Un avion sans elle. Voici un roman comme on aime en lire : en hiver, devant la cheminée – pour ceux qui ont la chance d’en avoir une – bien calé dans un canapé confortable, ou en été, sur le sable ou dans un transat au bord de la piscine – toujours pour ceux qui ont la chance…. – bref, c’est un roman qui se lit avec passion, dans n’importe qu’elle situation.

Le résumé : En 1981, un avion se crashe et le seul rescapé est un bébé de 3 mois. Mais à qui appartient-il ?

Deux familles se déchirent la paternité de cette petite fille surnommée Libellule en rapport avec la chanson de Charlélie Couture "Comme un avion sans ailes". D’ailleurs les paroles de cette chanson sont citées dans le livre.

L’une des familles est riche, l’autre pas. Car en fait, il y avait deux bébés du même âge dans cet avion. 

Dix-huit ans après, un détective privé engagé par la famille aisée prétend avoir découvert la vérité mais il se fait assassiné après avoir donné son carnet de notes sur cette affaire à la rescapée devenue une jeune femme. Dix-huit années de recherches vont-elles enfin vers un dénouement ?

Ne vous inquiétez pas, je n’ai rien dévoilé de l’histoire. Simplement, c’est un des rares romans plein d’émotion et d’intensité que j’ai pu lire ces dernières années. Je suis sûre que vous y succomberez vous aussi.

533 pages de surprises, de tristesses, de joies…. et surtout un suspens qui dure jusqu’à la fin.

L’auteur : Michel Bussi a déjà publié un roman Nymphéas Noirs en 2011 publié également aux Presses de la Cité. 

 Il est professeur à l’Université de Rouen. 

Je n’ai pas lu cet autre roman mais ce sera chose faite. Pourquoi pas cet été sur la plage ?