Troubles sexuels masculins ? La solution !

Il  existe des moments plus gênants que d’autres, des moments que l’on aimerait oublier, et surtout éviter. Les troubles sexuels masculins sont souvent un sujet tabou, et va souvent à l’encontre de l’image de la masculinité que nous vend la société. Pourtant, il s’agit d’un véritable problème qui touche de nombreux hommes qui ne devraient pas se sentir isolés. Mais il est souvent difficile d’assumer la réalité, et d’accepter d’en parler à un professionnel. Pas de panique, nous avons trouver la solution pour mettre fin à ces maux, vitaemed, un service de consultation et de prescription en ligne.

Les troubles sexuels masculins en quelques mots 

Les troubles sexuels masculins peuvent avoir plusieurs aspects allant de simples « pannes sexuelles » occasionnelles à l’impuissance ou encore au priapisme (érection persistante). Les causes de ces troubles sont souvent psychologiques comme le stress, l’anxiété, la déprime ou encore le surmenage. Mais cela peut aussi être dû à des causes plus concrètes comme la prise de certains médicaments, le tabagisme, les drogues, l’alcool ou encore certaines maladies comme le diabète, les maladies hormonales, les maladies cardiaques et vasculaires.

Les troubles sexuels masculins peuvent toucher tous les hommes quelque soit leur âge et leur état de santé. Néanmoins, la dysfonction érectile touche 20% des hommes âgés entre 50 et 59 ans, un chiffre qui augmente avec l’âge et la survenue de certaines maladies. Mais ces problèmes ne sont pas irrémédiables, et de nombreux traitements existent.

Quelle solution ? 

Plus la peine de retarder votre consultation chez le spécialiste par gêne et par honte, avec Vitaemed, votre consultation se fait en ligne grâce à un questionnaire précis, détaillé et spécialisé qui permettra au spécialiste de la santé de savoir si oui ou non vous pouvez bénéficier de ce type de traitement qui vous délivra ensuite une ordonnance. Avec l’option « pharmacie » vous pouvez vous faire livrer votre traitement chez vous en moins de 24 heures.

Le traitement proposé par ces professionnels est le Cialis, qui est le traitement de la fonction érectile avec la plus longue durée d’action, soit environ 36 heures. Il permet d’obtenir et de maintenir l’érection dans un délai de 30 minutes. Il permet ainsi une hausse du bien-être et de la confiance en soi et de l’estime de soi. En revanche, la prise de ce type de traitement n’est pas anodine, il est important de rester bien conscient des effets secondaires.

 

Source: 

Traitements de la dysfonction érectile, Vitaemed.com

Sexualité et jeux vidéo – Partie 1 : Sexe et Violence

Commençons une petite série d’articles sur la sexualité dans les jeux vidéo par une première partie qui repose sur deux jeux récents : Nier Automata (Squate Enix) et Berserk and the Band of the Hawk (Koei Tecmo). Voyons donc comment la sexualité est abordée dans ces deux jeux.
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L’Orange-bleu grand teint de Bénédicte Fichten

Étrange récit, certainement autobiographique, mais qui se démarque du genre illustré par les éditions à compte d’auteur – genre Pensée universelle ou Jean d’Ormesson à son plus médiocre – par la qualité et l’inventivité d’une écriture soignée, évitant l’afféterie, et une originalité (de parcours, curiosités, attitudes…) crânement assumée.

 

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Le « slam », la drogue des marathoniens du sexe !!!

 


J’ai longtemps hésité à prendre ma plume, ou plutôt caresser mon clavier pour écrire un article sur le sujet qui va suivre, car craignant que l’on ne me traite d’homophobe, le phénomène évoqué touchant en priorité la communauté gay et cette fois, aux portes de notre beau pays de France.

Puis je me suis dit, que le rôle d’un rédacteur était aussi de prévenir ses lecteurs et à travers eux leurs connaissances, pour que certaines pratiques cessent, ou que du moins, on évite qu’elles se généralisent.


Celle dont je vais parler aujourd’hui s’appelle "le slam" et est liée aux relations sexuelles.

En effet un produit connu sous le nom de "méphédrone" est reconnu comme un puissant stimulateur sexuel.

Mais il existe déjà le Viagra me direz-vous, médicament élaboré pour pallier en priorité aux problèmes d’érection, certes, mais dans le cas présent, il s’agit d’une drogue destinée à multiplier les rapports, ce qui vous en conviendrez est très différent.

On trouve la "méphédrone" très facilement sur internet, en comprimés mais également en poudre à diluer, pour procéder à des injections.

La formule chimique de cette drogue, utilise des feuilles de "Khat", très prisées en Afrique pour stimuler.

Le consommateur qui la prend, se sent investi d’une puissance hors du commun, son plaisir sexuel augmente et surtout lui permet d’avoir jusqu’à 50 rapports en 24 heures !

 

On parle de marathon sexuel !

 

Ce qui est inquiétant, c’est cette impression que l’on a de ne pas se droguer, bien que ce soit le cas, car dès la fin des effets de la "méphédrone", on ressent un manque et on a alors une seule envie : celle de recommencer !

On peut donc clairement parler d’addiction.

 

Je disais en début d’article, que la pratique du "slam" était apparue en France récemment et pour plus de précision, il semblerait que ce soit majoritairement dans le Languedoc-Roussillon, où des trentenaires et quadragénaires présentant de graves problèmes de santé, se seraient rendus au CHU de Montpellier.

Hélène Donnadieu-Rigole, addictologue dans cet hôpital affirme que ces hommes sont tous issus du milieu gay de la région.

Ces derniers, auraient avoué s’être procuré la "méphédrone", dans les backroom de boîtes de nuit branchées de Montpellier, où on la vend sous le nom de "4 mecs" ou encore "miaou miaou". De plus, il y aurait un véritable réseau de rencontres, via des sites dédiés ou des applications Smartphone.

 

Les "slameurs" mettent leur vie en danger, car le nombre anormal des rapports, les pousse à ne pas se protéger et le risque d’infections lié aux injections est décuplé.

De plus, cette drogue coupe l’appétit et provoque de sévères insomnies, ce qui affaiblit considérablement le consommateur.

 

Interrogée sur le sujet Hélène Donnadieu-Rigole aurait déclaré :

"C’est une substance qui colle à notre époque. On veut tout, tout de suite, très vite, très fort".

Et elle aurait ajouté plus tard, qu’elle était très inquiète pour l’avenir des soins à apporter aux "slameurs", car ceux-ci pensent ne plus pouvoir avoir à l’avenir de sensations de plaisir, lors de leurs rapports sexuels. En outre comme pour certaines autres drogues, il n’existe à l’heure actuelle pas de produit de substitution.

Quant au professeur Jacques Reynes, chef du service d’infectiologie du CHU de Montpellier, il ferait un lien direct avec l’augmentation dans la communauté homosexuelle de la région, des infections VIH en 2012, qui avaient pourtant jusque-là régressé.

 

Enfin les "slameurs" répertoriés par les autorités médicales de la région, conjointement avec les services de police, seraient de plus en plus nombreux et ce à cause de la forte communauté gay concentrée à Montpellier, ainsi que du côté festif bien connu de la région.

Le Point G réhumecté !

Mythique, le Point G ? Nullement car il s’agit d’un hôpital à Bamako. Lequel souffrait de son système d’adduction d’eau qui a été rénové et alimenté par de nouveaux captages, grâce au colonel-major qui le dirige et à son adjoint civil. Ils se sont donc mis à deux pour humidifier le Point G. Le Point G est de nouveau mouillé, signale Le Flambeau du Mali (soit qui mal y pense). Come4News se devait de signaler cette bonne nouvelle.

 

Les sites de rencontres extraconjugales et l’infidélité : Suite à mon premier article …

 Je dois reconnaître que j’ai été très surpris (agréablement la plupart du temps) par les nombreuses réactions occasionnées par la publication de mon article sur les sites de rencontres extraconjugales. L’un de mes lecteurs, dans son commentaire, m’a fait remarquer, à juste titre, que j’avais tendance à choisir souvent des sujets très polémiques et suscitant des réactions plus ou moins virulentes.

Si je ne pensais pas avoir autant de commentaires, j’ai été en revanche déçu par les avis moralisateurs et conventionnels qui ne faisaient que fustiger certaines pratiques intimes qui touchent aujourd’hui de plus en plus de personnes en France. Bien entendu, l’infidélité est moralement répréhensible, mais nier son existence me parait faire preuve d’une grande naïveté. J’aurai vraiment souhaité avoir des témoignages de personnes se situant de l’autre coté du miroir, à savoir ceux et celles qui ont déjà, par le passé ou dans le présent, franchi la fameuse ligne jaune. Je trouve que toute la richesse de ce site réside dans les échanges que nous pouvons avoir entre nous, les accords et les désaccords qui peuvent en découler, toujours dans le respect de chacun.

Il ne s’agit pas là de raconter mon expérience personnelle car elle n’intéressera sans doute que peu de gens mais il s’avère que j’ai vécu moi-même plusieurs situations « hors norme » dans ma vie amoureuse. Il m’est arrivé, afin de revenir au sujet de cet article, de me trouver dans la situation du trompé comme celui du trompeur. Les situations et les conséquences (négatives mais également positives je précise) qu’il m’a été donné de vivre me permettent d’avoir un certain recul sur le sujet. Il n’est pas évident sur un site accessible à tous de faire pareil aveu. Il est nettement plus facile en effet d’écrire un article sur le dernier Tarantino ou le nouvel album d’Indochine mais c’est cela aussi que j’aime avec les sites d’expression comme C4N, nous pouvons y parler de tout et dire ouvertement, si la critique n’effraie pas, ce que nous avons sur le cœur. Je n’ai pas vocation à tirer une quelconque fierté de mes erreurs et de mes exactions passées, mais je n’ai aucun mal à les assumer et à en parler. 

Je n’ai jamais eu recours aux sites de rencontres extraconjugales mais force est de constater qu’ils m’intriguent beaucoup non pas tant pour ce qu’ils sont (un moyen facile et rapide de trouver un/une partenaire) mais surtout parce qu’ils « démocratisent » d’une certaine façon l’infidélité et déculpabilisent ceux qui s’y adonnent en en faisant des gens comme les autres sans systématiquement les cataloguer en tant que  monstres ou en sadiques pervers.

La fidélité est certes l’un des piliers de notre modèle de couple. Mais à choisir, est-il mieux de vivre dans la frustration, dans le cantonnement et le refoulement systématique de nos désirs ? J’aimerai préciser que je ne mélange pas ici sentiments et sexualité. La véritable infidélité pour moi est celle qui malgré l’acte charnel effectué avec un tiers ne remet pas pour autant en question les sentiments et l’amour que l’on éprouve pour son ou sa conjoint. J’attends vos commentaires, vos accusations, vos critiques et vos témoignages avec une impatience non dissimulée.       

LES COUGARS : mode ou révolution relationnelle ?

 

Les Cougars : un phénomène pas si négatif que cela 

 

Qui n’a jamais entendu parler du phénomène des cougars, ces femmes mûres qui n’hésitent plus à assumer leur sexualité et à fréquenter ouvertement des hommes beaucoup plus jeunes qu’elles ? Vivement critiquées par les gens bien-pensant qui voient dans ces femmes des dépravées en mal de chair fraîche, cette seconde vie intime peut au contraire être considérée comme une nouvelle façon d’envisager les rapports homme-femme où chacun pourrait trouver source de satisfaction et d’épanouissement.

Démocratisé par de célèbres cinquantenaires telles que Madonna, qui s’affichent sans vergogne avec de beaux garçons ayant l’âge de leurs enfants, le phénomène cougar n’est sans doute pas un fait aussi choquant et critiquable que certains veulent essayer de nous faire croire.

 

En effet, dans cet échange très particulier entre femmes mûres et jeunes hommes, chacun peut y trouver son compte. La femme cougar, dans cette volonté de plaire, de séduire et vivre sa sexualité de manière tout à fait décomplexée trouve dans ce type de rapport de nombreux motifs de valorisation, d’auto-estime. Quoi de plus gratifiant que de se rendre compte de sa capacité à pouvoir charmer malgré l’âge et le temps qui passe ? De même, pour un jeune homme manquant de confiance en lui et cherchant à tester son pouvoir séducteur, quelle meilleure façon que de côtoyer une femme dont l’expérience et la bienveillance pourront lui permettre d’évoluer ? 

 

Loin d’être un phénomène glauque et totalement subversif, les cougars sont tout simplement une façon annexe de concevoir les rapports homme-femme, sans s’encombrer de barrières morales ou sociétales. Ce mouvement n’occulte en rien le respect mutuel et la considération qui doivent caractériser les relations humaines en toutes circonstances. Ces deux conditions réunies, chacune des deux parties pourra y trouver son bonheur, quelque soit le niveau dans lequel nous nous situons.  

Contraception, juste une affaire de femmes ?

 Un petit post pour répondre à l’excellent article de Sarif Guylaine , que vous pouvez retrouver là : http://www.come4news.com/confidentialite-pour-la-pilule-delivree-aux-mineures-720010. Si vous ne l’avez pas encore lu, précipitez-vous dessus.

 

En menant des politiques comme ça on déresponsabilise…les jeunes garçons principalement, en leur faisant croire que la contraception est une affaire purement féminine ! Il serait grand temps de voir la contraception autrement qu’une histoire de jeune fille et d’inculquer à nos jeunes filles et nos jeunes garçons les bases d’une sexualité responsable. Et effectivement, nos gouvernants ont trop tendance à croire qu’ils peuvent imposer au peuple leurs visions sur tout. 

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L’art de la sexualité sacrée

La sexualité étant un sujet prédominant pour la vie et dans la vie, je m’en vais de ce pas étudier cela d’un peu plus près… Alors il y a ceux qui sexe juste pour le plaisir des organes génitaux, et ceux qui sexe pour savourer l’art de la relation sexuelle.

J’ai posé la question à quelques personnes. J’ai demandé :

« Où commence et où s’arrête le sexe pour le cul et où commence et où s’arrête le sexe dans son art ?

 Et là j’ai eu en réponse : « Vers l’infinie et au-delàààààààà (Buzz l’éclair) ». Avec le sourire, je demande si c’est une réponse pour la partie deux de mon article (l’art du sexe)… Et cet homme de me répondre « les deux mon capitaine ^^ ». Ah ! Ah ! Ah ! Effectivement, sa réponse peut entrer dans les deux versants de l’histoire du sexe. Cet homme m’a ensuite expliqué que ma question était difficilement posée. En effet « on peut n’avoir que des aventures et en faire un art, ou bien ne faire l’amour qu’à sa femme comme un pied toute sa vie… ». Cette réponse est parfaite. A elle toute seule, elle pourrait conclure cet article. Mais rien que pour vous faire plaisir (cérébralement), je vais développer en m’aidant de témoignages que j’ai récoltés sur le chemin.

Voici le point de vue d’Ismael : « Je n’ai pas beaucoup le temps-là, je suis occupée à niquer »  (Exemple de l’impulsion bestiale). Il remarque tout autour de lui que la routine s’installe vite dès qu’il y a des enfants et que le sexe devient un moyen de réconciliation. «C’est un moyen d’évacuer le stress, une vie sans sexe ne vaut rien. L’homme produit des spermatozoïdes 24h/24, je te laisse imaginer la pression. C’est aussi un moyen de séduction dans le sens où tu crois que c’est juste pour une nuit et le miracle se produit : une parfaite harmonie avec ta partenaire. Mais comme toutes les relations, la routine prend toujours le dessus. » (Réponse contradictoire : le monsieur a besoin de « se vider » mais rêve de rencontrer l’âme sœur)

Je lui réponds : « Tu penses que la routine prend toujours le dessus ? N’est-ce pas parce qu’il y a confusion entre habitude et rituel ? »

Ismael : « Habitude ou rituel sont assez proches tu ne trouves pas ? Une fois que tu as tout essayé, faut être très imaginatif pour ne pas tomber dans la routine, car après ça devient une habitude ou un rituel, comme tu veux. »

Moi : Tu peux avoir l’habitude de prendre une douche tous les jours et de temps en temps savourer le rituel d’un bain… Tout dépend pourquoi tu fais le sexe, si c’est pour déstresser ou si c’est pour communier l’amour à deux corps.

Ismael : « Tu compares une douche et un bain au sexe ? Tu veux dire être à voile et à vapeur ? Trop peu pour moi. »

Moi : Non, je comparais l’acte produit dans la répétition du « devoir  pour » et l’acte produit dans la commémoration des émotions. Dans le ressenti total, celui qui est vibratoire en entier et pas seulement dans les organes génitaux. C’est la différence entre l’orgasme et le nirvana. C’est comme ça perso que je compare le sexe juste pour le cul  et l’art de la sexualité sacrée.

Patricia : « Je dirais que c’est un jeu avec un prix de présence…  Avec les années, quand tu es avec la même personne, tu as moins le goût…  Mais vive le Q ! Qu’on est beau tout nu !»

Cath : « Entre le sexe et le cul, il n’y a pas loin… Mais pour être sérieuse (pour une fois), je n’ai aucune idée précise sur la question, c’est tellement  fonction des partenaires en présence, tellement fonction de phéromones, tellement fonction de « feeling » que ça m’est terriblement difficile d’avoir un avis tranché. »

Patricia : « Il y a une différence entre se dépêcher de faire le Q et prendre le temps de le faire. »

Moi : « Et tout ce qui mérite d’être fait mérite d’être bien fait ! »

Ophélie : « Pour moi, il y a le sexe physique (le cul pour le cul, avec ou sans orgasmes, et sans autre préoccupation que le plaisir de soi et du partenaire, et même avec une personne qu’on aime), et le sexe cérébral (sexe toujours, plaisir de soi et plaisir du partenaire… avec en plus cette sensation de communier avec la personne. Plus qu’avec le plaisir charnel car il y a les sentiments, les émotions et la sensation de n’être plus qu’un). Du coup, là où commence le cul ce serait disons juste l’instinct et le besoin quasi animal, le sexe pour le sexe (même en couple d’ailleurs et malgré les sentiments, cette fameuse pulsion). Et là on débute « le sexe dans l’art », on sait lorsque l’on recherche plus que ce petit plaisir, pour en avoir en plus la satisfaction de posséder l’autre et d’être possédé. De connaitre chaque partie du corps de l’autre et de découvrir toujours un moyen autre de lui donner plus. Bref ce besoin non plus par la pulsion mais de manière artistique tout comme l’artiste d’aller toujours plus loin dans son « œuvre ».

Cathy : « Tiens, un jour j’ai entendu dire que les femmes font l’amour avec ceux qu’elles aiment et que les hommes aiment celles avec qui ils font l’amour… A méditer »

Moi : « Dans la sexualité, ou l’on cherche à "avoir" du sexe juste pour le plaisir du cul, ou bien on EST dans la symbiose de l’alchimie cellulaire au moment présent. »

Chiara : « Le sexe est quelque chose qui est absolument nécessaire pour compléter le rapport homme-femme, mais ça doit être un art, une magie… on doit prendre tout le temps nécessaire pour le faire et le faire bien, on doit savoir donner du plaisir à l’autre et on doit même savoir le recevoir aussi, chose pas facile pour tout le monde… Et pour faire tout ça, l’aventure difficilement aide… au moins pour ce qui me concerne, car tu dois vraiment désirer le corps de la personne à qui tu fais l’amour… La complexité de l’acte sexuel ne peut pas se résoudre dans une aventure qui ne compte rien… quand les sentiments s’ajoutent au sexe, c’est là qu’on a le rêve et on touche le VRAI plaisir… Donc, pour moi : fantaisie, douceur mélangée à la force, temps à disposition et sentiments, font le mix parfait pour une relation sexuelle fantastique 😉

Moi : On doit savoir « donner et recevoir" je ne sais pas… Je ne vois pas le sexe ou l’amour dans le sexe comme un devoir. Je pense que l’un ou l’autre doivent être dans le ressenti et pas forcément dans l’action. Je pense que c’est le seul moment où on devrait ne pas avoir besoin de réfléchir… Mais alors il faut vraiment être avec un partenaire avec qui l’on puisse s’assembler comme un puzzle à deux pièces, et sur les trois niveaux (cérébral, cœur et corps). Ok, on peut tirer un coup juste pour le plaisir charnel sans que cela soit pervers. Et on peut faire l’amour juste pour la sensualité du contact cellulaire.

Cath : « Quelquefois tu as l’impression que ça va être bien et puis le lendemain matin, tu n’as qu’une envie c’est que l’autre disparaisse et de te remettre à ton ménage… Ça ce n’est pas rigolo quand ça arrive ! Et des fois c’est l’inverse, de sacrées surprises ! Des gens qui ne t’attirent pas du tout sur le plan physique et avec qui tu ne fais que bien t’entendre sur le plan humain et là : magie ! Pourtant il est petit, il n’est pas joli, il est un peu gros… Va savoir, ça marche ! »

Chiara : « Il y en a (homme comme femme) qui prennent leurs plaisirs dans la domination ou la soumission malheureusement. Le sexe juste pour le cul n’a rien à voir avec la perversion. Qui aime les aventures par contre ne peut pas être comparé à un pervers, absolument pas. Il s’amuse, il aime le sexe et c’est tout… Si dans le sexe on insère l’obligation, le plaisir est le premier à disparaitre. »

Et là nous avons Ismael qui débarque avec sa réponse fatale :« J’ai un secret pour vous les filles. Vous avez un point faible, qui vous lave le cerveau une fois qu’on y arrive. Dès qu’on vous fait grimper au plafond, vous êtes entièrement à notre merci. »

« Isma, c’est nous qu’on a le pouvoir sur vous… » S’insurgea Chiara !

« Tant que vous n’atteignez pas l’orgasme ultime Chiara. Une fois qu’on y arrive, on fait ce qu’on veut. » Rétorqua aussitôt Ismael.

C’était sans compter l’intervention de Cath : « Sans compter qu’on n’est jamais seul avec sa main droite… Donc pourquoi attendre des autres qu’ils vous donnent ce que vous pouvez obtenir tout seul ? »

Ismael : « Ça ne sera jamais la même chose ! Tu peux t’acheter le GOD ultime, il n’y a pas mieux que le serpent cyclope cracheur de foudre hé hé hé hé ! »

Po : « Je l’aurais pas dit comme Isma mais c’est à peu près ça que je pense, rien ne vaudra les caresses spontanées d’un partenaire attentionné. »

Ismael : « J’ai perdu mon romantisme au fond de l’eau Po. Comme tu le dis, il faut être deux pour danser le tango. Tout ce qui marche à pile n’est qu’accessoire. »

Po expliqua qu’ils ne faisaient pas les choses que par plaisir: « Nous, c’est surtout pour vous qu’on fait l’effort.»

Ismael : « Po vous dit la vérité. Ce qui nous importe, c’est votre orgasme.  Primo, on retient la sauce, jusqu’à ce que vous soyez prête. »

Moi : Effort ? Comment ça vous faites des efforts ? C’est là où est le problème des hommes. Les mecs font une fixation sur l’orgasme et pendant ce temps-là ne savoure pas !

Po : « L’orgasme masculin est mécanique, celui de la femme est cérébral.  Si l’homme décide d’en faire un art, crois-moi, c’est bien pour faire plaisir à sa partenaire, je résume ce que dis Ismael en plus poétique. Vu que vous savez le faire seule, je dis juste que c’est plus facile avec un amant attentionné, et que s’il tient 20 minutes, rappelez-vous qu’il aurait aussi bien pu finir en 20 secondes. Si ce n’est pas un sacrifice ça… »

Chiara : « La nature nous a fait différent. Oui, si on parle en général, la femme pour éprouver un orgasme doit normalement sentir quelque chose vers son partenaire, avoir des sentiments, pas forcément de l’amour, mais on s’est compris… Les hommes ne sont pas cérébraux, ils arrivent à l’orgasme beaucoup plus facilement. Et si on parle que de sexe, ils n’ont pas besoin de ressentir des sentiments vers la partenaire… Mais si on parle de sexe comme acte… Eh bien, l’homme aussi doit forcément ressentir des sentiments. Il y a des choses qu’on ne fait pas avec tout le monde… »

 

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