Et à bon chat, bon rat. Enfin, mais ce n’est pas le seul – ni du genre, ni de tout autre –, un commentaire « élogieux » sous l’une de mes contributions : « Quel patchwork, cet article ! ». Entendez : foutraque. Bien vu. Je le prends tel un compliment. Alors que le pouvoir politique n’est que le reflet d’un pouvoir économique des plus patchworks et foutraques, le présumé – et de moins en moins soi-disant – « quatrième pouvoir » (la presse) gagnerait peut-être à mieux rendre compte du chaos et de la complexité…
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