Le Flash sur Mars, la Presse et les OVNI

   

 

Une lumière mystérieuse a été capturée sur Mars par le rover Curiosity. Une des images, prise le 3 avril 2014, montre une sorte de faisceau à l’arrière-plan. Depuis que ce flash de lumière semblant provenir du sol a été photographié par Curiosity, et suite à la révélation d’un bloggeur, l’ensemble de la presse mondiale s’est emparée de ce sujet.

 
Tous les médias ont relayé l’affaire "du faisceau lumineux sur Mars". Les sites Web d’information prennent ce prétexte pour écrire sur ce sujet et disent en chœur que cela fait le Buzz parmi les fans d’OVNI, ce qui n’est d’ailleurs pas certain, d’abord parce que si les journalistes du monde entier avaient les yeux rivés sur les sites ufologiques, ça se saurait et on parlerait beaucoup plus souvent de ce qui est posté sur les fameux sites.
 
La vérité est que les personnes qui n’étaient auparavant pas informées sur cet événement et qui, pour la plupart d’entre elles, ne s’intéressaient pas à ce sujet, savent maintenant qui ‘il s’est passé sur Mars quelque chose qui n’est pas la chose qu’ils ignoraient…avant !
 
De certains prestigieux magazines américains aux quotidiens régionaux en France, nul n’y échappe, et comme la NASA n’a bien entendu pas confirmé qu’il s’agissait de martiens, l’occasion est donnée d’en remettre une seconde couche. On peut lire que les officiels indiquent que de tels faisceaux de lumière sont courants (là je fais un jeu de mots), sans pour autant indiquer sur quelles images on peut les voir habituellement !

Ce qui est vrai est que le flash de lumière a été photographié par l’une des deux caméras jumelles NavCam, qui prennent des images en noir et blanc, exactement le 3 avril 2014 à 10:00:03. Et comme il n’y a pas de flash lumineux sur la photo prise par l’autre NavCam au même moment, le sujet promet d’être très controversé. D’autant que sur le Houston Chronicle, on apprend "que moins d’une seconde sépare les deux images". Ce qui, compte tenu de la vitesse d’une prise de vue, ne risque pas d’apaiser le débat.

L’explication donnée pour la lumière photographiée est le reflet du soleil sur la surface d’une roche ou un rayon cosmique frappant le détecteur de la caméra. Sans être spécialiste, on peut, en zoomant l’image et devant l’absence de symétrie, déduire que la lumière n’est vraisemblablement pas un faisceau. Plutôt un reflet au sol, ou celui d’un objet. A partir de là, on entre dans l’épineux sujet des Objets Volants Non Identifiés et des deux clans opposés.
 
Le problème est qu’une autre image, prise le même jour, montre une forme qui pourrait bien être celle d’un OVNI.
 
Pas si loin de l’image de la lumière du faisceau, prise exactement par Curisotity à 10:01:05. Quelque chose de blanc apparaît dans le ciel de la planète rouge et passe devant les collines martiennes. Par hypothèse (je prends des précautions) il est donc possible d’imaginer (c’est juste une idée) que le "faisceau" de la première image pourrait être cet OVNI décollant de Mars la minute précédente (je n’ai rien dit).
 
Là encore, on ne voit pas d’OVNI sur l’image correspondante de l’autre camera NavCam prise "à moins d’une seconde de l’autre". Les faits sont qu’il y a deux photos avec chacune une étrangeté à l’arrière-plan, et que ces images peuvent être ajoutées aux nombreuses autres, notamment à celle d’un autre OVNI photographié fin janvier 2014.

Les astéroïdes menacent la Terre

Le ciel nous a toujours fait rêver ; les étoiles qui scintillent nous attirent comme les papillons vers la lumière.

Tout se qui peut se passer dans l’espace nous inquiète autant que cela nous attire ; pourquoi ? 

Sans doute parce que ce qui est inaccessible est toujours plus passionnant. 

 

Lorsque l’Homme est allé dans l’espace, des millions de gens se sont passionnés pour l’exploit.

Aujourd’hui nous vivons avec de nombreuses menaces au dessus de notre tête, nous n’en avons pas toujours conscience et pourtant elles sont bien réelles. 

 

Nos ancêtres avaient peur que le ciel ne leur tombe sur la tête à chaque fois qu’il y avait un orage ou que le ciel s’assombrissait dans l’attente d’une averse ; aujourd’hui nous vivons avec d’autres dangers bien réels ceux-là et pourtant peu de personne en sont consciente. 

 

Les plus grands dangers qui nous guettent sont les astéroïdes. Ces morceaux de roche solaire qui peuvent atteindre parfois plusieurs kilomètres de circonférence se promènent inlassablement dans l’espace. Ils croisent de temps en temps l’orbite terrestre et alors, le danger devient potentiellement important. 

Pourtant, chaque année, des milliers de ces objets nous frôlent. Quand je parle de frôler, je veux dire qu’ils passent à moins de 7.5 millions de kilomètres de la Terre. 

Ces géocroiseurs comme ils sont appelés sont parfaitement répertoriés même si leur nombre augmente à chaque explosion solaire. 

Les dégâts que peut faire un astéroïde venant exploser sur Terre peut être considérable même si l’objet est petit ; sa vitesse y est pour beaucoup. N’oublions pas que un astéroïde est fait de roches diverses, de métaux et de glace. Le dernier en date qui s’est écrasé non loin de la ville de Tcheliabink en Russie a fait plus de 400 blessés avec ses éclats dont certains très gravement.

Cet accident a eu lieu en février dernier. 

 

Les astéroïdes ressemblent étrangement à des étoiles filantes s’ils sont regardés à oeil nu ; une longue queue lumineuse indiquent qu’ils sont entrés dans l’atmosphère. 

 

Pourtant, si nous pensons qu’il y a plus de 1400 objets dangereux de ce type près à nous tomber dessus, il faudra encore de très très nombreuses années pour qu’un accident arrive. 

De plus, depuis quelques années, la NASA a mis au point un programme anti-astéroïdes pour prévenir les risques encourus. 

Nous n’avons donc aucun souci à nous faire. Nous pouvons continuer à observer et rêver des étoiles, étoiles filantes ou astéroïdes !

Le ciel en cette saison n’est-il pas magnifique ?

 

                                                 

Texte écrit sur une idée de Zelectron.

Fin du monde : la Nasa fait dans la science-fiction

La planète Terre ne va peut-être pas disparaître au soir du 21 décembre prochain, mais qui peut dire que toute vie terrestre ne sera pas éradiquée demain ? Après tout, dans la fournaise du centre de la Terre, qui sait, avec certitude, ce qui peut se produire d’un instant à l’autre ? Mais, selon les scénarios de la Nasa, la fin du monde n’est pas pour demain ou l’an prochain : elle vient de diffuser à l’avance une vidéo de simulation projective qu’elle envisageait de rendre publique le 22 décembre. Elle s’intitule The World Didn’t End Yesterday. C’est archi-faux puisque le monde tel que je le connaissais hier n’est plus : d’ailleurs, un autre commerçant a baissé son rideau dans ma rue…

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Kepler-22b : la soeur jumelle de la Terre

 Débusquée par un satellite de la NASA, elle ressemble comme deux gouttes d’eau à la Terre.

Il y a des océans d’eau liquide. Une autre planète bleue. Une atmosphère a priori respirable. Les imaginations les plus fertiles s’emballent déjà !

Kepler-22b a été baptisée du nom du télescope spatial l’ayant découverte. Ce même télescope doit son nom à l’astronome allemand Johannes Kepler, et scrute l’espace depuis 2009.

Kepler-22b est à ce jour considérée comme la première soeur jumelle de notre planète.

Sa température est estimée à 22°C, si l’on ose considérer qu’elle bénéficie d’un effet de serre, et que l’on y trouve réellement de l’eau.

Malheureusement, Kepler-22b est trop éloignée de nous. En effet, 600 années-lumière (soient 5676438 milliards de kilomètres) nous séparent d’elle, sans oublier qu’elle n’est pas directement observable. La NASA estime que trois à dix années s’avéreront nécessaires à son étude.

 

Grâce aux récentes travaux menés, et à l’ombre de Kepler-22b prouvant sa présence via le satellite, son cycle a pu être déterminé. Une année y dure 290 jours. Son diamètre est 2,4 fois supérieur à celui de la Terre.

Malgré tout, elle n’a jamais pu être vue à proprement parler.

"C’est une première étape à la découverte d’une vie extraterrestre", explique Vincent Coudé du Foresto, astronome à l’Observatoire de Paris.

Par la suite, il serait question de trouver le même type de planète à environ dix années-lumière. Nul ne pourrait encore s’y rendre mais, ainsi, les chercheurs seraient à même d’établir son spectre lumineux.

 

Depuis 1995, sept-cents astres ont été trouvés tournant autour d’une étoile comparable à notre soleil hors de notre Système solaire. Aujourd’hui, Kepler-22b est l’un des premiers à être potentiellement habitable. Par contre, il est peu probable qu’un Homme y pose un jour les pieds.

Deux autres exoplanètes (situées hors de notre Système solaire) seraient, elles aussi, potentiellement habitables. Il s’agit de Gliese 581d, et HD 85512 b, tournant respectivement à vingt et trente-six années-lumière de la Terre. La seconde pourrait abriter de l’eau sous forme liquide et, donc, de la vie.

On commence à être à l’étroit ici…

Une terrible nouvelle vient de tomber : l’administration américaine n’a pas reconduit les budgets alloués à l’exploration spatiale. Plus précisément, ce sont les projets d’exploration robotique de la planète Mars, en coopération avec l’Europe, qui sont le plus touchés.

Nous vivons, après tout, comme semble le dessiner notre géographie mondiale, dans un monde fini, aux richesses appelées à se tarir. Non seulement le pétrole ou le gaz, mais aussi, à cause de la surpopulation et de la pollution, l’eau, les forêts, les océans, les terres arables,  autant de choses qui devraient nous pousser à tourner nos regards ailleurs, à trouver de nouveaux champs d’exploration.
Si au moins nous faisions les efforts nécessaires pour préserver cette précieuse denrée qu’est notre écosystème ! Même pas, nous continuons à la détruire pour faire tourner une économie… qui détruit nos sociétés à son tour !

Vous vous dites : « ce type est fou !! On est en pleine crise économique et lui se désole de voir abandonner le rêve d’exploration de l’espace ». Et oui, les temps sont durs, nous en sommes à compter le moindre sou, à voir partir l’emploi en fumée, à imaginer de tellement dégraisser les divers « mammouths » qui grève nos budgets que, forcément, nous le paierons cher quand sera venu le temps de relancer la machine.

L’exploration spatiale, c’est une part énorme du rêve de l’humanité, de ce qui nous fait avancer. Si l’on continu sur cette lancée, à tout laisser tomber pour des impératifs budgétaires, il y a fort à craindre que l’esprit humain ne devienne tellement rabougri, désabusé et aigri qu’il  tue l’étincelle parcelle de ce qui l’a toujours fait avancer : le désir d’ailleurs. On a vu des sociétés s’effondraient pour moins que ça…

Vous imaginez-vous, Christophe Colomb bloqué sur un port et regardant la mer, en se disant que c’est fini, on abandonne, on n’a plus les moyens de construire des bateaux pour partir à la conquête d’un nouveau monde, de nouvelles terres.

Qu’on ne découvrira pas l’Amérique et ses fabuleuses richesses qui ont alimenté les économies européennes et permit l’entrée dans un nouvel âge nommé la Renaissance !!

 

Mars: La NASA confirme la présence d’eau

La NASA a affirmé jeudi 31 juillet qu'elle était désormais certaine que de l'eau existe sur la planète rouge. Ils sont en mesure de l'annoncer définitivement suite à de nouvelles expériences menées sur les morceaux de glace récoltés au mois de juin dernier par la sonde Phoenix Mars Lander.

Suite à cette confirmation, les chercheurs américains de l'agence spatiale ont déclaré que la mission de la sonde serait prolongée de 5 semaines, jusqu'au 30 septembre. Elle va maintenant esayer de prouver ou non la possibilité qu'une forme de vie se soit développé un jour, ou puisse apparaitre.

La mission, qui a déjà couté plus de 400 million de dollars va voir son coût augmenté de 2 millions de dollars supplémentaires, suite à sa prolongation.

La Terre frôlée par un astéroïde le 29 janvier prochain

 2007TU24, un énorme caillou se baladant dans l’espace, devrait frôler notre chère planète ce 29 janvier vers 9h33.

D’après les calculs de la NASA, la taille de l’astéroïde se situerait entre 150 et 600 mètres et il passerait à 550.000 kilomètres de la Terre, c’est-à-dire 1,4 fois la distance séparant la Terre de la Lune. Il ne possède cependant heureusement aucune chance de venir la frapper ou de l’affecter de quelque manière que ce soit. Voilà qui devrait faire le bonheur de tout les astronomes amateurs du monde qui pourront observer ce phénomène pour le moins inhabituel.

En effet, ce genre d’événement est relativement rare étant donné qu’un objet de cette taille ne passe si près de la Terre qu’environ tous les 5 ans et que la NASA ne prévoit la prochaine approche qu’en 2027. La NASA estime également qu’un de ces géocroiseurs (objets spatiaux dont la route coupe régulièrement l’orbite de la Terre et estimés au nombre de 7.000) de ce calibre ne peut avoir un impact direct sur la Terre que tous les 37.000 ans.

Rappelons que le dernier impact ayant eu lieu dans le système solaire s’était produit en 1994 et impliquait la planète Jupiter.

Sécurité aérienne : panique à bord !

États-Unis – selon l'agence de presse Associated Press (AP), la NASA refuserait de divulguer les résultats d'une enquête qui lui avait été commanditée pour évaluer les problèmes de sécurité aérienne.

L'enquête aurait été effectuée auprès de 24 000 pilotes et couvrirait la période allant de 2001 à 2005. L'enquête a été clôturée il y a un an, et depuis lors la NASA refuse d'en communiquer les résultats ; elle aurait même demandé aux personnes ayant traité ce dossier d'effacer toutes les données de leurs ordinateurs !

L'Associated Press aurait eu connaissance de cette enquête par une source bien informée qui désire conserver l'anonymat. L'agence de presse a donc contacté la NASA qui lui a confirmé l'existence de cette enquête ! À la question de savoir pourquoi il refusait d'en dévoiler les résultats, un haut responsable de la NASA aurait répondu que les résultats étaient de nature à provoquer la panique parmi les passagers aériens, ce qui nuirait considérablement à la santé commerciale des transporteurs aériens et pourrait provoquer la faillite de certaines compagnies aériennes… comme après les attentats du 11 septembre 2001.

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NASA : Les bactéries pullulent dans les salles « stériles »

On imaginait les salles "stériles" comme totalement exemptes de toute bactérie. Surprise à la NASA, inquiétude dans les hôpitaux…

Alors que la NASA souhaite détecter des formes de vie microbiennes sur d'autres planètes, il est indispensable qu'elle puisse pour cela éviter les "faux positifs". C'est à dire détecter des bactéries qu'elle aurait elle-même embarquée. Pour cela, les engins spatiaux sont montés dans des salles "stériles"…

Jusqu'ici, on pensait ces salles totalement propres. Afin de vérifier cette hypothèse, la NASA a enquété avec des méthodes jamais utilisées jusqu'à présent : l'analyse de l'ARN ribosomal.

Résultat : La vie microscopique foisonne là où elle devrait être totalement absente et cela pose de très gros problèmes ! Si les installations ultra-sophistiquées de la NASA sont "contaminées", alors qu'en est-il des blocs opératoires des hôpitaux ? On voit tout de suite les problèmes des maladies nosocomiales d'un autre oeil…

Les bactéries ont encore une fois montré leur incroyable talent à coloniser les milieux les plus hostiles…