Détourner le vocabulaire du foot pour écrire sur quelques déviances de notre époque.
A ce stade avancé des incertitudes, les cages nationales déploient leurs filets clamés protecteurs, rets anesthésiants.
Chacun creuse ses déficits : groins revendicatifs comme autant d’excavateurs dans des finances depuis bien longtemps épuisées. Mettre le holà à ces dépenses au-dessus de nos moyens réveillera-t-il l’envie d’un chaos collectif ?
De la bouse aux godasses, oui, pour nous, les spectateurs de la tragédie financière. En cœur, l’hymne funèbre !
Nos années molles font le jeu des gredins en veille, prêts à tacler sans distinction les systèmes, les principes et les conventions pour que fructifie le jus crade de leurs affaires.
La volée de tirs galvanisera un public aux cordes vibrantes. Aller au fond, voilà l’impératif, comme un appel des abysses.
Trés bel exercice.
Et les arbitres qu’est ce qu’ils font?
Ils sifflent quand?
Malheureusement c’est une impression d’absence d’arbitre, la pâle ONU n’ayant aucun moyen d’imposer des règles du jeu proclamée pour la galerie.
Merci pour votre appréciation.
proclamées… pardon !