L’homme blanc, ce prédateur implacable

Hier soir j'ai discuté avec un ami chasseur. Un passionné de la nature, qui, au-delà du plaisir de chasser, respecte avant tout "la nature et ceux qui vivent dedans", selon ses propres termes. Et lorsque l'on prend quelques instant pour discuter avec lui, on se rend compte que ces chasseurs là ont du cœur, comme dirait l'ami Clint! "…nous tuons le gibier qui représentent une menace pour les cultures. Aucun chasseur ne tue pour tuer!". Périodes de chasse contrôlées, quotas et espèces à respecter sous peine d'amendes, l'état à lui-même à réglementé ce qui reste une tradition dans beaucoup de pays du globe. Mon ami a raison. Dans notre monde, ou l'habitat des hommes ne cessent de s'étendre sur celui des animaux sauvages, il est indispensable 'instaurer un genre d'"éco-système" pour veiller à la tranquillité de nos concitoyens.

"J'aime la nature…alors je la respecte…".

Je reviendrais plus tard sur cette phrase pleine d'hypocrisie. Voilà donc que le chasseur est l'éco-système instaure par l'homme pour lui permettre d'étendre son habitat sur celui de l'animal et de la nature. De même qu'en Islande, il est normal que des chasseurs ablatent deux ours polaires arrivés sur les côtes sur un bout de glace dérivant de la banquise. Espèce protégée? Pas quand il s'agit d'une question de vie ou de mort. Les autorités auront pourtant bien essayé de les capturer, selon leurs dires. ici L'homme principal acteur de la planète ? Quand l'homme veut montrer des animaux sauvages à ses enfants, ils les emmènent au Cirqueanimal sauvage?! ou au Zoo. Les animaux sont bien traité qu'ils nous disent. Mais quel traitement pire que de priver un animal de son espace vital naturel? Et pourquoi ne pas mettre des Africains ou des Chinois en cage pour éviter aux gens de faire un safari à Hongkong? …je retire.

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