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La foire internationale de Rennes vient de fermer ses portes

La foire internationale de Rennes s’est tenue cette année du 23 mars au 1er avril.

 

Je passe souvent devant ces immenses hangars sans jamais y entrer. Et là, nous n’avions rien de prévu pour ce lundi de Pâques ; nous avons décidé de nous rendre à cette foire dont nous avons entendu parler toute la semaine à la radio. 

 

Les 11 halls de la foire internationale sont immenses. Ils couvrent une superficie de 53 000 m² répartis dans les différents halls.

 

Cette année, les Iles étaient invités d’honneur ; on a donc pu voir dans un hall, des spécialités, de l’artisanat et même apprécier des danses de la Réunion ou de la Guadeloupe. Nous avons eu droit à une démonstration de tamouré, de haka et autres danses polynésiennes. 

Tout est très coloré dans ce hall, les tissus madra côtoient les fleurs oiseau de Paradis et autres plantes colorées. 

Un restaurant propose des spécialités de la Réunion avec un rougail saucisse et un poulet au curry extra ; un autre des spécialités de Tahiti avec du poisson mariné ou cru. 

 

Chaque hall a son propre thème :les vins et la gastronomie avec des restaurants de la région, l’habitat, l’air libre (matériels et équipements de jardin, caravaning etc), l’international et la presse, Intersport, l’ameublement et la décoration, les animaux, le jardinage et l’expo sur la pêche et les loisirs.

 

Nous sommes arrivés vers 11 heures le matin et il y avait encore peu de monde, cela nous a permis de visiter deux halls dont celui des animaux en toute tranquillité. Nous avons pu découvrir des poussins en train de naître, des veaux nés récemment avec leur mère, des chèvres et autres truies. Des ânes semblaient bien tristes dans leur enclos. 

Tous ces animaux auraient certainement préférés se trouver au soleil en toute liberté.

 

Nous avons déjeuné dans le hall des invités et mangé créole ; le restaurant que nous avons choisi a pignon sur rue tout près de là à Saint Jacques de la Lande …. nous le saurons pour une prochaine sortie car nous avons bien apprécié. 

 

Nous avons ensuite continué notre visite, la foule s’est faite de plus en plus nombreuse et bruyante ; il faisait parfois très chaud dans les halls, chaleur due à l’activité humaine et au chauffage largement diffusé. 

Le hall que nous avons trouvé le plus bruyant et le plus visité est celui du confort de la maison. Là nous avons pu voir des démonstrations de produits (miracles…) pour les légumes, le nettoyage ou l’entretien de son intérieur ; les artisans et les professionnels des meubles, de la cuisine ou de la chambre étaient présents. 

Ce que nous n’avons pas aimé : dès que nous arrêtons de marcher quelques secondes pour regarder, un vendeur nous saute littéralement dessus pour nous demander ce que nous recherchons !!

 

Et puis, plus au calme, à l’extérieur caravanes dernier cri et camping-car sont là pour trouver acheteurs. Neuf ou occasion, les derniers modèles sont présentés. Heureusement, on peut visiter sans qu’un vendeur vienne nous demander notre avis et notre budget. Au contraire, bon nombre de personnes les cherchaient !!

 

Une journée bien remplie que cette visite à la foire internationale de Rennes ; et le tarif n’est pas si élevé ! 6 euros par personne en tarif plein…. sauf que si vous arrivez avant midi vous ne payez (comme nous) que 2 euros par personne !!

                                                    

Nouveauté et originalité dans le monde du sandwich…

 


Ou donc va se nicher l’inventivité des hommes, quand il s’agit d’innover en matière de restauration… On croyait que tout ou presque avait été inventé dans ce domaine, mais force est de constater que l’on se trompait !

Pour ceux qui ont lu mes articles, j’ai parlé des hamburgers assassins, des sprays alimentaires sensés donner un goût à des feuilles de salade, ou encore des Kebab allégés, bref des nouvelles tendances "gastronomiques" qui ne cessaient de nous étonner.

Eh bien en ce jour je viens vous parler d’une nouvelle génération de sandwichs, qui ouvrent la voie quasi infinie, à ce que l’on pourrait appeler le "sandwich avec n’importe quoi", ceci dit au sens noble du terme, car utilisant dans le cas qui nous intéresse aujourd’hui, des préparations culinaires qui sous d’autres formes, ont fait la réputation de certaines de nos belles régions de France.

 

Ainsi viendrais-je en ce jour vous présenter la dernière trouvaille, lancée par la chaîne gastronomique "Pains et Pergos" à la tête de laquelle œuvrent Monsieur Thomas Fantini et Clément Poitrenaud, le célèbre arrière du stade toulousain : Le "sandwich au cassoulet" !

Ce chef-d’œuvre de la sandwicherie, vous sera servi sous la forme d’un ballon de rugby, dont la garniture intérieure sera composée d’une crème de haricots lingots de Castelnaudary, d’un effiloché de confit de canard du Sud-ouest et d’un effiloché de saucisse de Toulouse. Le tout sera ensuite relevé d’un filet de vinaigre balsamique et agrémenté de quelques rondelles de tomate.

La difficulté, parfaitement surmontée par les responsables de la chaîne "Pains et Pergos", résidait dans la réalisation tout à fait originale du sandwich au cassoulet, à savoir un pain qui reste craquant et de forme ovale après la cuisson, et une garniture savoureuse qui se "mange" sans trop déborder au moindre coup de dent. L’essai comme on dirait au rugby est transformé !

Je me garderai bien d’émettre un avis sur les qualités gustatives ou nutritionnelles de ce sandwich, ne l’ayant pas goûté personnellement, mais Thomas Fantini aurait déclaré qu’avec cette spécialité qui colle parfaitement à l’esprit du Sud-ouest, les adeptes seraient de plus en plus nombreux.

 

Selon les clients on retrouverait parfaitement les saveurs d’un cassoulet maison, mais bien moins gras et délicieux dans son pain ovale agrémenté de graines de pavot.

De plus son prix de 6€ semble tout à fait raisonnable.

Pour ma part, je trouve l’idée du sandwich au cassoulet novatrice et pas plus idiote que d’autres préparations.

Je me permets donc de lui souhaiter bonne chance, dans le domaine de la restauration rapide à la française.

La cité internationale de la Gastronomie : dans quelle ville ?

Depuis 2010, la France a l’honneur d’avoir, sa gastronomie comme patrimoine immatériel de l’humanité de l’Unesco. Alors, un projet se dessine pour créer une cité internationale de la gastronomie en France, un projet dont on entend peu parler dans les médias nationaux.

Un féroce combat s’est ouvert entre 5 prétendantes pour recevoir cette cité, parmi lesquelles : Lyon, Rungis, Dijon, Beaune et enfin Tours.

Chaque ville propose un projet, qu’elle a présenté à Paris début novembre. Toutes proposent des projets ambitieux, mettant clairement à l’honneur la gastronomie, chacune ayant ses points forts et faibles. Cependant, 4 villes se dégagent pour l’obtenir.

– Rungis, plus important marché de gros au monde, soutenu par Paris, a donc de notables avantages, toutefois, il semblerait inconcevable, dans sa réalisation.

– Lyon : Ville de "maitre" Bocuse, notamment, est soutenue par de nombreux grands chefs étoilés de France, ce qui pour une cité de la gastronomie est plus qu’avantageux, toutefois, le projet serait jugé trop "élitiste", car pour le coup vraiment ambitieux.

– Tours: Soutenu par quelques grands chefs, notamment Thierry Marx. Présente plusieurs avantages, ses vignobles, Eurogusto, ainsi que le soutien de la personnalité à l’origine de la demande de l’enregistrement au patrimoine immatériel de l’Unesco de la gastronomie française.

– Dijon : Présente également une candidature intéressante, avec de belles appellations gastronomiques. Certains évoquent ainsi une possible division de la cité internationale de la gastronomie entre Tours et Dijon.

Ce "combat" cache surtout l’énorme potentiel touristique d’une telle cité, car cela aurait des retombées économiques importantes. Le rayonnement serait tant au niveau local, qu’au niveau national, mais également international à n’en pas douter. La lutte entre les villes, pour obtenir cette cité, n’est pas pour contredire cela.

 

Réponse entre la fin de cette année et le début d’année prochaine…

Écornifleur et bienvenu chez Pierre Jancou (Chez Vivant, Paris)

J’ai souri largement en lisant la prose de l’ami Gilles Klein narrant comment Pierre Jancou, de Chez Vivant (45, rue des Petites-Écuries, Paris Xe, vivantparis.com) avait remis à sa place Jean-Paul Lubot, Dg de Marie Claire, qui tentait, comme cela peut m’arriver, d’écorniflier (soit de jouer les pique-assiettes). Petit joueur, va. Conseils d’un professionnel qui, bah, ne va peut-être pas se remplir la panse Chez Vivant, mais s’est fait offrir le coup de l’étrier au comptoir par le patron. J’en sors. Et la semaine prochaine, j’y retourne.

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Pourquoi le bio revient moins cher ? (2)

Eh oui, contrairement aux idées reçues, et tout bien pesé suite à cette expérience durant depuis maintenant 2 mois que j’ai décidé de partager avec vous, je suis en mesure de vous garantir que manger bio sera non seulement bénéfique à votre santé, mais aussi à votre porte monnaie, en plus de votre contribution à un avenir meilleur pour notre belle planète ! Et je suis donc en mesure de vous le prouver aujourd’hui par les arguments suivants : 

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Bienvenue dans mon pays

Bem vindo ao meu pais !

Je suis originaire d´un pays baigné par l´océan Atlantique et qui est également longé par un autre pays magnifique qu´est l´Espagne.

Si vous visitez mon pays, vous ne pourrez qu´apprécier sa douceur climatique et la beauté du paysage qu´est le Portugal.

C´est ce que j´ai encore pu constaté cette année et à vrai dire, je ne m´en lasse pas.

Je suis fière de ce pays car il est rare de trouver autant de convivialité et de se faire accueillir à bras ouvert de cette manière là !

Le portugal est un pays où l´on aime faire la fête et d´ailleurs même si j´ai grandi loin de mes terres je n´ai nullement grandi loin des coutumes de mon pays et chez moi on aime manger, boire, danser et chanter.

Les traditions se sont un peu perdues chez les portugais natifs de France mais sachez que nous portons toujours les costumes traditionnels lors des romarias, pour ceux qui ne connaissent pas les romarias ce sont nos fetes religieuses, vous avez sûrement du déjà voir sur les écrans de télèvisions des émissions consacrées au portugal et aux danseurs de de corridinho.

Certaines contrées du pays reflètent parfaitement le coté traditionnel, par exemple si vous visiter Nazaré, petite ville à 1h30 de Lisbonne, la capitale, vous serez charmé par la magie de son histoire et vous aurez la chance de rencontrer nos femmes coiffées par le foulard et le jupon commun qui se dissimule sous la jupe.

Vous trouverez aussi le fameux bonnet de Nazaré et la cape noire décorée d´écussons que porte tous les étudiants et je vous assure que c´est un moment très émouvant de participer à tout cela.

Je ne suis pas gourmande pour rien et dans ma famille non plus, il ne faut pas avoir peur des kilos car notre cuisine est très riche en calories, nous aimons énormément les pains fourrés, les fromages, la charcuterie et notre bonne vieille morue que nous cuisinons à toutes les sauces.

Moi je suis plutôt une gourmande sucrée, les pasteis de nata de ma grand mère sont des délices irresistibles, ce sont d´exquis flans à la cannelle.

Ce qui me fait sourire en matière de cuisine, c´est le pouvoir que nous avons nous les femmes portugaises, il est tout à fait interdit à nos hommes de s´occuper des courses ou de toucher à la cuisine, c´est un moment privilègié entres femmes !

J´èspère vous avoir donné envie de visiter le Portugal et que vous entrerez bientôt dans ma capitale sous le regard protecteur de la statue géante du Christ Roi.

Crémet d’Anjou & crémet nantais : ode aux délices angevins

Il est deux crémets d’Anjou, celui d’Angers, proche du crémet nantais, de moindre renom, et celui d’Anjou (en particulier de Saumur). Progressivement disparus des tables angevines, ceux d’Anjou sont désormais revenus à l’honneur grâce à des pâtissiers et des restaurateurs. À redécouvrir aussi ailleurs.

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Atteindre Le Nilaja

 

Depuis quelque temps, mes lecteurs et lectrices de Come 4 News auront compris que, sans avoir le coffre d’Obélix, du seigneur Karadoc (dans la série « Kaamelott ») ou de l’ancien président Jacques Chirac, j’ai comme qui dirait un sérieux coup de fourchette. Après La Table de Targui en mars dernier, permettez que je vous présente ici un nouvel établissement : Le Nilaja.

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Coquillages et crustacés !

C’est la pleine période pour déguster huîtres, coquilles Saint-Jacques et autres délices de la mer… Tant mieux, car tous les crustacés, et notamment les huitres sont des cocktails explosifs de vitamines et de protéines. 

 

Out les graisses !

Les fruits de mer ne contiennent presque pas de graisses (moins de 2% de lipides) et de sucres. Ils apportent en revanche entre 10 % et 18% de bonnes protéines et sont bénéfiques pour notre santé. Peu caloriques, riche en protéines et reconnus pour leurs vertus antioxydantes, ils recèlent une source importante de minéraux et d’oligo-éléments. 

 

Comment les conserver ?

Les fruits de mer vivants se conservent pas plus de 48 heures au réfrigérateur. Les huitres font exception car elles se gardent jusqu’à dix jours dans le bac à légumes.

 

Les fruits de mer peuvent être en contact de microorganismes nocifs pour l’homme, origine d’indigestion douloureuse. Lors de l’achat il faut donc être vigilant et vérifier que les produits soient vendus en rayon frais et présentés sur un lit de glace. Il faut s’assurer que les huîtres soient vivantes donc fermées.

A l’achat, il est conseillé de laisser les huîtres dans leur bourriche. Si l’on consomme les huîtres crues, il faut savoir que les bactéries se multiplient à un rythme important dans les mollusques morts. 

L’huître est-elle aphrodisiaque ? Nous attendons vos commentaires…

Concernant les coquilles Saint-Jacques, palourdes, moules… elles ne doivent pas baigner dans l’eau mais être enveloppées dans un linge propre et humide.

 

Petits conseils

Les huitres et les moules doivent être toujours bien fermées preuve de leur fraicheur. Les homards et araignées de mer doivent avoir les pattes repliées sous le corps et les yeux mobiles. 

Il ne faut donc pas hésiter à en profiter sauf en cas d’allergie. Les huîtres crues sont également déconseillées aux femmes enceintes et allaitantes.

 

Avez-vous essayez le slunch ?

Avez-vous essayez le slunch pour vos repas entre amis ou entre collègues ? Non vous avez tort car c’est la tendance actuelle dans le domaine de la gastronomie.

Le slunch est un phénomène nouveau qui remporte de plus en plus de succès et remplace progressivement le traditionnel brunch du dimanche. Le but de slunch est de se retrouver pour manger, discuter de 17h à 22h. Le but est de préparer une ambiance conviviale chaleureuse afin que les différents convives passent un moment de détente agréable à se relaxer, discuter et grignoter de l’heure du goûter jusqu’à l’heure d’aller se coucher. Dans ce but, il est plutôt préférable de proposer à manger tout ce qui se mange facilement avec les doigts et qui ne demande pas une cuisson au dernier moment. On peut proposer des plats salés et sucrés à volonté comme les pizzas, les quiches, les cakes salés et sucrés, les légumes en bâtonnets, etc…

Soyez tendance, soyez moderne en proposant à la place d’une soirée dînatoire une soirée slunch qui vous verrez remportera un vif succès auprès de vos invités qui à leur tour ne tarderont pas à adopter cette nouvelle mode.