Dans ce monde de brutes où les principaux sujets d'informations, de discussions, sont la crise économique, les débats politiques, …, rien ne vaut, de temps en temps, une petite histoire un peu légère. Surtout lorsque celle-ci est en plus pathétique (pour son "héros").
C'est donc l'histoire d'un jeune homme belge, âgé de 21 ans. Celui-ci se trouvait dans la cité phocéenne en fin de semaine dernière. Certainement en manque de ressources financière, il décida de se rendre à la banque pour y effectuer un retrait d'argent.
Le distributeur refusant certainement de satisfaire à ses envies, il a donc décidé d'entré dans l'établissement bancaire, comme si de rien n'était. Mais manque de chance (ou plutôt horaire inapproprié), l'établissement était fermé pour la nuit.
Ne se dégonflant, le jeune belge décida alors de pénétrer dans le local mitoyen à la banque. Non pas pour gratter un ticket de la française des jeux, mais pour faire une "ouverture" dans le mur mitoyen. Armé comme un démolisseur (d'une masse), il s'est alors attaqué mur.
Pensant ensuite se retrouver dans la salle des coffres, le jeune homme n'a pas lésiné sur son travail pour pouvoir effectuer son retrait bancaire. Mais, car il y un mais…, il avait sans doute mal apprécié les informations qu'il avait sans doute réunies au sujet de la banque.
Car une fois "l'ouverture" du mur fût-elle terminée, que le belge s'est retrouvé dans… les toilettes de la banque, le tout en déclenchant au passage l'alarme.
La police est donc bien sur intervenue immédiatement, parvenant à interpeller le jeune homme, qui ne devait certainement pas avoir l'air bien malin.
L'histoire ne dit pas s'il a dit avoir été pris d'un besoin pressant pour justifier sa présence dans les toilettes de l'établissement bancaire, mais une chose est sure, c'est qu'il aurait peut-être mieux fait de rester chez lui en Belgique. Au moins, il n'aurait pas fait la connaissance des policiers marseillais…
Après ça, qui pourra bien dire que les histoires belges sont le fait des français?
(Désolé pour les sujets de sa majesté, mais il faut tout de même avouer que sur ce coups là, ce "bras cassé" a fait très fort.)