L’enfant terrible d’Hollywood donne vie aux fameux jouets des années quatre-vingt. Michaël Bay, maitre de l’action déjanté, poursuit la spirale de ses succès.
Aprés Bad Boys, the Rock, Armageddon ou the Island, le réalisateur nous offre Transformers. Humour, amour, suspense, des scénes d’action survitaminées… Un cocktail réussi.
Michael Bay, ses légendaires colères, un régime stakhanoviste imposé à ses acteurs, le réalisateur fait perdurer le mythe hollywoodien.
Au gré de la folie destructrice du metteur en scéne… Voitures, semi-remorques, hélicoptères, portables et on en passe…Transformers est en route. Même les plus blasés, en matière d’effets spéciaux, vont en prendre plein les mirettes !!
Il faut quand même relativiser l’aspect tonitruant du long métrage. Le scénario est très mince, la trame de l’histoire est simpliste et totalement invraisemblable. Mais la force du réalisateur fait, que dès la première transformation passée, le spectacle est tel, que finalement on n’y attache plus aucune importance Un véritable coup de maitre.
Un déluge constant, une féerie d’artifices et d’action non-stop balaient toutes les faiblesses du film. La scène finale est tout simplement d’anthologie, filmée au milieu des grattes-ciel de Los Angeles… Une merveille visuelle.
Un bon moment de cinéma, remettant au goût du jour les jouets Hasbro. Le rêve d’un enfant est devenu une réalité. Michaël Bay concocte déja les prémices d’une suite. Transformers 2 germe à l’intérieur de l’inconscient de Bay. Quel chemin parcouru depuis ses débuts dans des clips publicitaires. Le réalisateur s’avère être également un homme d’affaire avisé….