Etre responsable informatique ça a l’air d’être clair mais en réalité personne ne sait à quoi correspond ce métier ! Alors, nous avons décidé de vous en faire un petit descriptif sous la forme d’une fiche métier ! Découvrons ensemble l’emploi de responsable informatique !
1.Qu’est-ce qu’un responsable informatique ?
Le responsable informatique a plusieurs missions. Il peut proposer des solutions informatiques dans les domaines scientifiques, techniques ou encore industriels selon son client. Naturellement, il s’occupe du suivi du développement informatique des produits qu’il prescrit. Par ailleurs, il peut aussi analyser le fonctionnement des entreprises en matière d’informatique et proposer la formation des utilisateurs ou l’accompagnement dans l’organisation du travail, etc.
2. Son contexte de travail
Le responsable informatique passe une grande partie de son temps dans un bureau. Mais il a des horaires variables puisqu’il est aussi souvent amené à se déplacer. Son travail se fait donc à l’extérieur et à l’intérieur. Il peut travailler sur différentes structures ; en cabinet de conseil ou société de service. Bien sûr, il a ses propres outils tels que des logiciels spécifiques pour la gestion de projet, la conception, etc. S’il y a des études informatiques, il s’occupe de leurs encadrements et en définit les objectifs.
3. Quelles sont les compétences requises du responsable informatique ?
En général, le responsable informatique a un bac + 4/5. Un master en Informatique est demandé, les ingénieurs en informatiques sont les bienvenus. Une aisance dans la communication est indispensable ainsi qu’une aisance relationnelle. Il est amené à diriger des projets, il doit donc être capable de s’adapter à tout type de situation. L’affirmation est un bonus. Bien sûr, il devra être un bon Manager, avec de la rigueur et une forte autonomie. Le métier vous intéresse ? Découvrez toutes les meilleures offres d’emploi de responsable informatique.
4. Quel est son salaire moyen ?
Le salaire du responsable informatique est plutôt correct puis qu’un senior peut toucher jusqu’à 90 000 euros/an brut. Un débutant pourra toucher en moyenne 45 000 euros/ an. Le salaire d’un junior tourne autour de 57 800 euros/an. Enfin un senior commence à 63 000 euros. Et si vous voulez en savoir plus : salaire du responsable informatique.
Impossible de trouver sur le marché un connecteur Microsoft pour périphiques sans fil et si vous en disposez pour tel ou tel modèle, il ne fonctionnera pas avec tel ou tel autre. Seule solution, racheter tout le matériel.
J’étais parfaitement satisfait de mon ensemble souris, clavier et pavé numérique séparé de l’ensemble Sculpt Ergonomic de Microsoft. Un pavé numérique « autonome » c’est une bonne idée, la saisie est silencieuse, &c. Sauf que… sauf que, si le connecteur pilotant l’ensemble est égaré ou cassé, impossible d’obtenir la pièce de Microsoft ou d’un revendeur. Et ne comptez pas vous servir d’un autre de même marque. De plus, en France, le SAV vous balade. De quoi vous faire préférer Logitech…
Ce qui suit est bien sûr totalement libre de publicité.
D’autant que Logitech ne fabrique plus de clavier ergonomique depuis des années…
Le connecteur de la souris Microsoft Sculpt publicité pour Logitech, qui ne propose plus de clavier dit ergonomique depuis belle lurette ; mais dont, paraîtrait-il, les connecteurs pour périphériques sans fil à 2,4 Ghz seraient compatibles avec plusieurs de ses modèles…
Depuis mes premiers pas en informatique, en 1980, j’ai vu passer bien des matériels entre mes mains. Soit d’usage privé, soit en tant que journaliste spécialisé en informatique graphique (Pixel, Création numérique, puis Créanum, titres depuis disparus). Au cours de la décennie 1980, il était parfois difficile de trouver des matériels compatibles. Par exemple, pour mon Epson portable, un modèle dont les quatre programmes étaient gravés sur eprom (à remplacer en ouvrant une petite trappe vissée), j’ai éprouvé quelques difficultés à dénicher une petite imprimante de type plotter (à aiguilles). Il m’a fallu quelques mois de recherches… Le port d’imprimante, c’était, alors rareté, le port série. Une Brother fit enfin l’affaire.
Mais alors qu’Apple a plus ou moins rendu compatibles ses machines avec des périphériques USB ou autres de marques tierces, vers la fin de la décennie 2000, j’étais loin de m’imaginer que Microsoft avait plus ou moins transformé ses transceivers (connecteurs, émetteur-récepteur) en dongles (clefs électroniques) …
Pour qui s’en souvient, le dongle était un connecteur dédié au fonctionnement d’un logiciel, notamment de ceux de PAO. Pas de dongle, en sus souvent d’un numéro de série à saisir, et votre application ne pouvait fonctionner…
Pour ce qui est des claviers dits ergonomiques de Microsoft, j’en ai cumulé, voire accumulés quelques-uns depuis leur premier modèle azerty. Là, j’ai pu en revenir au Confort Keyboard 5000 et à sa souris, dont j’avais cassé le seul plastique du connecteur et bousillé une touche (une fatale tasse de café renversée). Mais, ayant cassé plus gravement son équivalent pour l’ensemble Sculpt Ergonomic, j’ai tenté successivement trois autres connecteurs pour diverses souris sans fil Microsoft. Sans résultat…
Voyez les forums… Cette toute petite pièce n’est pas remplaçable. Chaque élément ou ensemble de saisie est lié à un connecteur dédié et Microsoft ne vous « offre » que le choix de remplacer par un produit complet.
Mais avant de me résigner, je me suis demandé si la politique du SAV MS avait évolué… Donc, j’appelle le numéro de téléphone (payant) indiqué sur le site. Avec avoir très correctement saisi la suite de touches idoines (en seconde série de touches, tapez 4 pour les souris et claviers), un opérateur a pris la communication. Je m’explique pour m’entendre répondre que je n’avais pas été dirigé vers le bon service mais qu’il transférait mon appel. Idem avec le second opérateur… Le troisième ne s’est jamais manifesté : après un temps d’attente, la ligne sonnait occupée.
Je recommence donc et là, miracle, l’opérateur s’estime compétent. Mais c’était pour me déclarer que puisque j’avais acquis cet ensemble auprès d’un revendeur et non directement via la boutique Microsoft (en ligne, allez donc en trouver une brick & mortar…), c’était ce dernier qui pouvait traiter ma demande.
Je m’obstine et cherche à poser la question en ligne… Ah, il est bien prévu de contacter un expert en ligne… Sauf que, de quelques façons que l’on s’y prenne, la page censée permettre de saisir un courriel s’efface au bout de quelques secondes pour renvoyer à une page générale de support sous forme de QFP (FAQ). On peut tout reprendre sans fin, sur le site français, ou d’autres, c’est imparable…
Vous pouvez partir de la page hardware/fr-fr/support/contact-us du site international, d’une page support.microsoft.com/fr-fr/ ou en particulier de celle du sous-dossier gp/hwrp06y/fr, ou de tout autre, vous vous retrouvez « en boucle » au mauvais temps des écrans bleus (sous MS NT, réinitialiser après panne vous y ramenait très souvent sans cesse ; et il fallait réinstaller une trentaine de disquettes).
Grosbill, sur ce point, s’apparente quelque peu à Microsoft. Mais au moins dispose-t-il de dépôts, de boutiques… Où, comme ailleurs, il me fut expliqué qu’un connecteur radio 2,4 Ghz dit universel n’était plus si facile à obtenir en boutique et que dans le cas de périphériques Microsoft, son universalité ne serait que dénominative.
Seule solution, racheter une souris du même modèle, en espérant que clavier et pavé numérique seront reconnus. Si cela se trouve, Microsoft s’est arrangé pour différencier les connecteurs pour souris et clavier de la même gamme Sculpt ergonomic…
Bien sûr, la question pourrait être posée au SAV de Microsoft… Mais, voir supra, la réponse adéquate n’est guère garantie…
J’enrage de devoir supporter le cliquetis du modèle 5000 alors que je m’étais habitué à celui, infiniment plus discret, du clavier Sculpt… Je peste aussi en constatant que le prix de la seule souris dépasse la moitié de celui de l’ensemble (avec pavé numérique en sus). Je me lamente car trouver une souris Sculpt d’occasion n’est pas immédiatement accessible (en fait, j’attends la réponse du vendeur de l’unique proposée sur Le Bon Coin). Et je fulmine car j’ai bien, me semble-t-il, localisé l’origine de la panne (un tout petit chip dessoudé) mais trouver un réparateur de proximité à tarif abordable tient de la gageure, même au centre de Paris.
Au fait, que nous disait donc Bill Gates (et sa Fondation) sur le gaspillage, le recyclage ? Je vous le donne en mille. L’an dernier, il s’extasiait sur une machine pouvant tirer de l’eau potable de la distillation de… merde, de fèces. Il proposait aussi de réinventer les cuvettes et autres dispositifs des lieux d’aisance. Avec des toilettes sèches. Bill et Melinda Gates ont financé les recherches (710 000 USD) de l’université de Cranfield (G.-B.), lesquelles ont abouti, très récemment, à la Nano Membrane, un trône transformant la pisse en eau (non potable) par évaporation puis condensation.
Le hic, c’est qu’il faut en assurer la maintenance hebdomadaire. Cela revient à devoir s’abonner pour déféquer. Au fait, si une pièce se détériore, il faut racheter une cuvette complète ?
Si j’avais encore de l’argent à perdre avec Microsoft, je crois bien que j’arroserai clavier, souris, pavé numérique avant de les enduire d’excréments, le tout laissé à sécher le temps d’éviter de trop incommoder trop les postiers chargés de les acheminer au SAV le plus proche (à moins de lancer une levée de fonds en crowfunding pour les expédier au siège de Redmond).
Je n’ai pas trop de termes galants à choisir pour dire son fait et sa chose à la direction de Microsoft et le fondement de ce que m’inspire son service après-vente. Pour ne point exagérer ma rogne atrabilaire, je citerais bien laconiquement feus J.-P. Coffe et le général Cambronne.
Mettons qu’au lieu de se pencher sur nos colombins et autres étrons ou mictions, la Fondation Bill Gates pourrait se préoccuper du développement durable de l’essuyage des fesses du SAV de Microsoft… Car là, franchement, il est malpropre aux fins de nous faire casser deux fois notre tirelire.
Lorsque l’on parle de stagiaire, on s’imagine tout de suite un jeune la plupart du temps étudiant, qui recherche pour les besoins d’une formation ou dans le cadre d’un job d’été, un stage en entreprise.
On sait également que ces stages consistent souvent à placer le jeune dans un coin de bureau ou encore de le cantonner à des tâches inutiles autant qu’inintéressantes…
En outre dans le cadre d’une formation, les stagiaires ne sont pas rémunérés, où le sont-ils très peu… Rien de vraiment motivant.
Par contre au hasard de mes lectures, je suis "tombé" sur un article vantant les qualités des stages effectués chez le géant de la recherche internet Google, qui sont incontestablement les plus convoités de la planète.
Bien que l’essentiel du contenu des entretiens d’embauche doive rester secret, un américain de 20 ans Rohan Shah, heureux stagiaire retenu aurait accepté d’en dévoiler une partie.
Je dis heureux stagiaire retenu, car sur 40.000 postulants annuels seuls 1500 seraient retenus.
Voici donc les grandes lignes des entretiens d’embauche :
Rohan explique que premièrement, lorsque l’on postule pour un stage, l’entretien débute toujours par le remplissage d’un formulaire en ligne.
On se doit d’y indiquer sa moyenne universitaire, la nature de ses expériences antérieures et celle de ses activités extra-scolaires.
Dans son cas, peut-être que le fait qu’il parle 3 langues, ou qu’il ait été assistant d’un de ses professeurs sur un projet Androïd, a fait pencher la balance, mais rien n’est certain.
Toujours est-il que quelques semaines plus tard (en janvier 2013) il était convoqué à un autre entretien, physique celui-là…
D’autres, multiples, se seraient enchaînés sur une période d’un mois.
Ces entretiens sont très techniques et visent à déterminer les aptitudes du candidat à un poste en particulier et à l’intégrer dans l’équipe d’ingénieurs qui lui conviendra le mieux ou qui lui plaira le plus.
Ainsi, notre jeune élu intégrait-il le service Androïd de Google.
Une semaine après, tout comme un employé de la firme, Rohan se retrouvait face à un projet qu’on lui avait attribué (en l’occurrence une nouvelle fonction top secrète liée à l’ancien code Gmail).
Bien sûr on lui avait désigné un mentor, chargé de discuter de l’avancée et de la cohérence de son projet chaque fin de semaine et autant de fois qu’il le désirait.
Une évaluation de ses progrès lui serait également remise régulièrement.
Rohan confiait que tous ses frais de déplacement lui avaient été payés, tout comme son logement ou encore les transports en navettes spéciales dans les alentours de Silicon Valley, les trajets domicile travail seraient eux-aussi totalement gratuits.
De plus à l’intérieur même du Googleplex, se trouvent des restaurants 5environ 20), aux thèmes culinaires venant de plusieurs pays du monde, afin que l’on puisse faire son choix.
Le repas pris était trop copieux ? Qu’à cela ne tienne ! A proximité des restaurants se trouvent d’immenses salles de sports, suréquipées pour éliminer les calories…
Vous vous sentez fiévreux, légèrement patraque ? Rendez-vous dans le centre de bien-être Google.
Vous souffrez de courbatures ? Ce n’est pas un problème, la masseuse du campus est à votre disposition, pour vous prodiguer un savant massage.
Sont également proposées des sorties de rêves, croisières, invitations à des matchs sportifs etc etc, aux frais de Google…
On passera sur les boissons gratuites, les cours de danse ou encore les laveries automatiques.
Bien entendu, ces "services" sont octroyés autant aux stagiaires qu’aux employés à temps plein.
La dernière surprise et pas des moindres que réserva le géant d’internet à Rohan, fut son bulletin de salaire 6100 dollars mensuels, soit une base annuelle de 80.000 dollars !
Pas mal pour un stagiaire non ?
Pour terminer, son projet au sein de l’entreprise ayant été validé, le jeune homme est d’ors et déjà assuré d’intégrer l’entreprise Google au terme de ses études, mais en temps qu’employé à temps complet cette fois.
Qui n’a pas pesté contre son ordinateur, ne l’a pas traité de tous les noms d’oiseaux, voire menacé de le jeter par la fenêtre du bureau ?
Tout cela, suite à une manipulation, un cleaner par exemple, qui nous conduit à renseigner de nouveau notre mot de passe, sur des sites que l’on aime visiter.
Comme certains vous obligent pour des raisons de sécurité à opter, soit pour une longueur du "login" déterminée, ou le mélange de chiffres et de lettres, vous vous retrouvez avec une multitude de mots de passe, oubliés souvent sitôt créés, si l’on omet de les noter…
Là commencent les motifs d’énervements, même pour des personnes réputées des plus calmes.
Eh bien tels de preux chevaliers de l’informatique, une équipe de chercheurs de l’université de Californie, à Berkeley, semble vouloir voler à votre secours !
Ces scientifiques, ont eu l’idée de remplacer purement et simplement les mots de passe traditionnels, par une identification de type "empreinte cérébrale".
Voici le principe de ce procédé révolutionnaire :
Un casque muni d’un capteur unique, capable de recevoir un "signal électroencéphalographique" émanant de l’hémisphère gauche de notre cerveau, permettrait une identification, pour accéder à toutes données informatiques, site, forums, documents codés etc etc.
De plus ce casque se veut très peu encombrant ou volumineux, pas plus en tout cas selon les inventeurs que celui qu’utiliserait un adolescent pour écouter de la musique.
Toujours d’après eux, le signal émis cérébralement serait fiable à 99.99%, pour permettre n’importe quelle identification.
La sécurité avec un tel procédé est totale et impossible soi-disant à pirater, ou imiter.
Cette avancée scientifique, n’a pas manquée d’intéresser savants, fabricants et directeurs de pôles financiers, le jour de sa présentation, lors de la conférence internationale sur la "cryptographie et sécurité des données financières", à Okinawa au Japon.
On connaissait déjà l’utilisation de l’empreinte cérébrale, pour commander de petits robots, principalement dans le monde de l’aéromodélisme, tels ces minis hélicoptères télécommandés, imaginés par des chercheurs de l’Université du Minnesota.
Par contre, jamais personne avant cette équipe de scientifiques de l’université de Californie, n’avait pensé à en faire une application pour sécuriser les systèmes informatiques.
Enfin les inventeurs, se prennent à rêver de l’étendue des capacités que pourrait avoir leur trouvaille, comme une amélioration des capacités motrices, chez les chirurgiens ou pilotes d’avions par exemple.
Quand on sait que de récentes découvertes en la matière, auraient permis à des patients tétraplégiques de commander cérébralement leurs fauteuils, on peut se prendre à rêver avec eux.
Pirater les données de publications, le mot de passe du site officiel d’une grande équipe sportive, peut bien évidemment être considéré comme un acte répréhensible, et le Hacker traduit en justice et sévèrement puni.
Par contre imaginez, qu’un jeune homme, n’ayant aucun antécédent judiciaire, soit mis en examen en tant que pirate informatique, pour avoir réussi à dénoncer le viol collectif d’une jeune fille, sur la page internet d’une équipe de football américain réputée.
Deric Lostutter, jeune habitant de l’Ohio de 26 ans, auteur de ce "piratage" a déclaré n’avoir voulu faire que son devoir de citoyen, en diffusant sur les réseaux sociaux (Twitter et Instagram plus particulièrement) , puis sur le site officiel de l’équipe de football américain, des images et captures d’écran, sur lesquelles on reconnaissait parfaitement les joueurs impliqués.
De plus c’est une amie de Deric Lostutter, qui lui aurait fait parvenir les images et le jeune garçon scandalisé, aurait tout mis en œuvre pour faire condamner les protagonistes, à sa manière certes, sans penser à mal, bien au contraire d’ailleurs et en diffusant la scène de viol.
Hélas, aux Etats-Unis, la loi sur le piratage informatique est des plus sévères…
Ainsi, sitôt les photographies compromettantes publiées, les spécialistes internet du FBI sont remonté à la source, très facilement d’ailleurs, car Deric Lostutter n’avait nullement eu l’intention de se cacher, au contraire des membres d’une partie du collectif des Anonymous, qui l’avaient aidé dans sa tâche et qui eux ont réussi à brouiller les pistes.
Ensuite dans de nombreux véhicules, les agents du FBI, armes au poing, auraient fait irruption dans l’appartement du jeune "hacker", lui intimant l’ordre de se placer au sol, face contre terre, avant de le menotter.
Ensuite Deric Lostutter fut conduit dans un bureau et à l’issu de l’interrogatoire, se serait vu signifier sa mise en examen.
Le jeune homme a donc été incarcéré et encourt suite à son procès, tenez-vous bien, 10 ans de prison !
Le burlesque de l’affaire ne s’arrête pas là, car les violeurs quant à eux, n’ont été condamnés qu’à des peines pour le moins scandaleusement légères, allant de 1 à 2 ans, à l’issu d’un rapide procès, très peu médiatisé !
En résumé, dans le pays qui se veut de toutes les libertés, le fait de dénoncer un crime abject tel qu’un viol collectif, est nettement moins grave que de "pirater" un site officiel pour le faire savoir.
Ce qui est pitoyable, c’est que les honnêtes citoyens, pour ne pas s’attirer les foudres de la justice, vont dès à présent hésiter avant de faire leur devoir de bon citoyen.
Free de nouveau devant les projecteurs après le lancement ce matin 26 mars 2013, à paris intra-muros, de la première école aux métiers de l’informatique, ouverte à tous et toutes, entièrement gratuite. Après avoir obligé ses principaux concurrents à baisser leurs prix dans le domaine de la téléphonie en proposant des forfaits, tout compris, bien en dessous des prix pratiqués, free s’attaque au mal qui ronge la France le manque de formation des jeunes Français aux métiers de demain.
Il est une catégorie de personnes qui fut longtemps considéré comme l’une des franges les plus marginales et les moins fréquentables de la société : Les Geeks ! Qu’est ce qu’un Geek ? Il s’agit d’un individu, de tout âge, passionné d’informatique et vouant à ce domaine un engouement prenant le pas sur tous les autres aspects de la vie sociale.
Le terme s’est par la suite élargi pour désigner également tout ceux qui vivent pour et au travers d’un type de média, d’une série, de l’univers d’un film… Les variantes sont infinies.
Longtemps considérés comme des rebus de la société, les geeks ont acquis un statut particulier au cours de ces dernières années. Pourquoi un tel engouement ?
La raison en est simple. La notion de Geek n’est plus tellement associée à l’échec, au ridicule. Le geek n’est plus celui qui échoue et qui vit en marge du monde.
L’exemple le plus frappant est sans conteste le cas d’école que représente Mark Zuckerberg, le créateur de Facebook. Peu sociable, peu sympathique et largement introverti, ce dernier n’en a pas moins révolutionné la vision du geek à travers le monde.
Le geek peut donc par le seul fait de son talent et de son génie informatique conquérir le monde. Plus jeune milliardaire au niveau international, il est la preuve vivante que le geek ne doit pas être mésestimé mais possède un potentiel créatif insoupçonné.
Outre le créateur de Facebook, l’image du geek a acquis indéniablement ses lettres de noblesse en devenant une figure populaire parmi les plus courantes de nos sociétés. L’avènement d’Internet n’y est pas étranger tant l’informatique et ceux qui maîtrisent ce domaine ont un ascendant certain sur les autres.
Longtemps considéré comme de simples faire-valoir, des personnages secondaires, les geeks deviennent des héros à part entière. Quelle meilleure illustration de ce phénomène que le succès planétaire de la série « The Big Bang theory » et qui met en scène une bande de geeks géniaux aux aventures drolissimes ?
Le geek n’est plus une forme déviante de nos sociétés. Il est le fruit de l’évolution et sous son apparence ridicule la plupart du temps et inoffensif, il possède sans conteste les cartes en main pour façonner le monde à son image.
Il est peu probable que l’accroissement exponentiel d’Internet ne s’infléchisse. Aussi, cette catégorie si particulière de l’humanité a encore de beaux jours devant elle.
Les utilisateurs de l’ancien Mac mini y avaient songé, et l’ont fait. Un cube Mac mini, un clavier en synthétique mou enroulable, une mini souris, et il ne restait plus qu’à trouver un écran. Avec le nouveau Mac mini, certes plat, léger (1,22 kg), mais un peu large (près de 20 cm de côté), c’est toujours envisageable. Mais alors que se profilent les écrans flexibles, pourquoi ne pas opter pour beaucoup moins cher (120 euros environ, contre 629 ou 829), beaucoup moins encombrant (un cube de 5 cm d’arête et moins de 100 g, si !), avec le CuBox Pro de Solid Run ?
Windows 8, c’est « plus » de mobilité, le cloud, &c. L’anecdote qui suit contredit quelque peu ce bel argumentaire de Microsoft et illustre surtout que le recours au tout en ligne, tout électronique, génère des situations cocasses. Impossible, pour un service de support Microsoft, de modifier manuellement une seule entrée de saisie… Le champ « Pays » est bloqué pour l’éternité si une erreur d’adressage s’est produite.