Frites McDonald’s : que contiennent-elles en réalité ?

D’aucun dirons « tiens le revoilà dans la peau du détracteur ! », je ne le nierai pas, je me suis, en effet, fait comme spécialité le « lancé de pavé dans la mare ». Aujourd’hui, la mare visée sera celle de Mac’Donald, bienfaiteur des papilles selon les uns et assassin pour la santé des ados selon les autres.

Pourquoi rédiger un énième article ? :

Je m’inspire aujourd’hui pour rédiger cet article, de résultats d’analyses sérieuses, divulgués ça et là dans des écrits. Bien que rédigés régulièrement pour tirer la sonnette d’alarme, ils finissent généralement dans les oubliettes des forteresses américaines de la restauration rapide.
Ces dernières étant plus enclines à faire du bénéfice financier, qu’à préserver la santé des personnes qu’ils reçoivent dans leurs établissements.

Comment résister à la tentation ?

Bien sûr, il m’est parfois difficile de ne pas craquer quand une fringale me tenaille, et que je ne n’ai que quelques malheureux euros en poche. Surtout si d’attirantes effluves de frites émanant de la gueule d’un Fast-food, viennent chatouiller mes narines.

Que retrouve-t-on vraiment dans la composition des frites ?

Savez-vous réellement de quoi sont composées ces frites formatées ? D’une couleur égale quelles que soient les saisons, et rangées telles des soldats dans de chatoyants emballages en carton rouge vif ?

Pour vous mettre en appétit, détaillons la nature des ingrédients que contiennent les frites de vos restaurants favoris.
Sachez qu’en plus de la pomme de terre sensée être naturelle, vous avalez des additifs oscillant entre conservateurs, substances chimiques, sucres ajoutés, silicone, et… Pétrole ! De quoi carburer, si vous me passez ce mauvais jeu de mots !

Un slogan pour enterrer les préjugés !

Le slogan de Mac’Donald se veut accrocheur !
« Un menu, pour combler une petite faim… En petite, moyenne, ou grande portion, goûtez les frites croustillantes et savoureuses ! »
De quoi balayer d’un revers d’un seul, tout a priori et toute intention d’en savoir plus sur les ingrédients contenus dans les frites.

Pourtant, un peu plus de clarté serait certainement bénéfique à notre santé !
Nombre de nutritionnistes, diététiciens, et journalistes santé, n’hésitent plus à dénoncer les composants toxiques entrant dans leur composition.


Un présentateur mettait les consommateurs en garde !

Déjà en 2015, un présentateur réputé d’une émission américaine scientifique Grant IMBARA, après s’être rendu dans une usine de traitement du géant Mac’Donald dans l’Idaho, avait dévoilé l’inquiétant contenu des frites (dorées et croustillantes ne l’oubliez pas !).
Il avait établi une liste effarante de 19 ingrédients dont certains potentiellement dangereux.
Ce compte rendu indiscutable, avait interpellé la Direction du Daily Mail, qui décida aussitôt de rédiger un article, mettant l’accent sur deux produits hautement toxiques.

La nature des produits toxiques mis en évidence :

  • Le diméthylpolysiloxane : un type de silicone entrant dans la fabrication des pâtes à modeler, qui engendrerait de faibles interactions avec le système hormonal et le système immunitaire. Ce produit serait utilisé sans se poser plus de questions par le géant, pour éviter à l’huile de friture qu’elle ne mousse, et donc les projections et brûlures des équipiers.

L’Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse (ARTAC) l’a tout de même classé possiblement cancérigène.

  • Le tert-butylhydroquinone (BHQT ou TBHQ), est quant à lui un sympathique produit chimique à base de pétrole !
    La Direction de la chaîne se serait dédouanée en précisant, je cite que « l’utilisation de ces additif, est autorisée par la Commission européenne ». Pas vraiment rassurant, vous en conviendrez…

L’enseigne du géant se veut rassurante :

Face aux questionnements des enquêteurs médicaux, la célèbre chaîne de restauration rapide, s’est en effet voulue rassurante….
Précisant que les frites françaises répondaient à des protocoles alimentaires différents en matière de santé, que ceux des États-Unis.
L’enseigne de fast-food affirme, je cite : « qu’elle n’ajoute pas d’agents de saveur, ni des arômes artificiels, ni des additifs d’origine animale, à la préparation de ses frites. »
Les frites françaises seraient donc plus naturelles.

Ne doit-on pour autant rien craindre des frites françaises ?

Si les pommes de terre sont d’origine française, et de variétés réputées pour l’élaboration de longues frites croustillantes (Santana par exemple), c’est l’huile de cuisson qui selon les spécialistes poserait problème.

Comme le précisait un représentant McDonald’s lors d’une interview du journal « 20 minutes », l’huile utilisée pour la cuisson serait un mélange d’huile de colza et de tournesol. Ces huiles sont intéressantes pour leurs propriétés sur notre santé, c’est indéniable.
Mais il serait probable que l’huile de colza riche en Omégas 3 soit hydrogénée, condition indispensable pour résister aux températures très élevées des bains de cuisson de l’enseigne.

Si l’inquiétude des spécialistes s’avérait exacte, l’hydrogénation de l’huile de colza rendrait cette dernière très dangereuse pour la santé des consommateurs.
En effet, saturée de « gras trans », elle augmenterait de manière notable les risques de troubles cardiovasculaires.

Explications floues dans les quantités utilisées :

Autre souci soulevant polémique, l’additif E450, qui serait utilisé en faibles quantités pour éviter que les frites une fois coupées ne brunissent au contact de l’air ambiant.

Hors nulle précision n’est donnée sur cette « faible quantité », et là encore, il y aurait matière à s’inquiéter.
On sait que l’additif E450 demeure un produit très controversé, qui à doses importantes favoriserait l’apparition de troubles cardiovasculaires, de maladies rénales, de divers cancers, et selon diverses études augmenterait les risques de mortalité.

Derniers composants inutiles :

Pour faire en sorte que les frites Mac’Do conservent une couleur homogène tout au long de l’année, la chaîne leur ajoute du Dextrose.
Le Dextrose est du « Sirop de Glucose », qui là encore nuit à la santé.

Ajoutons pour terminer 0.47 gr de sel pour 100 gr de frites au menu, et le consommateur se retrouve alors avec les 6 % de l’apport journalier en sel pour un adulte, que recommande l’OMS.

Enfin, il est permis de se demander pourquoi on retrouve dans la recette, un ingrédient « arôme de bœuf ».
Il ne pose certes pas de réels problèmes en matière de santé, mais n’a pas vraiment de raison de s’y retrouver.

Sources : journal 20 minutes, sites web divers

Vous avez bouffé du lion ou quoi !!!


Au pays de la malbouffe, le cuisinier inventif n’a pas fini d’étonner sa clientèle…

Ainsi une chaîne de fast-food, les restaurants Taco Fusion, viennent de rajouter à leur menu, un hamburger certes original, mais qui fait se dresser les cheveux sur les têtes des amis et défenseurs des animaux.

La viande utilisée dans les dits hamburgers ? Eh bien, il s’agit de lion !!!

Les amateurs de hamburgers végétariens (si si ça existe !), considèrent déjà scandaleuse toute consommation de viande, que ce soit du poulet, ou du bœuf, alors du lion, pensez-vous !!!

 

Le vrai problème soulevé, est que le Roi des animaux, ne répond pas aux mêmes critères d’élevage que le bœuf et même si certaines fermes en ont fait leur spécialité, la demande risque très rapidement de devenir plus importante que la production.

 

Dors et déjà, on imagine des restaurateurs peu scrupuleux, se tourner vers des filières moins classiques et favoriser ainsi le braconnage du noble félin.

Pour l’instant (enfin espérons le) les dirigeants des restaurants Taco Fusion, seraient dans une absolue légalité, du point de vue de leurs achats de viande de lion, viande dont la vente, rappelons-le est autorisée aux Etats-Unis.

 

Comme l’explique dans The Guardian, les responsables de la Food and Drug Administration (FDA) américaine, réaliser du commerce avec du gibier, catégorie dont fait selon la loi partie le lion, reste envisageable, tant que l’animal ne fait pas partie des espèces dites menacées. Le lion n’en fait pour l’instant pas partie.

 

Savez-vous qu’un scandale similaire à celui de la viande de cheval, venue en remplacement de celle de bœuf dans une célèbre marque de lasagne, s’est produit aux Etats-Unis, avec un boucher emprisonné à ce jour, qui vendait de la viande de tigre, espèce protégée celle-là, en la faisant passer pour du lion !!!

Les inquiétudes des détracteurs du hamburger au lion, seraient donc tout à fait légitimes.

 

Les propriétaires des restaurants Taco Fusion, ne pensant semble t-il pour l’instant qu’à leur profit, assureraient déjà faire de jolis bénéfices, depuis qu’ils auraient ajouté à la carte le hamburger au lion à 35 dollars, aux côtés d’autre spécialités du genre, taco au requin, à l’alligator, ou encore à la gazelle.

 

Souhaitons leurs de nombreuses ventes, car ils devront réaliser des économies pour réparer les éventuels dégâts, promis par certains opposants, à grand coup de dynamite !

 

Après le tigre dans le moteur, conseillé par un grand pétrolier, passons au lion dans l’assiette !!!

 

 

Pour la malbouffe, suivez-moi !

 Il y a quelques semaines, j’avais choisi de lire un livre que je n’aurais jamais dû acheter ! J’aurais mieux fait de ne jamais ouvrir une seule page de:

"Vive la Malbouffe!". 

Pourquoi, allez-vous me demander ? Parce que maintenant mes incertitudes n’en finissent plus de me poser des questions. Pire encore, mon inquiétude est devenue bien légitime avec les dernières actualités concernant notre alimentation.

Juste après avoir refermé ce livre au titre provocateur et cynique, j’ai tout de suite regretté de l’avoir lu jusqu’au bout. Le constat est édifiant, pour ne pas dire alarmant.

C’est le livre des horreurs culinaires dans nos assiettes. Un inventaire non pas à la Prévert, mais des substances toxiques, des fraudes et des escroqueries concernant la sécurité alimentaire à toute les pages. Même la la filière bio est concerné, c’est dire l’importance des dégâts ! Après ça, le cheval dans les lasagnes serait presque gentillet.

 

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Finalement… On mange quoi demain ???

  

Bien que tout le monde se doute, que les consommateurs que nous sommes, sont odieusement trompés depuis des lustres, par l’industrie agro-alimentaire en ce qui concerne une grande majorité de plats cuisinés, on espère tout de même que ce que l’on appelle l’affaire du "Horse Gate" relatif aux lasagnes Findus, fasse preuve d’exception…

Bien que les preuves ne soient pas encore formelles, rien n’est moins sûr.

Avant de nous mentir sur l’origine des viandes utilisées, en nous faisant manger du cheval pour du bœuf, les professionnels de l’industrie alimentaire, dans le seul but bien entendu d’augmenter leurs profits, ont fait preuve d’une extraordinaire ingéniosité.

La complexité des étiquetages, la taille minuscule de la police utilisée, ou encore les termes savants pour nommer des composants, connus pourtant sous des noms moins barbares, font que lors de nos courses en supermarché, nous faisons confiance à l’étiquette au détriment du contenu et que par manque de temps, nous jetons la barquette au fond du caddie.  

Ainsi sous couverts d’appellations alléchantes, voire mensongères du style : "Produit traiteur" "Produit maison" ou encore "Cuisiné comme à la maison "etc, il n’est pas rare de trouver plus de déchets que de produits dits "nobles".

Sur certains produits, on peut lire dans la liste des ingrédients, le mot somme toute banal "D’extrait". Eh bien sachez que "L’extrait" est issu de déchets de viandes, restant lors de découpes diverses de pièces, (à l’exception des abats) et qui ne peuvent pas être vendus car peu présentables.

"L’extrait" conditionné en blocs de 10 à 20 kilos, est composé en grande majorité de tissus graisseux, qui se retrouvent allègrement dans vos plats cuisinés.

Sachez également que sous ces appellations anodines, on peut aussi trouver dans les "Extraits" des particules de carcasses grattées, de la gélatine, ou des muscles trop durs pour être consommés normalement.

 

Bien entendu il n’y a rien d’impropre à la consommation dans cette pratique, mais il me semble tout de même qu’il y a tromperie et qu’il serait judicieux, de noter sur les barquettes, au lieu de "viande de bœuf" "Bas morceaux de bœuf à forte concentration graisseuse", ou quelque chose  du style.

Enfin il n’est pas rare, que le tout soit pour d’hypothétiques raisons d’hygiène, nettoyé à la javel, ou avec des acides lactiques, avant emballage.

 

Si l’on rajoute à ça, les légumes et fruits, dont on omet de nous dire avec quels pesticides, (jugés parfois dangereux pour ne pas dire mortels) ils sont traités, le retour en force des farines animales pour nourrir certaines espèces, pourtant formellement interdites quelques années plus tôt, je me demande sincèrement de quoi va être composée mon assiette de demain !

 

Un hamburger assassin ???

 

Il existe bien des manières de se suicider, mais certains candidats américains de cette pratique, n’hésitent pas à le faire par l’alimentation !

En effet un fast-food de Las Vegas le "Heart Attack Grill", littéralement "Grill crise cardiaque" revendique dans ses slogans distribuer je cite, des hamburgers "Bons à en crever"…

 

Les hamburgers vendus sont les plus caloriques du monde, avec un poids de 1,5 kilos chacun et non moins de 10.000 calories ! Quand on sait que le nombre de calories recommandées pour le commun des mortels est de 2000, il y a là matière à s’inquiéter…

D’ailleurs le concept du "Bon à en crever" se vérifierait, car nombre d’adeptes de ces orgies alimentaires "hamburgesques", seraient contre toute vraisemblance bel et bien décédés à cause de ces excès monstrueux de calories.

C’est le cas de John Alleman, terrassé par une attaque cardiaque devant l’établissement… Une grosse perte pour "Heart Attack Grill", qui perd là sa mascotte, celle là même dont les caricatures ornaient les menus du fast-food et même des tee-shirts.

Une autre personne de 29 ans à peine, adepte des menus hypercaloriques du restaurant, était elle aussi décédée d’une crise cardiaque deux ans plus tôt et accusait au moment de sa mort, le poids impressionnant de 260 kilos.

Pour tenter de minimiser, le propriétaire du fast-food aurait attiré l’attention sur les antécédents cardiaques des parents de John Alleman, décédés d’une attaque alors qu’ils étaient tout juste âgés de 50 ans.

 

Par contre la publicité de mauvais goût que fait "Heart Attack Grill" pour son gigantesque hamburger reste inchangée, allant même sur son site internet, jusqu’à parler de "régime hypercalorique".

Le menu complet s’enrichissant en prime d’une gigantesque portion de frites, de sodas géants et tenez-vous bien de cigarettes sans filtre !

 

Comble du mauvais goût et comme pour narguer la dangerosité du repas proposé dans le fast-food, les serveuses sont habillées en infirmières ! On ne dit pas par contre, si ces charmantes demoiselles sont initiées aux gestes de premiers secours en cas d’indigestion des clients ! 

 

Espérons enfin que ce genre d’établissement ne se généralise pas dans notre  beau pays de France.

 

 

Viande de cheval et étiquetage : la France n’a pas voulu !

Interrogée par Marianne et des étudiants de l’école de journalisme de Nice, l’eurodéputée Corinne Lepage, a considéré que le scandale des viandes d’équidés (chevalines, asines et de mules) dérive du refus de la France d’exiger un meilleur étiquetage de la part des agroindustriels et des distributeurs. On s’en doutait un peu. En revanche, on célèbrera en grandes pompes, avec les mêmes, en septembre prochain, la Fête de la Gastronomie (de pain de minerai de cheval, aurait pu chanter Boby Lapointe).

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Malbouffe, De Funès et Coluche avec 35 ans d’avance…

La "malbouffe", thème récurrent de l’actualité médiatique depuis quelques mois est-elle en soit réellement une grande surprise? Non, à coups sûrs. Pourquoi s’étonner devant tant de carences au sein de la production alimentaire? En voilà une question intéressante. 


Entre les divers objets et matières retrouvés dans les aliments de grande consommation, et les produits chimiques, sans oublier les mensonges sur la provenance et l’identité des produits, l’Alimentation est en passe de devenir "LE" sujet explosif de l’année. Pourtant, ils vous avaient prévenus il y a 35 ans…en vain.

 

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La malbouffe ramollit le cerveau

Après la toxine botulique qui attaquerait les neurones des candidates à la jeunesse éternelle, ce serait maintenant la malbouffe qui ferait des ravages dans le cerveau de nos petits…

En effet, d’après une récente étude menée en Grande-Bretagne sur 14 000 enfants nés en 1991 et 1992 et publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health, un lien pourrait exister entre la malbouffe pendant la petite enfance et un plus faible quotient intellectuel.

Cette étude a pris en compte leur mode de vie, leur état de santé ainsi que le niveau d’éducation de la mère, la classe sociale à laquelle ils appartiennent, la fréquence d’utilisation de livres ou de la télévision entre 3 et 8 ans, âge auquel les enfants ont passé un test de QI .

Les résultats s’avèrent sans appel : les enfants ayant eu durant ce laps de temps une alimentation riche en sucres et en graisses ont un QI inférieur de 5 points à celui des enfants ayant bénéficié d’un régime alimentaire équilibré

Le cerveau, organe très sophistiqué, commande le corps et consomme tous les jours 20% de notre énergie. Et il en faut des nutriments pour produire tous les différents neurotransmetteurs (sérotonine, dopamine…) qui participent à la construction de notre mémoire, régule nos humeurs et nos comportements. 

Il faut bien reconnaître que le fast-food est aujourd’hui plus qu’une alimentation, c’est aussi un style de vie. Bien évidemment, il serait simpliste et incorrect de n’accuser que la nourriture que nous mangeons… Mais rappelez-vous Morgan Spurlock, journaliste, qui avait expérimenté sur lui les effets de cet alimentation. Dans le documentaire "Super Size Me", il décrit comment en 30 jours (en ne mangeant que Mc Donald’s), il a pris 11 kg, détraqué son foie et commencer à sombrer dans la dépression. 

Vous reprendrez bien un peu d’hamburger ?