Mitraillette en bandoulière, pire que Lucky Luke, , vous tirez à boulets rouges sur tout ceux qui, depuis l’élection Présidentielle, vous ont « martyrisés » Sainte Ségolène !
Nicolas, Martine, Lionel, Jack, Laurent, et les « Eléphants roses » sont les « victimes », de votre dernier livre : « Femme Debout », qui paraît le 5 Février,
Mais où est donc passée la Roxane du Zénith ?
C’est avec un ton acerbe, un vocabulaire que l’on ne vous connaissait pas que vous égratignez (le mot est faible), vos anciens amis, et votre ennemi de toujours Nicolas Sarkozy…
Pour nous en convaincre, et sans trahir un seul mot du texte que vous produisez, je vous propose de survoler les plus « belles pages » de ce livre d’entretiens !
Commençons par celui qui vous a le plus « offensé », en ne vous permettant pas d’accéder au Pouvoir Suprême dont vous aviez tant rêvé pendant la campagne Présidentielle , j’ai nommé l’ennemi public numéro un : Nicolas Sarkozy !
Hautaine, et bien décidée à l’éliminer à l’aube de 2012, vous dites de lui :
« C’est un petit gamin heureux au milieu de ses nouveaux jouets, avec sa petite étoile de shérif, et son pistolet en plastic »
Vous ne vous êtes jamais demandé de quelle façon il vous aurait décrite, si vous aviez été à sa place ?
M’est avis qu’il n’aurait pas été tendre avec vous, malgrè vos airs de Sainte Nitouche…
Je poursuis votre « sermon » :
« Quand il m’a reçu à l’Elysée, peu après ma défaite, pour parler de l’Europe, je l’ai trouvé assez médiocre dans son comportement.
Il n’avait pas de hauteur, (que voulez vous, il n’a pas pris 10 centimètres, en devenant Président)
D’élan, de fair-play, (vous vous attendiez à des condoléances ?)
« Il était là, les bras ballants, à m’offrir des chocolats (on séduit comme on peut, il est peut-être timide cet homme… soyez magnanime..)
« À essayer de me faire parler de ma séparation d’avec François Hollande (c’est son coté bling bling, curieux, people. Quelques confidences à raconter sur l’oreiller à sa Carlita..)
« A dauber sur des journalistes (dauber ?),
« A exhiber sa montre.. (Et alors, y aurait que votre copain Julien Dray, pour aimer les belles montres ?)
« À me dire qu’il était là, mais qu’il aurait pu être ailleurs, à faire du fric »
« Sarkozy, le môme qui a eu le pompon sur le manège… »
Et encore une rafale de mitraillette… vous poursuivez :
« Il est plus fade qu’on ne le croit. Sa force vitale est impressionnante, mais c’est vraiment un m’as-tu-vu »
Ségolène, nous sommes loin du vocabulaire de la candidate qui venait vendre son livre sur les plateaux de télévision : « Ma plus belle histoire d’Amour, c’est Moi », (pardon,) « c’est Vous »
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