être passé sous mon article…
[quote][b][i]… Il n’est pas permis qu’une crèche soit privée, il ne faudrait pas. Il n’est pas permis qu’avec une crèche on gagne de l’argent, il ne le faudrait pas…[/i][/b][/quote]
[b]Anido[/b], il y a plusieurs types de crèches ! Les crèches municipales, [i]dont tu parles[/i], les crèches privées, les crèches d’entreprises, les crèches associatives, [i]gérées par des parents et dirigées par des professionnelles[/i], les micro-crèches… Toutes ont besoin d’un budget de fonctionnement, le tarif unique décidé par la [b]Caisse d’allocations familiales (CAF)[/b] étant, pour les parents, de 400 € par mois et par enfant([b][i][u]1[/u][/i][/b]).
Bien sur, le rêve serait que des crèches privées ne soient plus autorisées… Mais, que fais-tu des parents, qui manquent de places en crèche ? Peut-être, faudrait-il contrôler beaucoup mieux le fonctionnement de ces crèches, tout en leur garantissant le choix de leur statut juridique (?).
[quote][i][b]… Les crèches ne devaient être que municipales, c’est à dire financées par la communauté. Ces enfants ne devraient pas être la source de profits, ils sont normalement tous égaux bien qu’ils ne le soient pas…[/b][/i] [/quote]
Je suis bien d’accord avec toi, [b]Anido[/b], mais, n’est-ce pas de l’utopie, d’autant que les parents paient également 400 € par mois et par enfant pour pouvoir placer leurs enfants en crèche([b][i][u]2[/u][/i][/b]) ?… Malheureusement, il n’y a pas assez de structures de ce type… Aussi, il faut bien créer des structures non-municipales pour accueillir les enfants !
Je sais bien que les enfants ne doivent pas être des enjeux économiques… Mais, dans ce cas-là, il faudrait revoir les politiques d’accueil d’enfants en collectivités ! [u]De plus, il faudrait limiter le nombre d’enfants admissibles dans une crèche[/u] : pour cela, il faudrait en construire plusieurs !
Amitiés,
[b]Dominique[/b]
([b][i][u]1[/u][/i][/b]) – Ce tarif est le même pour les crèches municipales, les crèches privées, les crèches d’entreprises, les crèches associatives, les micro-crèches.
([u]2[/u]) – Ibid
ENFIN! merci pour cet article qui donne l’espoir qu’un jour ces crèches disparaissent…J’ai pu travaillé 3ans en tant qu’ Educatrice de Jeunes Enfants pour les crèches LPCR dans le sud de la France ou elles poussent comme des champignons (pas moins de 30 structures ont été racheté à Aix en Provence par exemple)…Je ne connais pas en effet un seul employé qui approuve ses conditions de travail. Et parlons aussi de la « maltraitance institutionnelle »que LPCR inflige aux enfants…
J’ai pour ma part moi même subit le harcèlement de cette société qui dispose au siège de juristes jouant avec les incohérences de la loi…Il faut aussi souligner que ses dirigeants sont des businessman et non des travailleurs sociaux expérimentés.Il est d’ailleurs important de savoir qu’ils prennent soin de créer une société à chaque ouverture de crèche afin de limiter le nombre d’employés et ainsi leurs droits (CE, DP…)et de les empêcher de se regrouper…
Durant mon congé maternité et mes arrêts maladie pour grossesse à risques, j’ai subi un véritable harcèlement de ma direction, allant jusqu’à embaucher une EJE sur mon poste en CDD dans un premier temps puis en CDI. Pour cela ils se sont empressés de créer un nouveau poste d’EJE dés qu’ils ont compris que je commençais des démarches auprès de l’inspection du travail, alors que nous étions constamment en sous effectif de personnel. Il allait de pair qu’on me préparait un retour sur un poste avec des horaires en coupés et « roulante » sur tous les services afin de me couper l’envie de revenir. L’inspection du travail m’a expliqué que cela était légal!
En résumé LPCR ou « La Pire CRèche » qui existe…Le respect du rythme de l’enfant aucune importance car il faut remplir même si on est dans l’illégalité puisque tout ce qui compte c’est de faire du bénéfice…Le travail avec de l’humain, des enfants on n’en connaît pas à LPCR. Et puis les professionnels, un détail : si ils ne sont pas content on en change!Ainsi la référence et les repères pour les enfants on ne veut pas en entendre parler. Mais surtout on pousse à la démission de façon à ne pas assumer quoi que ce soit…
Bref, j’espère qu’on pourra lire des tas d’autres articles comme ceux- là et si je peux aider à ce que ce soit diffuser ce sera avec plaisir…
[b]Céline[/b],
bonjour…
Je vous remercie pour votre passage sous mon article !
Votre témoignage nous est précieux ! [i]Il est à espérer qu’il y en aura d’autres, qui permettront, [i]je l’espère[/i], de véritables changements dans le fonctionnement des crèches, qu’elles soient municipales, privées, parentales…[/i] Il est évident que ce que vous nous racontez au sujet de votre emploi chez [b]LPCR[/b], j’ai constaté, au cours de mon enquête qui m’a permis de rédiger cet article, que d’autres professionnelles ont vécu la même situation que la vôtre.
Cordialement,
[b]Dominique Dutilloy[/b]
Nous vivons malheureusement dans une societé ou seule compte renabilté et comme dit Sarko la competivité.D4ailleurs pour etre competitifs nous finirons avec un smic Roumain de 4 ou 500 euros en Europe en fait ça veut dire ça puisque avant son élection il disait déjà que le smic en France était trop élevé ce bourgeois.Il n’y pas que dans les crechs que ça devient honteux et dangereux pour les enfants et le personnel.Les maisons de retraites et autres structures de la honte qui font des bénefs et maltraites et délaissent les personnes agées .Les tarifs exorbitants que demandent ces escrocs pour délaisser et maltraiter ces personnes comme je les ais vues ,j’ai la haine.
Effectivement, [b]Jean-Michel Teruel[/b]… Si on n’y prend pas garde, c’est ce qui se passera…
Ceci dit, on est dans des métiers du social, métiers très très mal rémunérés et pas ou peu reconnus par nos Gouvernants !
[u]Le problème est que les professionnelles de la petite enfance ne sont pas reconnues du tout ou le sont peu[/u] : [i]au vu des responsabilités énormes qu’elles ont,[/i] car il est question du bien être psychologique, psychique, physique et matériel de l’enfant ainsi que de sa sécurité[i], elles sont trop trop mal payées pour le maximum de travail qu’elles font…[/i]
Je vous remercie d’être venu lire et commenter mon article…
Cordialement,
[b]
Dominique Dutilloy[/b]
Bonjour, mon enfant a eu une place en crèche LPCR sur Paris et ce que je lis me fait extrement peur, en même temps je n’ai pas d’autres moyens de garde. Est-ce que quelqu’un connait la crèche lpcr de Paris et peut me renseigner ? Est-ce que je dois renoncer à y mettre mon enfant, mais je n’ai pas eu de place en crèche municipale donc je suis perdue, ce que je lis m’inquiète vraiment beaucoup.
merci par avance
[b]Mélanie[/b], bonjour…
Merci d’être passé sous mon article et de l’avoir commenté…
Mon enquête s’est déroulée dans la région parisienne : à la lecture de votre commentaire, je comprends tout à fait les questions que vous vous posez et vos craintes !
Aussi, il vous sera possible, si vous avez toujours l’intention de placer votre enfant dans les crèches LPCR, de prendre les renseignements que vous désirez directement sur le site de l’entreprise :
[img]http://www.lpcr.fr/sites/all/themes/lpcr/logo.png[/img]
[b][u]L’URL de LPCR[/u] : – [url]http://www.lpcr.fr/[/url]
– [u]Si vous devez placer votre enfant en urgence[/u] : [url]http://www.lpcr.fr/jinscris-mon-enfant[/url]
[/b]
[b][u]Le siège social de LPCR[/u] : 6, allée Jean Prouvé 92110 Clichy Tél : 01 41 40 81 81 – Fax : 01 41 40 81 80 email : [url][email protected][/url]
[/b]
Malheureusement, comme je l’ai écrit, beaucoup de dirigeants de crèches prônent trop souvent la rentabilité, ce, au détriment des enfants dont ils ont la charge, et, de leurs parents qui paient pour les placer… Or, un enfant, ce n’est pas un numéro : c’est un être en devenir, une personne ! Aussi, si vous ne désirez pas placer votre enfant dans une crèche LPCR de Paris, il existe d’autres crèches privées ou parentales, que vous pourrez trouver sur Google…
J’espère avoir répondu à vos questions…
Cordialement,
[b]
Dominique Dutilloy[/b]
Bonjour,
Par hasard connaissez vous la creche LPCR de meudon
Je souhaite y inscrire ma fille de 3 mois
Est ce que vous avez des avis sur cette creche ? positf ou negatif
merci
[quote][i][b]…Par hasard connaissez vous la creche LPCR de meudon
Je souhaite y inscrire ma fille de 3 mois
Est ce que vous avez des avis sur cette creche ? positf ou negatif[/b][/i] [/quote]
[b]JANET[/b], bonjour…
Comme je l’ai écrit dans mon article et en commentaire, je ne me suis rendu dans aucune crèche LPCR… Donc, je ne connais pas celle de Meudon [b][ [url]http://www.lpcr.fr/ouverture-de-la-creche-nouvelle-generation-les-petits-chaperons-rouges[/url] ][/b]([b][i][u]*[/u][/i][/b]) : [i][i]de ce fait, je ne peux guère répondre à vos questions ![/i][/i]
Sinon, dans le commentaire, qui est au dessus du vôtre, vous pourrez directement prendre contact avec le siège de LPCR.
Cordialement,
[b]
Dominique DUTILLOY[/b]
([b][i][u]*[/u][/i][/b]) – cliquer sur [b] »EN SAVOIR PLUS »[/b] pour aboutir sur le communiqué de presse qui donnera plus de détails sur cette crèche.
Bonjour, travaillant depuis 7 mois chez LPCR (et non dans la région parisienne), et me posant plusieurs questions sur cette crèche, je suis tombée sur votre article en faisant des recherches. Je trouve que cet article reflète tout a fait la réalité et malheureusement, cette réalité n’est pas présente qu’en région parisienne, mais a mon avis, c’est un peu partout pareil. Toutes les crèches sont gérées par un seul et même siège…
Avant de passer mon entretien d’embauche, je me suis renseignée en allant sur leur site et je me suis dit : « waou! la crèche de mes rêves! super jolie, toute neuve et le projet de mes rêves! ». En effet, pendant l’entretien, cela s’est confirmé, la directrice m’en a mis plein la vue en ce qui concerne le projet pédagogique, ce qui est mis en place… qui correspondait tout a fait a mes valeurs, ma vision du travail et mon identité professionnelle, j’ai donc été enchantée lorsque j’ai été embauchée.
Malheureusement, très vite, quelle désillusion!!!
Tout d’abord en entendant les professionnelles parler, je me suis vite rendue compte que quelque chose clochait au niveau des droits et des avantages des salariés: certaines sont présentes dans l’entreprise depuis maintenant 2 ans et n’ont toujours pas bénéficié de leur 5eme semaine de congès! Malheureusement, je ne m’y connais pas assez bien pour dire quoi que se soit la dessus. Ensuite, il n’y a pas de convention collective (LPCR disent qu’elle est toujours en écriture!!!!) et donc au niveau avantage, c’est le strict minimum. En ce qui concerne l’effectif d’encadrement, nous sommes aussi au strict minimum et parfois, lorsqu’il y a des absences, en sous effectif. Du coté des normes de remplissage, nous avons quand même sorti et caché plusieurs lits destinés a la sieste des enfants avant que la dame de la PMI ne vienne faire sa visite!!!!
De plus, le travail de 10 heures par jour est, pour moi, épuisant. Alors oui on peut nous dire que l’avantage est d’avoir un jour de repos par semaine, mais pour moi, ce n’est en aucun cas un avantage car tellement fatiguée du reste de la semaine, que je ne profite pas du tout de ce jour la. Et j’ai l’impression de ne jamais profiter de mon fils que je ne vois pas le matin et très peu le soir… Je pense que se sont des horaires très difficilement compatibles avec une vie de famille.
Enfin, pour finir de brosser ce joli tableau, je dirais que ces crèches sont presque sectaires, très fermées (j’ai déja entendu des professionnels dire que nous faisions parti des meilleurs [une élite?????]: nous pouvons rencontrer, avoir des réunions, discuter du projet… avec d’autres EJE mais seulement ceux travaillant chez LPCR! Nos formations sont faites a Paris, seulement par les responsables pédagogiques LPCR; nous avons un tableau d’affichage pour afficher des articles, mais encore une fois, les EJE n’ont pas de travail a faire la dessus puisque tous les mois, des articles, écrits par LPCR nous sont envoyés pour etre affichés…
La plupart des professionnels embauchés dans la crèche ou je travaille n’ont aucune expérience dans la petite enfance (ce qui peut poser question) et nous n’avons pas de possibilités de sorties avec les enfants.
Je ne sais pas si mon témoignage ou si cet article pourra un jour servir a quelque chose, mais je me devais d’en parler et de partager ce qu’il se passe dans ces crèches inter entreprises très « spéciales ».
Je ne comprends pas, vous faites une enquête à partir de liens que vous trouvez sur le site ? Jusqu’à preuve du contraire, nous sommes bien loin de l’enquête sur le terrain ! Ce n’est pas du tout objectif ! C’est de la polémique tout simplement. Quelle est la valeur de votre article ? Zéro !
Je comprends parfaitement le souci des intervenants, Zazou, Céline et les autres, qui relatent leurs conditions de travail, et c’est une honte, mais en quoi les enfants sont lésés ?
Ce n’est pas sérieux tout ça ! >:(
A partir du moment ou les professionnels ne sont pas bien dans leur travail, ne se sentent pas soutenus par la direction, les enfants sont lésés car cela se ressent forcément dans notre travail. Et lorsque nous sommes en sous effectif, autant dire que nous n’avons aucun moyen pour que la journée se passe bien et que les bébés ne pleurent pas toute la journée…
Cette impression en fin de journée de n’avoir donné que les soins aux enfants (changes, repas, sommeil) et non pas d’avoir été présents auprès d’eux, d’avoir pu rester simplement avec eux, d’avoir pu les observer est très frustrant et ne me semble pas être les meilleures conditions d’accueil pour les enfants.
Oups, désolée, en relisant je me suis rendue compte que l’ordinateur n’avait pas enregistré toute une partie de mon commentaire (qui était trop long) la voici:
« Ensuite, dans cette crèche, j’ai l’impression qu’il n’y a pas de travail pour l’éducateur de jeunes enfants (et c’est bien la première fois que j’ai ce ressenti après un an et 5 structures différentes d’expérience!). Pour m’expliquer un peu, d’abord, j’ai exactement les mêmes taches que les auxiliaires et les CAP petite enfance, c’est a dire que je suis a temps complet auprès des enfants,que je prépare les biberons, et que lorsque je suis de soir, j’ai a peu près une heure de ménage comme tout le monde. Je ne dénigre pas du tout le travail des auxiliaires et des CAP bien au contraire,mais pour moi, même si évidemment il doit y avoir de l’entraide et un travail en équipe, chaque métier a une partie qui lui appartient… Du coup, en ne pouvant pas se détacher du groupe, l’EJE ne peut pas monter de projet et faire son boulot…
Ensuite, pour moi, une importante partie du travail de l’EJE est quand même le projet pédagogique, que l’on écrit et travaille en équipe, mais dans cette crèche, c’est le responsable pédagogique qui s’occupe de ca, du haut de son siège parisien, projet qui sera le même pour toutes les crèches et qui sera très difficilement discutable!
Dans ce projet, certaines choses m’ont vraiment questionnée, mais j’ai vite compris qu’il n’était pas constructif d’en discuter avec la directrice qui n’a qu’une idée en tête, nous y faire adhérer complètement, en sortant des arguments sortis de nulle part…(parfois même, elle se réfère au siège car ne peut répondre a certaines de mes questions!). En ce qui concerne l’achat du matériel, celui ci est extrêmement restrictif, nous avons droit qu’a une ou 2 pages des catalogues, sous prétexte que rien d’autre ne correspond a notre projet si exceptionnel. »
[b]Zazou[/b], merci pour votre passage sous mon article, merci pour avoir témoigné en tant que professionnelle de la petite enfance sur votre vécu professionnel de tous les jours…
Il est évident que le monde du travail, [i]et les crèches en font partie[/i], est victime de cette notion qui veut qu’on privilégie la rentabilité sur l’humain… Beaucoup de crèches, [i]et je suppose que cela dépasse le cadre de LPCR[/i], travaillent en sous effectif lors d’arrêts maladies ou lors de repos…
L’enfant, dans tout ceci, est lésé !
Mais, soyez rassurée ! En effet, un autre article sur les crèches est en préparation.
Cordialement,
[b]Dominique DUTILLOY[/b]
[quote][i][b]… Je ne comprends pas, vous faites une enquête à partir de liens que vous trouvez sur le site ? Jusqu’à preuve du contraire, nous sommes bien loin de l’enquête sur le terrain !…[/b][/i][/quote]
[b]Alea jacta est[/b], on voit que vous ne connaissez pas du tout le travail journalistique et que vous ne connaissez pas du tout le travail de terrain entrepris par le journaliste ! Ce n’est pas sérieux ! Pour illustrer mon article, il a bien fallu que j’utilise les liens que j’ai trouvés sur le site de LPCR, histoire, justement, de pouvoir constater si contradiction il y a ou non ! Or, en rencontrant ces professionnelles, j’ai constaté qu’il y avait, de la part de cette structure, beaucoup de contradictions !
[quote][b][i]… Ce n’est pas du tout objectif ! C’est de la polémique tout simplement…[/i][/b] [/quote]
Alea jacta est, qui êtes-vous pour juger de l’objectivité ou non d’un article ? Qui êtes-vous pour décréter qu’il y a polémique ou non ?
Pour l’instant, vous n’argumentez pas du tout dans votre critique puisque vous n’avancez aucune contradiction !
[quote][i][b]… Quelle est la valeur de votre article ? Zéro !…[/b][/i][/quote]
Ah oui, [b]Alea jacta est[/b] ? [i]Je constate que vous êtes inscrit en tant que auteur C4N… De votre part, je n’ai lu aucun article consacré aux crèches ou aux structures de la petite enfance ! [/i]
Alors, sachant que [b][i]« La critique est aisée, mais l’art est difficile »[/i][/b]([b][i][u]*[/u][/i][/b]), il vous appartient, Alea jacta est, de relever le défi et de rédiger, à votre tour, un papier sur les crèches !
[quote][i][b]… Je comprends parfaitement le souci des intervenants, Zazou, Céline et les autres, qui relatent leurs conditions de travail, et c’est une honte, mais en quoi les enfants sont lésés ? Ce n’est pas sérieux tout ça !…[/b][/i][/quote]
Je constate, [b]Alea jacta est[/b], que vous n’avez pas lu très attentivement mon article, cherchant, sans aucun doute à critiquer sans avancer le moindre argument ! [i]Or, si vous aviez lu très attentivement mon papier, vous auriez compris pourquoi les enfants pouvaient être lésés du fait des conditions de travail des professionnelles ![/i]
Bref, [b]Alea jacta est[/b], [b][i]« La critique est aisée, mais l’art est difficile »[/i][/b] ! Je vous laisse méditer sur cette expression proverbiale dont l’auteur est [b]Philippe Néricault[/b], [i]auteur et comédien[/i]([b][i][u]**[/u][/i][/b]).
([b][i][u]*[/u][/i][/b]) [b]- [url]http://www.expressio.fr/expressions/la-critique-est-aisee-mais-l-art-est-difficile.php[/url][/b]
([b][i][u]**[/u][/i][/b]) – dont le nom de scène était [b]Destouche[/b]
[quote][i][b]… Je ne comprends pas, vous faites une enquête à partir de liens que vous trouvez sur le site ? Jusqu’à preuve du contraire, nous sommes bien loin de l’enquête sur le terrain !…[/b][/i][/quote]
[b]Alea jacta est[/b], on voit que vous ne connaissez pas du tout le travail journalistique et que vous ne connaissez pas du tout le travail de terrain entrepris par le journaliste ! Ce n’est pas sérieux ! [i]Pour illustrer mon article, il a bien fallu que j’utilise les liens que j’ai trouvés sur le site de LPCR, histoire, justement, de pouvoir constater si contradiction il y a ou non ! Or, en rencontrant ces professionnelles, j’ai constaté qu’il y avait, de la part de cette structure, beaucoup de contradictions ! [/i]
[quote][i][b]… Ce n’est pas du tout objectif ! C’est de la polémique tout simplement…[/b][/i][/quote]
[b]Alea jacta est[/b], qui êtes-vous pour juger de l’objectivité ou non d’un article ? Qui êtes-vous pour décréter qu’il y a polémique ou non ?
Pour l’instant, [b]Alea jacta est[/b], vous n’argumentez pas du tout dans votre critique puisque vous n’avancez aucune contradiction !
[quote][i][b]… Quelle est la valeur de votre article ? Zéro !…[/b][/i][/quote]
Ah oui, [b]Alea jacta est[/b] ? Je constate que vous êtes inscrit en tant que [b]auteur C4N[/b]… De votre part, je n’ai lu aucun article consacré aux crèches ou aux structures de la petite enfance !
Alors, sachant que [i][b]« La critique est aisée, mais l’art est difficile »[/b][/i]([b][i][u]*[/u][/i][/b]), il vous appartient, [b]Alea jacta est[/b], de relever le défi et de rédiger, à votre tour, un papier sur les crèches !
[quote][i][b]… Je comprends parfaitement le souci des intervenants, Zazou, Céline et les autres, qui relatent leurs conditions de travail, et c’est une honte, mais en quoi les enfants sont lésés ? Ce n’est pas sérieux tout ça !…[/b][/i][/quote]
Je constate, Alea jacta est, que vous n’avez pas lu très attentivement mon article, cherchant, sans aucun doute à critiquer sans avancer le moindre argument ! Or, si vous aviez lu très attentivement mon papier, vous auriez compris pourquoi les enfants pouvaient être lésés du fait des conditions de travail des professionnelles !
Bref, [b]Alea jacta est[/b], [b][i]« La critique est aisée, mais l’art est difficile »[/i][/b] ! Je vous laisse méditer sur cette expression proverbiale dont l’auteur est [b]Philippe Néricault[/b], auteur et comédien([b][i][u]**[/u][/i][/b]).
([b][i][u]*[/u][/i][/b]) [b]- [url]http://www.expressio.fr/expressions/la-critique-est-aisee-mais-l-art-est-difficile.php[/url] [/b]
([b][i][u]**[/u][/i][/b]) – dont le nom de scène était [b]Destouche[/b]
[b][u]Petit rajout destiné à [b]Alea jacta est[/b][/u][/b] :
[quote][i][b]… mais en quoi les enfants sont lésés ?…[/b][/i][/quote]
[u][b]Alea jacta est[/b], histoire de vous aider vraiment à comprendre en quoi les enfants sont lésés, je vous invite à relire le premier commentaire laissé par [b]Zazou[/b][/u] :
[quote][quote][quote][quote][i][b][u]A partir du moment ou les professionnels ne sont pas bien dans leur travail, ne se sentent pas soutenus par la direction, les enfants sont lésés car cela se ressent forcément dans notre travail. Et lorsque nous sommes en sous effectif, autant dire que nous n’avons aucun moyen pour que la journée se passe bien et que les bébés ne pleurent pas toute la journée[/u]…
Cette impression en fin de journée de n’avoir donné que les soins aux enfants (changes, repas, sommeil) et non pas d’avoir été présents auprès d’eux, d’avoir pu rester simplement avec eux, d’avoir pu les observer est très frustrant et ne me semble pas être les meilleures conditions d’accueil pour les enfants….[/b][/i][/quote][/quote][/quote][/quote]
[u]Puis, [b]Alea jacta est[/b], relisez très attentivement mon article[/u] : [i]cela vous aidera vraiment à comprendre pourquoi les enfants sont lésés ![/i]
[quote][i][b]Bonjour, mon enfant a eu une place en crèche LPCR sur Paris et ce que je lis me fait extrement peur, en même temps je n’ai pas d’autres moyens de garde. Est-ce que quelqu’un connait la crèche lpcr de Paris et peut me renseigner ? Est-ce que je dois renoncer à y mettre mon enfant, mais je n’ai pas eu de place en crèche municipale donc je suis perdue, ce que je lis m’inquiète vraiment beaucoup. merci par avance…[/b][/i][/quote]
[b]Mélanie[/b], bonjour…
Merci d’être passé sous mon article et de l’avoir commenté…
[u]Mon enquête s’est déroulée dans la région parisienne[/u] : [i]à la lecture de votre commentaire, je comprends tout à fait les questions que vous vous posez et vos craintes ! [/i]
[u]Aussi, il vous sera possible, si vous avez toujours l’intention de placer votre enfant dans les crèches LPCR, de prendre les renseignements que vous désirez directement sur le site de l’entreprise[/u] :
– [u]L’URL de [b]LPCR[/b][/u] :
[url]http://www.lpcr.fr/[/url]
– [u]Si vous devez placer votre enfant en urgence[/u] : [url]http://www.lpcr.fr/jinscris-mon-enfant[/url]
– [u]Le siège social de [b]LPCR[/b][/u] : 6, allée Jean Prouvé 92110 Clichy Tél : 01 41 40 81 81 – Fax : 01 41 40 81 80 email : [url][email protected][/url]
Malheureusement, comme je l’ai écrit, beaucoup de dirigeants de crèches prônent trop souvent la rentabilité, ce, au détriment des enfants dont ils ont la charge, et, de leurs parents qui paient pour les placer… Or, un enfant, ce n’est pas un numéro : c’est un être en devenir, une personne ! Aussi, si vous ne désirez pas placer votre enfant dans une crèche LPCR de Paris, il existe d’autres crèches privées ou parentales, que vous pourrez trouver sur Google…
J’espère avoir répondu à vos questions…
Cordialement,
[b]Dominique Dutilloy[/b]
[u]A lire de toute urgence[/u] :
[i][b]Angélique Giorgi nous alerte à propos du groupe de crèches privées « Les Petits Chaperons Rouges »[/b][/i]
[u]Par[/u] [b]Agélique Giorgi[/b]
vendredi 19 novembre 2010
[url]http://www.elunet.org/spip.php?article16172[/url]