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S’il est une espèce de reptile que je ne repousse pas, c’est la tortue car elle se cache sous sa carapace! C’est une espèce protégée, mais en Pologne, sous une boue argileuse, et non loin d’une décharge, un fossile de tortue a été découvert.
Je me demande comment ce fossile a bien pu se retrouver dans cette décharge? Enfin, bref…revenons à l’ancêtre de Franklin la Tortue! Ce dernier ( le fossile, pas Franklin ) datait de deux cent quinze millions d’années. C’est le fossile le plus ancien et le plus complet d’après les scientifiques. De nombreuses questions se sont posées au sujet de ce reptile et grâce à ce fossile, les paléontologues espèrent pouvoir trouver une réponse.
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« C’était il y a 70 ans. Il y a 70 ans, alors jeune adolescente pleine de vie, j’étais réveillée aux premières lueurs du jours par un tambourinement incessant sur la porte de mon domicile. Immigrée Polonaise, j’étais en France depuis 5 ans à peine. La France, ce pays des libertés, était devenu mon pays, ma terre, mon refuge. Et pourtant.. C’était il y a 70 ans, le 16 Juillet 1942.. »
Cela fait donc aujourd’hui 70 ans, triste anniversaire d’une date à jamais marquée dans l’Histoire collective de France, triste anniversaire d’une date honteuse de l’Histoire de notre pays.
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Madrid va aider ses régions pour la santé
L’Espagne compte 17 régions autonomes. Ces régions représentent plus de la moitié des dépenses publiques, mais gèrent indépendamment les budgets comme celui de l’éducation et de le santé. Sur ce dernier, les régions sont particulièrement endettées. Dans la région de Valence, les pharmacies étaient fermées en cette fin de semaine pour protester contre le non-remboursement de médicaments délivrés depuis février. Les laboratoires pharmaceutiques, comme de nombreux fournisseurs, parlent également de problèmes d’impayés. Le gouvernement a décidé de réagir. Soraya Saenz de Santamaria, sa vice-présidente, a affirmé que l’Etat allait payer quelques 17 milliards d’euros aux fournisseurs des communautés autonomes du pays pour tenter de soulager le secteur.
L’Allemagne se rapproche d’une taxe Tobin
D’abord très peu enclin à voter unilatéralement une taxe sur les transactions financières, l’Allemagne semble vouloir faire pression sur les Etats qui voudraient la suivre dans cette voie, en particulier la France. Surtout, ce projet de loi est une condition sine qua non imposée par le SPD (socialistes) au parti de la chancelière Angela Merkel (CDU) au vote du traité européen de discipline budgétaire. Sans ce soutien, ce traité ne pourra être ratifié. Le FDP, l’allié du CDU, a aussi modifié sa position sur cette taxe. Jusqu’ici, le parti se repliait derrière le refus clair et net du Royaume-Uni, dont la place financière La City, est la première européenne. Concernant les détails, ils ne sont pas réellement connus, mais il s’agirait d’une taxe de 0,1% sur les actions et obligations et de 0,01% sur les produits dérivés.
L’Euro 2012 donne des ailes à la Pologne
Une compétition sportive, c’est avant tout du spectacle sur le terrain. Mais il y a aussi de grosses répercussions au niveau économique. La Grèce qui avait organisé les Jeux Olympiques en 2004, et le Portugal l’Euro de football la même année, peuvent en témoigner. Pour eux, l’effet avait été totalement l’opposé que celui espéré. Cela devrait être différent pour la Pologne. Grâce au partenariat de l’Ukraine, co-organisatrice, la Pologne n’a eu que quatre stades à construire ou à rénover. Par conséquent, le pays s’est concentré sur des investissements consacrés aux infrastructures d’intérêt plus général, comme la construction de routes. En cinq ans, le nombre de kilomètres d’autoroutes a ainsi doublé, passant de 600km à 1200 km. En comparaison, l’Allemagne compte plus de 12 000 km de voies rapides, et son territoire est comparable à celui de son voisin. Au total, la Pologne, grâce à sa croissance et à l’aide de fonds de l’Union Européenne, a pu injecter 20 milliards d’euros dans les préparatifs du tournoi, dont 60% sont allés à la construction de ces nouvelles routes.20 milliards d’euros, c’est 5% du Produit National Brut du pays. 30 000 emplois ont aussi été créés permettant à la Pologne d’être le seul pays européen à continuer de croître ces quatre dernières années.
Je suis né poussière et aujourd’hui le suis redevenu.
J’avais tout pour réussir, une femme, des enfants, un travail que j’aimais, des revenus confortables, pour autant, comme mes proches et amis je n’ai pu échapper à cette triste et inéluctable fatalité.
A 24 ans, son plus grand succès a été de mener le championnat du monde après sa victoire au Grand Prix du Canada à Montréal. Il est devenu alors le premier Polonais à remporter une course mais aussi a mener le championnat du monde des pilotes dans toute l'histoire de la F1.
Les lecteurs d'un journal sportif Polonais l'on donc choisi comme leur sportif préféré devançant deux champions olympiques a savoir Leszek Blanik en gymnastique et Tomasz Majewski en saut en longueur.
C'est samedi que la Pologne a officiellement mis fin à sa mission en Irak, au côté notamment des armées américaines et britanniques. D'ailleurs une cérémonie militaire a eu lieu sur la base de Diwaniyah, capitale de la province du même nom, à l'occasion de ce retrait de troupes.
Ce sont ainsi quelques 900 soldats qui vont quitter le bourbier dans lequel les Etats-Unis ont conduit plusieurs dizaines de milliers de soldats. Le contrôle de la région qu'occupait jusque là la force polonaise a été transmis au mois de juillet aux forces irakiennes.
Après ce départ, la coalition menée par les Etats-Unis comptera toujours 150 000 soldats, dont 144 000 américains et 4 000 britanniques. Pour ainsi dire, la coalition ne se limite maintenant plus qu'à deux contingents, à 2 000 soldats près.
La Pologne en faisait partie depuis le début, en mars 2003. Depuis maintenant 5 an et demi elle aura perdu 21 hommes et 7 autres auront été blessés. Selon le commandement américain, ce sont quelques 15 000 soldats polonais qui auront participé aux "combats" en Irak depuis le début des opérations.
Les américains voient donc leur coalition perdre ses membres petit à petit. Si cela continue de cette manière, ils vont finir par se retrouver seuls en Irak. De plus, le problème qui se pose à eux est qu'en ce qui les concernent, ils ne peuvent pas partir. Et ce pour deux raisons.
– La première étant qu'ils sont responsables de l'état dans lequel se trouve le pays, puisque ce sont eux qui l'ont attaqué en mars 2003.
– La seconde étant que si les américains partaient, alors là l'Irak pourrait devenir une véritable poudrière. Ce qu'elle n'était pas avant leur intervention armée.
Si cela continue, ils seront les seuls à se dépatouiller dans ce pays, leurs alliés de la coalition se rendant compte de l'inutilité de cette guerre.
La totalité des militaires polonais devrait quitter le territoire irakien d'ici à la fin du mois d'octobre.
Notre phrase du jour est extraite de l’éditorial de Denis Sieffert, rédacteur en chef de Politis, titré La main de Washington : "On aurait aimé entendre l’Union européenne et les partisans des traités de Maastricht et de Lisbonne à propos de l’installation du bouclier antimissile américain en Pologne, ratifiée par Condoleezza Rice le 20 août. L’accord américano-polonais est à la fois une mise en servage de l’Europe par les États-Unis et un acte hostile à l’encontre de la Russie. La mise en place dans un état de l’Union européenne et aux portes de la Russie d’un élément du National Missile Defence s’inscrit dans la même stratégie que l’opération géorgienne en Ossétie. Une stratégie proprement impérialiste dont l’enjeu à peine voilé est évidemment la maîtrise de la route du pétrole et du gaz."
Ajoutons, pour revenir sur l’affaire ossète, que deux sources mentionnent la complicité de l’armée des États-Unis dans l’agression de l’Ossétie par la Géorgie, qui a causé la mort de plus de 1500 personnes. Il s’agit de Jacques Sapir, Directeur d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales et du Canard enchaîné. Dans une tribune publiée par Rue89, Sapir écrit en effet : "L’agression a eu lieu en présence d’officiers américains au sein des troupes géorgiennes dans le cadre du « Georgia Train and Equip Programme » (GTEP). Il est ainsi inconcevable que Washington n’ait pas été au courant du projet du président géorgien. Force est de constater que rien ne fut fait pour l’arrêter. Il ne fut pas non plus donné ordre à ces officiers américains de se retirer des unités qu’ils entraînaient. Par son inaction, pour ne pas dire plus, le gouvernement américain s’est fait le complice d’actes de guerre contre les forces ossètes et russes et de crimes de guerre en ce qui concerne le bombardement de Tskhinvali". Quant au Canard, son édition du 20 août est également catégorique : "Le 7 août, avant même de lancer son offensive en Ossétie du Sud, le président Saakachvili savait qu’il allait disposer d’une aide américaine sur le terrain. Notamment lors du bombardement de Tskhinvali, la capitale de cette province autonome.
Des conseillers US en poste dans l’armée géorgienne ont réglé les tirs des lance-roquettes multiples Grad, ces modernes « orgues de Staline » dont on a pu apercevoir les salves en traînées lumineuses, la nuit, sur les écrans de télévision. A Paris, les analystes de la Direction du renseignement militaire sont formels : des officiers américains ont « mis la main à la pâte ». Et à l’état-major des armées comme à l’Elysée ou au quai d’Orsay, si on en parle toujours à mots couverts, le doute n’est pas permis. Washington savait ce que mijotait le chef géorgien et n’a rien fait pour l’en dissuader."
L'installation des missiles américains en Pologne, ajoutée à la complicité des États-Unis dans l'agression de l'Ossétie par la Géorgie et à la teneur des réactions européennes, pro-géorgiennes, donne à l'Europe atlantiste le visage d'un ennemi de la Russie.
Quand la réalité dépasse la fiction, ou quand un roman policier décrit en détail un vrai meurtre. C'est ce qui vient de se produire en Pologne où Krystian Bala, un écrivain de 36 ans, a été condamné à 25 ans de prison pour le meurtre de l'amant de son ex-femme, après avoir décrit la scène du crime dans l'un de ses romans.
En 2000, un homme d'affaires avait été enlevé, torturé, mutilé, puis noyé dans l'Oder, fleuve qui traverse la Pologne pour se jeter dans la Mer baltique. Si l'ex-époux a bien été inquiété à l'époque, aucune charge n'avait pu être retenue contre lui.
Mais lorsque le romancier publia son roman Amok, qui raconte l'histoire d'un homme torturé avant d'être mis à mort par son ravisseur, les enquêteurs ont non seulement relevé trop de similitudes avec le crime réel, mais y ont aussi remarqué des détails qui n'étaient connus que d'eux-mêmes et qui n'avaient pas été révélés à la presse. Ses détails ne pouvaient donc être connus que des enquêteurs… ou du meurtrier !
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